Comme il est d'usage, je vais me présenter. Je me prénomme Ludivine et ai
vingt ans et demi. Chevelure noire mi-longue qui contraste avec un teint
pâle et des yeux d'un bleu clair. Ajouté à cela un modeste 85B en pomme,
un petit cul rebondi fréquemment regardé et enfin un sexe entièrement
épilé par souci esthétique.
Je m'en vais vous relater ce qui m'est arrivé il y a peu de temps. Une
aventure inoubliable qui m'a laissé à la fois de bons et de mauvais
souvenirs. Une découverte percutante avec la sexualité bestiale et ... de
groupe. Une entreprise de démolition ... ma démolition par trois mâles
extrêmement virils, et même brutaux.
Précisons qu'avant cette expérience, je n'avais connu qu'un seul homme,
mon compagnon. Notre vie sexuelle se passe dans la plus parfaite
sensualité, la plus parfaite complicité. Je
ne savais donc pas le moins du monde à quoi m'attendre. Ce fut exactement
tout le contraire de ce à quoi j'avais été habituée en près de quatre
ans.
Jusqu'à ce fameux soir, je ne m'étais pas rendue coupable du moindre
écart. Alors même que mon compagnon est régulièrement absent durant
plusieurs mois en raison de son activité professionnelle. Que les
occasions de tromper sa confiance ne manquent pas. Car nous nous étions
promis une totale fidélité. Autant dire que c'en est terminé. Ma morale a
volé en éclat.
Entrons dans le vif du sujet. Française expatriée à Berlin depuis
septembre 2007 dans le cadre de mes études universitaires, je m'y suis
faite quelques connaissances. Que je côtoie de temps à autre lorsque je ne
me consacre pas pleinement à mes très prenantes études. Werner et Karl
sont de ceux-là.
Respectivement vingt-neuf et trente-trois ans. Tous deux grands,
athlétiques, je dirai même musculeux. Cheveux très courts, moyennement
poilus. Des visages et ses expressions qui
ne reflètent pas l'amabilité même s'ils s'étaient jusqu'alors montrés
corrects avec moi. Jusqu'alors seulement...
Tout de même, j'avais bien remarqué que je ne les laissais pas
indifférents. Qu'ils me scrutaient de haut en bas. Mais ce n'étaient et
ce ne sont toujours pas les seuls dans ce cas. Alors je n'y prêtais pas
grande attention. Je me suis lourdement trompée. Quoiqu'il en soit, par
amour mais aussi par respect envers mon compagnon, je ne comptais pas me
donner à un autre que lui.
Revenons-en à début janvier. À peine revenue de mes vacances passées
auprès de mes parents et de quelques amies, je reçois un appel de Karl
qui m'invite à diner à son appartement vendredi soir, le 11. Ce n'était
pas une première, j'acceptais avant même de savoir que Werner serait
également présent, en compagnie aussi d'un de leurs amis, pour moi
inconnu.
Ce n'était après tout qu'un nouveau repas chez Karl. Je décide de m'y
rendre dans une tenue légère dont je suis coutumière. Chaussures noires à
talons légers, jupette noire arrivant un poil plus haut que mi-cuisse,
débardeur cache-cour seyant de couleur jaune. Comme seul sous-vêtement, un
string ficelle lui aussi jaune. Et pas pour plaire aux hommes, mais pour
me plaire.
Prête à partir, j'enfile une courte veste, quitte mon appartement et
rejoins la rue. Il fait frisquet, je grelotte mais les dix bonnes minutes
de marche qui m'attendent me donneront l'occasion de me réchauffer. Oh
surprise ! je sens quelques regards inquisiteurs se poser sur mon
accoutrement, peu habituel à cette époque de l'année. Peu importe.
Finalement, j'atteins l'immeuble où réside Karl.
À peine ai-je sonné à l'interphone qu'il descend les trois étages le
séparant de la porte d'entrée. Il m'accueille gentiment, me souriant et
me complimentant. Nous nous faisons la bise puis rejoignons son
appartement. Nous y attend Werner qui m'embrasse (sur la joue,
évidemment) et se montre attentif à ma tenue. Karl ôte ma veste et
l'accroche à un cintre. Mais ne m'a-t-il pas lentement effleuré
l'épaule du bout des doigts ?
