Nous avions convenu de nous retrouver à l'hôtel.
Il devait m'y rejoindre en fin de journée. Je me suis installé
dans la chambre, avec une heure d'avance sur notre rendez-vous.
J'etais fébrile, la rencontre promettait d'être un grand
moment. Je me suis entièrement déshabillé et j'ai décidé
de commencer par une douche chaude et parfumée pour préparer
dans les meilleures conditions l'offrande de ma virginité.
Je ne l'avais jamais vu, c'est par le biais d'Internet que
nous avions pris contact. Il avait déposé une annonce dans
laquelle il indiquait, entres autres choses alléchantes,
que son sexe mesurait 19cm et qu'il fantasmait sur le cul.
Il aimait le voir, le caresser, le lécher, le doigter longuement
.et bien plus si affinités. Après quelques messages échangés
sur le clavier, il m'avait donné son numéro de téléphone
et je venais de l'appeler pour lui confier celui de ma chambre.
Je lui avais demandé s'il préférerait me trouver nu ou dans
une tenue de son choix. Il m'a conseillé, sans plus de précision,
de mettre un slip sexy et m'a promis d'emporter du gel et
des préservatifs. J'ai donc mis de coté un Tanga à rayures,
très échancré, et résistant héroïquement à une terrible
envie de me masturber, je suis parti dans la salle de bains
pour m'astiquer le fondement. Une fois apprêté, du dehors
comme du dedans, je me suis occupé de planter le décor.
Il fallait une ambiance tamisée. J'ai tiré le rideau, laissant
juste asses de lumière pour créer l'intimité d'une pénombre
complice. Il aimait le cul ? J'allais lui en donner. Je
n'ai laissé sur le lit que le drap couvrant le matelas et
j'ai enfilé le Tanga qui moulait mes fesses rondes, remontant
très haut sur la taille en dégageant les hanches. A 26 ans,
je suis mignon, de taille moyenne et j'ai un corps de sportif,
forgé par des heures musculation et d'interminables séances
de natation. Malgré cela mon cul est joufflu et cambré et,
étant toujours intacte, ma rondelle etait encore très serrée.
Comme convenu j'ai bloqué la fermeture de la porte pour
qu'elle s'ouvre sur une simple poussée, et je suis allé
m'allonger sur le lit. Je me suis mis à plat ventre face
à l'entrée, les jambes bien ouvertes, un coussin calé sous
le bas ventre pour faire mieux ressortir mes fesses. J'ai
croisé les bras sous mon visage et disposé un deuxième coussin
sur mes épaules, pour masquer ma tête et le haut de mon
dos. En entrant, il ne verrait qu'une croupe offerte. Un
cul indécent, mis à la totale disposition de son vice, il
n'aurait qu'à se pencher pour se servir. Cette mis en scène
m'avait enflammé les sens. J'attendais, le ventre bouillant,
les tempes bourdonnantes, dans une excitation mêlée d'angoisse
que le Mâle fasse son entrée. Chaque bruit dans le couloir
me provoquait une décharge d'adrénaline. Chaque minute s'écoulant
accélérait les battements de mon cour. Cela n'a pas duré
longtemps, j'ai entendu le bruit léger d'une porte s'ouvrant
et se refermant précipitamment, immédiatement suivi d'un
sourd grognement de bête en rut. J'ai eu à peine le temps
de me demander avec crainte si cela signifiait qu'il me
trouvait à son goût, et j'ai senti une main rugueuse se
poser sur le haut de ma cuisse. Avec l'extraordinaire sensation
d'être irrémédiablement livré au désir d'un autre homme,
j'ai pensé : - " ça y est.je suis à lui ! ". J'ai souhaité
tout à coup qu'il se rue sur moi pour me défoncer avec sauvagerie,
mais malgré l'excitation que je devais lui provoquer, il
restait parfaitement maître de lui. Sa main a parcouru délicatement
mes fesses, caressant les globes l'un après l'autre puis
j'ai senti un doigt glisser sous mon slip et écarter le
tissu tendu devant mon petit trou. Ce qu'il venait de mettre
au jour devait être à son goût car il a poussé un soupir
de satisfaction. Il est resté un instant immobile et j'ai
perçu le contact brûlant de son doigt sur mon anneau palpitant.
