Bon, je me lance… J'ai passé trop d'heures
à lire les histoires des autres, une main sur la souris
et l'autre sur mon sexe…
Si les récits que j'ai pu lire, et qui m'excitent, semblent
souvent tirés d'imaginations débordantes ou de fantasmes
inassouvis, je vous promets que mon histoire est vraie,
elle m'est arrivée, il y a quelques années, j'en ai juste
changé les prénoms (vous comprendrez pourquoi).
Cette histoire se passe il y a 5 ans, j'ai alors 32 ans.
J'ai une petite cousine qui, à l'époque, a 18 ans. Depuis
plusieurs années je la « chaperonne » un peu, son père (mon
oncle) me fait confiance et elle m'accompagne dans toutes
mes sorties. Il faut préciser que cela n'est pas une corvée
pour moi, au contraire… Elle est vive, drôle, un brin
loufoque, elle prend des cours de comédie et désire devenir
actrice. Elle me fait rire et anime bien mes sorties.
Elle a surtout un physique qui ne laisse personne indifférent
: 1m80, brune, avec des cheveux bouclés lui tombant en cascade
dans le dos. Une petite frimousse mutine, une silhouette
altière, un cul à faire se damner un saint, et des seins…
superbes et généreux (95D) qu'elle n'hésite pas à mettre
en valeur et dont elle joue énormément pour aguicher. Elle
est toujours dans un jeu de séduction (déformation de ses
cours de théâtre ?) et allume tout ce qui bouge. J'ajoute
qu'avec un peu de bonne musique, sur une piste de danse
ou une table de restaurant, elle frôle l'hystérie érotique.
Quiconque l'a vue danser s'en souvient à jamais…
C'est une jeune fille libérée, moderne, active, et si je
dis que la « chaperonner » n'est pas une corvée, c'est qu'avec
ses excentricités, elle m'a rabattu un nombre incalculable
de jolies filles qui ont fini dans mon lit. - Je ne sais
pas si vous avez remarqué comme le fait d'arriver dans une
soirée avec une « belle nana » aiguise la curiosité des
autres filles et finit même par les exciter au point de
les amener à vouloir vous voler à la «belle nana» (c'est
une technique comme une autre).
Mais ma cousine Barbara (c'est son prénom) a un secret.
Un grand secret.
Barbara cache derrière son exubérance une virginité intacte.
Elle me raconte tout de sa vie, de ces flirts ratés, des
garçons de son âge qui ne savent la regarder que dans les
seins et jamais dans les yeux… Elle m'a avoué avoir
« un peu joué » avec certains d'entre eux, mais elle veut
réserver son « grand soir » à quelqu'un de plus mûr qui
sache lui apprendre, la conduire et lui montrer, quelqu'un
qui la respectera et la guidera en douceur. La majeure partie
de ses amies ne sont plus vierges depuis longtemps, mais
elle ne les envie pas. Leurs aventures avec des boutonneux
de leur âge ont été des catastrophes pathétiques.
Vous trouvez Barbara « fleur bleue » ? Elle ne l'est pas.
On en a parlé souvent ensemble. Elle connaît tout des choses
du sexe, mais elle ne les connaît qu'en théorie. Elle les
connaît par les récits de ses copines ou de leurs grandes
sœurs, par quelques images volées tard la nuit sur
une chaîne cryptée, et par ses lectures… Barbara raffole
de littérature érotique qu'elle trouve abondamment dans
la bibliothèque de son cours de théâtre. En fait, Barbara
veut du « bon » et tout de suite. Elle a idéalisé son premier
acte et ne veut pas être déçue.
Barbara dormait souvent chez moi après nos soirées, si
j'en étais sorti célibataire, bien sûr.
