TITRE : Découverte du Travestissement
Catégorie : 
Histoire Travesti et Trans
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Je suis un homme de 35 ans, et je voudrais raconter cette expérience réelle de soumission et de travestissement qui m'est arrivée cette année. En avril 2005, je me suis présenté pour la première fois de ma vie habillé en vêtements féminins, en soubrette, devant un couple d'inconnus, pour faire le ménage chez eux. Une sensation extraordinaire dont je me souviendrai toute ma vie. Mais avant de continuer, je dois commencer par expliquer comment j'en suis arrivé là, moi le jeune ingénieur issu d'un milieu bourgeois catholique !

Timide avec les filles, j'ai eu ma première relation sexuelle assez tard, à 23 ans. Avant, adolescent, à défaut de pouvoir tenir dans mes bras et caresser une fille, je m'étais rabattu sur le tiroir de lingerie de ma mère, caressant les petites culottes, les collants. Enhardi, j'en étais venu à en porter en cachette pour me masturber.

Après 23 ans, avec (enfin) l'arrivée de mes premières relations sexuelles, j'avais bien sûr arrêté ce comportement. Et puis un jour, alors que j'étais en séjour professionnel de plusieurs mois à Hong-kong, a commencé une relation avec une chinoise : mince, élégante, elle était assez "coincée" au début de notre relation, et était en fait vierge. Mais une fois qu'elle se fut décidée à franchir le pas et coucher avec moi, ce fut un changement complet : elle voulait toujours plus de sexe, et se mit à s'habiller de plus en plus sexy. Toujours en jupe ou robe moulante en soie s'arrêtant à mi-cuisses sur des collants noirs avec des escarpins, petite culotte et déshabillé en soie.

Après, une fois où nous avions parlé de lingerie, je me décidai à lui offrir des bas Dim-Up. Quelques jours plus tard, elle arriva un soir et je découvris, fou de joie, qu'elle portait sous sa jupe en soie noire des bas "normaux" retenus par un porte-jarretelles. Ensuite, à chacune de nos rencontres, elle ne portait plus sous ses vêtements que bas et porte-jarretelles et s'était même acheté une guêpière. Provocante, sexy, elle me rendait fou, faisant renaître mon fétichisme pour la lingerie. Sentir les jarretelles sous sa jupe dans la rue, caresser ses jambes gainées de nylon, la soie de ses petites culottes, de ses soutiens-gorge, de ses déshabillés était presque plus excitant pour moi que de lui faire l'amour.

Malheureusement notre relation s'arrêta, et je rentrais ensuite en France. Avec ma fiancée, maintenant ma femme, sexuellement ce n'est pas le niveau de mon ancienne copine : elle ne met que de la lingerie en coton... Une fois, je lui ai offert des bas et un porte-jarretelles pour son anniversaire, mais elle ne l'a mis qu'une fois et depuis, mes suggestions restent sans effets. Je m'en accommode, mais je fantasme évidemment très souvent sur mon ancienne copine. Surfant sur le Net, j'étais passé au fil des mois des sites de lingerie aux sites d'hommes aimant revêtir de la lingerie féminine, puis d'hommes féminisés par des maîtresses, habillés en soubrettes... puis finalement d'hommes féminisés et sodomisés avec un gode-ceinture par leurs maîtresses.

Je fantasmais de plus en plus souvent sur ces histoires, et me masturbais en y pensant jusqu'à éjaculation. Puis j'ai réalisé que j'avais franchi un cap le jour où, en (re-re-re-)lisant l'histoire d'un travesti habillé en soubrette, puis forcé à faire une fellation à un homme tandis que sa maîtresse le sodomisait avec un gode-ceinture, j'ai eu une érection (alors que je ne suis pas du tout homosexuel).

Ces envies de travestissement en lingerie et uniforme de soubrette, de soumission, et même d'homosexualité grandissaient en moi, mais malgré tout, cela restait pour l'instant du domaine du fantasme... jusqu'au jour où je fus envoyé professionnellement en mission à Nancy pour six mois. Cela ne valait pas le coup de déménager, je louais donc un studio à Nancy, ne rentrant qu'un week-end sur deux à Paris. Seul le soir, je m'étais naturellement remis à surfer sur Internet, en toute liberté. Et de plus en plus, je ressentais un besoin physique d'aller plus loin, de toucher à nouveau cette soyeuse lingerie féminine : désormais seul, je pouvais et je voulais franchir le pas vers le travestissement...

