En 1968 alors que j'entrais dans ma 18ème année, que les étudiants étaient
dans la rue pour revendiquer plus de droits, je fis la connaissance
lors d'une manifestation de Pierre. C'était un homme d'une cinquantaine
d'années prof de fac a aix en provence.
C'était l'époque ou je batifolais à droite à gauche avec des jeunes filles
de mon age et de bonne famille. Pierre quand à lui était un homme divorcé
sans enfants. Sous ses airs très distingués c'était un homme qui avait
beaucoup d'humour et de joie de vivre et malgré son age il était rester
très jeune dans sa tête. D'allure classique et très élégant toujours tiré
a quatre épingles il aimait se joindre à nous pour manifester son rejet de
la société de l'époque. J'adorais être en sa présence, si bien que nous
sommes devenus amis. Malgré le nombre d'années qui nous séparaient nous
étions très complices et il nous arrivait de sortir ensemble dans
différents endroits de la ville jusqu'à plus d'heure.
Un soir du mois d'août 1969 alors que nous cherchions où passer la soirée
pour s'éclater il me dit connaître une boîte de nuit homo dans la banlieue
marseillaise qui d'après lui, était bien fréquentée. Après plusieurs
refus de ma part, je fini par me laisser convaincre de le suivre en cet
endroit. Je ne vous cache pas que j'était pas très emballé à l'idée de
passer la nuit dans une discothèque gay. Durant le trajet alors que je
lui demandais comment il en était venu à connaître ce lieux, il me
répondit que des amis homos de longues dates étaient les patrons de cet
endroit et qu'ils l'avaient invité plusieurs fois à venir passer une
soirée pour boire un verre et voir le spectacle de transformistes et que
sous peine de les vexés il ne pouvait pas refuser sans cesse cette
invitation.
Après avoir roulé pas mal de temps nous arrivons dans une petite ruelle
dans laquelle se trouve un portail noir derrière lequel on peut
apercevoir un immense parc où sont garées des voitures. Un grand homme
noir sort d'une petite cabane aménagée et viens à notre rencontre en
sortant par un portillon situé à gauche du portail. Pierre se présente et
l'homme nous demande de patienter une minute. Il se redirige vers sa
cabane entre et ressort quelques instants après pour retirer le cadenas
avec la chaîne qui ferment le portail et nous fait signe d'entrer en nous
souhaitant une bonne soirée.
Le parc est très sombre allumé par un unique lampadaire situé dans la rue
voisine. Après avoir garer la voiture de pierre nous sortons et nous
dirigeons vers la boîte de nuit. On aperçoit quelques ombres dans les
voitures qui nous laissent deviner ce qu'il doit si passer, j'en fait la
réflexion à mon ami qui s'éclate de rire . A l'entrée de la boîte nous
sommes accueillis par deux quinquagénaires que pierre me présente comme
étant Rolland et jacques. Le lieu est enfumé la musique est forte des gens
dont la plus part sont des hommes s'éclatent sur la piste de danse.
L'endroit est plutôt sympas avec une décoration très années 60 et les
quelques femmes qui si trouvent sont grandes et d'allure masculines .
Rolland et Jacques nous invitent à nous asseoir au comptoir et font mettre
une bouteille de whisky avec quatre verres.
Je reconnaît que si j'étais plutôt tendu en arrivant, nos hôtes très sympas me font me sentir au fur et
à mesure que la soirée s'écoule de plus en plus à mon aise je n'aurai
jamais crû trouver des gens aussi gentils qu'adorables. La clientèle est
relativement âgée l'établissement doit contenir environ 300 personnes
j'aperçois des hommes s'embrasser tendrement et bizarrement cela ne me
choque pas, bien au contraire j'éprouve comme une certaine excitation à
les voir faire. En particulier un chauve bedonnant et barbu qui est
en train de caresser le sexe de son ami moustachu en lui tirant une
gamelle. J'essais de retirer mon regard de ce couple qui à ma grande
honte me fait bander
GLISSEMENTS
Puis le D'J demande à tout le monde de regagner sa table pour laisser la
place au spectacle . Après avoir vu plusieurs travestis imité tour à tour
Mireille Mathieu, Dalida, Sheila et autres, je me rends compte que Pierre
est en discutions avec un homme d'une trentaine d'année prés de la porte
d'entrée et que celui-ci sort avec lui dans le parc. Jacques qui est
resté avec moi m'avoue que pierre est homo et qu'il ne me l'avait jamais
dit de peur de me fâché. Et moi depuis tout ce temps qui ne m'était pas
rendu compte bravo Pierrot! Je lui dit que cela ne changerai rien à mes
sentiments d'amitié que j'avais pour lui et qu'il aurait dû m'en parler
plus tôt. Jacques me dit même que s'il m'avait emmené ici ce soir
c'était dans le but de me le dire et qu'ils avaient décider tous les trois
d'un commun accord devant le manque de courage de Pierre à m'avouer la
chose d'agir comme il a agi, c'est-à-dire sortir avec un homme devant moi. Il est vrai que depuis que nous nous connaissons jamais je ne l'avais vu
avec une femme et maintenant que j'y pense je me dit que cela aurait dû me
sauter aux yeux.
