TITRE : Deux nuits aux prises avec trois hommes
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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J’étais partie pour passer une semaine au soleil d’hiver, tranquille, pour m’évader un peu de ma vie professionnelle.

A 24 ans, je suis esthéticienne et je travaille dur toute l’année. Je n’ai pas de vie privée, ou si peu. J’avais envie d’oublier tout pendant quelques jours. J’avais choisi un hôtel-club aux Baléares, pour combiner l’insouciance et le soleil, aussi pâle soit-il.

Le premier soir, un homme m'a draguée au cours de la soirée de fête des nouveaux arrivants. J’avais un peu bu, et il était plutôt beau gosse… Il m'a emmenée dans sa chambre (qu'il partageait avec deux copains).

Il m'a dit, tout en me prenant par la taille, que ses deux copains allaient rester toute la nuit à danser.

Il m’a embrassée et j’ai répondu à ses baisers. Il a peloté mes seins à travers mon pull, puis il a passé sa main dessous pour caresser ma petite poitrine nue. Je sentais son sexe durcir, contre ma cuisse.

Je portais une jupe courte, légère, et des bas, car les soirées étaient fraîches.

Il a rapproché deux lits, le troisième était un peu plus loin. Nous nous sommes retrouvés allongés sur le lit, sa main droite tripotant mes seins, sa main gauche sous ma jupe, caressant le haut de mes cuisses. A travers l’étoffe de son jean, je caressais son sexe et je le sentais durcir de plus en plus. Quelques minutes plus tard, il avait déjà enlevé ma culotte et mon pull. J’étais presque nue sur le lit, la tête de l’homme sous ma jupe, entre mes cuisses.

Après ces quelques préliminaires, nous sommes allés sous la douche et les jeux ont commencé. Il me fit un délicieux massage avec le gel douche, puis ce fut à mon tour de m’occuper de son corps. Il avait le sexe rasé intégralement, et j’aime bien.

Fellation, caresses, massages, l’eau chaude a coulé sur nos corps pendant plusieurs minutes… Puis nous nous sommes séchés mutuellement.

Direction le lit, où nous nous sommes écroulés de fatigue. Il avait cependant une grosse érection. J’ai pris son sexe dans ma main, et je l’ai caressé et butiné pendant qu’il me suçait le minou. Il a joui dans ma paume, et nous nous sommes endormis, nus en travers du lit.

Nous avons été réveillés bien plus tard par des bruits dans la salle de bain : les deux autres étaient rentrés et sortaient de la douche. Ils étaient bien énervés. Ils ont allumé la lumière et quand ils m'ont vue, toute nue, leur sexe s'est rapidement dressé. J'avais maintenant affaire à trois jeunes hommes bien excités, surtout les deux derniers. J’ai pu constater qu’eux aussi étaient intégralement rasés.

Ils ont rapproché le troisième lit, m'ont allongée sur le dos en travers, m'ont obligée à replier et écarter mes jambes, et j'ai vite senti la chaleur d'un baiser fougueux entre mes cuisses, une langue très agile qui fouillait mon minou et les endroits les plus intimes, des doigts qui m’exploraient.

Pendant ce temps, l'autre garçon avait pris mon visage entre ses mains et m'avait obligée à cabrer ma tête en arrière, sur le bord du lit. Il pouvait ainsi introduire son sexe dans ma bouche et l'enfoncer au fond de ma gorge. Ses testicules plaqués contre mes yeux, je ne voyais rien, je ne pouvais respirer que par le nez. Son gland me ramonait le fond de la gorge, j'avais l'impression d'avaler un manche à balai. Ses mains pétrissaient mes seins et j'entendis le déclic d'un appareil photos… C'était mon amant de la veille qui immortalisait la scène.

Curieusement, je n'avais pas envie de me débattre. Peut-être le plaisir refoulé du viol, célèbre fantasme féminin ? En plus, j'y goûtais tout en ne prenant pas les risques d'un vrai viol, brutal et parfois mortel.