Enhardi, je profitais des soldes de Janvier 2005 pour me refaire une garde robe à moindre coût : je m'achetais dans une boutique de lingerie une petite culotte beige en satin, le soutien-gorge assorti, un collant noir, un porte-jarretelles noir, une paire de bas noirs, une nuisette en satin. Coup de chance, je trouvais dans une boutique de chaussures des escarpins vernis noir taille 40, qui, après essayage à la maison, m'allaient parfaitement. Je ne trouvais pas de blouse en nylon blanc à ma taille, mais une de mes chemises ferait l'affaire. Il me fallait ensuite une jupe.

Je tenais absolument à trouver une jupe en soie noire, moulante, et au-dessus du genou, comme portait mon ancienne copine. Mais impossible à trouver, et en plus, ne possédant pas l'anatomie d'une femme, il aurait de toutes façons fallu la faire reprendre (et là, pas question de demander à une couturière...!). Seule solution : la faire moi-même... J'allais donc dans une boutique de tissus, et achetais deux mètres de satin noir, du fil, des aiguilles, une fermeture éclair, des épingles à nourrice, des agrafes pour la fermeture de la jupe à la ceinture, et un petit livre de couture avec des illustrations.

Impatient, je rentrais rapidement chez moi. Pour la première fois, j'allais pouvoir me travestir en toute liberté ! J'étais heureux. Je pris une douche, puis m'habillai avec mes nouveaux vêtements: les bas que je lissai soigneusement sur mes jambes avant de les accrocher aux jarretelles en prenant soin que celles-ci soient droites, le soutien-gorge, la nuisette, la petite culotte qui frottait agréablement contre le nylon des bas tandis que je la remontais le long de mes jambes pour la fixer sur mes fesses. Quel plaisir de sentir le soutien-gorge me serrant la poitrine, le nylon sur mes jambes, mes fesses serrées dans la petite culotte qui caressait également mon sexe en demi-érection. Maintenant il était temps de me mettre au travail sur ma jupe. Sa confection me prit de nombreuses soirées et week-ends, avec beaucoup de tâtonnements et d'essayages. Mais je suis perfectionniste et minutieux, et je voulais que tout soit parfait. Finalement la jupe fut prête: bien moulante, s'arrêtant au dessus du genou, avec une fermeture-éclair au dos convenablement camouflée dans un pli, une fente en bas du dos, un ourlet, renforcée au niveau de la ceinture, et se fermant en haut par deux agrafes de jupe. Ce jour là, je m'habillais à nouveau entièrement, y compris mes escarpins, et je revêtais ma jupe enfin terminée. Je me regardais dans la glace, faisais plusieurs pas. Comme c'était agréable de sentir le nylon sur mes jambes, la jupe et la nuisette frottant sur ma petite culotte qui frottait sur mes fesses. Finalement, je portais mon collant et non mes bas, car j'adorais sentir le collant frotter en plus sur mes fesses. Je continuais à marcher à petits pas devant la glace. Je passais mes mains sur mes hanches en lissant ma jupe, balançait mes hanches pour avoir la démarche la plus féminine possible en marchant sur mes escarpins de 8 cm.

Et soudain se produisit un déclic.

Pourquoi à ce moment-là et pas avant, je ne sais pas, mais de me voir ainsi dans la glace, mes longues jambes minces gainées de nylon prolongées par les escarpins, ma jupe me moulant les hanches et les fesses, et de sentir les épaisseurs de nylon frottant sur ma peau: soudainement je me sentis belle, sexy, je n'avais plus de sentiment de honte ou de ridicule en me regardant dans les yeux dans la glace. Mon sexe en semi-érection, j'imaginais que j'étais en train de m'habiller la plus sexy possible pour aller retrouver un bel homme, je voulais sentir son regard excité sur mes vêtements durant toute la soirée, puis sa main me caresser les jambes, me caresser mes fesses au travers de ma jupe... sentir ainsi le satin de ma jupe frotter sur ma petite culotte et ma peau, tandis que mon sexe, tiré en arrière entre mes jambes et retenu par ma culotte, se tendrait en vain pour sortir de sa prison de satin.... puis ressentir sa main remonter le long de mes bas, puis sous ma jupe jusqu'à ma petite culotte...