Dans la conversation jacques me révèle également être en couple depuis
prés de 25 ans avec Rolland et que si leur aventure à tant durer c'est
grâce au fait qu'il sont très cool et que chacun à droit à quelques
sorties de routes ensemble ou séparément .
D'ailleurs Rolland est très occupé avec un jeune homme charmant et plutôt
bien foutu. Ce qui fait dire en Jacques en riant qu'il est fort possible à
moins d'un retournement de situation qu'il soit obligé de dormir seul ce
soir. Jacques est un homme de taille moyenne cheveux et fine moustache
grisonnants, plutôt bien pour son age. Il porte une chemise blanche
ouverte qui laisse entrevoir une poitrine velue qui surplombe un ventre
rond qui tient difficilement un pantalon à pince avec des mocassins à
pompons. La discussion continue tard dans la nuit, je me sent bien j'aime
écouter cet homme si marrant qui traite tout les sujets sous le coup de la
dérision. Puis la musique s 'arrête car il est maintenant 6 heures les
clients sont presque tous partis sauf quelques récalcitrants qui
continuent à s'embrasser sur les banquettes et que Jacques très poliment
met dehors. Pierre n'est pas revenu et je m'inquiète un peu. Vite
rassuré par mon nouveau copain qui me dit qu'il est partis faire l'amour
avec sont nouvel amant. Il me dit également ne pas pouvoir me raccompagné
puisque Rolland à pris la voiture pour aller sauter son jeune copain (Ce
sont ses mots). Je lui demande de bien vouloir appeler un taxi, il me prie
de rester encore un peu pour boire un verre ce que je ne refuse pas malgré
la quantité d'alcool ingurgitée.
Après avoir bu un dernier verre il me propose un plat de pâtes à l'étage supérieur. Nous arrivons devant une
porte fermée à clé que Jacques ouvre et me fait pénétrer dans un duplex
luxueux décorer de statues et de toiles d'hommes très dénudés avec une
cuisine américaine et au fond de la pièce un immense lit à baldaquin
entouré de tentures pourpres. Après avoir dégusté les pâtes carbonara de
mon hôte, nous nous installons sur le grand canapé pour terminé notre
verre de vin. Je suis plutôt ivre, pas étonnant avec tout ce que j'ai
bu ce soir et mon hôte qui continue à me servir cet excellent vin rouge.
Tout le duplex tourne autour de moi et Jacques avec. Je n'arrête pas de
me marrer ce qui fait rire Jacques qui est aussi bourré que moi et qui,
pour me parler, pose son front contre le mien. A nous voir on dirait que
l'on se connaît depuis des années . Puis il se le lève en vacillant se
dirige vers la sono et met une musique douce, prépare un joint sur la
table puis revient vers moi me prend la main en me tirant vers lui afin
que je me lève pose ses mains autour de ma taille, m'oblige à passer mes
bras autour de son cou et me dit en riant "je t'invite à découvrir le slow
avec un mec".
REALISATION
On ne sait pas qui tient qui, j'ai l'impression que si l'un des deux tombe
il entraîne l'autre dans sa chute. Il me serre délicatement puis me
repousse légèrement pour me faire tirer une goulée de sa mixture à base de
tabac et d'herbe. Je sens au travers de son pantalon son sexe dur qui se
frotte contre ma cuisse, ses mains font un mouvement de haut en bas sur mon
dos, s'attardant sur mes fesses. J'éprouve une sensation étrange, mon
souffle s'accélère il repousse mes cheveux et me passe la bouche dans le
cou, sa langue pénètre mon oreille mon désir grandit je le serre, puis il
tourne lentement sa tête vers moi et je lui donne ma bouche. Sa langue
remue doucement dans ma bouche je sens sa moustache, ça m'excite je lui
fait sentir en frottant mon sexe dur contre le sien. Il embrasse bien,
je lui aspire la langue, frotte la mienne contre la sienne, ses mains me
pétrissent maintenant les fesses, je le serre de plus en plus fort, je
sens son sexe grossir, j'ai envie de le sucer sentir cette bite dans ma
bouche sur ma langue. Il me fait de plus en plus gémir. Je veux pas que
ce baiser s'arrête. Il prend ma main me mène sur le canapé, toute sa
chemise est ouverte, je vois son torse velu qul est beau, je le lui
caresse pendant qu'il me fait fumer les restes du joint, sa toison est
douce ses tétons sont développés, je les fait rouler sur mes lèvres avec
ma langue tandis que de ma main droite je caresse sa queue au travers de
son pantalon. Je défait sa ceinture dégrafe les boutons de son pantalon,
lui retire ses chausses et se chaussettes et fait glisser le pantalon sur
ses mollets. Je devine la forme de son sexe au travers de son slip, je
sait pas si c'est l'alcool et le joint mais j'ai l'impression qu'il est énorme, et moi qui pensait avoir le plus gros du monde bouffon va !! Un
fois que je l'ai mis en slip je me lève difficilement et me met en slip à
mon tour. Il se lève m'embrasse goulûment et me mène vers le lit.