Je préfère reporter mon attention sur l'inconnu. Qui m'est présenté par
Karl comme Gerhard, quarante-neuf ans. Taille moyenne, cheveux courts,
velu au vu des poils ressortant sous le col de son tee-shirt. Son visage,
scrutateur, ne m'inspire guère confiance, pas plus que sa bedaine
prononcée ne risque de me faire de l'effet. Mais, après tout, il est
peut-être sympathique.
Il me fait la bise et après avoir échangé quelques paroles tout à fait
respectueuses, nous attendons que le dîner soit servi. Aucun commentaire
ne m'évoque le sort que je vais connaître en cette soirée. Nous passons à
table. Ces messieurs prennent un repas copieux, arrosé de bières mais ils
restent en complète possession de leurs moyens. Quant à moi, je me
contente d'un repas frugal, faisant toujours très attention à ma ligne.
Au cours du repas, le temps passant, les commentaires peu amènes font leur
apparition. Les blagues vaseuses aussi. Ce qui a le don de me mettre mal à
l'aise et je constate qu'ils s'en aperçoivent mais ne s'arrêtent pas
pour autant. Tout au plus se montrent-ils sérieux l'espace de quelques
secondes.
Au bout d'un certain temps, ils décident de gagner le canapé. Je les y
suis, m'installant entre Gerhard et Werner, Karl nous faisant face, les
coudes posés sur le dos d'une chaise. La discussion me semble plus
accessible quoique les allusions sexuelles, mais non orientées vers ma
personne, se font encore fréquentes. Je me garde bien de laisser
transparaître un sentiment de gêne, pourtant très présent.
Leurs regards se font de nouveau plus scrutateurs. Finalement, je sens la
main droite de Werner se poser sur ma cuisse gauche. Ce qui fait esquisser
un sourire à ses deux compères. Sa main se laisse repousser sans
difficulté par la mienne. Tout cela pour finalement me saisir aux poignets
et les retenir fermement collés au canapé. Quelque peu tremblante, je leur
demande d'une voix faible et hésitante d'arrêter ce petit jeu, ce qui
est accueilli par des rires.
Je m'en trouve tétanisée, le regard commençant à s'emplir de panique. Je
me dis qu'ils ne peuvent pas m'y contraindre. Pas ça... Alors que Werner
laisse le soin à Gerhard de me maintenir les poignets pour se rendre en
direction de la cuisine, Karl m'explique de quoi il en retourne. Son
vocabulaire se fait beaucoup plus irrespectueux qu'à l'habitude. Il
m'annonce d'emblée que ce soir ils m'imposeraient mon seul rôle
naturel, celui d'une chienne à bites.
Ils se réjouissent de la peur que me procurent ces paroles. Mais je suis
incapable de parler, aucun son ne sort d'entre mes lèvres. Je me
concentre tant bien que mal sur les regards de Karl et Gerhard mais n'y
vois aucune compassion. Sur ce, Werner revient, tenant une paire de
ciseaux en main. Il arbore un sourire ... inquiétant. Il se saisit de mon
débardeur par le bas, et à l'aide des ciseaux, le coupe progressivement.
De bas en haut, puis les 'manches'.
Ils voient ainsi mon buste, ma poitrine, nues. Pour m'humilier, ils se
moquent de mes seins, selon eux à peine dignes d'une gamine. Karl quitte
sa chaise et me fait face, debout, tout comme Werner. Il me gifle une fois
chaque sein avec virulence, les faisant rougir. Mes tétons, assez gros,
pointant après ces claques. Ils rient entre eux tandis que ne cesse
d'être apeurée. Gerhard approche son visage du mien et ... me crache
dessus, juste sous l'oil droit.
Aussitôt fait, Karl me saisit par les cheveux et me laisse tomber au sol,
à genoux. Il continue à se cramponner à moi et les deux autres en
profitent pour ouvrir leurs braguettes. Werner m'annonce que je vais être
traitée de et comme une chienne. Les deux chibres sont déjà durs ... et
impressionnants. Pas tant par la taille, mais par l'épaisseur. Ce qui a
le don de me terrifier et étrangement, d'éveiller une pointe
d'excitation.
