Je suis un homme de 35 ans, et je voudrais raconter cette
expérience réelle de soumission et de travestissement qui
m'est arrivée cette année. En avril 2005, je me suis présenté
pour la première fois de ma vie habillé en vêtements féminins,
en soubrette, devant un couple d'inconnus, pour faire le
ménage chez eux. Une sensation extraordinaire dont je me
souviendrai toute ma vie. Mais avant de continuer, je dois
commencer par expliquer comment j'en suis arrivé là, moi
le jeune ingénieur issu d'un milieu bourgeois catholique
!
Timide avec les filles, j'ai eu ma première relation sexuelle
assez tard, à 23 ans. Avant, adolescent, à défaut de pouvoir
tenir dans mes bras et caresser une fille, je m'étais rabattu
sur le tiroir de lingerie de ma mère, caressant les petites
culottes, les collants. Enhardi, j'en étais venu à en porter
en cachette pour me masturber.
Après 23 ans, avec (enfin) l'arrivée de mes premières relations
sexuelles, j'avais bien sûr arrêté ce comportement. Et puis
un jour, alors que j'étais en séjour professionnel de plusieurs
mois à Hong-kong, a commencé une relation avec une chinoise
: mince, élégante, elle était assez "coincée" au début de
notre relation, et était en fait vierge. Mais une fois qu'elle
se fut décidée à franchir le pas et coucher avec moi, ce
fut un changement complet : elle voulait toujours plus de
sexe, et se mit à s'habiller de plus en plus sexy. Toujours
en jupe ou robe moulante en soie s'arrêtant à mi-cuisses
sur des collants noirs avec des escarpins, petite culotte
et déshabillé en soie.
Après, une fois où nous avions parlé de lingerie, je me
décidai à lui offrir des bas Dim-Up. Quelques jours plus
tard, elle arriva un soir et je découvris, fou de joie,
qu'elle portait sous sa jupe en soie noire des bas "normaux"
retenus par un porte-jarretelles. Ensuite, à chacune de
nos rencontres, elle ne portait plus sous ses vêtements
que bas et porte-jarretelles et s'était même acheté une
guêpière. Provocante, sexy, elle me rendait fou, faisant
renaître mon fétichisme pour la lingerie. Sentir les jarretelles
sous sa jupe dans la rue, caresser ses jambes gainées de
nylon, la soie de ses petites culottes, de ses soutiens-gorge,
de ses déshabillés était presque plus excitant pour moi
que de lui faire l'amour.
Malheureusement notre relation s'arrêta, et je rentrais
ensuite en France. Avec ma fiancée, maintenant ma femme,
sexuellement ce n'est pas le niveau de mon ancienne copine
: elle ne met que de la lingerie en coton... Une fois, je
lui ai offert des bas et un porte-jarretelles pour son anniversaire,
mais elle ne l'a mis qu'une fois et depuis, mes suggestions
restent sans effets. Je m'en accommode, mais je fantasme
évidemment très souvent sur mon ancienne copine. Surfant
sur le Net, j'étais passé au fil des mois des sites de lingerie
aux sites d'hommes aimant revêtir de la lingerie féminine,
puis d'hommes féminisés par des maîtresses, habillés en
soubrettes... puis finalement d'hommes féminisés et sodomisés
avec un gode-ceinture par leurs maîtresses.
Je fantasmais de plus en plus souvent sur ces histoires,
et me masturbais en y pensant jusqu'à éjaculation. Puis
j'ai réalisé que j'avais franchi un cap le jour où, en (re-re-re-)lisant
l'histoire d'un travesti habillé en soubrette, puis forcé
à faire une fellation à un homme tandis que sa maîtresse
le sodomisait avec un gode-ceinture, j'ai eu une érection
(alors que je ne suis pas du tout homosexuel).
Ces envies de travestissement en lingerie et uniforme de
soubrette, de soumission, et même d'homosexualité grandissaient
en moi, mais malgré tout, cela restait pour l'instant du
domaine du fantasme... jusqu'au jour où je fus envoyé professionnellement
en mission à Nancy pour six mois. Cela ne valait pas le
coup de déménager, je louais donc un studio à Nancy, ne
rentrant qu'un week-end sur deux à Paris. Seul le soir,
je m'étais naturellement remis à surfer sur Internet, en
toute liberté. Et de plus en plus, je ressentais un besoin
physique d'aller plus loin, de toucher à nouveau cette soyeuse
lingerie féminine : désormais seul, je pouvais et je voulais
franchir le pas vers le travestissement...
