TITRE : Découverte du pluralisme
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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Je m'appelle Sabine et j'ai vingt-cinq ans. Brune, aux yeux marron, une poitrine bien ferme et généreuse. J'habite Reims. Je coupe les poils de ma chatte pour que l'on puisse voir mon sillon à travers ceux-ci et montrer, ainsi, mon intimité. J'aime avoir le regard des hommes sur ma coquille d'amour.

Ma révélation sexuelle a eu lieu il y a de cela sept ans. J'habitais chez mes parents et préparais mon Bac. Nous étions au mois de juin. Mes parents durent partir une semaine pour préparer leur maison de campagne qui devait être louée pendant l'été.

J'avais potassé mes cours pendant deux jours entiers. Puis j'en eus un peu assez et décidai de me détendre. J'appelai mon petit ami de l'époque, Jérôme, qui lui aussi, révisait ferme. Il se pointa à la maison et se jeta littéralement sur moi. Après avoir fait l'amour, nous décidâmes de regarder la télé, tout en restant nus. J'aime bien voir Jérôme nu. Il est super bien foutu. Son sexe est épais et ses couilles bien pleines. Je ne manque jamais de jeter un coup d'œil discret vers son service trois pièces dès que je le peux.

Les différents programmes étant peu intéressants, Jérôme se mit à parcourir les cassettes vidéo rangées dans le meuble télé. Quant à moi, j'étais partie chercher du vernis à ongles dans la salle de bains. A mon retour, l'écran projetait un film porno. Je ne suis pas contre le fait de regarder ce genre de films, ils m'ont appris pas mal de choses, entre autres, la manière de sucer une bite.

Je vis, tout de suite, que c'était un film amateur. On y voyait une jeune fille, la vingtaine, avec deux gars, du même age, butinant tantôt le sexe de l'un tantôt celui de l'autre. Les deux garçons affichaient des sexes de très belles proportions.

La fille se mit sur le dos, écartant largement les cuisses et dévoilant à la caméra sa chatte toute lisse. Gros plan sur son abricot dont elle écartait les lèvres pour faire apparaître un superbe bouton bien gonflé.

Puis la bouche d'un des garçons vint se coller dessus et entreprit un savant cunnilingus. Elle semblait beaucoup apprécier. L'autre garçon s'était positionné à côté de la fille et lui présentait sa bite à sucer.

Je regardai Jérôme qui affichait une superbe érection. J'aime regarder son sexe lorsqu'il est tout raide. Son gland, bien rouge, surmonte une colonne de chair épaisse finissant par deux belles couilles souvent pleines. Cette image me met dans tous mes états en pensant au bien immense que cette queue me procure. Avant Jérôme, je n'étais que clitoridienne. Maintenant que je le connais, je suis devenue également vaginale. Il me remplit complètement à chaque fois, son gland butant bien au fond de ma chatte. Je sens bien la puissance de sa queue dans mon vagin et j'aime énormément ça. D'ailleurs, j'en redemande souvent.

- Ç'a l'air de te faire de l'effet, on dirait ?

- Pas à toi ?

- Si. Je crois bien que si !

J'avais porté une main à ma chatte pour constater qu'elle était très humide.

-Tu serais capable de faire cela ? dit-il en me désignant l'écran du doigt.

- Quoi ? Tu veux dire baiser avec deux gars ? Euh ! Je ne sais pas. Tu en ferais partie ou pas ?

- Non, je veux dire avec deux autres que moi et devant moi ?

- Faut voir. Ça dépend avec qui. Mais tu ne serais pas jaloux ?

- Je crois que non. A partir du moment où je serais présent. Au contraire, je crois que cela m'exciterait un maximum.

Cette évocation me troublait. Il est vrai que cette idée avait plusieurs fois traversé mon esprit. Avoir deux belles bites à ma disposition ne me déplairait pas. Cela restait de l'ordre du fantasme. Mais de là à le faire avec deux autres garçons que Jérôme me troublait, de plus si ce dernier était spectateur. Pendant quelques instants, je m'imaginai la scène. Cette situation, pour l'instant imaginaire, provoquait en moi une sensation étrange mêlée de gêne et d'excitation.

La fille, sur l'écran, était à quatre pattes, recevant dans sa chatte la bite de celui qu'elle venait de sucer et léchant la queue de l'autre à genoux face à elle.

Puis ce dernier glissa sous elle et remplaça la bite de son copain par la sienne dans la chatte brillante de mouille. L'autre garçon positionna son gland à l'entrée de son anus et on eut droit à une magnifique double pénétration. Les garçons s'enfonçaient au maximum. La fille y prenait, visiblement, beaucoup de plaisir, criant qu'elle aimait leurs queues, que c'était bon et que, surtout, ils ne s'arrêtent pas. A la vue de ces images, je sentis ma chatte s'humidifier encore plus. Quelles sensations pouvait-on ressentir avec deux bites dans ses orifices ? Plein de questions fusaient dans mon esprit.