Un soir, vers 4 heures du matin, je rentrais en sa compagnie
à mon appartement. J'étais passablement fâché, j'avais dragué
une jolie blonde pendant quelques heures, et ce soir-là
Barbara, qui d'habitude m'aidait dans mes approches, s'était
montrée insupportable et avait tout fait foirer. Je lui
en parlais clairement, et, à ma grande surprise, elle me
déclara que c'était intentionnel. Elle se lança dans une
grande tirade, m'expliquant qu'elle avait décidé que ce
serait moi son premier amant, qu'elle avait bien réfléchi
à la question, qu'elle ne voyait personne dans mes amis,
ni dans son entourage, qui puisse mieux faire « l'affaire
» que moi. J'en étais stupéfait. J'ai passé le reste de
la nuit à lui parler, dans mon salon, et à tenter de lui
expliquer que cela n'était pas possible, que j'étais son
cousin, que cela ne se faisait pas, que je tenais à honorer
la confiance que m'avait donnée son père, que... Oui, je
la trouvais jolie, excitante même, bandante d'accord…
mais que… Non, il ne se passerait jamais rien entre
elle et moi. Cette discussion de parlementaires n'était
pas simple. Mon argumentation ne pouvait être que rhétorique.
Elle contre-attaquait de toutes ses armes : elle s'était
changée en face de moi, exécutant un strip-tease digne d'une
professionnelle. Elle ne portait plus qu'un T-shirt qu'elle
m'avait emprunté, sous lequel je pouvais voir pointer ses
gros seins. Le T-shirt lui couvrait à peine les fesses.
Elle s'était affalée dans un fauteuil en face de moi, m'avait
fait des jeux de croisements de jambes rendant ridicule
Sharon Stone…bref, elle a tout essayé.
Malgré une érection très humaine, j'ai tenu bon. J'en étais
fier. Nous sommes allés nous coucher chacun de notre côté
vers 7 heures du matin. Elle quitta mon appartement, boudeuse,
en début d'après-midi.
Pendant quelques semaines, elle ne me donna plus de nouvelles
et resta sourde à mes appels.
Et puis un vendredi soir, j'étais dans un restaurant avec
un couple d'amis, mon portable sonna : c'était Barbara.
- « Coucou, c'est moi »
- « Comment vas-tu ? »
- « Bien. Où es-tu ?, je suis avec une copine du théâtre,
on sort de cours et on avait envie de faire la fête…
»
- Je suis avec des amis en train de dîner dans un restaurant,
tu sais chez …
- « On arrive »
Et elle raccrocha.
Une heure et demie plus tard, le restaurant tout entier
s'arrêta de respirer en regardant rentrer 2 bombes anatomiques.
Les 2 filles avaient pris le temps de passer se changer
chez l'amie de Barbara. Elles étaient…divines. Certains
esprits étriqués en auraient trouvé suffisamment d'arguments
pour porter plainte pour attentat à la pudeur.
Barbara, impressionnante, perchée sur des talons d'une
dizaine de centimètres (culminant donc à 1m90…), était
moulée dans une jupe courte en stretch noir, ses longues
jambes voilées de nylon noir. Elle portait en haut une veste
cintrée, de velours rouge, sous laquelle son imposante poitrine
était moulée dans un body en résille transparente. L'unique
bouton de sa veste résistait de son mieux pour ne pas céder
sous la pression.
Son amie, plus petite, était aussi blonde que Barbara était
brune. Un charmant visage d'ange (trop maquillée pour un
ange), encadré par des cheveux raides coupés au carré. Elle
était vêtue d'un petit top blanc à manches longues, s'arrêtant
au-dessus du nombril, et moulant des petits seins apparemment
libres de tout soutien-gorge. Elle avait choisi une minijupe
façon kilt. Elle aussi, les jambes gainées de noir, était
perchée sur de hauts talons. Elles s'approchèrent de notre
table, passant devant la rangée des serveurs bavant.
- « Coucou !! Clémentine, je te présente Sébastien, le
cousin dont je t'ai parlé »
- « Quel drôle de show tu nous fais, Barbara… Bonsoir,
Clémentine »
Petites bises, présentation du couple d'amis avec qui je
dînais sagement.
- « On peut s'asseoir ? »
- « Bien sûr, d'ailleurs voilà un garçon avec une chaise…
»
Barbara s'assied en face de moi, sur la banquette. Clémentine,
à côté de moi sur la chaise.
- « Avez-vous dîné ? Nous en sommes au café, mais je peux
vous demander la carte »
- « On a déjà grignoté» répond Barbara, « mais je prendrais
bien un petit dessert »
- « Je suis aussi prête pour un dessert » enchaîne Clémentine.