Ces pensées folles traversaient mon esprit, et je sentais mon sexe en érection pousser contre ma petite culotte, dont le frottement sur mon sexe m'excitait encore plus. Fébrilement, je retroussais ma jupe, baissais mon collant, sortais mon sexe et me masturbais jusqu'à éjaculation, excité comme jamais...

J'acceptais de plus en plus mon travestissement, et passais chaque soir à me travestir entièrement et à pratiquer ma démarche en escarpins. J'avais un sentiment de manque, je voulais aller plus loin, tout en n'osant pas...

Mais si je voulais vivre en vrai une expérience de travestissement, je savais bien que ces 6 mois loin de chez moi était l'occasion rêvée... Ne souhaitant rien de sexuel en réel, en tout cas pas au début, je décidais de passer sur un site de petites annonces de la ville une annonce "Jeune homme prêt à faire du ménage gratuitement chez femme/couple en échange d'être traité de façon autoritaire", suivi d'explications où je disais vouloir m'échapper de ma vie professionnelle très prenante et de mes responsabilités, et ne faire rien d'autre qu'obéir.

Rien ne se passa pendant trois semaines, puis un jour je reçus un e-mail d'un couple à la retraite disant : "Pourquoi pas ? Ma femme est intéressée à l'idée d'avoir un homme plus jeune qu'elle qui lui obéira". Cela commençait bien, mais il restait le plus difficile : je me jetais à l'eau et répondais ainsi à leur e-mail :

"Avant que nous continuions, il y a un point dont je dois vous parler, car il est essentiel pour moi :

Psychologiquement, afin de bien rentrer dans mon « rôle » de servante, et d'adopter l'attitude docile dont je parlais dans mon e-mail précédent, j'ai besoin de devenir quelqu'un d'autre... de me « transformer » complètement ... de me transformer en servante bien sûr... Il m'est donc indispensable de revêtir mon uniforme de servante pour entrer dans la peau de mon « personnage » de servante : il s'agit d'un uniforme féminin évidemment, comme vous pouvez le voir sur les photos ci-jointes : jupe noire en satin, chemisier blanc, collants noirs, escarpins. J'espère que cette « exigence » de ma part ne vous pose pas de problèmes : ce sera la seule, pour le reste j'obéirai aux « instructions » de Madame (et de Monsieur) ! Je tiens à préciser que cet uniforme que je porterai en votre présence fait beaucoup plus que rendre mon apparence et ma silhouette féminines : chaque fois que je revêts ma lingerie, mes collants, ma jupe et mes escarpins, et que je me regarde dans une glace, je n'ai plus qu'une envie : être la plus féminine possible, être docile et soumise, et adopter un comportement obéissant envers la personne qui me donne des ordres. Mais je sais que, par dessus tout, ce sera le fait de savoir que je suis, ainsi féminisée, exposée au regard moqueur d'une inconnue et d'un inconnu qui renforcera encore chez moi ce mélange de sentiments de féminité, et de soumission. Une fois que mes tâches seront terminées et que vous m'aurez donné congé, je me rechangerai en habits d'homme et repartirai discrètement reprendre ma vie "normale"...

Qu'en pensez-vous ?

Si vous êtes d'accord, répondez moi, et nous pourrons mettre sur pied les détails d'une première rencontre.

A bientôt j'espère,

Alain (ou Annie)"

J'étais quasiment certain que leur réponse serait négative, alors quand je vis 2 jours plus tard que j'avais une réponse et qu'ils me disaient qu'ils n'étaient pas contre l'idée, mon coeur se mis à battre très vite ! Brusquement, la perspective que mon fantasme devienne réalité se présentait. L'échange d'emails se poursuivit les trois semaines suivantes et nous fîmes connaissance petit à petit. Plus motivé que jamais, je me travestissais tous les soirs et m'entraînais consciencieusement à marcher avec mes hauts talons pour acquérir une démarche plus assurée et féminine.