Je les regarde tour à tour et je ne sais pourquoi, ma panique se dissipe
mais très progressivement. À son tour, le chibre de Karl est sorti. Il est
plus long que les deux autres mais celui de Gerhard est vraiment le plus
épais. Me qualifiant de pétasse, Karl, toujours lui, me demande, après
m'avoir qualifiée de pétasse, de faire mon travail de pompeuse de queues.
J'hésite, j'en suis consciente et une gifle sans aucune retenue me
rappelle à l'ordre. Il m'est demandé d'obéir.
J'effectue ce que je sais faire habituellement, bien que je reste encore
assez paniquée. Je le branle lentement puis donne des coups de langue sur
son gland jusqu'à le prendre légèrement en bouche. Le temps d'effectuer
quelques lents va-et-vient, il ressort de ma bouche et me gifle une
nouvelle fois. Ébranlée, je tombe sur le côté droit mais me ressaisissant
par les cheveux, il m'agenouille de nouveau et me traite de moins que
rien sur un ton très méprisant. Quand bien même je reproduis ce que je
fais avec mon compagnon.
Il se baisse et me crache au visage, en travers du nez. Mon visage
d'ange, selon lui, risque de finir totalement souillé si je continue à me
comporter comme une débutante. Alors il s'y prend lui même après avoir dû
lire un nouveau regain de frayeur dans mon regard, et me tenant par les
cheveux des deux côtés du visage, il s'empale dans ma bouche. D'un seul
trait, gênant considérablement ma respiration. Il n'est qu'à un peu plus
de mi-longueur, son chibre serré entre mes lèvres. Je bave abondamment
lorsqu'il presse sur ma tête, s'enfonçant petit à petit.
Mon visage rougit, par manque d'oxygène mais il progresse. Arrivé à ma
luette, son gland me fait vomir de la bile. Il ressort une nouvelle fois,
regarde les dégâts, m'adresse un regard méprisant alors que je tousse et
se réinsère en moi, me contraignant à tout ravaler. Il se contente de
quelques rapides aller-retour puis laisse sa place. Non sans m'avoir
fouetté le visage avec son chibre, y étalant ma salive. Ma respiration,
elle, est haletante. Les larmes me sont venues aux yeux. Ma première gorge
profonde...
Vient le tour de Werner, qui a ôté ses vêtements pour se trouver plus à
l'aise. Il me saisit d'une manière identique à Karl et part à l'assaut
de ma gorge, pour la dévaster selon ses propres mots. Je ne cesse de
laisser échapper de la bave, qui s'accumule sur mon menton, dégouline sur
ma poitrine et de là sur mon ventre. Lui aussi semble décider à aller
jusqu'au bout de la gorge profonde. Alors que je me trouve au bord de
l'inconscience, ses boules viennent heurter mon menton. Il laisse
échapper un râle de plaisir. Il reste ainsi quelques secondes avant que je
ne puisse tousser et respirer de nouveau tandis qu'il étale lui aussi ma
salive.
Gerhard ne me laisse pas de répit, et après m'avoir de nouveau craché au
visage, sur la joue gauche, il place une main sur ma tête, l'autre sous
le menton et s'introduit en moi. Il parvient difficilement à trouver
place entre mes lèvres mais il en force le passage. Alors Gerhard me baise
la bouche, à une cadence soutenue. J'éprouve de plus en plus de mal à
soutenir leurs assauts mais il ne me vient pourtant plus à l'idée de les
repousser. Pour la deuxième fois, un chibre s'introduit entièrement en
moi. J'en pleure. Il se retire et s'aidant de mes cheveux, me retient
tête en arrière, bouche ouverte. Bouche où il crache. Je dois avaler sa
salive.