Enhardi, je profitais des soldes de Janvier 2005 pour me
refaire une garde robe à moindre coût : je m'achetais dans
une boutique de lingerie une petite culotte beige en satin,
le soutien-gorge assorti, un collant noir, un porte-jarretelles
noir, une paire de bas noirs, une nuisette en satin. Coup
de chance, je trouvais dans une boutique de chaussures des
escarpins vernis noir taille 40, qui, après essayage à la
maison, m'allaient parfaitement. Je ne trouvais pas de blouse
en nylon blanc à ma taille, mais une de mes chemises ferait
l'affaire. Il me fallait ensuite une jupe.
Je tenais absolument à trouver une jupe en soie noire,
moulante, et au-dessus du genou, comme portait mon ancienne
copine. Mais impossible à trouver, et en plus, ne possédant
pas l'anatomie d'une femme, il aurait de toutes façons fallu
la faire reprendre (et là, pas question de demander à une
couturière...!). Seule solution : la faire moi-même... J'allais
donc dans une boutique de tissus, et achetais deux mètres
de satin noir, du fil, des aiguilles, une fermeture éclair,
des épingles à nourrice, des agrafes pour la fermeture de
la jupe à la ceinture, et un petit livre de couture avec
des illustrations.
Impatient, je rentrais rapidement chez moi. Pour la première
fois, j'allais pouvoir me travestir en toute liberté ! J'étais
heureux. Je pris une douche, puis m'habillai avec mes nouveaux
vêtements: les bas que je lissai soigneusement sur mes jambes
avant de les accrocher aux jarretelles en prenant soin que
celles-ci soient droites, le soutien-gorge, la nuisette,
la petite culotte qui frottait agréablement contre le nylon
des bas tandis que je la remontais le long de mes jambes
pour la fixer sur mes fesses. Quel plaisir de sentir le
soutien-gorge me serrant la poitrine, le nylon sur mes jambes,
mes fesses serrées dans la petite culotte qui caressait
également mon sexe en demi-érection. Maintenant il était
temps de me mettre au travail sur ma jupe. Sa confection
me prit de nombreuses soirées et week-ends, avec beaucoup
de tâtonnements et d'essayages. Mais je suis perfectionniste
et minutieux, et je voulais que tout soit parfait. Finalement
la jupe fut prête: bien moulante, s'arrêtant au dessus du
genou, avec une fermeture-éclair au dos convenablement camouflée
dans un pli, une fente en bas du dos, un ourlet, renforcée
au niveau de la ceinture, et se fermant en haut par deux
agrafes de jupe. Ce jour là, je m'habillais à nouveau entièrement,
y compris mes escarpins, et je revêtais ma jupe enfin terminée.
Je me regardais dans la glace, faisais plusieurs pas. Comme
c'était agréable de sentir le nylon sur mes jambes, la jupe
et la nuisette frottant sur ma petite culotte qui frottait
sur mes fesses. Finalement, je portais mon collant et non
mes bas, car j'adorais sentir le collant frotter en plus
sur mes fesses. Je continuais à marcher à petits pas devant
la glace. Je passais mes mains sur mes hanches en lissant
ma jupe, balançait mes hanches pour avoir la démarche la
plus féminine possible en marchant sur mes escarpins de
8 cm.
Et soudain se produisit un déclic.
Pourquoi à ce moment-là et pas avant, je ne sais pas, mais
de me voir ainsi dans la glace, mes longues jambes minces
gainées de nylon prolongées par les escarpins, ma jupe me
moulant les hanches et les fesses, et de sentir les épaisseurs
de nylon frottant sur ma peau: soudainement je me sentis
belle, sexy, je n'avais plus de sentiment de honte ou de
ridicule en me regardant dans les yeux dans la glace. Mon
sexe en semi-érection, j'imaginais que j'étais en train
de m'habiller la plus sexy possible pour aller retrouver
un bel homme, je voulais sentir son regard excité sur mes
vêtements durant toute la soirée, puis sa main me caresser
les jambes, me caresser mes fesses au travers de ma jupe...
sentir ainsi le satin de ma jupe frotter sur ma petite culotte
et ma peau, tandis que mon sexe, tiré en arrière entre mes
jambes et retenu par ma culotte, se tendrait en vain pour
sortir de sa prison de satin.... puis ressentir sa main
remonter le long de mes bas, puis sous ma jupe jusqu'à ma
petite culotte...
