Un gendarme, une vrai bête, un mètre quatre vingt
dix, cent kilos environ, vient au secours de sa
coéquipière.
Il ne voit pas les deux blacks qui le suivent.
Par force, Gisèle est obligée d'écarter ses jambes, s'offrant ainsi aux
mains vicieuse de la
jeune beur. Ses lèvres gonflées sont ouvertes,
des doigts pénètre au fond de son intimité.
-Arrêtez, supplie-t-elle, il n'y aura pas de suite
mais laissez moi.
Un black saisit le gendarme, lui bloquant le bras
dans le dos. Le second en profite pour lui passer
les menottes, et l'attache à une roue de charette.
-Tu voulais faire quoi, demande un black.
-Libérez moi, ordonne le gendarme, ça va pas se passer
comme çà.
Il regarde Gisèle en larmes, jambes écartées en
train de se faire doigter, le clitoris entièrement
décalotté.
Le flic attaché a la roue envoie des coups de pieds en direction de la
maghrébine, mais dans le
vide. La jeune beur lâche les cheveux de Gisèle.
-Oh, il faut le calmer lui aussi.
Elle défait la ceinture, lui baisse le pantalon et
le slip. Le gendarme se retrouve les jambes coincées, ses attributs à la
merci de la fille.
Elle lui saisit les couilles, et les serre.
-Aie..aie, assez, assez.
-C'est la première fois que j'entends couiner un
flic, çà fait mal, hein? Par contre ton sifflet
n'est pas terrible. C'est un critère d'embauche
dans la police.
La jeune beur lui prend le prépuce, et le tire
violemment.
-Aie, pleure le colosse, arrêtez, s'il vous plait.
-Oh, j-y crois pas, mais elle mouille la salope,
regardez mes doigts. Tu te régalerai pas un peu
par hasard? Dis moi.
-Oh si, répond le lieutenant, allez-y, branlez moi
ma petite chatte. Ha..ha..oui..oui, un coup de
queue, s'il vous plait.
-Kader, çà t'intéresse, demande la jeune beur.
-Mais bien sur,avec plaisir, répond le Black.
-Regarde la queue de mon copain, c'est pas le
fifre de ton collègue.
Gisèle pousse un cri de plaisir quand l'énorme
queue la pénètre.
-Que c'est bon de se le faire mettre, merci les
gars, çà c'est de la bite.
Le deuxième black ôte son bermuda, et fini de
quitter le pantalon du gendarme, toujours menotté
à la roue. Il lui soulève les jambes, et les passes
de chaque côté de son corps. Le gendarme est en
suspension, jambes écartées, son anus entièrement
dégagé.
-Qu'est-ce-que tu vas me faire, s'inquiète le flic
-Hicha, tu peux venir s'il te plait.
Hicha a compris, elle suce le black pour le faire
bander. La queue atteint vite les proportions pour
être fonctionnelle. Hicha mouille le petit trou du flic et lui enfonce
deux doigts.
-Aie, pas çà, se plaint-il.
Mais le plus dur reste à venir. Hicha guide la
queue du black contre l'anus . Il commence sa
pénétration.
-Non, hurle le gendarme, elle est trop grosse.
-Tu sens comme je t'encule, çà c'est de la bite,
hein, connard. Je te ramone là. Tu vas sentir
quand je vais vider mes couilles.
A côté, Gisèle joui pour la deuxième foi.
-Oui..oui, soulage toi dans ma chatte, salaud. vas
y. ha..ha, je joui, s'il te plait, encore.
-Han, hurle le black, tiens, prend çà dans le cul,
ouah, que c'est bon d'enculer un flic.
Le gendarme pleure comme un gamin. De l'urine sort
du méat. Le black le lâche.
-Détache le maintenant, il a sa dose.
Une fois détaché, il s'écroule au sol, juste côté de Gisèle.
-C'est tout ce que tu as, dit-elle en lui prenant
les couilles. Celle que je prend tient toute ma
chatte. Si on m'avait dit qu'un jour je ferai la
pute.
Le black lâche de puissants jets de sperme dans
le ventre de Gisèle, en criant de plaisir.
Gisèle et le gendarme se retrouvent que tout les
deux. Elle s'approche de lui, et lui caresse les
couilles.
Dehors, çà semble se calmer. Des cris montent du
champ qui se trouve au abord du stade.
Deux gendarmes, tout nus, sont poursuivis par
quatre ou cinq maghrébines. Elles fond tourner leurs slips sur la tête en
criant.
Ils sont rattrapés au bout d'une vingtaine de mètres, et plaqués au sol.
Les femmes saisissent les points sensibles. Les
pauvres hurlent de douleur, pleurent, supplient.
Un gendarme, à genoux, appuyé sur ses coudes
rampe, presque face à terre.
Une femme a fait une boule avec ses couilles, et
lui donne des petites tapes.
-Aieeeee, hi.hi.hi, pleure le gendarme, plus,
plus, pardon, lâchez moi.
-Que c'est bon d'entendre couiner un flic, sourit
elle.
De l'autre côté, les femmes font sauter le gendarme en l'air en le
maintenant par la queue.
Lui aussi est en larmes.
Vers dix-huit heures, le calme revient.
C'est au tour des pompiers et des ambulances de
récupérer les blessés, essentiellement du côté
des forces de l'ordre.
Ils retrouvent Gisèle dans la grange, empalée sur
le gendarme. Elle est en train de prendre son
énième coup de queue.
Frankie
|