TITRE : Deux copines et un Prof
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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Cela s'est passé l'année dernière:
On venait de terminer un match de basket.
Mon équipe et moi allâmes dans nos vestiaires habituels pour nous doucher.
Une à une, on se déshabillait et se lavait.
Faute de cabine individuelle, nous étions obligées de se mettre nue devant les autres.
Au début, cela m'avait bien évidemment gênée mais au fur et à mesure, on s'y habitue!

Les filles partaient les unes après les autres jusqu'à ce que je ne sois la seule avec une de mes coéquipières, Vanessa.
Une fille sans histoire que j'appréciais comme camarade; c'est ce que je croyais...

J'étais prête à me doucher quand je remarquai que mon savon-liquide était vide.
Vanessa le vit et me proposa le sien.
J'acceptai et la remercia.
Je commençai à me savonner quand je sentis un souffle derrière moi. Je me retournai légèrement pour finalement l'apercevoir. Elle était restée plantée là, à un mètre seulement de mon corps nu.
Je me retournai et me retrouvai face à face avec Vanessa, qui avait un air excité et à la fois terrifié.
Je ne comprenais pas, et me retourna sans chercher d'explication.
Mais quelques secondes plus tard, elle posa une main sur une de mes épaules à ma grande surprise.
Je pivotai de manière à lui faire enlever sa main, mais apparement, elle n'avait pas capté mon message.

J'allais lui demandais ce qu'elle voulais, ou ce qu'elle faisait, elle ne me laissa pas le temps et mis son doigt sur ma bouche.
Vanessa était plus grande que moi, de 10 centimètres environ.
Elle m'impressionait, mais je ne le montrais pas.
Je ne savais pas ce qui m'arrivais en ce moment mais je me laissais faire par cette fille qui déjà, descendait sa main sur mon cou, puis sur mon sein droit.
Nous nous fixions toujours juqu'à ce qu'elle m'embrasse par un petit baiser.
Je ne la repoussai pas, et même, entremela ma langue avec la sienne.
On était si serrées que son corps et le mien se frottait, pour notre grande excitation.

Pendant que l'on s'embrassait toujours, Vanessa laisser sa main aller où bon lui semble, comme mes fesses, par exemple.
Mes bras l'entrelaçait et sûr d'elle, elle caressa ma partie intime.
Des spasmes me surgissaient.
Elle glissa un doigt, puis un deuxième pour titiller mon clitoris, très mouillé par cette agitation soudaine.

Dans le vestiaire, une grande table était située au centre de la pièce.
V. me poussa brutalement sur celle-ci, ce qui accroitrait notre jouissance.
Elle se laissa tomber sur moi, nos ventres chauds et nos seins pointés en l'air.
La belle fille me tenait les poignets fortement pendant que sa langue généreuse allait rencontrer mes parties sensibles.
La brune commençait son cunni, et moi je jouaissais à ne plus en finir quand soudain, une personne entra:

Mon professeur d'Anglais, Mr.Plovick, se dirigeait vers son casier lorsque il nous vit,Vanessa et moi, chacune en sueur, se faisant la 69 sur la table.
On n'avait pas encore remarqué sa présence qu'il nous interrompit par un grognement.
Ma camarade se leva et on regarda notre instituteur, tous les trois éberlués par cette scène.

J'allais proposer une solution lorsque j'aperçut le sexe de mon professeur fléchir dans son pantalon.
Mr. Plovick avait-il été excité de nous voir dans cette position?

Vanessa l'avait sûrement vu elle aussi car elle me donna un coup de coude dans mon dos.
Le plus fou, c'est que nous étions toujours à poil devant lui!

Je ne sais pas d'où lui vient cette idée extravagante, mais la Brunette s'avança vers le bel homme et lui serra son entre-jambes.
Elle sentit en lui un frisson lui parcourant le corps...
Alors elle lui murmura quelques mots à son oreille,(je ne sais pas trop ce qu'elle disait),mais incroyable mais vrai, il avait l'air d'accepter une négociation.
Vanessa se tourna et me fit les gros yeux, genre on doit faire tous ce qu'il désire pour sauver notre peau.

La belle s'approcha du prof et tira sur sa braguette. Enleva son pantalon et fit descendre doucement le caleçon du sérieux monsieur.
Elle le laissa pendre à ses chevilles et se rapprocha encore plus de lui.
Ses lèvres touchait presque son pénis en érection totale maintenant.
Ma chatte était moite et je la caressais de haut en bas, de bas en haut pour me donner du plaisir pendant que je les regardais.
Alors V. pris sa bite à mains fermes et suça son gland rouge, puis le reste.
Mr. Plovick (Laurent) poussait de légers gémissements et malaxait ses jolis seins de bonne taille.
Mais il me regardait moi, et pas elle.
Je compris qu'il n'attendait que moi.
Je m'allongai sur la table et écarta les jambes, attendant impatiemment que mon équipière est finis.
Quand elle eut terminé, il vînt vers moi, se mît à genoux et commença par me lécher la chatte.
Il n'oubliait rien: mon clito, mes petites lèvres en chaleur,ma vulve...
Mes cris prouvaient ce plaisir intense qu'il me procurait, c'était fantastique.

Ensuite, il remonta et m'embrassa langoureusement.
Puis il entra agressivement sa bite dans mon sexe jusqu'au plus profond de moi-même pour laisser pousser un jouissement d'excitation.
De plus, Vanessa dégustait mes seins de porcelaine et mes tétons à croquer, ce quit ne diminuait pas le plaisir que j'avais!

J'étais un peu leur victime qui devait subir toutes leurs envies vulgaires sur moi.
Tantôt c'était de sucer sa bite, tantôt embrasser les seins de mon amie.
Mais cela était tellement bon!
La sodomie, le léchage, embrasser sucer, baiser, enculer etc...

Je sentais en eux ce besoin de pouvoir sur moi, cette domination qu'ils les excitaient, et du haut de mes 17 ans, je ne pouvais rien faire.

Quelle excellente journée en compagnie de ma nouvelle compagne, Vanessa et du beau professeur: Laurent!
Prénom magnifique...et érotique!

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