Ces pensées folles traversaient mon esprit, et je sentais
mon sexe en érection pousser contre ma petite culotte, dont
le frottement sur mon sexe m'excitait encore plus. Fébrilement,
je retroussais ma jupe, baissais mon collant, sortais mon
sexe et me masturbais jusqu'à éjaculation, excité comme
jamais...
J'acceptais de plus en plus mon travestissement, et passais
chaque soir à me travestir entièrement et à pratiquer ma
démarche en escarpins. J'avais un sentiment de manque, je
voulais aller plus loin, tout en n'osant pas...
Mais si je voulais vivre en vrai une expérience de travestissement,
je savais bien que ces 6 mois loin de chez moi était l'occasion
rêvée... Ne souhaitant rien de sexuel en réel, en tout cas
pas au début, je décidais de passer sur un site de petites
annonces de la ville une annonce "Jeune homme prêt à faire
du ménage gratuitement chez femme/couple en échange d'être
traité de façon autoritaire", suivi d'explications où je
disais vouloir m'échapper de ma vie professionnelle très
prenante et de mes responsabilités, et ne faire rien d'autre
qu'obéir.
Rien ne se passa pendant trois semaines, puis un jour je
reçus un e-mail d'un couple à la retraite disant : "Pourquoi
pas ? Ma femme est intéressée à l'idée d'avoir un homme
plus jeune qu'elle qui lui obéira". Cela commençait bien,
mais il restait le plus difficile : je me jetais à l'eau
et répondais ainsi à leur e-mail :
"Avant que nous continuions, il y a un point dont je dois
vous parler, car il est essentiel pour moi :
Psychologiquement, afin de bien rentrer dans mon « rôle
» de servante, et d'adopter l'attitude docile dont je parlais
dans mon e-mail précédent, j'ai besoin de devenir quelqu'un
d'autre... de me « transformer » complètement ... de me
transformer en servante bien sûr... Il m'est donc indispensable
de revêtir mon uniforme de servante pour entrer dans la
peau de mon « personnage » de servante : il s'agit d'un
uniforme féminin évidemment, comme vous pouvez le voir sur
les photos ci-jointes : jupe noire en satin, chemisier blanc,
collants noirs, escarpins. J'espère que cette « exigence
» de ma part ne vous pose pas de problèmes : ce sera la
seule, pour le reste j'obéirai aux « instructions » de Madame
(et de Monsieur) ! Je tiens à préciser que cet uniforme
que je porterai en votre présence fait beaucoup plus que
rendre mon apparence et ma silhouette féminines : chaque
fois que je revêts ma lingerie, mes collants, ma jupe et
mes escarpins, et que je me regarde dans une glace, je n'ai
plus qu'une envie : être la plus féminine possible, être
docile et soumise, et adopter un comportement obéissant
envers la personne qui me donne des ordres. Mais je sais
que, par dessus tout, ce sera le fait de savoir que je suis,
ainsi féminisée, exposée au regard moqueur d'une inconnue
et d'un inconnu qui renforcera encore chez moi ce mélange
de sentiments de féminité, et de soumission. Une fois que
mes tâches seront terminées et que vous m'aurez donné congé,
je me rechangerai en habits d'homme et repartirai discrètement
reprendre ma vie "normale"...
Qu'en pensez-vous ?
Si vous êtes d'accord, répondez moi, et nous pourrons mettre
sur pied les détails d'une première rencontre.
A bientôt j'espère,
Alain (ou Annie)"
J'étais quasiment certain que leur réponse serait négative,
alors quand je vis 2 jours plus tard que j'avais une réponse
et qu'ils me disaient qu'ils n'étaient pas contre l'idée,
mon coeur se mis à battre très vite ! Brusquement, la perspective
que mon fantasme devienne réalité se présentait. L'échange
d'emails se poursuivit les trois semaines suivantes et nous
fîmes connaissance petit à petit. Plus motivé que jamais,
je me travestissais tous les soirs et m'entraînais consciencieusement
à marcher avec mes hauts talons pour acquérir une démarche
plus assurée et féminine.
Je m'achetais aussi une perruque dans un magasin de déguisement.
Elle n'était pas très belle, mais une vraie perruque était
hors de prix. Puis arriva le moment à la fois espéré et
redouté : ils me proposèrent de passer chez eux le lundi
suivant à 16h, en tant qu'homme la première fois pour faire
connaissance, puis si tout se passait bien, en tant qu'"Annie"...