J'avais entre les cuisses des sensations délicieuses. Par contre la fellation était vraiment "virile", mais ça faisait partie du simulacre de viol, et j’y prenais du plaisir. En d’autres circonstances, je n’aurais pas accepté, mais loin du travail, de la ville, l’anonymat aussi…

Au bout de quelques minutes qui me parurent aussi longues que le pénis de mon assaillant, je ressentis une accélération dans les va-et-vient, et l'homme éjacula une énorme quantité de sperme au fond de ma gorge. La première giclée coula si loin dans ma gorge que je n'eus pas à l'avaler. Cependant, il se retira légèrement, tout en continuant à jouir en éjaculant de longs jets de sperme, ce qui eut vite fait de remplir ma bouche. D'une main (Car j'avais dans l'autre main le sexe du troisième luron), je me mis à masser la bite encore secouée de spasmes, tout en suçant le gland entre mes lèvres, comme pour en sortir tout le jus. Maintenant je pouvais ouvrir les yeux, j'avais un panorama sur les testicules du garçon et je pouvais constater de visu la longueur de son sexe. Pas étonnant que j'eusse la gorge un peu irritée ! Je promenais son gland le long de mes lèvres, tout en gardant le sperme dans ma bouche.

Quand ce fut fini, il s'agenouilla près de moi pour bien me regarder, j'ouvris grand la bouche et il me dit :

- Avale tout.

Ne pouvant pas tout avaler d'un coup, je suis restée la bouche grande ouverte, me délectant de ce qui se passait entre mes cuisses, puis je me mis à avaler par petites gorgées. L'homme alla me chercher un verre d'eau et je pus me redresser pour boire, tandis que l'autre continuait à me sucer.

Ils échangèrent ensuite les rôles : celui qui venait de jouir dans ma bouche s'installa entre mes jambes, l'autre fit le tour du lit, m'attrapa par les cheveux pour m'obliger à m'allonger de nouveau, et vint présenter son sexe au-dessus de ma tête. A voir son état d'excitation, je compris qu'il était inutile de le contrarier.

Le troisième avait remis son sexe dans ma main droite et je le massais lentement; il bandait fort et je compris vite qu'il allait lui aussi demander sa part de bonheur... Pour l'instant, je devais gagner du temps et, de l'autre main, je saisis le sexe dressé au-dessus de mon visage, pour le caresser, masser ses testicules, le branler et le serrer dans ma main. L'homme aimait mes caresses et il se retourna dans l'autre sens, à califourchon sur ma poitrine, les jambes de chaque côté de mon visage. Il me prit la tête entre ses mains et j'ouvris la bouche pour gober ses testicules, l'un après l'autre, en passant ma langue dessus. De la main gauche, je lui faisais une branlette au ralenti. Son sexe grossissait encore et encore, ma main qui l'enserrait paraissait toute petite. Il se cabra et me fit comprendre qu'il voulait se faire lécher l'anus.

Tout en le suçant, je le branlais de plus en plus vite, il se recula et me fit ouvrir la bouche, mais une première giclée m'aspergea le visage avant que je n'arrive à placer son énorme queue dans ma bouche. Il continua alors à déverser des flots de sperme dans ma bouche. Quand il eut fini, il se releva, se retourna pour reprendre sa position initiale, ce qui lui permit de m'enfoncer son sexe loin au fond de la gorge, comme l'avait fait son copain.

Je n'ai pas pu éviter ce deuxième assaut, j'ai juste eu le temps d'avaler tout, pour vider ma bouche. Il avait gardé une belle érection qui lui permettait d'enfoncer son gland très loin, j'avais l'impression qu'il me transperçait la gorge. Ce n'était pas qu'une impression, d'ailleurs. C'était interminable.

Il finit par jouir une seconde fois, directement au fond de ma gorge. Il s'écoula encore au moins une minute avant que son sexe commence à dégonfler, je sentais ma gorge se libérer. Je le fis lentement sortir tout en le suçotant...

J'avais toujours la bite du troisième dans la main droite. Comme je le craignais, il eut lui aussi envie d'une gâterie, mais avant, il eut la bonne idée de venir faire des bisous sur mes seins, ce qui, ajouté au plaisir que me donnait cette langue qui explorait mon sexe, me fit jouir très fort.

Remise de mes émotions, je vis au-dessus de mon visage le sexe du troisième homme en pleine érection, son gland vint contre ma bouche. J'allais ouvrir la bouche, quand ils décidèrent de changer de position.

Il s'assit au bord du lit, le sexe bien raide, et il me fit mettre à genoux devant lui, pour que je le suce. Il s'allongea sur le dos, bien installé sur le lit, m'offrant son sexe que je commençai à masturber d'une main, pendant que je lui caressai les testicules et l'anus avec l'autre main.

