Anne, jolie brune de dix-sept ans, et son frère Laurent, seize ans, sont
invités à passer une semaine de vacances chez leur oncle Paul et leur
tante Sophie, âgés tous les deux de trente-quatre ans. Ils habitent une
ferme dans le sud de la France. Vers dix-sept heures, Paul sort de la
douche, une serviette nouée autour de la taille, et vient se frotter contre
son épouse qui se trouve à la cuisine. Il glisse une main entre ses
jambes et caresse la fente.
-Déconne pas, dit-elle, arrête, tu m'allumes
salaud. Tu vas me faire mouiller. Va plutôt à la
réserve me chercher des légumes.
-Mais tout de suite ma chérie.
Pendant ce temps, Laurent bouquine dans sa chambre et Anne visite la
basse cour. Elle entend un bruit dans la réserve et s'avance doucement.
Paul a une jambe sur l'escabeau et l'autre légèrement écartée, posée
sur un tonneau. Il essaie d'attraper une boite situé en hauteur, exposant
ainsi son anatomie à sa nièce. Anne s'avance doucement et envoie une
main entre les cuisses de son oncle.
-Oh, c'est quoi qui pend là, rit-elle. Mais c'est
une petite paire de couilles.
Surpris, Paul perd l'équilibre et tombe au
sol. Dans le mouvement, la serviette s'ouvre.
-Mais ça va pas, gronde Paul, petite vicieuse.
-J'ai vu ton fifre, j'ai vu ton fifre, chante
Anne.
-Que je t'attrape, tu vas voir la raclée que je
vais te mettre.
Et voilà Paul courir dans la réserve, essayant d'attraper sa jolie nièce.
Elle est vêtue d'une jupette et d'un bustier. Il parvient à la coincer.
Il s'assied sur un billot de bois et la couche sur ses genoux.
-À nous deux maintenant, ça mérite bien une
fessée, hein?
Paul soulève la jupette, pas de culotte. Il commence à donner quelques
petites tapes sur les fesses toutes blanches de sa nièce. Calmement, Anne
glisse un bras sous la jambe de son oncle et parvient à lui saisir les
testicules.
-Ils sont pleins les coucous, ironise-t-elle.
-Lâche ça, gronde Paul, polissonne.
-Calme toi, tonton, je vais pas te faire de mal,
au contraire. Je vais juste les faire rouler
entre mes doigts. Hum, c'est bon, hein?
Paul apprécie de plus en plus les caresses. Il se laisse faire. Anne
remonte plus haut et prend la queue de son oncle. Elle dégage le gland en
faisant coulisser le prépuce. Une fois décalotté, elle fait des va-et-vient sur la colonne de chair.
-Tu dis rien tonton, tu te régales hein? Ta nièce
qui te tapes une queue. Tu vas voir comme je vais
la faire pleurer.
-Que c'est bon, gémit Paul, tu sais y faire toi.
Même ta tante m'a jamais branlé comme ça.
Ne t'arrête pas ma chérie, tu vas me faire jouir.
Ha...ha..
-Oh, mais tu avais une grosse envie, poursuit
Anne. Tu veux qu'on recommence?
-Excuse moi pour la fessée, dit Paul. Je t'ai pas
fait mal au moins?
-Mais non, tu m'as à peine touchée. Tu verras
quand moi je t'en donnerai une.
Laurent a rejoint sa tante dans la cuisine. Il remarque, à moitié cachée
derrière la poubelle, une culotte. Emoustillée par les attouchements de
son mari, elle l'a carrément quittée, certainement mouillée. Laurent
s'avance derrière elle.
-Un coup de main tata, demande-t-il.
-Non mon chéri, je m'en sors. Mais tu t'y connais
en cuisine?
Il glisse une main entre les jambes de Sophie.
-Non, mais je voulais dire un coup de main ici.
-Mais enfin, Laurent, tu es fou, je suis ta tante
quand même.
Un doigt a déjà pris possession de la fente de Sophie et commence à faire
des va-et-vient sur les lèvres.
-Mais ta petite chatte est toute mouillée, dit
Laurent. Tu peux pas rester comme ça. Viens au
salon, tu t'assieras sur mes genoux. Allez, met
toi toute nue.
Il s'assoit et positionne sa tante sur lui, jambes écartées. Il lui
sourit, fier de lui.
-Qu'est-ce-que tu vas me faire, salaud ? Tu veux
t'amuser avec moi, c'est ça ?
Elle lui prend un doigt et le guide entre ses cuisses.
-Là, c'est mon clitoris, dit-elle. Décalotte-le et doigte le. Tu vas entendre comme je vais crier
après. Tu sens comme ma chatte est mouillée ? C'est ta faute, vilain. Ton oncle ne me fait pas du
bien comme toi. Tu me fais jouir, oui..ouiii.
Sophie hurle de plaisir. Sur ses entrefaits, Anne ramène Paul en le
tirant par la queue, qui s'est légèrement ramollie. Mais les couilles
sont toujours pleines.
-Mon chéri, dit Sophie, toi aussi tu t'es fais
avoir. Tu aimes que ta nièce te tienne par le
sifflet, hein ? Elle te l'a tout décalotté.
-Et toi, dit Paul, c'est quoi ce qu'il gratte ton
neveu.
-Mais c'est mon petit bouton, enfin. Tu vois pas
comme il est gros et tout rouge. Si tu avais vu
comme il m'a doigtée ce salaud. Il est meilleur
que toi, tu sais. Au fait, il m'a demandé d'épiler
mon petit minou et de rester toute nue dans la
maison. J'ai dis que j'étais d'accord. Toi aussi
tu en feras de même, OK?
-Comme ils voudront. Je sens qu'on va passer une
bonne semaine.
Anne prend sa tante par l'oreille et l'entraine à la salle de bains.
-Allez viens, dit-elle, ta chatte doit être sale.
Je vais te la laver.
Pendant toute la semaine, le couple va se soumettre aux jeux pervers de
leurs neveux. Tous les soirs, la queue va servir de jouet à Anne. Elle le
fait jouir jusqu'à l'épuisement. Comme annoncé, elle lui donne une
petite fessée. Quant à Sophie, elle passe une bonne partie de ses nuits à
hurler de plaisir. L'apothéose intervient le dernier jour. Les neveux
obligent leur oncle et leur tante à faire l'amour devant eux. Ils
s'installent confortablement sur le canapé pendant qu'ils s'accouplent.
-Oh putain, ça m'excite, gémit Anne. Ma petite
chatte est toute mouillée.
-Et moi, regarde mon fifre comme il est raide. Tu
veux qu'on s'amuse un peu?
Ils se mélangent avec le couple sur la moquette et jouent avec eux. D'un
commun accord, ils décident de rester une semaine de plus.
Frankie
|