Vacances scolaires de Pâques 2002
Nous partons avec enfant en Bretagne. La météo est au beau.
Pour ceux qui ne nous connaissent pas encore, nous voyageons
en camping-car "grand confort"
23h00, arrêt pour la nuit sur une aire d'autoroute.
Notre fille (16 ans) dort déjà depuis longtemps.
Nous sortons promener le chien, la nuit est douce.
Sylvie est déjà changée pour la nuit : une robe tee-shirt
relativement courte. Je vois, quand elle marche devant moi,
grâce au pli entre ses fesses, qu'elle n'a rien dessous.
J'ai l'habitude, le contraire aurait été étonnant !
J'aime mettre la main sur ses fesses libres quand elle
marche, leurs mouvements me mettent dans un état indescriptible.
C'est ce que je fais en la rejoignant.
Elle apprécie et j'en profite pour passer la main sous
sa robe pour avoir le contact direct.
Personne ne peut nous voir.
Un camion arrive et va se garer à côté de nous, c'est un
camion frigorifique qui laisse tourner le moteur du frigo
toute la nuit.
Éclats de rires, nous retournons au camping-car pour changer
de place.
Nous allons nous placer à côté d'un autre camion arrivé
presqu'en même temps que nous.
Le manque d'intimité est quelques fois difficile à gérer
mais nous avons l'habitude et certainement la même idée
en tête.
Le chien étant une affaire réglée, nous décidons de sortir
seuls fumer une cigarette avec une bouteille de champagne
bien frais dans un étui réfrigérant pour fêter notre départ.
Nous allons nous installer sur une table de pique-nique
toute proche.
Assis sur la table, pieds sur le banc, face au parking,
en contrebas.
L'obscurité presque totale dans ce secteur me permet de
reprendre mes caresses.
Après quelques minutes de flirt de plus en plus chaud,
nous entendons des bruits de pas.
Ayant un goût certain pour l'exhibition, cela ne nous dérange
pas réellement mais nous ne pouvons pas nous empêcher de
stopper nos activités pour écouter.
Il vient dans notre direction, s'arrête à la limite goudron
- herbe et se soulage d'un énorme pipi !
Nous sommes en léger contrebas, il est carrément face à
nous et on a l'impression qu'il veut nous pisser dessus
!
Il est quand même à une bonne dizaine de mètres, heureusement.
C'est une véritable fontaine.
Lui étant encore éclairé, je glisse à l'oreille de Sylvie
- Profite du spectacle.
Elle me répond dans un murmure :
- Il a bien une grosse queue.
Il repart en longeant le parking, je sers une nouvelle
coupe de champagne et nous commentons son intrusion.
Elle a eu l'impression qu'il avait un sexe énorme, moi
je pense que c'est un effet d'optique dû au contre jour
avec le lampadaire.
Profitant des circonstances, en rigolant je sors le mien
qui est plutôt dans la moyenne basse et lui demande de l'emboucher
jusqu'à ce qu'il devienne aussi gros.
Elle prend une gorgée de champagne et plonge sur moi.
Le liquide froid, les bulles et surtout son savoir faire
en la matière me font immédiatement effet.
Après quelques va et vient, elle se redresse et, moqueuse
me lance :
- Même pas la moitié.
Grand éclat de rire général !
Je sers une coupe et m'aperçois que la bouteille est déjà
presque vide.
Nous reprenons notre flirt par un long baiser. Je remonte
son tee-shirt jusqu'aux épaules et lui caresse les fesses.
Je la fait asseoir sur le bord de la table, la débarrasse
complètement.
Elle est nue, je m'agenouille devant elle, et commence
à goûter à son minou.
Elle s'écarte de plus en plus pour me faciliter la tâche
et commence à gémir.
Je la sens gémir de plus en plus, pas loin de jouir quand
d'un coup je la sens se raidir et refermer ses cuisses brutalement.
Je me redresse après cette double gifle de cuisses et lui
demande ce qui lui prend.
- Y a quelqu'un, me chuchote t'elle.
Moi je n'entends ni ne vois rien.
Elle veut remettre sa robe mais je l'en dissuade. Nous
pratiquons l'exhibe assez souvent et même si ce n'était
pas au programme de ce soir, autant laisser faire.
Elle n'est pas rassurée à cause de l'endroit et d'être
complètement nue.
À ce moment j'entends effectivement un bruit.
Je lui parle du pisseur et lui demande si elle aimerait
que ce soit lui.
Elle ne dit pas non et fait référence à sa taille.
Je lui propose de finir la bouteille et de continuer comme
si nous n'avions rien entendu.
Nous allumons une cigarette et discutons tranquillement,
elle nue et moi le sexe à l'air.
Nouveau bruit pas loin et notre voyeur s'approche. Nous
sommes quand même un peu gênés, ce n'est pas notre exhibe
habituelle.