Je sentis alors des doigts écarter mes fesses et fouiller mon petit trou, puis le doux contact chaud d’une bouche, une langue qui me léchait l’anus et qui s’aventurait aussi entre mes petites lèvres, parcourait ma fente, c’était délicieux.

Cette bouche experte me fit jouir, rapidement, et c'était la première fois que je jouissais tout en suçant un autre mec. Je reçus une lampée de liqueur tiède dans la bouche et l’homme qui venait d’éjaculer se retira et continua à m’arroser le visage de longues giclées de sperme. Il me força à rouvrir la bouche et y remit son sexe secoué de spasmes de plaisir.

Trois fellations « musclées » : je n’avais plus soif…

Chacun passa sous la douche et il était tard, il ne restait plus beaucoup de temps pour dormir. Je me suis rhabillée rapidement et, rentrée dans ma chambre, je m'endormis très vite.


Le lendemain soir, de nouveaux jeux reprenaient. Les trois hommes n'avaient pas prévu d'apporter du matériel de domination mais ils ont improvisé : cordelettes, lacets, objets divers.

C'était "repas de fête" au restaurant et nous avions convenu de dîner ensemble, les trois mecs et moi-même. Mais ils s'étaient mis d'accord pour m'imposer leur volonté : je devais porter une jupe ou une robe.

J'avais apporté dans mes valises plusieurs robes et jupes, courtes pour la plupart. Ils ont choisi une robe, après m'avoir fait essayer plusieurs tenues. Une condition : porter des bas, pas de culotte ni de soutien-gorge. J'ai relevé le défi, j'ai l'habitude de ne pas porter de soutien-gorge. Par contre, pour le reste, je n'étais pas à l'aise, presque nue sous ma robe, heureusement à manches longues. J'avais deux paires de bas, des noirs résille et des fumés. Ils choisirent les bas noirs en résille.

A table, j'avais hâte que le repas se termine. En plus, j'avais bu deux apéritifs...

Mais ça ne faisait que commencer, car quand je suis rentrée à ma chambre, ils m'ont suivie, me demandant un strip-tease. Comme ma chambre était petite, ils me conduisirent dans la leur, bien plus grande, en emportant quelques vêtements qu'ils avaient trouvés dans mon armoire. Bien sûr, j'aurais pu refuser, mais j'avais envie de m'éclater pendant cette semaine de vacances (en plus, je le leur avait dit).

Ils se mirent nus, s'installèrent pour prendre un verre et me firent disparaître sous la table, avec l'ordre de leur sucer la bite et les couilles. Ils discutaient entre eux de leur journée dans l’île, pendant que je m'occupais du sexe de ces messieurs, à genoux, la tête entre leurs cuisses. Je les ai faits jouir dans ma bouche, l'un après l'autre. Il faut dire que dans mon métier, j’ai appris très tôt à faire des massages en tous genres…

Ensuite, ils me firent défiler d'un bout à l'autre de la chambre, pendant qu'ils se tripotaient la bite. Après ça, ils me firent monter debout sur la table et ils se levèrent autour de moi, pour bien se rincer l'oeil sous ma robe.

Quelques minutes passèrent, leurs mains me caressaient les jambes et les cuisses. Ils me firent mettre à genoux pour mieux disposer de mon corps. Ils ôtèrent ma robe et continuèrent à me caresser sans retenue, à me tripoter les seins, les fesses, le sexe. Je vis qu'ils bandaient de nouveau. Pourtant, ils venaient d'éjaculer dans ma bouche une demi-heure avant et ils avaient joui plusieurs fois la veille, ils auraient dû être rassasiés...

Ils me firent mettre à quatre pattes sur la table et s'offrirent chacun une bière. Bien installés, ils m'explorèrent du regard sans retenue et commentèrent chaque partie de mon corps.

J'étais un peu honteuse, exhibée ainsi devant eux, livrée à leurs fantaisies, me demandant si je pourrais me soumettre à tout ce qui leur passait par la tête. J'avais été parfaitement épilée juste avant de partir, mais ça ne faisait qu'augmenter l'impression de totale nudité (Je n'avais que mes bas).

Heureusement, ils n'eurent pas d'idées trop sadiques, ils s'amusèrent seulement à me tripoter partout, les cuisses, les seins, le minou et même l’anus. Ces petits jeux durèrent assez longtemps et j’y pris plaisir. Cependant, je fus heureuse quand ils cessèrent, car la position était inconfortable et humiliante.

