Alors voila, j'ai toujours voulu raconter à quelqu'un ma première fois
tant celle- ci est insolite, mais je n'ai jamais oser car je suis d'un
naturel assez pudique.
J'aivais alors 16 ans et j'étais avec mon copain, que je vais appeler
Victor, depuis plusieurs mois. Nous avions déja parlé de faire l'amour sans
aller plus loin.
Ce jour là nous étions en vacances et avions prévu de nous retrouver
dans l'après-midi pour aller au cinéma.
Le matin devant ma glace je ne pu m'empécher d'imaginer ce qui pourrai
ce passer dans la salle obscure. Je m'étais déjà masturbé auparavent mais
sans atteindre l'orgasme. Je me senti mouiller et je m'inspectait sous
tous les angles pour voir à quoi je ressemblerais devant lui si j'avais du
plaisir. L'image que je me renvoyais me plus, et je n'allai pas plus loin
dans mon plaisir personnel.
Je réffléchi alors à ma tenue. J'optais, pour les souvètements, pour un
petit string à double bretelle noir et le soutien-gorge assorti (pas
rembourré car j'estime avoir été assez bien gatée par la nature, même à cet
âge). Comme habit, je choisi une jupe noire pas trop courte (au dessus des
genous) car je n'aime pa trop montrer mes jambes que je trouve trop
grosses. Mon copain dit qu'elle sont juste rondes et il adore me voir en
jupe. En haut, j'optais pour un petit débardeur orange. Je mis enfin des
petits talon, car je suis très petite. Je laissai mes longs cheveux noirs
détachés et me maquillai d'un fin trait de crayon sous mes yeux verts en
amende.
Enfin arrivée au cinéma, je le vit, Victor. Il était encore arrivé avant
moi, comme toujours. Assez grand et mignon juste ce qu'il faut, il portait
sa plus belle chemise que je lui aimais tant. Quand il me vit il me dit que
j'étais respendissante. Je ne le cru qu'à moitié et nous pénétrâmes dans
le hall du petit cinéma de quartier.
Nous choisisâmes un film sans grang intèrêt où j'espérais secrètement
qu'il n'y ai pas un grand public.
En nous dirigeant vers la salle, il me prit par la taille et dessendit
sa main juste au dessus des fesses. Cette caresse est assez récurente et
banale, mais en ce jour si particulier, je senti tout mon corps frissonner.
Quand Victor ouvrit la porte de la salle noire, j'apperçu quelques
têtes par ci par là, mais pas une foule. Je cachai un sourire. Victor choisi
nos place au dernier rang et loin de l'allée centrale. Je su tout de suite
qu'il pensiat la même chose que moi.
Le film démarra. Pendant à peu près un quart d'heure, rien
d'extraordinaire ne se passa. Nous avions chacun la main sur la cuisse de
l'autre, mais sans mouvement significatif.
Puis, sans que je m'y attende, Victor me fit un long et profond baiser.
Pendant qu'il explorait les recoins de ma bouche, je senti sa main remonter
doucement sur la cuisse. Il fit des aller retour pendant un petit moment,
puis, ma jupe étant de trop, il passa sa main entre celle ci et ma cuisse.
Je ressenti une chaleur qui me parcoura tout le corps. Je l'embrassai
encore plus langoureusement pour lui montrer que j'aimais ses caresses. Il
remontait, remontait, et il allait de plus en plus à l'intérieur de ma
cuisse. Enfin, il attégni mon string, et en sentant que s'en était un il me
fit un sourire complice. Il commenca à presser contre le tissus, et moi je
comencait à pousser de petits gémissement. J'avais cependant un peu peur et
j'espérais que les personnes présentes n'allaient pas m'entendre. Je sent
ais mon minou s'umidifier au rythme de ses caresses de plus en plus
pressantes.
C'est alors qu'il me sussurra: " Dis moi, tu mouille j'ai
l'impression!..." Il ne m'avais jamais rien dit d'aussi érotique. Alors,
prenant mon courage à deux mains je lui répondit: "Oui je mouille, mais pas
assez à mon goût, j'amerais que tu insiste un peu plus..." Je n'étais pas
très forte en matière de paroles torides mais il comprit se que je voulais
lui dire car je senti ses doigts qui soulevaient mon fin tissus. Il commença
par me frôller les lèvres. J'adorais ça et lui montrai. Puis il alla un peu
plus profond, vers mon bouton qui devait enfler de plus en plus. Il me le
tritura un bon moment et je sentait la chaleur monter encor en moi. Mes
gémissemnts était de plus en plus fort. Je pris peur et lui dis: "Les
voisins doivent nous entendre, il faut arréter" Et lui répondit, pas du
tout effrayé: "Je m'en fous s'ils entendent, je sais et je sent que ça te
plait, alors pourquoi je m'arèterais?" Ces paroles m'exitèrent encore
plus et je laissai faire mon compagnon, si exper.