Clémentine, à côté de moi, a croisé les jambes. Son mini-kilt
est remonté, j'aperçois une lisière de dentelle… Ce
détail n'échappe pas au serveur qui arrive avec les cartes.
Les 2 filles se commandent des coupes glacées. Elles sont
déchaînées. C'est un flagrant concours à celle qui prendra
l'air la plus cochonne pour manger sa glace. Tout y passe,
de la dégustation des « cigarettes russes » façon fellation,
au léchage suggestif de chaque cuiller, je ne sais plus
où me mettre. D'autant que la fiancée de mon ami a l'air
d'être très gênée. Le couple décide d'ailleurs de nous quitter.
Nous nous saluons, mon ami me quittant en me faisant un
clin d'œil, pas très discret, pour me souhaiter une
bonne soirée…
Je me retrouve donc seul, avec les 2 furies.
- « Vous avez l'air en pleine forme les filles… »
dis-je ironiquement.
- « Oui, c'est la pleine lune » répond Barbara. « Tu nous
sors en boîte ? il faut que je me fasse pardonner du coup
que je t'ai fait rater la dernière fois… »
- « Si vous voulez… Je sais qu'il y a une bonne soirée
au … » Je suis un peu rassuré par sa dernière phrase,
au moins elle a compris, et n'essaiera pas de me sauter
dessus ce soir…
- « Il faut que je te dise que j'ai dit à mon papa/ton
oncle, que l'on dormait chez toi. »
- « Merci de me prévenir… »
Les filles finissent leur dessert plus calmement, j'en
ai profité pour me prendre un digestif. Les filles m'ont
fait recommander du vin et se vident aisément la bouteille
toutes les 2. Elles m'avouent pourtant que, le temps de
se changer, elles ont pris quelques apéros.
Nous quittons le restaurant sous le regard gourmand de
l'assistance, et nous nous rendons au club. Dans la rue
du club, la brune et la blonde exagèrent leurs démarches,
nous ne passons pas inaperçus. Ça m'amuse.
Nous rentrons dans le club, et là, Clémentine rate une
marche et se tord violemment la cheville (sans doute pas
l'habitude des talons hauts…). Elle a l'air de souffrir.
Je la fais s'asseoir dans un fauteuil, et me mettant à genoux
devant elle, j'entreprends de lui masser la cheville. La
coquine en profite pour écarter les jambes, je me retrouve
face à un adorable petit string en dentelle noire. Difficile
de me concentrer sur mon massage… Je ne suis pas kiné,
mais mes manipulations ont l'air de la soulager.
Malgré cela, quand elle essaie de se remettre debout, elle
boîte encore douloureusement. Une petite discussion s'ensuit,
la soirée a l'air compromise. Nous décidons de rentrer chez
moi.
Dans la voiture, Clémentine monte à l'avant, là c'est toute
la dentelle de ses Dim-up que je peux voir. Un coup d'œil
dans mon rétroviseur sur Barbara, à l'arrière. Elle a défait
le bouton de sa veste, elle est nue sous la résille de son
body, J'aperçois ses gros seins arrogants. Ces 2 filles
(même si l'une d'entre elles est ma cousine) me filent une
érection magistrale.
Nous arrivons chez moi, et je suis en train de me demander
ce que je vais en faire… Je ne peux décemment pas
me taper Clémentine qui a l'air chaude comme la braise et
laisser Barbara, seule dans la chambre d'à côté… Mille
questions trottent dans ma tête. Que voulait-elle dire avec
« il faut que je me fasse pardonner… » ? Je me méfie
de ses manigances…
Barbara doit lire dans mes pensées.
- « Qu'est-ce qu'on fait maintenant, on ne va quand même
pas aller se coucher ? »
- « Je… Je ne sais pas »
- « On peut peut-être se mater un film ? » propose Barbara
- « Si vous voulez, j'ai quelques nouvelles vidéos»
Barbara prend possession de l'appartement, comme s'il s'agissait
du sien, on installe Clémentine et sa cheville douloureuse
dans un fauteuil, Barbara fouille dans l'armoire contenant
mes vidéos et je pars en cuisine nous chercher quelque chose
à boire.