Je regardai la queue de Jérôme qui, bien qu'il ait déjà joui, affichait une forme olympique.

J'étais partagée entre l'envie de regarder encore le film et celle de sucer cette belle colonne de chair à ma disposition.

Prenant la télécommande, je stoppai la diffusion de la cassette, à la grande déception de Jérôme. Je le calmai en m'asseyant en face de lui, écartant largement mes cuisses, lui montrant ainsi mon intimité luisante de désir. Des deux mains, j'écartai les lèvres de ma chatte, pour qu'il ait une vue imprenable de ma chatte béante, puis remontant vers le haut, je lui dévoilai mon clitoris que je sentais tout gonflé. Jérôme, tout en matant ma chatte, prit sa bite bien raide en main et commença à se caresser.

J'aimais le voir faire ça. Je me décidai à faire comme lui et ma main se mit à faire de longs allers et retours sur mon sillon. On se regardait, les yeux fixés sur le sexe de l'autre. Je ne résistai pas très longtemps devant cette situation et j'eus un orgasme violent. Je voulais à présent sucer Jérôme, mais surtout, recueillir le fruit de son plaisir dans ma bouche et y goûter. Ce serait la première fois que je lui ferais cela et j'espérais bien que ce serait pour lui une expérience inoubliable. Je me précipitai sur sa bite et la léchai comme si ma vie en dépendait.

Ma langue se promenait sur toute sa longueur, sans oublier ses couilles bien fermes. J'aspirai le gland de plus en plus vite. Je ne voulais pas faire durer le plaisir mais goûter, le plus vite possible, à son sperme. J'avais lu et vu, sur Internet, que certaines femmes sont adeptes de cette pratique et je ne voulais pas être en reste. Jérôme ne fut pas long à exprimer sa jouissance. Il voulut se retirer, car il n'était pas habitué à ce genre de prestation de ma part. Mais je retins sa bite avec ma main et je reçus de longs flots de sperme que j'avalai très lentement pour en apprécier la saveur. J'ai aimé sa liqueur au goût musqué. Je l'ai gardé un bon moment en bouche jusqu'à la dernière goutte, nettoyant son vit sur toute sa longueur et lui soutirant des spasmes de plaisir.

Deux jours plus tard, Nathalie, une copine de terminale me téléphona, nous invitant, Jérôme et moi, à une petite fête de fin d'année chez Jérémy son petit copain. Connaissant Nathalie et Jérémy, je sus immédiatement que quelque chose de sympa et d'excitant allait se passer le jour de cette fête. Pour l'occasion je demandai à Jérôme de me raser entièrement la chatte. Il le fit avec un plaisir non dissimulé. Je lui rendis la pareille, malgré ses protestations et lui rasai les couilles sans oublier la hampe et le pubis. Il était tout lisse et je m'empressai de connaître une nouvelle sensation en lui gobant les couilles et la bite. Cela se termina par une partie de jambes en l'air mémorable. Rarement je n'avais ressenti autant de plaisir que ce jour-là.

Le jour de la fête arriva. Sur place, Nathalie me prit à part pour m'annoncer qu'on allait bien s'amuser.

- Ecoute, en accord avec Jérémy, on a invité plus de mecs que de filles. Si tu vois ce que je veux dire. Nous avons la maison à nous pour deux jours. Les parents de Jérémy ne sont pas là. A nous la folie !

Nathalie semblait déchaînée comme je l'avais rarement vue. Jérémy semblait ravi de cette situation. Ces deux-là, c'était quelque chose. Ils aimaient le sexe et ne s'en cachaient pas.

Les invités arrivèrent au fur et à mesure. En effet, il y avait plus de garçons que de filles. En plus de Jérôme et Jérémy, il y avait quatre autres copains, dont Thierry et Marc qui m'avaient tour à tour draguée l'année précédente. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais prête, ce jour là, à céder à leurs avances. Je décidai de concrétiser mon fantasme, enfin, surtout celui de Jérôme.

Je délaissai Nathalie qui, à présent, s'accrochait au cou de Pascal, un autre copain, devant les yeux de Patricia, sa petite amie qui ne semblait pas offusquée de la situation. La soirée s'annonçait très chaude.

Je m'approchai de Jérôme qui était en pleine discussion avec Jérémy :

- Je crois que tu vas être content.

- Ah! Oui et pourquoi ?

- J'ai bien l'intention de faire ce que tu m'as suggéré l'autre jour.

- Tu veux dire..... ?

- Oui, tu as parfaitement, compris.