Il continua ses gestes et m'enfonça tout d'un coup un doigt dans mon
trou déjà ouvert de plaisir. Je ne pu retenir un petit cri, mais je
n'accordai plus d'importance aux voisins, tant mon plaisir cachait tout le
reste. Il enfonça deux, puis trois doigt dans l'orifice béant. Mon paisir
était à son comble, et pour la première fois, je su ce qu'était l'orgasme.
Jamais je n'orais cru en avoir un dès la première fois. Mon souffle était
court, j'alletais presque, j'ouvri les cuisses au maximum pour que les
doigts de Victor puisse mieux y rentrer.
Après cet imence paisir qu'il m'avait offert, je me di qu'il fallait
le lui rendre.
Alors, je repoussait ses doigts hors de mon corps et vins les placer
dans ma bouche pour les lécher langoureusement. Il aimma aparemment cela. Je
soulevai alor mon débardeur auquel il n'avait pas touché, et en prenant
cette même main, je vins la lui poser sur mon sein gauche. Il ne se fi pas
prier et passa directement sa main sous mon soutien-gorge. Je ressenti une
vague de plaisir et mon mamelon se raidit sous ses doigts.
Pendant qu'il me malaxait ma poitrine, j'entrepri de défaire sa
braguette. Je sentais déjà la bosse dure sous le jean. Libéré du pantalon,
son membre viril restât emprisonné sous son boxer moulant. Je n'avait
jamais vu sa verge, et de la deviner sous son boxer me fesait mouiller à
flot sous ma jupe défaite.
Je carressai cette bosse à travers le tissus un petit moment sans trop
savoir m'y prendre. Mais Victor me dit à l'oreille: "Prends la moi
directement, j'en peux plus t'atendre!"
Alors, je soulevai son boxer et pri sa verge à pleine main. C'etait la
prenmière fois ke j'en touchais une, mais j'aimais cette sensation. Tout
en la maintenant, je frottais ma main de haut en bas, comme j'avais entendu
dire, puis je m'attardai sur son gland, en le chatouillant, le malaxant. Il
aimmait aparemment cela par ses grongnement jouissif.
Son désir montait quand il me dit, aletant: "J'en peux plus, je sent
que ça va venir, monte sur mes genoux pendant que je met une..."
Je m'exécutai, non sans regarder aux alentour pour voir si personne ne
nous regardait. Mais tout le monde était captivé par le film.
Il fouilla précipitament dans son sac posé à côté de lui. Il en sortit
un préservatif, déchira l'emballage et le plaça précipitament sur sa verge
en feu. Je voyais à ses mouvement qu'il était à la fois impatient et
inquiet, tout comme moi. Quand il fu près je me plaçai sur lui en
retroussant ma jupe au maximum et en enlevant carément mon string. Je senti
tout d'abord son membre dur frotter contre ma fente dégoulinante. Cette
sensation était très agréable. Mes gémissemnents était vraiment bruyant et
les siens aussi.
Puis il me pri violemment par la taille et me fit le prénétrer tou d'un
coup. Mon plaisir était très fort mais j'éprouvai aussi une forte douleur.
Je me retirai un peu de lui et lui dit que ça fesait mal. Il s'excusa et fu
plus lent. Quand la douleur s'aténua, je començai de lents mouvement de va
et vien. Notre plaisir était énorme. A mes mouvements s'ajoutèrent les
siens, au même rythme. Notre plaisir commun était à l'unisson. Nous étions
totalement déconnecté du reste du monde. Heureusement que le bruit du film
couvrait nos cris. Enfin il jouit en un râle long. Je senti son jus remplir
le préservatif. Nous étions épuisés. Je revin sur mon fauteuil, il enleva la
capote et, pour bien finir mon travail, je lui léchai ce qu'il restait de
foutre sur son glang échauffé.
Cette première fois, je ne pourrai jamais l'oublier tant elle était
torride é chaude. Dites moi ce que vous en pensez.
|