Il est maintenant à côté de nous, nous salue naturellement.
Moment intense.
Je prends Sylvie par la main, lui fais faire un lent demi-tour
pour la présenter en précisant qu'elle aime montrer ses
charmes.
Il la complimente longuement et en détail. Je sais que
ça lui plait.
J'en profite pour préciser qu'elle aime être aussi touchée
et pas seulement regardée.
Légère remontrance de Sylvie mais sans réelle conviction.
Je m'excuse de n'avoir plus à boire à lui offrir mais quand
même autre chose en lui montrant ma chérie.
- Justement tu nous as interrompu, tu pourras peut être
boire à la source.
Coup de pied dans la cheville.
Elle n'aime pas que je sois aussi direct.
Et nous nous retrouvons à parler de banalités.
Nous apprenons qu'il est commercial, qu'il passe la nuit
à l'hôtel au bout de l'aire, qu'il n'arrivait pas à dormir
et qu'il est venu se promener sur le parking.
À partir de là, surprise.
Il nous a vu arriver, promener le chien, a apprécié les
fesses de Sylvie quand je l'ai caressée mais nous a cru
perdus lorsque nous avons déplacé le camping-car.
Quand il nous a vu ressortir avec une bouteille de champagne,
il a joué le tout pour le tout et c'est lui qui est venu
se soulager pratiquement sur nous.
J'en profite pour reprendre les choses en main et lui expose
notre différend quant à la perspective que nous avions d'ici.
S'adressant à Sylvie il lui propose de vérifier.
J'approuve et lui demande de monter sur le banc.
J'accompagne ma tendre par les épaules jusqu'à lui.
Elle se laisse faire volontiers et s'attaque immédiatement
à son pantalon.
Elle commence par le caresser à travers le tissu puis s'empresse
de le libérer.
Un sexe de bonne taille lui saute au visage, elle s'en
empare avec la bouche et commence une amoureuse fellation
en baissant le pantalon aux genoux.
Elle l'abandonne après quelques minutes et se recule légèrement
pour voir l'effet produit.
Elle est obligée d'admettre que si sa taille est largement
au dessus de la moyenne, ce n'est tout de même pas le monstre
qu'elle avait cru voir.
À partir de là, c'est plutôt lui qui prend les initiatives.
Prétextant qu'elle avait eu sa réponse, maintenant c'était
à lui de profiter d'elle.
Il lui demande d'accepter ce qu'il lui demandera.
Elle se tourne vers moi pour avoir une approbation que
je m'empresse de donner.
Il lui fait prendre divers poses.
Appuyée les coudes sur la table, il passe derrière elle,
se frotte sur ses fesses, lui palpe les seins.
Il l'a fait monter sur le banc et lui donne de très légers
baisers sur les fesses, entre les fesses, sur le ventre
et sur le sexe.
Il l'a fait mettre à quatre pattes sur la table, lui demande
d'écarter les fesses.
Je la sens très excitée.
Dans cette position, pendant qu'il lui promène sa bite
devant le visage, j'en profite pour glisser un doigt entre
ses cuisses.
Elle dégouline !
Je fais remarquer à notre voyeur qu'il serait bon de lui
faire encore plus plaisir.
Il me demande si nous pouvons le recevoir dans le camping
car.
Explication sur la présence d'enfant, il propose sa chambre.
Décidons d'aller mettre un mot précisant que nous sommes
allés manger à la boutique.
Sylvie enfile sa robe et allons vers le CC.
Elle me demande de lui prendre un sweat.
Je rentre sans bruit, griffonne notre mot et ressort.
Je les retrouve enlacés en train de se rouler un baiser
torride.
Il lui a soulevé sa robe et lui malaxe les fesses.
Nous nous dirigeons vers l'hôtel, elle au milieu et chacun
de nous une main sur chaque fesse.
Nous nous arrêtons trois ou quatre fois pour l'embrasser
chacun notre tour et la caresser.
Si quelqu'un nous voit c'est le viol assuré !
Il nous fait rentrer à l'aide d'une carte magnétique et
sommes soulagés de ne rencontrer personne.
Erreur, dans le hall deux hommes sont en discussion et
ouvrent des yeux comme des soucoupes.
Je réalise qu'en ayant enfilé son sweat, sa robe est restée
coincée assez haut et qu'elle lui arrive à la limite des
fesses à l'arrière et en haut des cuisse devant.
Nous nous engouffrons dans le couloir en imaginant ce qu'ils
peuvent penser.
Après quelques secondes de gêne, Sylvie nous déclare qu'elle
a aimé être matée par eux surtout dans ces circonstances,
ne pouvant cacher ce que nous allions faire.
La suite, ce qui s'est passé dans la chambre fera l'objet
d'un autre récit....
N'hésitez pas à nous commenter vos appréciations !
Nous avons 15 ans de récits à vous faire découvrir !
À bientôt.
Auteur
|