J'entends Barbara :
- « T'as pas de films de cul ?»
- « Non, j'ai pas ça… »
- « Bon, tant pis »
Cette fille me scotche…
Je rejoins la brune et la blonde dans le salon. Barbara
a fait son choix sur une niaiserie américaine, et revient
avec la cassette. Clémentine l'interrompt :
- « Mais tu as le câble ? »
- « Oui »
- « À cette heure-ci, il y a sûrement un porno sur une
des chaînes. »
- « Je… Je ne sais pas… »
Barbara se jette sur la télécommande et se lance dans un
zapping effréné de toutes les chaînes. Et … elle trouve…
En chœur, les 2 filles : « Ah ben voilà !! Chouette»
Je ne sais plus quoi faire. Je ne me suis jamais senti
aussi idiot qu'à ce moment-là.
Je m'installe dans un fauteuil, Barbara se vautre dans
le canapé. Je prends l'air le plus décontracté du monde
et leur sers les verres.
À l'écran, une fille prend une douche, elle se savonne
consciencieusement les seins… le ventre… cela
se termine inévitablement par une masturbation débridée.
La fille a une jambe relevée sur le bord de la baignoire,
les gros plans nous montrent ses doigts qui la pénètrent,
elle se frotte le clitoris, se titille l'anus, s'y insère
carrément un doigt. Nombreux plans serrés sur ses gros seins,
sur son bouton turgescent. Elle passe sa langue sur ses
lèvres… Je ne sais pas combien de temps durent ces
scènes. Je suis captivé par ces images…
Je reviens à la réalité pour voir ma cousine qui, sur le
canapé a retiré sa veste ; ses seins, plus beaux que ceux
de l'actrice à l'écran, semblent vouloir déchirer la résille
de son body. Elle a surtout remonté sa jupe stretch qui
ne lui fait plus qu'une ceinture, elle porte également des
Dim-up et elle se touche par-dessus son Tanga, les jambes
écartées, sans aucune pudeur. Ses yeux sont révulsés, magnétisés
par la télévision. Clémentine, son amie, est encore plus
indécente. Elle a relevé son top au-dessus ses petits seins,
elle s'en caresse un. Elle a passé ses deux jambes par-dessus
les accoudoirs. Son kilt remonté, le string a disparu, elle
est béante, exposée, elle a déjà 2 doigts bien enfoncés
dans la chatte, elle remue son bassin d'avant en arrière.
Je ne sais plus quoi faire… Le film m'avait déjà
donné une belle érection, mais là… Je crois que ma
bite va exploser…
La fille à l'écran, sous la douche, est maintenant en train
de se goder avec un flacon de shampoing. Le flacon disparaît
presque totalement, elle a 2 doigts plantés dans l'anus
et ses gémissements se transforment en cris… Le son
est plus qu'en stéréo… Les gémissements viennent aussi
de la pièce… Barbara est maintenant presque nue, son
body et son Tanga jonchent le sol. Les doigts dans sa toison
fournie de brune, elle se masturbe énergiquement, mais elle
ne regarde plus l'écran, elle me regarde…moi. Les
yeux dans les yeux. Que faire ???
Clémentine me sort de l'embarras, elle m'a pris la main,
et me susurre « viens me lécher… »
Je ne peux refuser une si jolie invitation… Je me
jette, comme un mort de faim, à genoux devant son fauteuil.
À peine le temps de prendre une respiration, elle m'a agrippé
par les cheveux et plaque mon visage à son sexe luisant.
Elle est presque intégralement épilée, elle n'a gardé qu'une
petite zone de poils en « ticket de métro » au-dessus de
ses lèvres. Ses lèvres, je les goûte, les contourne, les
lèche, les suce, les mordille. Je m'intéresse à son petit
clitoris écarlate, sorti de sa gaine… elle a l'air
très sensible là… elle m'arrache presque les cheveux…
elle gémit, prononce des onomatopées incompréhensibles…
Je sens une présence, Barbara est debout à côté de moi,
elle a les jambes écartées, un pied sur la table du salon…
elle se caresse toujours, elle s'est déplacée pour ne pas
perdre une miette du traitement que « j'inflige » à son
amie.
