Pour aller à l’aéroport j’ai mis une robe se
boutonnant par devant, robe d’été bien courte avec des talons
comme je les aime. Dessous je n’avais qu’un soutien-gorge
en dentelle qui mettait bien en valeur sans les contraindre
mes seins de femme épanouie. Lorsque je suis entrée dans
l’aérogare j’ai eu l’impression que tout le monde savait
que je n’avais pas de culotte et regardait mon cul et mes
cuisses largement découvertes ou mes seins ballottant presque
librement. Malgré le danger j’étais excitée et je sentais
ma chatte s’humidifier. Un homme m’aborda même rapidement,
il prétendait attendre son père et me proposa de boire un
verre ensemble pour faire connaissance. Je repoussai ses
avances en lui expliquant que mon mari arrivait dans les
minutes suivantes par le prochain vol mais ça le refroidit
à peine.
Lorsque Marc arriva il commença
par me dévisager puis regardant ma tenue il eut un sourire
en coin et il me demanda si j’avais une culotte. Ma réponse
négative ne l’étonna pas plus que ça et il m’embrassa passionnément
en me traitant de petite salope. Il récupéra sa valise et,
arrivé dans la voiture, il me demanda si j’avais aimé le
faire cocu et me faire baiser par plusieurs mecs. Je lui
répondis que j’avais beaucoup joui mais que c’est lui que
j’aimais. Il me dit qu’il s’était bien branlé durant la
nuit en m’imaginant prise par plusieurs queues, qu’il avait
décidé d’accepter ma débauche et qu’il voulait tout savoir
de mes aventures et assister en voyeur à mes séances de
baise. Je n’ai pu qu’accepter ça sous peine de représailles
et il m’ordonna d’appeler mes « amis » tout de suite pour
une bonne partie de jambes en l’air le soir même à la maison
en sa présence. En arrivant à la villa j’ai appelé Hamid
qui me répondit qu’il était disponible et enchanté de notre
invitation et qu’il me rappellerait pour me dire avec qui
il viendrait. Entre-temps mon mari exigea que je lui raconte
ma nuit de débauche, et le reste. Il bandait très fort et
une belle bosse déforma son jeans pendant tout le temps
que dura le récit de mes exploits que je lui détaillai à
fond. Lorsque Hamid rappela pour me dire qu’il viendrait
avec Karim vers 21 heures, Marc me caressait les fesses
et me branlait et lorsqu’il introduisit deux doigts dans
ma chatte trempée je me mis à gémir en lui disant que c’était
super bon. Alors il se mit à genoux derrière moi, me demandant
de continuer ma conversation, et remontant légèrement ma
robe il se mit à me lécher le cul, écartant bien mes deux
globes charnus pour atteindre avec sa langue mon petit trou.
Hamid me demanda si je me faisais enfiler par mon mari et
je lui expliquai que pour le moment il me léchait la raie
et la chatte, que j’écartais bien les jambes pour qu’il
puisse atteindre facilement mes deux orifices et que je
mouillais comme une folle. Hamid me répondit qu’il aimerait
bien le voir faire ça après qu’il m’ait remplie de son sperme
et sur ce il raccrocha en me disant : "A tout à l’heure…".
Marc se releva quand je raccrochai
le téléphone. Il bandait toujours comme un âne mais ne voulait
pas me prendre avant de m’avoir vue avec mon maître–amant
et nous mangeâmes rapidement un petit bout avant de nous
préparer pour cette soirée. Après une bonne douche il mit
un jeans sans slip et une chemise blanche tandis que je
mettais un string ficelle et une robe blanche assez transparente
qui laissait deviner mes seins libres et mon string rose.
Lorsqu’ils sonnèrent c’est
moi qui allai ouvrir la porte et immédiatement Hamid me
roula une pelle en forçant ma bouche avec sa langue. Dans
le salon je fis les présentations et Marc expliqua tout
de suite aux deux garçons qu’il serait simplement spectateur
et que j’étais à eux pour toute la soirée et la nuit s’ils
voulaient, qu’il voulait voir comment je me faisais baiser
pendant ses absences et qu’ils pouvaient me prendre et faire
de moi ce qu’ils voulaient exactement comme s’il n’était
pas là. Sur ce il s’installa dans un fauteuil face à Hamid
et Karim et avec un sourire pervers me demanda de leur servir
à boire.