Je passais le week-end à y penser, plein d'excitation. C'est
une chose de fantasmer, une autre de passer à l'acte dans
le monde réel... Me présenter devant des inconnus et parler
avec eux en sachant qu'ils connaissent mon fantasme le plus
intime... En outre, étant fiancé, je tenais à garder un
anonymat total. Curieusement, j'étais encore plus gêné à
l'idée de me présenter devant eux en homme, j'aurais voulu
qu'ils me voient uniquement en femme.
Le lundi arriva, et je ne parvenais pas à sauter irrémédiablement
le pas. J'hésitais et hésitais encore, mais le fossé psychologique
était trop grand... Par courtoisie, je leur envoyais un
email en début d'après-midi pour leur dire que j'avais besoin
de plus de temps. Le soir, j'avais une réponse où ils me
disaient qu'ils comprenaient tout à fait que c'était difficile.
Dans la suite ils me disaient que mon fantasme était tout
à fait normal et que beaucoup d'hommes ressentaient le besoin
de se travestir, et qu'il fallait que je sois à l'aise...
Leur attitude me rassura, et le vendredi je prenais mon
courage à deux mains et décidais de les appeler. Mon coeur
battait tandis que le téléphone sonnait...
Finalement un homme décrocha. Je lui dis simplement que
c'était Alain. Il fut un peu froid au début. Puis, au fur
et à mesure, je le sentais devenir plus aimable. Je me lançais
alors et lui disait que j'étais prêt à venir chez lui directement
en tant qu'Annie pour faire le ménage. Il me dit que cette
conversation remplaçait la séance "entre hommes" qu'il envisageait
initialement, et qu'à priori ce serait possible que je vienne
chez eux lundi pour y faire le ménage. Il voulait en parler
à sa femme d'abord, et me proposait de le rappeler mardi
matin pour mettre cela au point, si j'étais toujours d'accord.
Je passais à nouveau un week-end à réfléchir... cette fois,
j'étais décidé à me jeter à l'eau. Mais il manquait quelque
chose : pour ce moment "historique" je tenais à être la
plus féminine possible, et je ne pouvais pas y aller décemment
avec des poils sur les jambes... Suivant des conseils trouvés
sur des sites de travestissement, j'achetais de la crème
dépilatoire. De retour chez moi, je me coupais les poils
des jambes, puis m'épilais avec la crème. Cela me pris du
temps. Je m'épilais aussi entre les jambes, l'anus, et autour
du sexe, avant de prendre une douche. Mes jambes étaient
très douces. Puis arriva mardi matin 11 heures. Je rappelais
le couple. La voix étranglée, je me forçais à dire : "C'est
Annie, Monsieur. Je suis prête à venir cet après-midi."
Il me félicita pour cette décision, et me dit qu'ils m'attendaient
à 15h. Puis il ajouta qu'il voulait me prévenir qu'ils attendaient
un visiteur impromptu cet après-midi, qui ne resterait que
10 minutes. Il me dit que pendant ce temps là ils m'enfermeraient
dans la salle de bains pour que l'homme ne me voie pas.
Ce n'était pas prévu au départ..., mais je décidais de leur
faire confiance. Je déjeunais, puis rassemblais mes ''affaires",
que je pliais soigneusement dans une sacoche: ma petite
culotte beige en satin, le soutien-gorge assorti, mon collant
noir, ma jupe en satin noir, ma nuisette en satin, ma chemise,
mes escarpins vernis noir, ma perruque. J'étais prêt...
14h40 : je sortais dans la rue et me dirigeais en direction
du quartier où habitais le couple. J'avais l'impression
d'être quelqu'un d'autre... 14h50 : j'arrivais devant leur
immeuble, j'étais en avance. Mon coeur battait, il était
encore temps de reculer... Comme si c'était quelqu'un d'autre
qui commandait mes mouvements, je m'avançais et sonnais
à leur sonnette. Encore 30 secondes d'excitation... La porte
s'ouvrit sur un homme... je gardais la tête baissée, remplit
de honte. Je le suivais dans l'escalier, puis entrais dans
la salle de bains qu'il me désigna. Je l'entendis dire "Quand
vous serez prête, Annie". Je refermais la porte, le coeur
battant... On y était. Je me déshabillais entièrement, puis
m'habillais en servante : je passais les bras dans mon soutien-gorge
que j'agrafais dans mon dos, en remplissant les bonnets
avec des collants roulés en boule. Je mettais ma petite
culotte, prenant soin de tirer mon sexe en arrière entre
mes jambes pour que surtout il ne risque pas de faire de
bosse sur le devant à travers ma jupe ! J'enfilais mon déshabillé
sur mon buste. Puis j'enfilais mes collants, les lissais
soigneusement sur mes jambes, les ajustais sur mes fesses.