J'attendais la suite, retenant mon souffle, le ventre crispé.
Le doigt a fait quelques mouvements circulaires en appuyant
sur ma rondelle comme s'il voulait en tester l'élasticité
puis s'est retiré. Le Mâle s'est assis sur le lit il a de
nouveau écarté mon slip et j'ai aussitôt ressenti une chaleur
humide envelopper mon trou, sur lequel il venait de coller
sa bouche. Sa langue me fouillait. Parfois dure et pointue,
ouvrant ma chair et s'enfonçant en moi ; Parfois douce et
large, couvrant abondamment ma raie d'une chaude salive.
Puis il s'est redressé et à tiré sur mon slip, le faisant
doucement glisser le long de mes cuisses. J'ai tendu les
jambes pour lui permettre de le faire passer sur mes chevilles
et je crois bien qu'il l'a enfoui dans sa poche. Il s'est
alors éloigné du lit et j'ai entendu le bruit d'une boucle
de ceinture de pantalon qu'on ouvrait. Le zip brutal de
la fermeture éclair m'a envoyé une décharge d'électricité
dans l'échine. J'ai entendu le froissement léger de vêtements
tombant sur le sol et je me suis cambré complètement en
tendant mon cul vers lui, écartant les jambes au maximum,
pour mieux lui dévoiler mon intimité. Le poids du Mâle progressant
à genoux sur le lit déformait maintenant le matelas. Le
cour battant à rompre je me répétais : - " je vais y passer.je
vais y passer. ". Le crissement sec d'une enveloppe de préservatif
qu'on déchire m'a coupé le souffle.
Juste après, j'ai entendu le claquement caractéristique
du latex qui se déploie le long d'une verge. Très fier de
l'avoir mis dans un tel état sans même le toucher, j'imaginais
en tremblant sa bite lourde et dure, dressée à quelques
centimètres à peine de mes fesses ouvertes. J'ai de nouveau
senti son doigt sur mon trou, mais la sensation etait différente
cette fois ci, il y avait quelque chose d'onctueux et j'ai
compris qu'il m'appliquait du gel. Le doigt a repris son
ballet tournoyant sur mon anneau, glissant parfois une phalange
à l'intérieur, c'etait délicieux. Il a fini par s'engouffrer
entièrement dans mon cul où il a recommencé à s'agiter,
me provoquant de nouvelles émotions. J'ai senti que je m'ouvrais
difficilement quand un autre doigt a tenté de le rejoindre.
Je me suis crispé. Le Mâle a dû s'en rendre compte, il a
retiré sa main et une deuxième couche de gel a tout de suite
calmé la légère brûlure provoquée par cette double intrusion.
J'étais toujours à plat ventre et le mâle se tenait en appui
d'une main sur le bas de mes reins. Toujours en appui sur
moi, il a changé de position, me chevauchant, et j'ai alors
senti que ma rondelle s'ouvrait et que quelque chose de
large et dur s'enfonçait dans mon cul. Malgré une petite
douleur piquante dans le bas du dos et une nouvelle brûlure
légère, je trouvais cela très bon. Je me suis mis furtivement
à quatre pattes, ramenant mes cuisses à la verticale. Le
mâle a appuyé fermement une main sur mes épaules pour me
faire replonger la tête sur le matelas et a entamé des mouvements
de va et vient. Plié en deux dans cette position, je me
sentais délicieusement soumis, totalement chienne. Mon Mâle
allait et venait désormais avec facilité, ressortant entièrement
à chaque passage et rentrant aussitôt sans laisser le temps
à mon anus de se refermer. Tout en ondulant au rythme de
ses mouvements, je songeais avec volupté : - " c'est donc
ça, de se faire sodomiser.hummm, que c'est bon ! ". Quand
tout à coup, alors qu'il venait de ressortir et qu'une fois
de plus il revenait en moi, j'ai ressenti une douleur violente
qui m'a coupé le souffle et arraché un cri. J'ai eu l'impression
que mon cul explosait, qu'il se déchirait complètement en
deux sous la poussée monstrueuse d'une chose énorme. J'ai
réalisé subitement que jusqu'à présent, il m'avait seulement
branlé avec ses doigts joints et que c'etait maintenant
son gland qui avançait dans mon cul, me défonçant la rondelle,
explosant mon canal.