Je m'achetais aussi une perruque dans un magasin de déguisement. Elle n'était pas très belle, mais une vraie perruque était hors de prix. Puis arriva le moment à la fois espéré et redouté : ils me proposèrent de passer chez eux le lundi suivant à 16h, en tant qu'homme la première fois pour faire connaissance, puis si tout se passait bien, en tant qu'"Annie"... Je passais le week-end à y penser, plein d'excitation. C'est une chose de fantasmer, une autre de passer à l'acte dans le monde réel... Me présenter devant des inconnus et parler avec eux en sachant qu'ils connaissent mon fantasme le plus intime... En outre, étant fiancé, je tenais à garder un anonymat total. Curieusement, j'étais encore plus gêné à l'idée de me présenter devant eux en homme, j'aurais voulu qu'ils me voient uniquement en femme.

Le lundi arriva, et je ne parvenais pas à sauter irrémédiablement le pas. J'hésitais et hésitais encore, mais le fossé psychologique était trop grand... Par courtoisie, je leur envoyais un email en début d'après-midi pour leur dire que j'avais besoin de plus de temps. Le soir, j'avais une réponse où ils me disaient qu'ils comprenaient tout à fait que c'était difficile. Dans la suite ils me disaient que mon fantasme était tout à fait normal et que beaucoup d'hommes ressentaient le besoin de se travestir, et qu'il fallait que je sois à l'aise... Leur attitude me rassura, et le vendredi je prenais mon courage à deux mains et décidais de les appeler. Mon coeur battait tandis que le téléphone sonnait...

Finalement un homme décrocha. Je lui dis simplement que c'était Alain. Il fut un peu froid au début. Puis, au fur et à mesure, je le sentais devenir plus aimable. Je me lançais alors et lui disait que j'étais prêt à venir chez lui directement en tant qu'Annie pour faire le ménage. Il me dit que cette conversation remplaçait la séance "entre hommes" qu'il envisageait initialement, et qu'à priori ce serait possible que je vienne chez eux lundi pour y faire le ménage. Il voulait en parler à sa femme d'abord, et me proposait de le rappeler mardi matin pour mettre cela au point, si j'étais toujours d'accord.