Mon visage se fait luisant. Ce qui semble les motiver d'autant plus à
continuer leur démolition buccale. Ma mâchoire commence elle à se faire
douloureuse mais je ne suis pas au bout de mes peines. Werner et Karl me
relèvent et me retirent mes derniers vêtements : jupette, string,
chaussures. Sur le canapé, ils m'allongent sur le dos, jambes en l'air
et tête forcément penchée, contre le rebord inférieur. Leurs chibres sont
ainsi en surplomb. C'est Karl qui se remet à la tâche et s'enfonce dans
ma bouche. Les mains sous ma tête, il appuie dessus pour cette fois
s'enfoncer entièrement. Sans succès. Je ne sens que de la bile revenir en
bouche... Il me gifle les seins par désappointement.
Lui succèdent Werner et Gerhard qui parviennent une nouvelle fois à
s'enfoncer dans leur totalité. Les boules frappent à tour de rôle mon
visage, je les sens heurter mon nez. Je ne m'arrête plus de baver, et ils
répandent toujours la salive sur mon visage. Le souffle court, je me
trouve devant une nouvelle épreuve. Werner présente ses boules devant ma
bouche. Je comprends. J'y hasarde des coups de langue mais profitant de
ma bouche ouverte, il y insère l'une de ses boules que je me charge de
lécher.
Il laisse sa place à Karl qui me présente aussi ses boules tandis qu'il
place sa main autour de mon cou, le serrant fortement. Quant à Gerhard, il
me précise que je ne suis que leur vide-couilles et qu'ils se foutent
totalement de mon plaisir. Et c'est vrai qu'ils ne font rien pour y
remédier, me frustrant. Finalement, ils décident d'explorer d'autres
parties de mon corps. Ils me font descendre du canapé et installer en
levrette au milieu de la pièce. Je dois avouer qu'à ce moment-là, mon
excitation, forte, était mêlée d'appréhension. Mais, après tout, j'étais
déjà souillée.
Les mains de Werner se posent sur mes hanches et son gland pointe à
l'entrée de ma fente. Il y fait son entrée sans aucune préparation, ce
qui me fait grimacer. Il continue à s'enfoncer sans aucune douceur
jusqu'à la garde. Ses boules tapent contre ma fente et il commence ses
va-et-vient qui s'accélèrent rapidement. De l'autre côté, Gerhard
approche son chibre de mon visage qu'il me contraint à relever. En le
voyant, il me précise qu'il va encore s'amuser avec ma bouche de petite
morue. Aussitôt dit, aussitôt fait.
Ma bouche est de nouveau travaillée, entièrement remplie par ce sexe épais
alors que Werner, lui, redouble d'effort. Me voilà prise de deux côtés et
je m'imagine que c'est loin d'être terminé. Je ressens un certain
plaisir malgré un déjà gros épuisement. Pilonnée, je continue à répandre
de la salive jusque sur les boules de Gerhard, qui m'attrape alors par
les cheveux pour augmenter sa cadence. Je frise l'étouffement et c'est à
ce moment-là qu'il laisse sa place à Karl.
Il me donne de nouveau une gifle, appuyée, et me frappe le visage de son
chibre. Puis il repart à l'assaut et ... veut vraiment s'enfoncer
entièrement cette fois. Werner ralentit sa
pénétration à sa demande tandis qu'il fait très fortement pression sur ma
tête. Je parais le prendre plus loin que précédemment mais j'ai bien du
mal à m'en rendre compte. Je bave, je laisse échapper quelques larmes.
Finalement, arrivé très près de la garde, il relâche ses efforts et me
laisse respirer, visiblement satisfait. À Werner succède immédiatement
Gerhard. Il est obligé de forcer sur ma fente, tant son mandrin est épais.
Et c'est ce qu'il fait avec plaisir. Provoquant quelques douleurs en
moi, il parvient en fin de compte à s'enfoncer dans sa totalité, bien
qu'à l'étroit. Il commence immédiatement à me
pilonner sans relâche, me faisant crier. Pas longtemps, Werner revenant se
faire prendre en bouche. Cette fois-ci, il me laisse le sucer à ma
convenance. Je ne force donc pas et profite de ce répit pour le lécher sur
toute la longueur de son chibre. Mon visage reste lui grimaçant, crispé.
