34 ans, brun, les yeux noirs, une belle petite
gueule, 1 mètre 82 pour 76 kilos, un look très " mâle ",
poilu, moustachu et des mensurations viriles plus qu'honorables
: 19 sur 5. Cela me permet de ne jamais avoir trop de problèmes
pour lever des jolis petits culs en quête d'une bonne défonce.
Je suis V.R.P.
Je passe ma vie à sillonner les routes de France. Entre
nous, c'est un job super pour la drague. Quand je prends
un mec en stop, s'il me plait, je suis direct avec lui.
J'ai toujours eu horreurs des approches lentes à passer
des heures à tourner autour du pot. J'y vais franco ! S'il
n'est pas homo, cela me laisse le plaisir pervers de sentir
un type anxieux et complètement gêné assis à côté de moi.
Ça, c'est mon petit côté provo. Silences pesants, regard
fixé sur la route, raclements nerveux de gorge, et tout
et tout... Et le mec, pressé de sortir au plus vite de ma
voiture. J'en bande tellement ce petit jeu m'excite. Dans
le cas contraire, une petite halte sur un chemin de terre
et une bonne pipe ou un enculage dans les règles sur le
capot de ma tire.
Mais je me renseigne aussi sur tous les lieux de rencontres
des villes que je vais devoir traverser. Alors des histoires
de cul, j'en aurais un max à vous raconter. J'ai épinglé
sur mon tableau de chasse, du gibier de tous poils et même
sans poil de toutes les régions. Vous l'aurez sans doute
compris, baiser reste mon passe-temps favori. Dernièrement,
j'ai été plutôt gâté sur ce plan là. Mon objectif était
de dénicher de nouveaux clients dans un triangle compris
entre Alès, Aurillac et le Puy, secteur où nous étions assez
mal implanté. Un soir, je me suis retrouvé sur une petite
route sinueuse et désertique du Causse Méjan, à la recherche
d'un restaurant et d'un hôtel pour passer la nuit. Il faisait
un temps sinistre, je roulais sous une pluie battante à
travers des départementales mal entretenues. Tout à fait
le genre de décor qui me prêtait à imaginer, voir surgir
la bête du Gévaudan au détour d'un virage. À défaut du monstre,
j'ai fini par tomber sur l'enseigne lumineuse d'une auberge.
Une nana m'a accueilli, la quarantaine, blonde platine avec
une paire de nichons énormes qui se trémoussaient sous un
chemisier largement échancré. Patronne et cuisinière de
l'auberge, elle m'accompagna dans une chambre modeste mais
propre, me précisant que je pouvais dîner à partir de 19
heures trente. Le temps pour moi de prendre une douche et
de mettre un peu d'ordre dans mes dossiers.
Je m'apprêtais à passer une soirée tranquille que je suis
descendu vers la salle de restaurant. Deux tables seulement
étaient occupées. Cadre rustique, ambiance calme et chaleureuse
et soudain, le choc en découvrant le jeune serveur venu
me porter la carte et le menu : une vingtaine d'années,
guère plus, grand, mince, les cheveux blonds coupés courts,
les yeux bleus, un visage aux traits fins. Bref, un bel
apollon qui me semblait être aussi appétissant que les plats
servis dans cette auberge. Je lui ai lancé un regard soutenu
avant de découvrir son joli petit cul moulé dans un jean
serré alors qu'il repartait vers les cuisines.
Le repas fut bien trop copieux pour moi : charcuterie du
pays, vol-au-vent, lapin chasseur, salade, fromages, dessert...
Dans cette auberge, on y mangeait bien mais on y baisait
bien aussi. Quelques regards échangés avec mon jeune serveur
suffirent à me faire comprendre que j'avais toutes mes chances
avec lui, des regards qui se firent de plus en plus appuyés
et insistants au fil des plats qu'il m'apportait.
Aussi, je n'ai pas hésité à lui lancer, juste après avoir
pris un café :
- Le pousse-café, je le prendrais bien dans ma chambre,
si tu vois ce que je veux dire.
Il m'adresse un sourire entendu et une fois de plus, je
le vois repartir vers la cuisine, me dévoilant son joli
petit cul ferme et cambré. En regagnant ma chambre, j'ai
le soulagement de penser que je n'aurais pas à m'endormir
après m'être consolé tout seul avec la célèbre veuve poignet.
Je me fous à poil illico, la pine déjà gonflée et je me
jette sur mon lit. Je l'attends tout en feuilletant une
revue Gay et en me caressant la queue et les couilles.
Je dois patienter plus d'une heure avant d'entendre frapper
à ma porte. Je lui ouvre à poil, la bite à moitié raide
entre mes cuisses. Quand il se retrouve face à moi, son
regard se dirige aussitôt entre mes cuisses. L'effet est
radical, ma tige se raidit sous ses yeux, décalottant mon
gland et se redressant sur mon ventre. Il entre et je verrouille
la porte derrière lui. J'adore ça, baiser dans des chambres
anonymes d'un hôtel. Ici, le décor est rétro mais le lit
est confortable. Le jeune serveur se débarrasse tout de
suite de son tee-shirt en me disant :
- Tu tombes à pic ! Ça fait plus d'un mois que je bosse
dans ce trou et que je n'ai rencontré personne.