Je passais à nouveau un week-end à réfléchir... cette fois, j'étais décidé à me jeter à l'eau. Mais il manquait quelque chose : pour ce moment "historique" je tenais à être la plus féminine possible, et je ne pouvais pas y aller décemment avec des poils sur les jambes... Suivant des conseils trouvés sur des sites de travestissement, j'achetais de la crème dépilatoire. De retour chez moi, je me coupais les poils des jambes, puis m'épilais avec la crème. Cela me pris du temps. Je m'épilais aussi entre les jambes, l'anus, et autour du sexe, avant de prendre une douche. Mes jambes étaient très douces. Puis arriva mardi matin 11 heures. Je rappelais le couple. La voix étranglée, je me forçais à dire : "C'est Annie, Monsieur. Je suis prête à venir cet après-midi." Il me félicita pour cette décision, et me dit qu'ils m'attendaient à 15h. Puis il ajouta qu'il voulait me prévenir qu'ils attendaient un visiteur impromptu cet après-midi, qui ne resterait que 10 minutes. Il me dit que pendant ce temps là ils m'enfermeraient dans la salle de bains pour que l'homme ne me voie pas. Ce n'était pas prévu au départ..., mais je décidais de leur faire confiance. Je déjeunais, puis rassemblais mes ''affaires", que je pliais soigneusement dans une sacoche: ma petite culotte beige en satin, le soutien-gorge assorti, mon collant noir, ma jupe en satin noir, ma nuisette en satin, ma chemise, mes escarpins vernis noir, ma perruque. J'étais prêt... 14h40 : je sortais dans la rue et me dirigeais en direction du quartier où habitais le couple. J'avais l'impression d'être quelqu'un d'autre... 14h50 : j'arrivais devant leur immeuble, j'étais en avance. Mon coeur battait, il était encore temps de reculer... Comme si c'était quelqu'un d'autre qui commandait mes mouvements, je m'avançais et sonnais à leur sonnette. Encore 30 secondes d'excitation... La porte s'ouvrit sur un homme... je gardais la tête baissée, remplit de honte. Je le suivais dans l'escalier, puis entrais dans la salle de bains qu'il me désigna. Je l'entendis dire "Quand vous serez prête, Annie". Je refermais la porte, le coeur battant... On y était. Je me déshabillais entièrement, puis m'habillais en servante : je passais les bras dans mon soutien-gorge que j'agrafais dans mon dos, en remplissant les bonnets avec des collants roulés en boule. Je mettais ma petite culotte, prenant soin de tirer mon sexe en arrière entre mes jambes pour que surtout il ne risque pas de faire de bosse sur le devant à travers ma jupe ! J'enfilais mon déshabillé sur mon buste. Puis j'enfilais mes collants, les lissais soigneusement sur mes jambes, les ajustais sur mes fesses. La sensation du nylon sur mes jambes épilées était extraordinaire. J'avais l'impression d'être encore plus femme... Puis je mettais ma chemise, et enfilais ma jupe sur mes hanches. Je remontais la fermeture-éclair au dos, sentant, au fur et à mesure que je la remontais, mes fesses puis ma taille serrée dans le satin de la jupe. Quelle sensation agréable... Avec soin, j'agrafais les agrafes fermant la jupe au dessus de la fermeture éclair. Je sentais mon corps complètement emprisonné dans les épaisseurs de sa prison de nylon et de satin. Je terminais mon habillement par mes escarpins, et ma perruque. J'étais fabuleusement excité, mais curieusement mon sexe n'avait pas envie de "grandir". En même temps j'étais mort de honte à l'idée de me montrer ainsi devant l'homme, et devant sa femme qui ne m'avait jamais vu... J'avais l'impression d'être une autre personne... J'étais fou... Tremblant, j'ouvrais la porte de la salle de bains, et trottinais à petits pas sur mes hauts talons jusqu'au salon. J'entendis une voix d'homme et de femme me dire "Bonjour Annie". Je n'osais pas lever les yeux, le visage heureusement en partie dissimulé par les cheveux longs de ma perruque. Puis la femme me donna un seau rempli d'eau savonneuse et une éponge, et me dit en me tendant un tablier : "Venez Annie, commencez par le meuble ici". Je réussi à répondre "Oui Madame". Je passais le tablier et me mis au travail. Ensuite je frottais à genoux les marches de l'escalier intérieur, comme une servante... puis je passais l'aspirateur. Ce n'était pas facile avec les escarpins, mais je m'appliquais. Je sentais le nylon du collant sur mes jambes rasées, mon sexe serré dans la prison de ma petite culotte. Je m'habituais petit à petit à l'idée d'être en servante devant le regard de ce couple. Soudain j'entendis qu'on sonnait à la porte : le visiteur ! Je l'avais oublié celui-là... La sonnerie envoya une décharge d'adrénaline dans mes artères, et je me hâtais vers la salle de bains sur mes escarpins, à l'invitation de la femme. Elle ferma la porte, mais pas à clé... Je l'entendis ouvrir la porte d'entrée à un homme. Ils discutaient, j'entendais la voix du visiteur... En passant devant la salle de bains, j'entendis la femme dire : "Ici c'est la salle de bain, vous n'avez pas besoin de la voir. Venez au salon". Mon coeur battait. Mon Dieu, s'il s'était douté... Ils continuèrent à parler, puis le visiteur reparti. La femme m'appela alors "Annie vous pouvez sortir". Je sortais de la salle de bains, puis continuais à faire le ménage. Au bout de plus d'une heure, la femme me dit que je pouvais m'arrêter. Je rentrais dans la salle de bains pour me déshabiller. J'avais la gorge sèche, je n'arrivais pas à penser... A regret, je quittais mes vêtements féminins, ma lingerie, pour remettre mes habits d'homme. Je remerciais le couple, qui me dit au revoir, et sortais dans la rue. J'avais l'impression d'être vidé. J'avais vécu l'expérience la plus extraordinaire de ma vie. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Je passais la soirée à repenser à cette après midi. Et dès le lendemain, je ressentais l'envie de recommencer une séance chez ce couple. Je les recontactais, les remerciais pour m'avoir permis de concrétiser mon fantasme, et leur dire que j'étais à leur service. Ils me répondirent que je pouvais venir chez eux lundi prochain pour une nouvelle séance de ménage. Je pensais avec anticipation à cette future séance toute la semaine...