Arrivé à coté de celui-ci il retire son slip et me laisse découvrir un
sexe raide gonflé, ses couilles sont bien rondes bien poilues ainsi que
son ventre. J'ai de plus en plus envie de ce mec. Je n'arrive pas à
enlever mon regard de son ventre je trouve cette bite belle, elle a du en
contenter des hommes. Je retire mon slip et m'allonge nu sur le lit, il
se met sur moi et m'embrasse de nouveau, comme je suis bien que j'aime ces
caresses nouvelles pour moi, que de temps perdu. On s'embrasse à perdre
haleine, sa bite frotte mon ventre je le décolle lentement de moi et pose
ma main sur sa queue. Elle est chaude, gonflée, douce, il m'embrasse en
poussant de gémissements de plaisir. Je le branle puis malaxe ses
couilles j'adore caresser une bite. Sa main a pris mon sexe il le serre
le caresse pendant qu'il me lèche les seins. Quelle sensation de plaisir
encore une caresse inconnue de moi, il les aspire tout en faisant
descendre sa main en dessous de mes testicules pour venir me titiller mon
intimité jusque là inviolée. Son doigt caresse mon anus, s'aventurant
lentement à l'intérieur de celui-ci. Il est entièrement dedans il va et
vient dans mon ventre alors que sa bouche s'active sur mes tétines toutes
gonflées et tellement sensibles à cette caresses. J'ai toujours sa bite
bien en main. Je n'ai jamais ressenti une telle sensation de plaisir mon
corps entier est embrasé. Je le repousse sur le dos, lèche ses seins,
descends lentement au travers de sa toison en prenant bien soin de passer
ma langue sur tout son corps, ma tête se rapproche de plus en plus de ce
sexe que je n'aurais jamais pu imaginer caresser voire sucer. Je passe ma
langue sur son gland puis lentement l'aspire et le suce. Son doigt est de
nouveau enfoui dans mon cul, s'il continue je vais jouir tant la caresse me
plait. Puis il met un deuxième doigt je hurle de plaisir. J'enfonce sa
queue au fond de ma gorge, l'aspire la lèche la fait rouler sous ma
langue, elle a bon goût je la sucerait des heures tant c'est bon. Il me
fait mettre mon sexe vers sa bouche et tout en branlant mon cul il me suce
à son tour. Nous n'arrivons pas à nous décoller tant c'est bon. Il me
fait mettre sur le ventre et vient fourrer sa langue dans mon trou du cul. C'est l'apothéose, cette langue quel plaisir je lui demande en gémissant
de ne pas s'arrêter. Il prends tellement son pied que j'ai pas besoin de
lui dire.
Après un long moment de caresses buccales il remonte le long de
mon corps en frottant le sien au mien et pose sa bite entre mes fesses
qu'il caresse avec puis délicatement, je sent son doigt me déposer une
crème qui rafraîchie mon trou de balle. Je n'en peut plus je suis
tellement excité que j'ai une énorme envie de me faire enculer le restant
de la journée. Je sent sa grosse bite se positionner dans mon trou et
d'un coup sec il m'embroche. J'ai l'impression de mouiller je sens son
dard dans mon ventre je crie, gémie, lui crie encore, encore. Il me lime
vite puis ralentit, accélère, s'arrête parfois pour que je le supplie de
continuer. Il sort il entre il me régale. Je le pousse, me retourne, met
mes jambes contre ma poitrine l'invitant à me prendre de nouveau. Il se
fait pas prier il me baise comme une chienne et j'aime ça en criant c'est
bon et me disant des mots doux. Pendant ce temps je me branle mon sexe est
dressé et son ventre viens le heurter dans ses mouvements de va et vient, sa
respiration s'accélère il crie qu'il va jouir, son sperme chaud se déverse
dans mon cul je le sens couler sur mes cuisses entre mes fesses, il pousse
un grand cri puis se laisse tomber sur moi encore essoufflé. Je sens à
mon grand désespoir sa queue débander puis sortir tout naturellement de ma
fente. Il lève la tête m'embrasse à pleine bouche et me dit que c'était
bon. Après avoir repris ses esprits il prends ma queue dans sa bouche et
me pompe jusqu'à me faire jouir. Après avoir fumer de nouveau un joint on
a remis la table et nous nous sommes endormis dans les bras l'un de
l'autre aux environs de 14 heures . Je venais sans aucun regret de goûter
pour la première fois de ma vie et pas la dernière aux bienfaits de
l'homosexualité .
Michel
Marseille
|