- Ok, mais avec qui ?

- Thierry et Marc.

- Pourquoi eux ?

- Avant toi, ils auraient bien aimé... si tu vois ce que je veux dire.

- Non, je ne vois pas ce que tu veux dire.

- Arrête de jouer les idiots. Baiser avec moi, bien sûr !

- Mais peut-être n'avaient-ils pas imaginé le faire ensemble, mais séparément ?

- A toi de les persuader.

Jérôme se dirigea vers Thierry et Marc qui étaient en pleine discussion avec Jérémy. Je le vis les prendre à part et leur dire quelques mots. Les deux garçons parurent surpris de ce qu'ils entendirent et me regardèrent avec étonnement. Mon coeur battait la chamade. Après quelques mots qui attisèrent leur sourire, Jérôme se dirigea vers Jérémy et lui parla à l'oreille. La musique battait son plein et nous avions déjà ingurgité quelques verres bien tassés. Je vis Jérémy quitter la pièce, revenir avec un caméscope à la main et le tendre à Jérôme. Puis il se dirigea vers moi et me dit, avec un petit clin d'oeil, que nous avions sa chambre à notre disposition à l'étage.

Jérôme, Thierry et Marc me rejoignirent et nous montâmes vers la chambre de Jérémy. Je sentais mes jambes flageoler, tellement excitée, mais aussi craintive de la suite des évènements. On n'y alla pas par quatre chemins, nous déshabillant immédiatement. Jérôme avait mis en marche le caméscope et tournait autour de nous, filmant en gros plan nos intimités. Les garçons ne bandaient pas encore franchement, mais leurs sexes étaient loin d'être au repos. La bite de Thierry était longue et fine, tandis que celle de Marc était plus épaisse. Leurs couilles semblaient bien fermes et pleines. Je regardai avec insistance ces deux beaux sexes et sentis déjà ma chatte devenir humide.

Me remémorant le film de l'autre jour, je me mis à genoux, les deux garçons à mes côtés. Je me saisis des deux bites, les branlant au même rythme pour les faire durcir, ce qui ne me prit pas beaucoup de temps et me permit ainsi de les sucer alternativement. Jérôme filmait, avec apparemment beaucoup de plaisir. Il me semblait bien excité. Je lui ai demandé de se déshabiller lui aussi. Je voulais voir sa queue bien raide, tout en continuant à sucer celles de mes deux acolytes.

Il posa la caméra et se dévêtit, me laissant une superbe vision de son chibre en pleine érection. Thierry me fit relever et m'allongea sur le lit, écartant mes cuisses de ses deux mains. Les trois garçons regardaient, avec envie, ma chatte largement ouverte et bien humide. Jérôme reprit le caméscope et fit un gros plan de celle-ci.

Marc me demanda de me caresser. Les deux garçons se branlaient en même temps que moi, puis Thierry posa sa bouche sur mon abricot et se mit à le lécher avec douceur et vigueur à la fois. Sa langue parcourait mon sillon de la base au clitoris, aspirant celui-ci, sans oublier d'insinuer sa langue dans mon vagin. Il faisait cela très bien, me procurant des sensations intenses.

Pendant ce temps, Marc m'avait présenté sa queue à sucer. Je m'appliquai du mieux que je pouvais, contenant mon plaisir et me concentrant sur le sien. Je léchai le vit sur toute sa longueur, puis m'attardai sur la base du gland avec le bout de ma langue, et, enfin, l'enfournai dans ma bouche jusqu'à sa base. Sa queue allait et venait dans ma bouche, comme elle l'aurait fait dans un vagin. Il me baisait littéralement la bouche.

Tellement excitée, je ne fus pas longue à jouir sous les coups de langue de Thierry vers lequel je projetais mon bassin en gémissant, la bouche remplie par la bite de Marc.

Jérôme filmait toujours. Je pouvais apercevoir son sexe qui me paraissait encore plus gros que d'habitude. J'eus envie d'une bite dans la chatte et exprimai mon désir aux deux garçons.

Thierry fut le premier à s'introduire en moi. Il s'enfonça lentement et facilement dans mon abricot trempé d'envie. Après plusieurs va-et-vient qui me donnèrent un plaisir immense, il se retira et laissa la place à Marc. Ils changèrent de place et j'eus droit à la bite de Thierry dans la bouche, mais surtout à celle de Marc dans mon antre. Sa bite épaisse me remplissait complètement et son gland butait au fond de mon vagin. Il entama des va-et-vient beaucoup plus rapides que ceux de Thierry et me fit jouir rapidement. Mais ce que je voulais, à ce moment, c'était les sentir tous les deux en moi.