La sensation du nylon sur mes jambes épilées était extraordinaire.
J'avais l'impression d'être encore plus femme... Puis je
mettais ma chemise, et enfilais ma jupe sur mes hanches.
Je remontais la fermeture-éclair au dos, sentant, au fur
et à mesure que je la remontais, mes fesses puis ma taille
serrée dans le satin de la jupe. Quelle sensation agréable...
Avec soin, j'agrafais les agrafes fermant la jupe au dessus
de la fermeture éclair. Je sentais mon corps complètement
emprisonné dans les épaisseurs de sa prison de nylon et
de satin. Je terminais mon habillement par mes escarpins,
et ma perruque. J'étais fabuleusement excité, mais curieusement
mon sexe n'avait pas envie de "grandir". En même temps j'étais
mort de honte à l'idée de me montrer ainsi devant l'homme,
et devant sa femme qui ne m'avait jamais vu... J'avais l'impression
d'être une autre personne... J'étais fou... Tremblant, j'ouvrais
la porte de la salle de bains, et trottinais à petits pas
sur mes hauts talons jusqu'au salon. J'entendis une voix
d'homme et de femme me dire "Bonjour Annie". Je n'osais
pas lever les yeux, le visage heureusement en partie dissimulé
par les cheveux longs de ma perruque. Puis la femme me donna
un seau rempli d'eau savonneuse et une éponge, et me dit
en me tendant un tablier : "Venez Annie, commencez par le
meuble ici". Je réussi à répondre "Oui Madame". Je passais
le tablier et me mis au travail. Ensuite je frottais à genoux
les marches de l'escalier intérieur, comme une servante...
puis je passais l'aspirateur. Ce n'était pas facile avec
les escarpins, mais je m'appliquais. Je sentais le nylon
du collant sur mes jambes rasées, mon sexe serré dans la
prison de ma petite culotte. Je m'habituais petit à petit
à l'idée d'être en servante devant le regard de ce couple.
Soudain j'entendis qu'on sonnait à la porte : le visiteur
! Je l'avais oublié celui-là... La sonnerie envoya une décharge
d'adrénaline dans mes artères, et je me hâtais vers la salle
de bains sur mes escarpins, à l'invitation de la femme.
Elle ferma la porte, mais pas à clé... Je l'entendis ouvrir
la porte d'entrée à un homme. Ils discutaient, j'entendais
la voix du visiteur... En passant devant la salle de bains,
j'entendis la femme dire : "Ici c'est la salle de bain,
vous n'avez pas besoin de la voir. Venez au salon". Mon
coeur battait. Mon Dieu, s'il s'était douté... Ils continuèrent
à parler, puis le visiteur reparti. La femme m'appela alors
"Annie vous pouvez sortir". Je sortais de la salle de bains,
puis continuais à faire le ménage. Au bout de plus d'une
heure, la femme me dit que je pouvais m'arrêter. Je rentrais
dans la salle de bains pour me déshabiller. J'avais la gorge
sèche, je n'arrivais pas à penser... A regret, je quittais
mes vêtements féminins, ma lingerie, pour remettre mes habits
d'homme. Je remerciais le couple, qui me dit au revoir,
et sortais dans la rue. J'avais l'impression d'être vidé.
J'avais vécu l'expérience la plus extraordinaire de ma vie.
Les pensées se bousculaient dans ma tête. Je passais la
soirée à repenser à cette après midi. Et dès le lendemain,
je ressentais l'envie de recommencer une séance chez ce
couple. Je les recontactais, les remerciais pour m'avoir
permis de concrétiser mon fantasme, et leur dire que j'étais
à leur service. Ils me répondirent que je pouvais venir
chez eux lundi prochain pour une nouvelle séance de ménage.
Je pensais avec anticipation à cette future séance toute
la semaine...
Le lundi suivant, à 15h, j'étais à nouveau chez le couple.