Clémentine mouille comme une fontaine, elle remue son bassin
de plus en plus fort. Je lui rentre un doigt, puis 2, la
fouille dans tous les sens, elle se tend, des spasmes la
prennent, elle se raidit et s'effondre dans le canapé dans
un orgasme bruyant. Mes doigts, encore en elle, sentent,
encore un moment, les contractions de son vagin.
J'entends alors Barbara dire : « A mon tour… » et
elle se jette sur le canapé, les jambes en compas bien ouvert…
Je ne peux pas aller lécher ma propre cousine… Clémentine,
encore, me sauve, elle se lève (sa cheville a l'air d'aller
mieux…), me regarde dans les yeux et me dit : « Désape-toi
et branle-toi un peu, je m'en occupe ! ». Sa phrase à peine
terminée, elle se jette sur le sexe poilu de son amie.
Barbara n'a pas l'air surprise. Elle accueille cette langue
féminine avec plaisir. Je regarde la scène avec gourmandise
et étonnement. Ma cousine en train de se faire gouiner sous
mes yeux… Elle a l'air d'aimer ça… ses halètements
sont forts, elle me fixe, ses yeux sont vitreux de bonheur,
ses joues toutes roses. Moi j'ai obéi, je me suis déshabillé,
ma bite à l'air, prête à exploser, je me branle en regardant
le spectacle. Clémentine aussi se branle, elle a passé une
main entre ses cuisses et je peux la voir s'activer sous
son mini-kilt. Barbara ne tarde pas à jouir, elle est en
sueur, les cheveux collés, les jambes tremblantes, elle
rayonne.
Clémentine se lève, et me lance : « J'ai compris que tu
ne voulais pas la toucher, mais fais-moi plaisir, éjacule
sur elle. J'aimerais qu'elle connaisse l'odeur, la consistance
et le goût du sperme. Tu peux au moins faire ça, non ? ».
Cet ange est un démon…
Elle m'attrape par la queue, me branle doucement mais fermement
quelques instants, je ne tiens bientôt plus et décharge
mon foutre sur les gros seins de ma cousine. Clémentine
me regarde, me sourit et me chuchote : « merci, pour elle…
». Elle s'installe ensuite à genoux sur le canapé, à côté
de son amie. Je la regarde lécher ma semence sur l'un des
seins. Barbara, fascinée, découvre le goût de l'homme en
se suçant l'autre.
Je me suis assis pour souffler un peu, j'observe les filles
se nettoyer méticuleusement, Clémentine remonte avec sa
langue dans le cou de son amie, Cela se termine par un roulage
de pelle en règle, je peux voir des filets de sperme, de
mouille et de salive mêlés s'étirer entre leur bouche. Ce
spectacle me redonne une trique d'enfer.
Clémentine se retourne et me voyant : « Oh, mais le cousin
a retrouvé la forme, on dirait… ». Elle se lève, se
débarrasse de ses derniers vêtements ne gardant juste que
ses bas, va farfouiller dans son sac à main, puis vient
s'asseoir au-dessus de moi. Elle empoigne ma bite et commence
à se caresser avec. Elle fait passer et repasser doucement
mon gland entre ses lèvres, remonte jusqu'au clitoris puis
redescend. Le mouvement est lancinant. Elle se débrouille
tout de seule… j'ai l'impression d'être un jouet.
Elle finit par venir s'empaler sur mon sexe. Elle est trempée,
mais très étroite. Il nous faut quelques va-et-vient pour
que son fourreau s'adapte. Elle commence à coulisser en
douceur, montant et descendant lentement.
Puis se retournant, elle lance à ma cousine : « J'ai peur
que tu n'aies pas le droit à ça, ma chérie… Cherche
dans mon sac, tu trouveras une surprise pour te soulager».
Moi, une main lui pelotant les seins, l'autre sous la cuisse
l'assistant dans son délicieux mouvement de piston, j'hallucine
complètement de la situation.
