Rencontré lors d'un dîner l'homme avait bien
branché Géraldine qui, conforme à son désir d'évolution
affichait une décontraction de bonne petite femelle en chasse.
En dansant elle continue à faire son exhibitionnisme, à
montrer à l'inconnu son décolleté que j´imagine avec les
pointes des nichons bien dures.
L´homme, la quarantaine, très bien habillé, sportif et un
sourire craquant, se met à lui parler à l'oreille et puis
vient se présenter.
Cela commence par des banalités, mais je sens à la façon
qu´il a de regarder Géraldine, de lui parler, qu´il la trouve
très jolie, qu'il a envie d´elle. Ma salope, excitée, frissonne.
Je bande à cause du spectacle qu'elle donne. Je n´en peux
plus, je sens mon sexe prêt à exploser, j´adore voir que
les mecs reluquent ma maîtresse.
Je demande à l'inconnu s'il veut nous suivre. Nous allons
jusqu´à ma voiture, garée dans le noir au fond du parking,
ce n´est pas loin. J´ouvre la porte de la voiture et nous
entrons tous les trois. Ma maîtresse et l´inconnu s'assoient
à l'arrière.
Ils commencent à se caresser. Il se sent alors encouragé
et il relève carrément la robe pour reprendre ses caresses.
L´homme a placé ses mains sur les hanches de Géraldine,
puis les fait glisser lentement sur les fesses qu´il malaxe
avec nervosité. Je suis incroyablement excité par cette
scène et je commence à me caresser à travers la toile de
mon pantalon. L'homme dégrafe les boutons de sa braguette,
défait la bouche son ceinturon puis fait glisser l´ensemble
jusqu´aux genoux. Il en fait de même avec son slip, ce qui
libère un formidable engin déjà en érection.
Une verge longue et épaisse, nervurée au diamètre intéressant,
une grosse paire de couilles. Il prend la main de ma salope
et la pose sur son membre.
Je vois les doigts de Géraldine, après un instant d´excitation,
se refermer sur l´objet de son plaisir et commencer à le
branler, d´abord doucement, puis de plus vite. Les yeux
fermés, elle embrasse son tourmenteur et maintenant elle
le branle à deux mains, lui massant les couilles velues,
remontant sur la hampe gonflée, excitant le gland de ses
ongles, pour redescendre et recommencer son manège.
Je vois la petite Géraldine prendre dans sa bouche le sexe
d´un autre homme que moi, elle arrondit les lèvres et les
fait coulisser sur la queue de cet homme tout en continuant
à lui masser les bourses d´une main. L´homme gémit, puis
l'attrape par la tête, elle le suce pendant un temps qui
me semble très long, il doit être au bord de la jouissance.
Tout en se tripotant, se léchant, se suçant, je vois les
vêtements s'écarter, le chemisier s'ouvrir, la robe se tirebouchonner
aux hanches, le ventre se mettre à bouger juste éclairé
par la lumière de la lune. Puis, Géraldine la chatte en
feu, s'allonge à la renverse sur la banquette, ouvre largement
ses cuisses et en se mettant la main sur la motte commence
à se caresser en me regardant.
Le type comprend tout de suite et il pointe son gland à
l´entrée de sa chatte, puis dans un long mouvement, la pénètre.
Ma belle salope gémit lors de la pénétration et des premiers
mouvements de la grosse queue, qui vient de buter au fond
de son ventre. Elle a la bouche ouverte, les cuisses bien
écartées et repliées, ses seins dépassent du chemisier et
elle commence à se les pogner. J´entends clairement les
couilles du mec frapper les fesses de ma petite baiseuse
en cadence. Je vois Géraldine possédée devant moi par cet
inconnu qui s´amuse lui aussi à lui peloter les seins.
Au bout d'un moment, les signes que je connais apparaissent,
elle gémit de plus en plus fort, bouge de plus en plus vite.
Elle jouit, pendant que l´homme, bien sûr, s´ingénie à accélérer
le mouvement, afin de donner des coups de bite encore plus
puissants dans la chatte de ma salope. Elle est épuisée,
mais elle continue à monter et à descendre sur le pal qui
lui transperce le ventre.
