Le derby qui oppose deux équipes de village se
termine en bagarre générale entre supporters.
Les coups fusent de tout les côtés, ça crie, les
femmes pleurent.
Le gardien du stade appelle la gendarmerie. Mais
les forces de l'ordre n'ont pas mesuré l'ampleur
de la situation. Aussi, arrivent-t-ils avec cinq
hommes, plus un lieutenant, jolie blonde d'une
trentaine d'année, prénommée Gisèle, récemment
mutée dans la région.
Ils commencent à séparer les fauteurs de troubles,
mais les supporters de l'équipe visiteuse, faite
en majorité de maghrébins et de blacks, excités
par la présence des flics, repartent à l'assaut.
Même les femmes beurs s'y mettent. Un vrai combat
de rue. Les femmes de joueurs sont également prisent à
partie.
C'est le cas de Carole qui, essayant de s'enfuir,
est attrapée par la ceinture de sa minijupe par
Aïda, une jeune arabe. Le tissu craque, et Carole
se retrouve en string. Elle poursuit sa course,
mais perd une chaussure, et tombe à plat ventre.
La jeune beur est de suite sur elle. Elle la
bloque au sol, et lui arrache le reste de ses
vêtements.
-A genoux, ordonne la fille, je vais te calmer.
Carole, entièrement nue, n'a d'autre choix que
d'obéir. Elle prend appui sur ses mains.
La maghrébine, placée derrière Carole, tire sur
les cheveux pour lui maintenir la tête en arrière.
Elle enfonce l'index et le majeur dans la chatte,
et le pouce dans l'anus.
-Aie..aie, hurle Carole, laisse-moi, tu me fais
mal, arrête.
L'agresseur aperçoit deux copains.
-Karim, appelle-t-elle, venez voir ce que j'ai
attrapé.
-Putain, répondent-ils, quel morceau. Puis dans
cette position, elle est facile à prendre.
Karim baisse son short, et se met à genoux. Il
prend son membre de taille assez imposante, et
l'approche de la bouche de Carole.
-Tiens, ordonne-t-il, suce salope, et avale tout.
Le second a glissé son énorme queue dans la chatte
de Carole. Elle est en larmes.
-Ne pleure pas, dit celui qui la baise. Tu vas te
régaler quand je vais t'enculer.
Les pleurs redoublent. Les coups de boutoirs aussi. Les jeunes maghrébins
jouissent en même temps, les spermes remplissent les deux orifices
de Carole qui s'écroule au sol. Se jugeant satisfaits, les jeunes regagnent le reste
de la meute, toujours en train d'en découdre.
Tant bien que mal, Carole récupère ses vêtements, sauf son string que la
jeune beur a emporté. Elle
s'assied sur un muret. Le visage dans les mains,
elle pleure à chaudes larmes.
"Le pire, c'est qu'ils m'ont faite jouir, cette
bande de salauds, ma chatte est toute mouillée."
Aux abords du stade, la tension est toujours la
même. Les gendarmes sont débordés.
Un gendarme court au fourgon pour appeler du
renfort. Il est aussitôt rejoint par deux blacks
qui le maitrise. Pour l'empêcher de nuire, ils lui
ôte son pantalon, se moquant au passage de ce qui
pendait entre ses jambes. Ils en profitent aussi
pour prendre des menottes avec les clés.
Les deux blacks rejoignent le centre de la rixe.
Certains supporters de l'équipe locale se sont
éclipsés chez eux. Il ne reste que quelques femmes
de joueurs qui essaient de se faufiler dans la foule. Certaines se font
agresser, comme cette
superbe brune qui se fait niquer sur le capot
d'une voiture par un black. En plus, on l'entend
gémir de plaisir.
-Oui..oui.encore; c'est bon, encule moi après.
C'est bon de prendre un bon coup de queue.
Une autre, femme de joueur, taille une pipe à un
jeune maghrébin, qui doit avoir à peine dix sept
ans. Sa copine, juste à côté, se fait doigter et
gratter le clitoris par une jeune noire. Elles se
régalent et en redemandent.
Gisèle, le lieutenant de gendarmerie, matraque en
main, est aux prises avec deux jeunes beurs d'à
peine dix huit ans. On lit la hargne sur leur
visage.
-Tu vas passer un mauvais quart d'heure, menace
l'une d'elles.
-Ou peut-être un bon, reprend l'autre.
Gisèle regarde à droite et à gauche, cherchant une
alternative pour fuir. Surtout que le fourgon est
pas loin, mais des supporters bloquent le passage.
-Calmez vous, leur dit-elle, négocions, OK?
Puis elle se met à courir, entre sous un porche
qui débouche dans une grange, sans issue.
Il y a là, stockés, des roues de charrette, de
tracteurs, des chaines, etc..
Les deux jeunes beurs sont de suite sur elle.
-Je m'en occupe, dit la plus jeune, dix sept ans
environ.
Elles s'envoient des coups de pieds. En voulant
donner un coup de matraque, Gisèle fait un
écart, perd l'équilibre, et se penche en avant.
La jeune maghrébine en profite pour la saisir par
les cheveux en tendant son bras. Gisèle essaie d'envoyer des coups de
poings, mais ils partent
dans le vide. Mieux, c'est elle qui reçoit des
gifles par son adversaire.
-Aie, lâche moi, crie Gisèle, tu vas voir si je
t'attrape.
D'autres gifles arrivent sur les joues de Gisèle.
Elle se met à pleurer.
L'autre maghrébine s'approche par derrière, fait
glisser la fermeture éclair de la jupe, et la
quitte.
Gisèle se débat, en vain.
La jeune beur se met sur le côté, et continue son
effeuillage. Elle déboutonne la chemise, et libère
les seins du soutien gorge.
-Putain, elle est pas mal foutue la gendarmette,
dit-elle.
Deux minutes plus tard, Gisèle se retrouve toute
nue, toujours maintenue par les cheveux. La jeune beur passe une main sous le corps de
Gisèle, lui caresse les seins, le ventre, descend
jusqu'à l'entre-cuisse.
-Mais sa petite chatte est toute épilée, dit-elle,
la salope. Ecarte tes jambes que je joue un peu
avec toi.
-Va te faire foutre connasse, répond Gisèle.
A suivre.
Frankie
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