Dans un réflexe incontrôlé, j'ai plongé vers l'avant,
pour fuir la douleur cuisante. Le Mâle a immédiatement saisi
ma taille à deux mains et, me tirant fermement vers lui,
a accentué la pression de son bassin. Reprenant mes esprits,
je me suis immobilisé, poussant mes fesses vers lui pour
l'aider, et j'ai senti sa longue bite se frayer un chemin,
centimètre par centimètre, jusqu'au fond de mon cul meurtri.
Me tenant toujours par la taille, il a commencé à me baiser
lentement, avec des mouvements puissants, claquant à chaque
passage son bassin sur mes fesses. J'avais du mal a reprendre
mon souffle, comme si son barreau me coupait la respiration
et je haletais tandis qu'il me besognait. Il me prenait
à quatre pattes avec une lenteur calculée puis accélérait
le rythme, claquant brutalement son bassin contre mes fesses,
s'immobilisant un instant avant de repartir de plus belle
; me faisait tomber à plat ventre sur le lit, s'effondrant
sur moi de toute sa masse, me mordait une épaule au passage
et se redressait en me tirant par la taille pour me remettre
à genoux puis me labourait à toute vitesse. Je glissais
parfois une main entre mes cuisses pour caresser ses boules
velues qui venaient se coller au-dessus des miennes. Quand
il plaquait mon dos contre sa poitrine, je lançais mes bras
en arrière, pour claquer ses hanches, au summum de l'excitation.
Cette chevauchée magnifique a duré un long moment puis il
s'est retiré et s'est allongé sur le dos en ôtant son préservatif.
Il m'a juste dit : - " viens. " Je me suis retourné, à genoux
entre ses cuisses ouvertes, découvrant enfin ce corps qui
venait de me donner tant de plaisir. Son visage etait masqué
par la pénombre, il etait grand et mince, couvert de muscles
secs parfaitement dessinés. J'ai compris en voyant sa queue
pourquoi le premier passage avait été aussi douloureux.
Une superbe colonne de chair luisante au gland décalotté
se dressait fièrement devant moi. Elle paraissait très longue
et très large et etait si belle et appétissante que j'ai
immédiatement eu envie de l'avaler. Je l'ai serrée dans
ma main, elle était très dure et dégageait une forte odeur
de latex.
Je me suis penché et l'ai léchée sur toute la longueur,
de tous les cotés, puis j'ai pris son beau gland dans ma
bouche. C'etait incroyablement doux. Je serrais la hampe
entre mes lèvres tout en parcourant les bords du gland avec
la langue, massant les testicules en même temps. J'avais
envie de savoir quel effet cela lui faisait mais je n'ai
pas osé le lui demander. Après l'avoir bien léchée j'ai
commencé à faire monter et descendre ma bouche sur la belle
bite du Mâle. Je l'ai pompée et sucée jusqu'à avoir des
crampes aux joues. De temps en temps, je prenais du repos
en le branlant doucement, délaissant sa queue pour lui téter
délicatement les couilles. Il avait l'air d'aimer ça, malgré
ma maladresse de débutant. Au bout d'un trés long moment,
il m'a dit d'une voix très douce : - " Oh.tu vas me faire
jouir .". Malgré une furieuse envie de le boire, j'ai retiré
ma bouche, continuant à le branler de la main. Quelques
secondes après il a éjaculé par saccades de longs jets de
sperme crémeux, en poussant des râles dont j'ai été très
fier. Il s'est sauvé presque aussitôt, après une douche
rapide prise tandis que je gisais, de travers sur le lit,
épuisé et comblé.
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