Quelques instants plus tard, Clémentine, sur moi, a accéléré
les mouvements, elle est hystérique sur ma queue. En face
de moi, je peux voir Barbara nous épiant. À quatre pattes
sur le canapé, les seins ballottant, elle manipule la «surprise»
: un vibromasseur lui ronronne entre les cuisses. Sur ma
droite, la télé diffuse toujours le film… dont tout
le monde se fout maintenant complètement.
Je ne sais pas qui fait le plus de bruit. Clémentine finit
par exploser dans un orgasme fulgurant. Elle s'effondre
en sueur sur moi. Elle me mordille l'oreille. Barbara et
son vibro se sont apparemment bien débrouillés ; dans un
râle final, elle s'écroule dans les coussins du canapé.
Nous restons quelques minutes sans bouger, récupérant de
nos émotions. Clémentine, la première, sort de notre torpeur.
Se dégageant de mon sexe inassouvi de ce coït, elle vient
se placer à genoux devant moi.
S'adressant à son amie :
- « Barb, viens voir, je vais t'enseigner l'Art de la fellation.
»
Mon obéissante cousine se lève d'un bond et vient se positionner
à côté d'elle. Je n'ai apparemment pas mon mot à dire. Toute
envie de protester a, quoi qu'il en soit, instantanément
disparu dès que la langue de Clémentine s'est posée sur
ma tige. Sous l'œil attentif de Barbara, une leçon
de pipe a débuté. Je dois reconnaître que cette satanée
blonde mérite son diplôme de prof… Elle passe en revue,
en les commentant, toutes les techniques d'une bonne fellation.
Elle me masse les couilles, les gobe me regardant dans les
yeux, remonte la langue à plat le long de ma hampe, me lèche
le gland, l'embouche… Elle suce, souffle… Elle
engouffre ma bite au plus profond. J'ai l'impression qu'elle
me masse avec sa gorge. Sa main me branle dans le même temps,
elle revient sur mes couilles. Elle me titille d'un doigt
l'anus, me caresse l'intérieur des cuisses… et recommence…
Ma cousine, très concentrée, n'en perd pas une miette.
Je ne tarde pas à perdre pied, ma suceuse le sent, elle
accélère ses mouvements, me maintient fermement entre ses
lèvres. Elle le veut, elle va l'avoir… je lui décharge
bientôt dans la bouche.
Elle me garde en bouche encore. Passant son pouce de haut
en bas, le long de ma tige, elle peaufine mon dégorgement.
La bouche pleine, elle s'adresse à son amie :
- « Approche !! »
… et je vois les 2 filles se roulant une pelle, crémeuse
de ma semence.
Clémentine se relève et, prenant le ton sévère qui colle
à son nouveau statut d'institutrice, déclare :
- « Tu vois, Barb, c'est comme cela qu'on suce un homme…
regarde l'air hagard de ton cousin. C'est la preuve que
l'on a réussi. Tu t'en souviendras ? »
Petit signe approbateur de la tête de Barbara.
Continuant sur le même ton :
- « Je crois que tu peux devenir une bonne élève, tu es
attentive. En revanche, j'ai un reproche à te faire. Tu
n'écoutes pas, il y a une chose dont je t'ai parlé plusieurs
fois : tu ne peux pas rester avec une chatte aussi peu soignée.
Il faut que je m'occupe de toi, puisque tu ne le fais pas
toi-même. »
- « Mais… »
- « Silence !!», « Sébastien, j'espère que tu te rases
manuellement ? je vais avoir besoin de mousse et d'un rasoir.
On ne peut pas laisser ta cousine dans cet état ! Tu es
d'accord, je pense…»
Je crois que c'est la première fois, ce soir, que l'on
me demande mon avis sur quoi que ce soit. Même si je sais
déjà que ma réponse importera peu. Je précise tout de même
:
- « Oui, tu trouveras dans la salle de bain, mon rasoir,
mon blaireau et mon bloc de crème à raser. »
- « Allez hop !! Debout tout le monde, on y va !! » répond
Clémentine.