Mes deux amants prirent aussitôt
leurs aises et sans aucune pudeur ou retenue malgré la présence
de mon mari, karim me mit la main sous la robe pendant que
je lui servais un whisky bien tassé. Hamid qui avait remarqué
la présence de mon string m’ordonna de l’enlever, faisant
bien remarquer à Marc que ses instructions étaient que je
devais avoir la chatte et le cul offerts en permanence .
Marc acquiesça et je donnai mon string à Hamid qui le renifla
en disant que mon odeur le faisait déjà bander. Je me suis
assise entre mes deux amants et tout en sirotant leurs verres
ils commencèrent à déboutonner largement ma robe, à mettre
à l’air mes seins bien gonflés et à les caresser tout en
détaillant à mon mari les différentes séances de baise que
nous avions déjà eues et les positions dans lesquelles ils
m’avaient prise. Je buvais avec eux et je sentais que toute
résistance et toute pudeur m’abandonnaient et que malgré
la présence de Marc je me laissais dominer par Hamid et
que j’allais devant mon mari m’offrir sans aucune retenue
à ces deux mâles bien montés. J’avais les cuisses écartées
et de temps en temps l’un ou l’autre me mettait une main
sur le sexe, écartait mes lèvres luisantes et branlait mon
clitoris, m’arrachant de petits soupirs de plaisir qui me
faisaient ouvrir encore plus les cuisses. Alors que je remplissais
de nouveau les verres Hamid se leva et tout en enlevant
sa chemise il m’ordonna de lui enlever son jeans et de lui
caresser le sexe gentiment pour montrer à mon mari comment
je faisais bander les hommes. Je m’exécutai et je me retrouvai
à genoux devant le sexe à demi bandé de mon amant et doucement
je commençais à le branler d’une main, l’autre caressant
ses couilles qui durcirent très vite. Il se rassit et me
prenant par les cheveux il m’amena entre ses cuisses, m’ordonna
de le sucer et en regardant Marc dans les yeux il lui dit
qu’il allait voir la plus belle des salopes, sa femme, se
faire baiser par deux mecs. Je me retournais pour voir la
réaction mon mari, celui ci répondant en souriant à Hamid
qu’il bandait déjà et qu’ils avaient carte blanche pour
se faire plaisir et faire de moi absolument tout ce qu’ils
voulaient. Je continuais donc de branler mon amant dont
la colonne de chair se tenait maintenant bien droite, le
gland que je décalottais doucement grossissant petit à petit.
J’approchais ma bouche de ce sexe et commençaiS à le lécher
de bas en haut, parcourant le gland de ma langue tout en
serrant bien la base et les couilles de la pine qui allait
me transpercer devant Marc. Hamid m’encourageait en gémissant
doucement et je prenais sa bite en bouche pour l’aspirer,
pour sucer bien à fond son beau gland tout rose qui luisait
de salive.
Pendant ce temps Karim s’était
mis à poil, puis il approcha la petite table basse de salon
et je dus me mettre à quatre pattes dessus, juste à la bonne
hauteur pour continuer de sucer mon maître et mettre mon
cul bien exposé à la portée de son acolyte. Il retroussa
ma robe et me caressa le cul, passant un doigt le long de
ma raie et, descendant jusqu’à ma chatte, il l’introduisit
entre mes lèvres humides déclarant que j’étais prête, en
chaleur comme une chienne. J’étais, c’est vrai, dans la
bonne période de mon cycle et dans ces moments là je mouille
comme une folle pour un rien et je suis toujours prête à
accueillir une bonne queue. Il enleva les bretelles de ma
robe et mit complètement à l’air mes seins qu’il massa en
me faisant sentir sa queue contre mes fesses et entre mes
cuisses. Hamid m’ordonna de continuer à le sucer et à le
branler disant à Marc que j’étais faite pour ça, que ma
bouche, mes lèvres et ma langue ne demandaient qu’à sucer
et à avaler des queues gorgées de sperme et qu’il m’emmènerait
dans une boite échangiste où je pourrais me rassasier. Sous
les caresses de Karim, mes tétons étaient maintenant tout
durs et chaque pincement de mes pointes de seins envoyait
des décharges de plaisir qui me faisaient avaler encore
mieux la pine de mon peintre. Soudain Karim se mit à quatre
pattes et fidèle à son habitude il se mit à me lécher la
vulve et la raie du cul en m’obligeant à bien écarter les
cuisses, sa langue râpeuse et bien dure s’insinuant délicieusement
dans mes trous. Ses grosses mains tenaient mes fesses et
les ouvraient bien pour qu’il glisse sa langue entre mes
deux globes charnus. J’étais comme une chienne en chaleur
devant mon mari qui me reluquait sans dire un mot, mari
plus que cocu mais qui semblait prendre du plaisir à me
voir dépravée devant lui, léchant une grosse queue bien
raide avec un gland énorme pendant qu’un autre me préparait
l’arrière-train en bouffant littéralement ma chatte bien
rasée et mon cul que tant de mecs trouvent bandant. Marc
nous regardait en sirotant des whiskies murmurant quelquefois
des encouragements à nos deux peintres, quelquefois des
‘salopes’ à mon encontre tout en se massant la bosse qui
se formait dans son jeans. Nous nous sommes léchés, caressés,
branlés longtemps en gémissant de concert puis Karim se
releva et s’adressant à Marc lui dit que les choses sérieuses
allaient commencer et qu’il allait voir sa femme prendre
son pied comme jamais et gémir comme une salope.