- Attends, je n´ai pas jouis, moi. Il faut me finir !
Il la fait se retourner et mettre en levrette et la pénètre
à nouveau, bien cramponné à ses hanches rondes. Il lime
furieusement cette belle femelle en chaleur.qui gémit de
plus en plus fort tant elle se sent salope. Tout à coup.
Il se retire en criant : - Ca y est... Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis...
je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis... prend mon sperme...ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...tiens,
salooooooooooooope.
Les longs jets gluants et blancs arrivent sur les reins
et les fesses de Géraldine. J´ai cru qu´il n´en finirait
pas de jouir, les giclées se succédant sans pouvoir s'arrêter,
elle est couverte de sperme. Elle se retourne et elle plonge
de nouveau vers le sexe dressé, entreprenant de le sucer,
elle l'avale le plus possible, l'engouffre, le tète, le
pompe. Elle donne de savants coups de langue, l´engloutit,
le ressort, lèche toute la hampe.
Ensuite, la faisant se remettre en levrette il pénètre,
sans fioriture, son anus qu'il a bien humecté de mouille.
La verge est entrée de moitié. Cramponnant cette acharnée
de la fourette aux hanches, il donne un grand coup de reins
qui le propulse au fond. Géraldine pousse un cri de surprise
et de plaisir. La bite est maintenant entrée toute entière
dans son cul étroit, il va et vient dans sa rondelle dilatée.
Géraldine est au bord de l´évanouissement. Elle ne peut
même plus crier, elle gémit, soupire, râle, pousse des timides
« non, noooon, nooooon, pas çaââââââââaaaaa, j'ai honte,
je ne voulais paââââs, pas comme çaaaaaaaa, pas dans la
voituuuuuuuure, je ne suis paaaaaaaas une saaaaaalope qui
se fait tiiiiiiiiiiier.oôôôôôôôh j'ai honteeeeeee, oôôôôôôôôô,
salauds que c'est boôôôôôôôônnnnn, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii,
continûûûûûûûûuuuuuuuu, encoooooooore, ouiiiiiiiiii. Elle
supporte la sodomie, à moitié affalée sur la banquette de
la voiture, toujours gémissante mais en donnant des coups
de croupe pour bien se faire taper dans le cul. Au bout
d´un moment et après l\'avoir faite encore gémir, il se
retire presque entièrement, puis, je vois le gros membre
de ce salaud venir de nouveau forcer l´anus de cette superbe
baiseuse, sans relâche, pistonnant, rentrant et sortant
à un rythme de malade.
Comment peut-elle recevoir entre les fesses un sexe aussi
gros ? Elle ne me quitte pas des yeux, me disant que maintenant
ça yyyyyyyyyy est, elle n'est plus viiiiiiiiiiiiierge.elle
a eu trois mecs.elle s'est faite prendre de partout, elle
aime ça, elle va continuer.elle en veut encore.ouiiiiiiiiiiiiiiiii,
encoooooooooore, tout en donnant des coups de croupe de
plus en plus violents qui font rentrer la bite du mec au
plus profond de son cul, encore plus fort.
Le type cramponné aux hanches se met soudain à pousser des
râles de plaisir et s'enfonçant une dernière fois puissamment,
il jouit et déverse son sperme au fond de ses entrailles...
Un moment après, sans lui laisser le temps de se rhabiller,
où à peine, je la ramène chez elle.
La petite salope, je vais me la défoncer, je vais reprendre
possession de son corps, de sa bouche, de sa chatte, de
son cul.
C'est moi qui l'ai faite et rendue salope, c'est moi qui
ait transformée en femelle, c'est moi qui lui a révélé qu'elle
était faite pour faire l'amour en belle petite baiseuse.c'est
moi qui la fait jouir depuis des mois, qui lui remplit le
ventre, qui la fait gueuler de plaisir.alors puisqu'elle
aime la bite, la queue, elle va voir.je vais te lui rentrer
mon chibre dans la chatte, bien écartelée sur son lit, lui
sortir le gode du tiroir et la défoncer.elle va aimer !!!
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