Elle s'appelle Céline. C'est une fille superbe, un body
d'enfer. Une salope comme tout homme rêve d'en rencontrer
une, de la sortir, de la monter. Bien que marié à une très
jolie femme, j'avoue que si elle était mienne, c'est avec
fierté que je me promènerais à son bras.
L'autre jour, nous étions réunis, mon amie Béatrice, Céline
et moi. Après que Céline ait fait l'amour avec Béa de toutes
les façons possibles et imaginables, j'avais envie qu'elle
me fasse découvrir la douche d'or. Elle m'en avait si souvent
parlé, et avec un tel enthousiasme, que j'en avais conclu
que cela devait être un plaisir inouï.
Je me suis allongé par terre, sur le dos, le sexe déjà à
la verticale. Il faut dire que voir les deux femmes s'embrasser,
se carresser, se butiner, se doigter par devant et par derrière,
..., m'avait mis en appétit. Et puis le corps superbe de
Céline, ses seins magnifique, sa chatte d'ordinaire fermée
comme celle d'une vierge mais dont les lèvres étaient maintenant
gonflées par trois heures de plaisir ininterrompu, tout
cela me faisait bander comme un cerf.
Elle s'est approchée, elle a mis une jambe de chaque côté
de mon corps. Mon regard rencontrait d'abord son sexe, puis
ses magnifiques seins mais vus sous un angle inhabituel.
Je voyais à peine son visage mais je devinais sur ses lèvres
un sourire espiègle et sensuel. J'ai d'abord cru qu'elle
allait uriner debout, sur mon visage. Mais elle s'est accroupie.
Je crois que mon sexe s'est encore tendu. Sa chatte était
maintenant à quelques centimètres de mon gland. J'aurais
voulu qu'elle descende encore et qu'elle s'emplale sur cette
bite si dure, si gonflée qu'elle avait besoin d'un contact
pour s'apaiser. Mais Céline voulait rester fidèle à son
copain et je lui avais fait la promesse de ne pas pénétrer
sa chatte, maintennant devenue sanctuaire d'un seul homme,
après en avoir tant connus.
Maintenant, elle montait et descendait, frolant ma queue
avec sa toison et les lèvres gonglées. La douceur des lèvres
combinée avec le léger picotement de la toison fraîchement
raccoucrice. Mmmmm, quelle garce ! Mais le meilleur était
encore à venir. Elle a pris ma bite entre ses mains et elle
a entrepris de me branler et c'est tout son corps qui montait
et descendait en même temps que ses mains. Bien que je sois
d'ordinaire très long à venir, là, en ce moment, j'étais
au bord de l'orgasme. D'autant plus que Béa était elle aussi
venue s'accroupir au-dessus de mon visage, non pour que
je la butine, mais pour m'ofrir en gros plan le spectacle
de sa masturbation.
Et puis ... et puis, j'ai senti un liquide chaud, d'une
viscosité entre l'eau et l'huile, dégouliner sur ma queue,
se répandre sur mon ventre et couler entre mes fesses. Je
n'imaginais pas qu'elle allait m'innonder aussi longtemps.
J'avais relevé la tête et je voyais le jet puissant et presqu'ininterrompu
jaillir d'entre les lèvres que Céline tenait écartées avec
ses deux mains.
Pour la n-ième fois, Béatrice a joui. Bruyamment comme d'habitude.
Elle mouillait tellement que sa cyprine coulait sur mon
visage.
Et moi, je n'ai plus eu envie de retenir mon orgasme comme
je le fais d'habitude. Je me suis abandonné, rendu. J'ai
joui en envoyant d'abondants jets de sperme jusqu'au nombril
de Céline. Elle a repris ma queue en main et elle a tiré
le prépuce loin vers la base du sexe pour vérifier que j'avais
donné jusqu'à la dernière goutte. Je venais de jouir avec
une intensité que j'avais rarement connue auparavant. Mais
rien que ce toucher a instantanément redonné vigueur à mon
sexe.
Puis Béatrice s'est allongée, offrant maintenant sa chatte
à ma bouche, et elle s'est mise à lécher les filets de sperme
coulant sur le ventre de Céline et se mélangeant dans sa
toison.
Les deux filles se sont données une dernière fois un peu
de plaisir. Je les ai regardé avec émotion, comme on regrade
un superbe tableau. Et nous nous sommes quittés pour regagner
qui son mari, qui son ami, qui son épouse.
Auteur
|