Il s'appelle Bertrand. J'apprends que la patronne de l'auberge
est sa tante, que ses parents l'on envoyé ici pour le former
dans la restauration. Son corps est fin, sa peau totalement
imberbe. Sa queue est déjà raide comme un piquet quand il
retire son slip. Elle est aussi grosse que la mienne, tendue
au-dessus d'une belle paire de couilles recouvertes de poils
blonds.
- Depuis que j'ai quitté Nîmes, je ne baise qu'avec ça.
Il me sort un gode volumineux de la poche intérieure de
son blouson avant de le jeter sur le lit. Je sens déjà que
je vais me régaler avec lui. Ce n'est pas le genre coincé
ni timide. Il s'approche de moi et c'est lui qui m'enlace
pour m'embrasser à pleine bouche. Nos bites et nos couilles
se frottent les unes contre les autres. Je le sens super
excité, il caresse mon dos, mes épaules, mes fesses et mes
cuisses. Puis, il empoigne ma pine et il la branle dans
ses doigts.
- J'espère que tu vas bien me défoncer le cul. Tu ne peux
pas savoir comme j'en ai envie.
Il penche sa tête et il commence à lécher mes tétons, à
les aspirer dans sa bouche et à les mordiller légèrement
entre ses dents. Pendant ce temps, je malaxe ses couilles
et je lui tripote le cul. Déjà, je l'entends gémir, prêt
à se donner à fond avec moi. Je le dirige vers le lit et
une fois que je suis étendu, il vient tout de suite se placer
entre mes cuisses pour me pomper. Sa langue mouille mon
gland et ma hampe de salive et tout en me caressant les
burnes, il faisait glisser ses lèvres chaudes sur mon manche,
m'avalant jusqu'à la garde. Il s'arrête de me sucer pour
me répéter à plusieurs reprises :
- Elle est bonne ta queue, délicieuse.
Peu à peu, il se déchaîne, léchant mes couilles, les gobant
une à une, cherchant également à me glisser sa langue entre
les fesses. Je le fais venir tête-bêche sur moi et pendant
qu'il s'active sur mon paquet, j'écartèle ses fesses pour
mater son trou du cul. La rondelle est brune, bien ourlée
et entourée de quelques poils blonds. J'y plante d'abord
ma langue pour la lubrifier ce qui a pour effet de faire
gémir le jeune serveur encore plus fort. Je sens que si
je lui touche en même temps sa bite, je risque de le faire
jouir prématurément, tellement il est excité. Alors, je
préfère me concentrer sur son fion. Je le pénètre avec mes
doigts, je l'ouvre, je le dilate, je le lèche encore. Puis,
je lui demande de me passer son gode qui est resté au pied
du lit et je l'encule avec. Il arrête de me sucer et il
redresse son corps tout en empoignant ses deux fesses pour
bien me les ouvrir.
- Oui, encule-moi, baise-moi le cul.
Le gode n'éprouve aucune difficulté à disparaître tout entier
dans son trou. Bertrand ondule des hanches pour accompagner
le mouvement du gode entre ses fesses. Cette fois, c'est
moi qui n'en peux plus. Je le fais mettre en levrette sur
le lit et je viens me placer derrière lui. Le gode est aussitôt
remplacé par ma bite et il me suffit de donner simplement
deux coups de reins pour l'empaler jusqu'aux couilles. Je
l'empoigne et je me mets à le limer comme un fou, excité
par ses râles et ses gémissements de plaisir. Ma queue le
transperce, le défonce alors que Bertrand m'encourage d'une
voix haletante à y aller encore plus fort et plus vite.
Il se tord de plaisir, il bouge lui aussi, ses fesses viennent
s'écraser contre mon ventre puis il me supplie de jouir
avec lui. J'explose au moment même où je sens son trou du
cul se contracter par spasmes sur ma tige. Il décharge avec
moi et je retombe sur lui, essoufflé, épuisé et le corps
en nage.
Je resterai encore un petit moment planté entre ses fesses
avant de me retirer. Ma queue est toute rouge tellement
je l'ai enculé violemment. Mais un quart d'heure plus tard,
on remettait ça sur un lit poisseux de sperme. Cette fois,
il a voulu se baiser tout seul sur ma bite en venant s'agenouiller
sur moi. Il m'a demandé de ne pas bouger, de seulement lui
caresser la queue et les couilles et de lui pincer le bout
des seins. Il m'a donné l'impression de carrément me tailler
une pipe avec son trou du cul et je l'enculerai une troisième
fois avant de le voir partir regagner sa chambre. Le lendemain
matin, c'est lui qui vint m'apporter mon petit déjeuner
au lit avec une idée en tête : celle de profiter une dernière
fois de mon érection matinale. Pour le service dans cette
auberge, il n'y avait vraiment rien à redire...
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