Le lundi suivant, à 15h, j'étais à nouveau chez le couple. Ils me redonnèrent du ménage à faire, mais déjà, je voulais aller plus loin : dans un Email envoyé la veille je leur avais dit que j'aurais souhaité être plus féminine, et je leur demandais leur aide pour acheter un chemisier en satin féminin pour remplacer ma chemise trop masculine. Je demandais aussi à la femme si elle pouvait m'aider pour me maquiller lors de futures séances chez eux. Lorsque j'étais chez eux, la femme me dit qu'elle m'aiderait, qu'elle pensait demander à une amie à elle couturière de me faire faire une blouse à ma taille. Je voulais devenir plus féminine et je fantasmais sur de prochaines séances où je pourrais progresser dans ma féminité... j'aurais aussi aimé être punie et recevoir une fessée, comme celles que je recevais quelque fois étant petit... Puis peut-être une nuit sortir dans la rue avec eux habillée en femme, à l'abri des regards grâce à l'obscurité... Cela serait fabuleusement excitant. Ma séance de ménage terminée, je rentrais chez moi. Ce fut malheureusement la dernière séance, car je fus très occupé professionnellement les deux semaines suivantes, et ensuite je fus rapatrié sur Paris plus tôt que prévu.

Je repense souvent en secret à ces moments délicieux où j'étais une servante sous les yeux de ce couple, et je voudrais aller plus loin...

Je ne veux pas de rapport sexuel anal, par contre je fantasme de plus en plus souvent sur la fellation. Au fond de moi, je désire vivre cette expérience. Que ressent-on lorsque l'on prend un sexe d'homme dans sa bouche ? Que ressentirais je en sentant entre mes lèvres un pénis en semi-érection, que je devine tiède et un peu mou (?), devenir de plus en plus dur ? Cela doit être fantastique de ressentir que l'on excite l'homme à qui l'on cherche à donner du plaisir.

Faute de mieux, je me suis récemment acheté en secret un gode imitant un sexe.

Après avoir lu des sites féminins donnant des conseils pour bien faire une fellation, je me suis déjà entraînée... Ce n'est pas facile de lécher le pénis, déglutir, et respirer en même temps ! Mais j'y suis arrivé. Je me suis appliqué à bien faire tourner ma langue autour du gland tout en l'humectant de salive.

Mais je voudrais aller plus loin, et souvent je m"imagine entièrement habillée en servante comme chez ce couple... Une femme, elle-même habillée en lingerie, bas et escarpins, me prend par la main et me dit "Venez Annie, je vais vous enseigner l'art de la fellation." Elle me fait tout d'abord regarder un film X où une femme en lingerie fait une fellation à un homme. Puis un homme arrive en scène et remplace la femme, continuant la fellation à sa place.

Fascinée et excitée par le film, je n'entends pas un homme entrer dans la pièce. Il est nu. La femme m'amène devant lui. Guidée par sa voix et ses mains, je m'agenouille devant l'homme. Je ferme les yeux et prends avec mes deux mains le sexe que je mets dans sa bouche. L'homme s'est lavé le pénis, qui sent bon le savon. Son sexe commence à grandir sous mes caresses. Je tire sur la peau de son pénis pour découvrir entièrement son gland. Je passe ma langue dessus d'un mouvement circulaire, comme je me suis entraînée à le faire sur mon gode. Son sexe est maintenant en pleine érection, et je continue à le lécher avec ma langue et mes lèvres.

La femme me caresse doucement la tête et m'encourage. Pendant tout ce temps, je sens le satin de ma jupe serrant mes fesses et frottant sur celles-ci au travers de mon collant et de ma petite culotte, je sens ma petite culotte frotter sur mon sexe. Il est semi-érection et veut se tendre, mais, retenu par le satin de ma petite culotte et par mon collant, il reste emprisonné. Je suis fabuleusement excitée par la situation, et mon excitation est encore augmentée par la vision de la femme en bas porte-jarretelles et petite culotte à mes côtés mais inaccessible. Je voudrais me masturber pour me soulager, mais, à genoux et les cuisses serrées dans ma jupe, je ne pourrais même pas glisser ma main jusqu'à mon sexe si je le voulais...

Je suis sûre que la combinaison entre ma soumission, la honte associée, le fait que des gens me voient habillée en femme, la sensation du satin et du nylon sur tout mon corps, la sensation de mon sexe dans sa prison de satin que je ne peux atteindre, du pénis de l'homme dans ma bouche que je m'applique à lécher, tout cela me rendrais excitée comme jamais... Je me demande si au moment où l'homme éjaculera dans ma bouche, j'aurai moi aussi un orgasme...

Qui peut m'aider à trouver la réponse ?

Ma lingerie et mon uniforme de servante sont soigneusement rangés et cachés, prêts à être réutilisés...

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