Au bout du compte, Gerhard ralentit la cadence, se relâche et se répand en
moi. De longs jets tapissent l'intérieur mon sexe. Il pousse un râle de
plaisir et se décide à ressortir.
Il vient se placer à côté de Werner et me présente son chibre ramolli et
parsemé de gouttes de sperme. Je comprends. Je le lèche lui aussi sur la
longueur récoltant ce sperme au goût amer prononcé. Une fois fait, il
tient à reprendre place dans ma bouche et s'y maintient aux trois-quarts.
La vigueur refait progressivement son apparition et son chibre m'apparaît
presque aussi dur que précédemment. Karl me soulève du sol et s'allonge,
me plaçant à califourchon sur son chibre. Il s'y enfonce plus facilement
que les deux autres et commence à me travailler intensivement.
Je le vois sourire alors je tourne la tête. Gerhard se rapproche
dangereusement de mon anus. Au moment où j'allais lui signifier, apeurée,
que je n'avais encore jamais été sodomisée, Karl m'attrape par les
cheveux, me gifle et me retient la tête en arrière, m'empêchant tout
mouvement. Werner bloque d'une main mes minces poignets dans mon dos. Je
suis bloquée, dans l'incapacité de résister. Évidemment, il m'est
réservé le chibre le plus épais. Gerhard, à l'aide de son pouce, force
l'entrée de mon anus. Nous le sentons
tous très étroit. Seule la première phalange du pouce est entré mais ça
lui paraît suffisant.
Tandis que Karl arrête toute pénétration, mandrin solidement installé dans
mon sexe, le gland de Gerhard se pose sur mon anus. Mon Dieu, je vais
subir en même temps ma première sodomie et ma première double pénétration.
C'est insensé. Mais, prenant appui sur mes hanches, Werner tenant
écartées mes fesses, il introduit son gland en continuant à forcer, ce qui
provoque déjà de grosses douleurs qui me poussent à gémir, à grimacer.
Gland solidement installé, il persévère et pousse. Tous trois voient que
j'ai mal mais cela les motive.
Je laisse à nouveau échapper quelques larmes sur mon visage souillé. Je
gémis fortement alors que Gerhard progresse, chibre complètement enserré.
Il s'installe sur la longueur et au moment où je pensais que ça n'en
finirait plus, son chibre de nouveau très vigoureux connaît une avancée
fulgurante, s'enfonçant d'un coup, à tel point que ses boules viennent
heurter le bas de ma fente. En même temps que sa bedaine velue entre en
contact avec mon petit cul, avec le creux des reins. Il reste quelques
secondes enfoncé jusqu'à la garde.
Enfin, il décide de me sodomiser durement. Il sait que les frottements de
son chibre contre ma paroi sont très douloureux mais il ne pense qu'à son
seul plaisir, celui de pratiquer sa première sodomie à une jeune femme.
Karl reprend lui aussi sa pénétration quoique dans sa position, il soit
gêné. Ma première double pénétration est en marche. Elle provoque douleur
et ... plaisir mélangés. Sans doute la découverte de l'inconnu. J'en
viens même à jouir, ce qui ne les intéresse pas. Gerhard laisse
immédiatement sa place à Werner puis me présente son chibre.
J'ai une forte appréhension mais il se saisit de ma tête pour y insérer
son chibre. Sur la profondeur. Il me pousse à jouer de la langue. Puis il
me baise plus légèrement qu'avant
la bouche, ce qui ne m'en fait pas moins baver. Werner force aussi mon
entrée, certes moins difficilement. Son chibre entre dans toute sa
longueur tandis qu'il se cramponne à mes épaules pour permettre une plus
grande intensité. Il me compresse alors que je suis baisée des trois
côtés. Je suis déjà presque totalement épuisée mais ce sont eux qui mènent
la danse.
Le chibre de Werner, après une longue sodomie, appuyée, se contracte. Il
éjacule au fond de mon anus et s'en retire immédiatement. Il se présente
devant moi et je me vois encore poussée à lécher les quelques gouttes de
sperme restantes. Au moins, il me laisse le sucer à ma guise, sans grande
virulence. Karl en est jaloux alors il demande à ce que l'on me retourne.
