TITRE
: Découverte plaisirs lesbiens
Catégorie : Histoire
Lesbienne
Cette histoire m'est arrivée courant du mois de janvier. Je sortais assez
tardivement de mon agence bancaire dont je suis la responsable. Une femme
prénommée Emma m'accostait en furie au moment de monter dans ma voiture.
Je lui avais refusé un prêt dans l'après midi. J'essayais de la calmer
mais cela était difficile. Elle se fit menaçante et m'obligeait à la
prendre en voiture. Chose que j'acceptais sans trop réfléchir et un peu
obligée.
- Tu n'as pas de problèmes me lançait elle. T'es « une bourgeoise de
banquière » me dit-elle. Regarde comment tu es habillée !
Je lui souriais et lui répondit que « l'habit ne faisait pas le moine ».
Il faut dire qu'Emma était une belle brune cheveux long assez élancée d'un
1m70 avec une belle paire de seins 95b. Moi avec la visite de mon chef et
d'un client important j'étais vêtue sexy comme on dit. Je portais un
tailleur assez échancré un soutien gorge balconnet, tanga, dim up et
escarpin.
- Tu sais, comme je suis à pied tu vas me ramener chez moi.
Pendant la route, le dialogue s'installait. Je lui dis de m'appeler Florence pour
détendre l'atmosphère. On discutait de choses et d'autres quand tout à
coup sa main se posait sur mon genou.
- Tu sais que tu me plais.
Je ne savais que faire sachant que je n'avais aucune expérience féminine. Je
continuais la route. Sa main devenait plus précise et remontait ma jupe.
- Madame la banquière est vêtue comme une salope pour aller travailler.
Regardez cela, elle porte des dim up à résille et un beau tanga.
Sa main frottait mon clitoris au travers du tissus. Je devenais rouge de honte et je dois reconnaître qu'Emma me faisait de
l'effet.
- Ta culotte s'humidifie on dirait ma belle. Tu n'es pas insensible à mon
charme alors.
Je la suppliais d'arrêter.
- Tu rigoles, Florence, cela ne fait que commencer pour toi ma chérie. Tu vas venir chez moi que je
m'occupe de toi, de ton corps.
J'étais stigmatisée, stupéfaite à l'idée des plaisirs lesbiens. Elle s'approcha de moi pour m'embrasser et me
peloter les seins. Dans un mouvement brusque de défense le bouton de
tailleur sauta, laissant entrevoir le début de ma poitrine.
- Tu as une jolie paire de seins ma chérie. Il faut la mettre en valeur.
Elle ouvrait encore plus mon tailleur. Heureusement qu'il faisait nuit mais je m'exhibais au
volant.
- Tourne à droite et gare toi là. On arrive chez moi.
Par la force des choses je m'exécutais car elle avait pris mon sac à main. Je la
suivais mécaniquement les seins pratiquement à l'air.
A peine la porte fermée qu'elle m'embrassait goulument et en profitait
d'une main habile pour détacher mon soutien gorge et libérer mes nichons.
Je reconnais que mes tétons étaient tout droit. Emma en profitait pour
malaxer mes seins et pour me les lécher. Elle fit cela merveilleusement
bien que je commençais un râle de plaisir tout en me cambrant.
- C'est que tu aimes ça ma salope !
Je répondais par l'affirmative en hochant de la
tête. En deux temps trois mouvements sans prêter garde ma jupe et mon
tanga se retrouvaient à mes pieds. J'étais livrée à Emma nue juste en dim
up.
-Tu vas rester dans cette tenue de pute, me lança-t-elle. Je compris que
la nuit risquait d'être longue. "Je vais juste t'attacher avec mes menottes
au pieds du lit pour ne pas que tu partes ma salope, le temps que je me
prépare. Mais avant je vais installer sur tes tétons des cloches
aspirantes pour mieux m'en occuper après."
J'étais soumise à ma cliente. Sous l'effet de ces dernières, je sentais mes tétons grossir de plus en
plus tout en exerçant une sensation de bien être. Je commençais à
mouiller. Apres une courte douche, Emma revenait nue avec un beau gode
ceinture attaché à la taille.
- Je vais jouer avec toi ma salope. Je pense que tu ne vas pas le regretter.
Elle me détacha et m'installa sur son lit. Sa main caressait mon entrejambe tout mouillé.
- Hum je vois que tu aimes, Florence.
Elle se mit à me peloter mes seins tout en pinçant et mordillant
les bouts bien ressortis. J'étais allongée sur le dos livrée à Emma, jambes
écartées en grand. Elle ne se privait pas pour descendre vers ma chatte
humide tout en s'attardant sur mon nombril.
- Ton clitoris ne demande qu'à être décalotté et je vais m'en occuper maintenant ma banquière chérie, me
lançait-elle. Je lui répondait "fais comme bon te semble ma chérie".
Tout à coup, Emma fait tourner un doigt pour bien l'exciter puis glisse
plusieurs doigts entre mes lèvre et entre dans ma chatte toute humide. Ma
« tortionnaire » se met à bouffer ma chatte. Je commence à être dans un
état second. Je suis sous son emprise. Je jouis. Mon clitoris est en feu.
Un terrible orgasme survient. Je suis une véritable fontaine.
- Oh Emma que fais tu pour je jouisse comme cela. Vas-y continue !
Elle maltraite mes nichons pour que je revienne plus vite de mon orgasme tout en
m'embrassant.
- Allez ma pute mets toi à quatre pattes que je t'enfile comme une perle.
Je m'exécutai et sans demander son reste elle m'enfilait au
plus profond de moi avec son gros gode. J'ondulais de plaisir. Je lui
disais "Vas-y défonce moi Emma, oui continue". Elle accélérait ses va-et-vient. Mes seins ballotaient. Je criais ma jouissance. Elle claquait mon
fessier et me disait "on fait moins la maline hein ? T'es bien prise. Tu
aimes ?" Je lui répondais "oui beaucoup, pour une première fois c'est super. Je voudrais te rendre ce que tu m'as donné."
- Oui c'est bien, me dit-elle fièrement, mais la nuit va être longue chérie pour toi.
- Ecoute je veux que tu m'apprennes, Emma.
- Florence, tu es ok pour tout même la sodomie etc...?
- Oui Emma.
Toute la nuit Emma se déchaîna sur mon corps. Que ce fut bon. Je dormais
chez elle. Le plus difficile fut d'aller travailler le samedi matin.. et
lui prometais de revoir mon jugement pour obtention de son prêt.
La suite.....
Florence
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