Une première expérience de double pénétration hantait entièrement mon esprit. Je leur dis ce que je voulais et Marc se retira. Thierry s'allongea sur le lit et je m'empalai lentement sur sa queue, laissant une vue imprenable de ma chatte à Marc qui ne se priva pas pour mater. Jérôme, non plus, d'ailleurs, qui filmait tous azimuts, la bite toujours fièrement dressée. Je me demandai comment il pouvait résister sans venir me la mettre quelque part. Je ne restai pas longtemps sans réponse, car à peine Marc s'était-il enfoncé dans ma chatte que Jérôme posa le caméscope sur un meuble, prenant soin de bien le mettre en position pour pouvoir filmer la scène. Il s'approcha pour me présenter sa queue à lécher. Ce n'est pas à deux bites que j'avais droit comme prévu au commencement, mais à trois et dans mes trois trous ! J'étais remplie de toutes parts. Je me sentais bien, comblée, heureuse.

Je sentais les bites de Marc et Thierry qui frottaient la fine paroi séparant mon anus de mon vagin. C'était tout simplement divin et, cerise sur le gâteau, j'avais le grand plaisir de sucer mon chéri en même temps. J'étais aux anges, jouissant plusieurs fois sous les assauts de mes deux compères qui s'en donnaient à cœur joie.

Jérôme fut le premier à exprimer son plaisir. Il faut dire que je m'étais particulièrement déchaînée sur son méat puissant et généreux. Il déversa de longues giclées dans ma bouche et j'avalai sa liqueur, encore une fois, avec le plus grand bonheur. C'est à ce moment précis que la porte de la chambre s'ouvrit et que Jérémy, Natacha, Pascal et Patricia firent irruption dans la chambre.

Je nettoyais le sexe de Jérôme alors que Jérémy se saisissait du caméscope et s'approchait de nous. Natacha et Patricia commencèrent à déshabiller Pascal et se mirent toutes les deux à le sucer.

Pendant ce temps, Thierry et Marc me faisaient toujours autant de bien par de puissants allers et retours dans mon cul et ma chatte. Je sentis, au bout de quelques instants, un liquide brûlant envahir mon intestin. Thierry venait de se lâcher, pour mon plus grand plaisir. Quelques secondes plus tard, Marc se retira et envoya en se masturbant, de longs jets de sperme sur mon ventre, jusqu'à la base de mes seins. J'étais comblée. J'avais réalisé quelque chose que je n'aurais pas imaginé quelques jours auparavant. Je savais que Jérôme n'était pas jaloux et, qu'au contraire, excité par la situation, il m'encourageait, immortalisant ces instants sur vidéo.

Nous avons visionné la cassette avec Jérémy et Natacha le lendemain, ce qui nous a donné l'occasion de baiser tous les quatre, d'avoir ma première relation lesbienne avec Natacha et de voir, pour la première fois, la bite de Jérôme s'enfoncer dans une autre chatte que la mienne. J'avoue que j'y ai pris beaucoup plaisir et que cela m'a excitée au plus haut point.

Natacha lui criait qu'elle aimait sa bite, que c'était bon, qu'il continue. Pendant ce temps Jérémy n'était pas en reste et me pilonnait avec vigueur, m'arrachant plusieurs orgasmes. Il regardait sa copine se faire prendre par un autre tout en me baisant et cela devait lui plaire, car je sentais bien sa queue épaisse et dure comme du bois. Jérôme sortit de la chatte de Natacha pour jouir sur son ventre, mais cette dernière glissa sous lui et prit son sexe en bouche pour recueillir le fruit de sa jouissance. Jérôme se cabra et lâcha sa semence, que j'imaginais abondante, dans la bouche de Natacha.

Ne voulant pas être en reste, je fis de même lorsque je sentis Jeremy proche de l'explosion. Je le repoussai de ma chatte et gobai sa queue que je suçai avec vigueur. Son liquide chaud et épais avait un autre goût que celui de Jérôme. C'était fort et sucré en même temps. Je compris que chaque homme avait une saveur différente et que je n'en étais qu'à mes premières dégustations.

Nous avons recommencé, depuis, plusieurs fois, cette expérience une fois installés chez nous. Souvent avec Natacha, Jérémy, Patricia et Pascal, mais aussi, parfois, avec des inconnus rencontrés dans des boîtes spécialisées. Thierry et Marc sont venus, eux aussi, plusieurs fois à la maison sur mon invitation et pour mon plus grand bonheur. Cela a toujours, été fantastique, grâce à la présence et l'aval de Jérôme, toujours participant.

J'ai ainsi découvert mon goût immodéré pour la pluralité en matière de sexe. L'adage qui dit que plus on est de fous, plus on s'amuse me convient à merveille.

Je ne sais pas où a atterri la cassette de nos exploits, mais j'espère qu'elle donnera plein d'idées à ceux qui la regarderont.

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