Gerhard m'installe dos au sol, dos à Karl qui s'insère assez facilement
dans un anus fragilisé. Il me gagne en profondeur et commence des
va-et-vient à cadence moyenne, les mains posées sur mes hanches.
Gerhard n'est pas en reste. Il voit mon sexe libre et écartant mes
jambes, les mains posées sur mes mollets, il présente son chibre. Il s'y
insère lentement mais là aussi jusqu'à la garde. Avec une délicatesse
feinte, tout en prenant son rythme, il pose sa main droite autour de mon
cou, le serrant. Je ressens intensément la double pénétration et garde les
yeux clos pour en profiter. D'autant que le mélange douleur - plaisir est
toujours présent. C'était sans compter sur Werner, qui désormais en
surplomb, me gifle avec son mandrin et le
présente à nouveau devant mes lèvres.
Je les ouvre et il s'y introduit, bien décidé cette fois à prendre les
choses en main. Pour la énième fois, ma bouche se trouve baisée, dévastée
sans la moindre pitié. Je m'y habituerai
presque. La double pénétration reste intensive, menée à une cadence très
élevée. Le cou toujours serré, j'éprouve les pires difficultés à
respirer. Puis je sens Karl se décharger à son tour dans mon anus. Là
aussi de longs jets ponctués d'un râle. Ils en profitent pour changer de
position.
Werner, me faisant face, me saisit sous les aisselles et me soulève comme
une plume. Mains sous mes genoux, il me retient en l'air, Gerhard lui
emboîte le pas et pose ses mains sur ma croupe. Je me trouve en position
aérienne, encadrée par deux hommes bien décidés à achever ma démolition.
Leurs chibres retrouvent très rapidement leurs places. Werner dans mon
sexe, Gerhard dans mon anus. Je place mes jambes autour de la taille de
Werner. La double pénétration, rendue peu évidente, se fait moins
intensive mais se trouve compensée par l'originalité. J'en viens même à
jouir une seconde fois alors qu'ils me labourent.
Quant à Karl, redevenu mou, il contemple la scène tout en se branlant afin
de se redonner de la vigueur. Après quelques instants dans cette position,
Karl succède à Gerhard et n'y va pas de main morte. Il s'enfonce tout du
long dans mon anus désormais élargi. Finalement, ils me redescendent et me
placent en position agenouillée, exigeant que ma 'gueule de pute' leur
soit offerte. Bouche et yeux ouverts, sur leurs ordres, je me prépare à
recevoir de nouvelles giclées. Werner se répand le premier, d'abord sur
ma joue droite, en partie sur le nez et le front. Il me donne son gland à
lécher et j'y récolte ses dernières gouttes de sperme. Aussitôt après,
Karl me gicle sur le côté gauche du visage : lèvres, joue, cils.
Après lui avoir également léché le gland, vient le tour de Gerhard qui
lâche de très grosses giclées, véritablement impressionnantes. Il
m'enduit le visage de sperme et un jet se loge entre mes lèvres. De son
chibre, redevenu mou, il me baise une dernière fois la bouche comme s'il
désirait me démontrer mon 'infériorité'. De leurs majeurs, Karl et
Werner récoltent le foutre et me les font lécher. Puis Karl m'ordonne de
quitter son appartement. Après m'être passée un coup d'eau sur le
visage, je me rhabille tant bien que mal. Sans débardeur, je me vois
contrainte de n'enfiler que ma courte veste. Je me retourne une dernière
fois vers eux, honteuse ... et ils ne me lancent que des regards
méprisants. Je leur obéis et pars.
Sur le chemin du retour, je me rends compte que mâchoire, sexe et anus
sont violemment endoloris. Je ressens la honte d'avoir été traitée comme
un simple objet, d'avoir été humiliée, insultée. Et aussi d'avoir trompé
mon compagnon, qui plus est dans ces circonstances. Mais je ne peux nier
avoir ressenti du plaisir. En témoignent mes deux jouissances. Je doute
désormais qu'ils me laissent tranquillement regagner ma fidélité déjà
éprouvée.
Miss de Cleyre.
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