Ils m'allongèrent ensuite sur la table, sur le ventre, jambes écartées et l'un d'eux s'installa sur une chaise, au bord, de façon à avoir mon sexe à portée de ses mains et de sa bouche. Il s'occupa surtout de mon petit trou, qu'il suça goulûment, pendant que les deux autres, à l'autre bout de table m'enfonçaient leur sexe dans la bouche, l'un après l'autre, puis les deux ensemble. L’homme parcourait mon entrejambe avec sa langue : le minou, l’anus, le minou… C'était très bon et la position était assez confortable, je n'avais plus envie de protester.

Ensuite, ils me retournèrent sur le dos et me dévorèrent jusqu'à me faire jouir rien qu'avec leurs langues et leurs doigts. C'était très agréable, très long, au moins une heure à être sucée ainsi, car chacun a voulu me faire jouir à sa façon.

Je sentis aussi un sexe s’introduire entre mes fesses, mais sans aucune pénétration, comme pour dire « J’ai plein de choses à faire avant... ».

A l'autre bout de la table, j'avais la tête renversée et deux bites entraient dans ma bouche. Je sentis du liquide chaud couler sur mon minou et quelques instants après, les deux autres inondèrent mon visage. Je n'avais plus la force de contester, j'étais couverte de sperme et je me suis enfuie dans la salle de bain pour prendre une interminable douche et me détendre un peu...

Après ça, j'avais envie de dormir, mais pas eux.

Ils inventèrent un jeu : ils m'attacheraient sur une chaise, les mains dans le dos et les chevilles liées aux pieds de la chaise (Comme si j'allais m'échapper ! Mais cela faisait partie de la mise en scène, et je n’avais rien contre…). Chacun d'eux se présenterait nu devant moi et introduirait son sexe dans ma bouche. Je devrais tour à tour leur sucer la bite pendant une minute, puis ce serait au suivant, et ainsi de suite. Il y aurait une punition pour le perdant. Interdiction pour moi d'arrêter de sucer. Interdiction pour eux d'interrompre la fellation, même s'ils étaient prêts à éjaculer. Le premier qui jouirait dans ma bouche serait le perdant.

Le jeu s'est déroulé comme prévu. Ils m'avaient fait changer de tenue : toujours seins nus, ma minijupe noire en cuir, mes bottes hautes, et j'avais gardé mes bas résille.

Ils m'ont longuement pelotée, avant de m'attacher sur la chaise, ce qui les a excités énormément.

Le premier s'est présenté, le sexe dressé, m'a dit d'ouvrir la bouche... et il m'a planté sa queue dedans. J'ai tout de suite commencé à le sucer du mieux que je pouvais. J'étais juste à bonne hauteur, mais ce n'est pas facile, une fellation sans les mains. Je m'appliquais de mon mieux pour qu'ils jouissent et eux devaient au contraire ne pas se laisser exciter trop vite. Une minute ça passe vite, mais c'est long quand on a une grosse quéquette qui va et vient dans la bouche.

La minute écoulée, le second vint remplacer le premier...

Au bout du cinquième tour (Ce qui faisait déjà presque quinze minutes de fellations au total), l'un d'eux n'a pas pu se retenir et a joui dans ma bouche. Il a pourtant essayé de se retirer, mais trop tard : j'ai reçu une giclée de sperme dans la bouche et le reste est arrivé sur mes seins. C'était le perdant...

Les deux autres sont venus réclamer leur plaisir, car ils bandaient et avaient envie de jouir dans ma bouche. Ils m’ont détaché les mains, pour que je puisse mieux les caresser, et ils ont éjaculé dans ma bouche. J’étais bien obligée d’avaler à chaque fois.

On me détacha. Il était convenu que je choisirais la punition du perdant.

Pour me venger des sévices qu’on m’avait infligé (Même si j’étais consentante, je pouvais leur faire croire qu’ils m’avaient soumise à leurs jeux), j’ai choisi le fouet. Je n'avais rien pour fouetter le perdant, j’ai donc pris la ceinture de son pantalon. Cinq coups de fouet sur les fesses, cinq autres sur la verge.

Enfin il demanda grâce et les deux autres garçons acceptèrent que j'arrête. D’ailleurs, tous ces ébats m’avaient fatiguée et je ne pensais plus qu’à dormir.

Je me suis rhabillée et je suis rentrée à ma chambre, épuisée.


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