Dans la salle de bain, Clémentine a fait asseoir, son amie
(son élève) sur le bord de la baignoire. Barbara s'est débarrassée
de sa jupe tirebouchonnée autour de la taille ainsi que
de ses bas. Elle est nue comme un ver. Clémentine a l'air
perplexe devant mon attirail rétro de rasage. Si le rasoir
est classique, la technique du blaireau ne lui semble pas
familière. Je me charge donc de lui préparer une belle mousse
épaisse. Je lui tends le blaireau et elle commence à en
recouvrir le pubis de ma cousine. Celle-ci frémit à chaque
passage du pinceau. Ses lèvres sont encore sensibles de
ses émotions passées.
Quand Clémentine se saisit du rasoir, Barbara réagit :
- « Tu… tu fais attention, hein ?, et puis tu…
tu ne rases pas trop… promis ?? »
- « Ne t'inquiète pas… Tu peux me faire confiance.
»
La blonde, à genoux sur le sol, s'applique à raser son
amie. J'observe la scène avec attention. Le pubis se découvre
peu à peu. Il ne reste plus bientôt qu'une très fine petite
bande de poils encore pleine de mousse. J'ai l'impression
qu'elle est encore plus étroite que celle de sa « barbière
». Et là, d'un seul geste rapide, Clémentine passe la lame
sur le « ticket de métro », laissant ma cousine imberbe.
Réaction instantanée de Barbara :
- « Clem !! t'avais promis !! »
- « J'ai changé d'avis, j'ai trouvé que cela irait mieux
avec ton statut de novice… » «Rince-toi maintenant
», et, lui tendant mon flacon de baume après-rasage : «
Applique ça, ton sexe aura l'odeur de ton cousin…
et rejoins-nous dans le salon. ». « On va peut-être le prendre,
ce verre…»
Nous abandonnons Barbara dans la salle de bain et retournons
vers le salon. Être nue ne semble pas la gêner, elle déambule,
uniquement vêtue de ses bas et de ses boucles d'oreille,
avec la même décontraction et la même fierté que si elle
avait été dans la plus belle des robes de soirée. On s'assied
dans le canapé, je lui fais constater :
- « Dis-moi ? ça a l'air d'aller mieux ta cheville…
»
- « Ne sois pas bête… » me répond-elle « je ne me
suis jamais blessée… As-tu oublié que je suis dans
la même école de théâtre que ta cousine ? Nous avons juste
joué une petite scène, que nous avons coécrite… »
- … !
J'aurais dû m'en douter, je suis presque sur le point de
me mettre en colère, mais sa main, qui a entrepris une douce
malaxation de mon sexe… calme ma rage.
Barbara fait son entrée dans le salon. Elle est écarlate,
gênée, de ses 2 mains elle cache son sexe glabre.
- « Allez ! Barb ! montre-nous ton abricot tout lisse !!!
»
J'enchaîne :
- « Le rasage intégral, n'avait pas l'air prévu dans votre
scénario ? »
Barbara reste muette. Elle vient de comprendre que je sais
tout.
- « Ne t'inquiète pas, Barb… Je suis sûre que ton
cousin est ravi de sa soirée. Comme il le sera de sa nuit…
Demain, il te remerc…
Clémentine est interrompue par la sonnerie de mon portable.
- « Bordel ! Qui peut bien m'appeler à 2 heures du mat
?? Allô, Oui... Anne ?? c'est toi ? Que se passe-t-il ?
- (…)
- « Non, je suis à la maison avec Barbara et Clémentine,
une de ses amies. Et toi, où es-tu ? »
- (…)
- « Écoute, je ne sais pas… je ne pense pas, mais,
je peux leur proposer… »
Aux filles :
- « C'est Anne, ma copine d'enfance. Tu la connais, Barbara.
Elle est au … avec Antoine, son mec, elle propose
qu'on les rejoigne. »
Clémentine :
- « Le … ?? Le club échangiste ?? Ouais !! Chouette
! On y va !! J'ai toujours rêvé d'y rentrer. »
Sans attendre la réponse de ma cousine (j'ai compris que
les évènements lui avaient échappé depuis un moment) je
réponds à Anne :
- « Je crois que c'est OK, on arrive… Bisous, à tout
de suite… »
Clémentine est déjà debout, elle prend une nouvelle fois
le commandement, et donne ses instructions pour le départ.
La nuit n'était pas terminée…
A suivre… si cette histoire vous a plu.
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