Ils me redonnèrent du ménage à faire, mais déjà, je voulais
aller plus loin : dans un Email envoyé la veille je leur
avais dit que j'aurais souhaité être plus féminine, et je
leur demandais leur aide pour acheter un chemisier en satin
féminin pour remplacer ma chemise trop masculine. Je demandais
aussi à la femme si elle pouvait m'aider pour me maquiller
lors de futures séances chez eux. Lorsque j'étais chez eux,
la femme me dit qu'elle m'aiderait, qu'elle pensait demander
à une amie à elle couturière de me faire faire une blouse
à ma taille. Je voulais devenir plus féminine et je fantasmais
sur de prochaines séances où je pourrais progresser dans
ma féminité... j'aurais aussi aimé être punie et recevoir
une fessée, comme celles que je recevais quelque fois étant
petit... Puis peut-être une nuit sortir dans la rue avec
eux habillée en femme, à l'abri des regards grâce à l'obscurité...
Cela serait fabuleusement excitant. Ma séance de ménage
terminée, je rentrais chez moi. Ce fut malheureusement la
dernière séance, car je fus très occupé professionnellement
les deux semaines suivantes, et ensuite je fus rapatrié
sur Paris plus tôt que prévu.
Je repense souvent en secret à ces moments délicieux où
j'étais une servante sous les yeux de ce couple, et je voudrais
aller plus loin...
Je ne veux pas de rapport sexuel anal, par contre je fantasme
de plus en plus souvent sur la fellation. Au fond de moi,
je désire vivre cette expérience. Que ressent-on lorsque
l'on prend un sexe d'homme dans sa bouche ? Que ressentirais
je en sentant entre mes lèvres un pénis en semi-érection,
que je devine tiède et un peu mou (?), devenir de plus en
plus dur ? Cela doit être fantastique de ressentir que l'on
excite l'homme à qui l'on cherche à donner du plaisir.
Faute de mieux, je me suis récemment acheté en secret un
gode imitant un sexe.
Après avoir lu des sites féminins donnant des conseils
pour bien faire une fellation, je me suis déjà entraînée...
Ce n'est pas facile de lécher le pénis, déglutir, et respirer
en même temps ! Mais j'y suis arrivé. Je me suis appliqué
à bien faire tourner ma langue autour du gland tout en l'humectant
de salive.
Mais je voudrais aller plus loin, et souvent je m"imagine
entièrement habillée en servante comme chez ce couple...
Une femme, elle-même habillée en lingerie, bas et escarpins,
me prend par la main et me dit "Venez Annie, je vais vous
enseigner l'art de la fellation." Elle me fait tout d'abord
regarder un film X où une femme en lingerie fait une fellation
à un homme. Puis un homme arrive en scène et remplace la
femme, continuant la fellation à sa place.
Fascinée et excitée par le film, je n'entends pas un homme
entrer dans la pièce. Il est nu. La femme m'amène devant
lui. Guidée par sa voix et ses mains, je m'agenouille devant
l'homme. Je ferme les yeux et prends avec mes deux mains
le sexe que je mets dans sa bouche. L'homme s'est lavé le
pénis, qui sent bon le savon. Son sexe commence à grandir
sous mes caresses. Je tire sur la peau de son pénis pour
découvrir entièrement son gland. Je passe ma langue dessus
d'un mouvement circulaire, comme je me suis entraînée à
le faire sur mon gode. Son sexe est maintenant en pleine
érection, et je continue à le lécher avec ma langue et mes
lèvres.
La femme me caresse doucement la tête et m'encourage. Pendant
tout ce temps, je sens le satin de ma jupe serrant mes fesses
et frottant sur celles-ci au travers de mon collant et de
ma petite culotte, je sens ma petite culotte frotter sur
mon sexe. Il est semi-érection et veut se tendre, mais,
retenu par le satin de ma petite culotte et par mon collant,
il reste emprisonné. Je suis fabuleusement excitée par la
situation, et mon excitation est encore augmentée par la
vision de la femme en bas porte-jarretelles et petite culotte
à mes côtés mais inaccessible. Je voudrais me masturber
pour me soulager, mais, à genoux et les cuisses serrées
dans ma jupe, je ne pourrais même pas glisser ma main jusqu'à
mon sexe si je le voulais...
Je suis sûre que la combinaison entre ma soumission, la
honte associée, le fait que des gens me voient habillée
en femme, la sensation du satin et du nylon sur tout mon
corps, la sensation de mon sexe dans sa prison de satin
que je ne peux atteindre, du pénis de l'homme dans ma bouche
que je m'applique à lécher, tout cela me rendrais excitée
comme jamais... Je me demande si au moment où l'homme éjaculera
dans ma bouche, j'aurai moi aussi un orgasme...
Qui peut m'aider à trouver la réponse ?
Ma lingerie et mon uniforme de servante sont soigneusement
rangés et cachés, prêts à être réutilisés...
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