- Tu vois ma queue, mesurée
à 20-21 cm hier par ta petite femme qui avait peur de se
la prendre dans le cul, regarde bien comme elle va ramoner
ses trous et l’envoyer au 7ème ciel. Elle adore ça et quand
tu la vois se trémousser pour la sentir profond tu peux
pas te retenir. Hier je l’ai farcie de sperme trois fois
et elle en redemandait encore.
- Et bien vas-y, elle est
à toi toute la nuit si tu veux, dit mon mari en se déshabillant
à son tour, exhibant son sexe déjà bien tendu qu’il se caressa
tout seul.
- Ok, tu vas l’entendre prendre
son pied ta petite femme et elle est gourmande tu sais,
une bourgeoise bcbg mais une baiseuse de première quand
il s’agit de se faire enfiler. J’ai jamais joui aussi fort
avec une autre femme.
Il avait sa bite en main
et il vint la pointer à l’entrée de ma chatte trempée pour
d’un seul coup m’embrocher jusqu’à la garde et venir en
butée au fond de ma matrice. Son gland m’avait perforée
sans difficulté et son sexe me remplissait, forçant mes
chairs à épouser la grosseur de son engin qu’il retira lentement,
complètement, pour me renfiler de plus belle en faisant
claquer mes fesses contre ses abdominaux puissants. Je poussais
des oui de plaisir à chaque fois qu’il me prenait, suçant
difficilement la queue d’Hamid. Il m’ouvrait en deux et
il grossissait en moi me bourrant comme s’il voulait planter
son gland dans ma gorge. Je couinais sous les assauts de
mon jeune amant qui me tenant par les hanches m’enfilait
à chaque fois toute la longueur de son pal.
- Super ma chérie, tu as
vraiment l’air d’aimer sa pine et tu es vraiment bandante
prise comme ça au milieu du salon.
- Ouiiii chéri, elle est grosse
et bonne, il me fait mouiller comme une fontaine.
Karim se retira et alla s’asseoir
dans un de nos fauteuils en me demandant de le rejoindre.
Je lui obéis et il commença par m’enlever la robe et je
me retrouvais nue devant les trois hommes qui bandaient
pour mon corps. Il me prit, me mit face à Marc et…
- Maintenant tu vas t’empaler
sur moi face à ton mari, je veux qu’il voie comment je te
fais jouir avec ma queue, comment un arabe bien monté te
fait crier de plaisir en te ramonant ta petite chatte bien
serrée.
- Tu veux chéri ?
- Tu leur obéis Stéphanie,
tu leur appartiens et je regarde ma salope se faire baiser.
J’ai enjambé les cuisses
de mon amant et petit à petit je me suis empalée sur le
sexe de Karim en regardant mon mari qui bandait de plus
en plus fort. Il regardait fixement mon sexe qui s’ouvrait
et enfilait la totalité de la colonne de chair gonflée en
se masturbant doucement devant le spectacle que j’offrais.
Je gémissais en m’empalant sur Karim qui me prenant par
la taille m’amena en butée sur ses couilles puis accompagna
mes mouvements de piston, m’obligeant de temps à temps à
me désaccoupler pour bien me faire sentir le passage de
son gland qui ramonait ma grotte comme jamais. J’avais les
cuisses ouvertes au maximum, les seins et les tétons gonflés
de plaisir ballottant au gré des mouvements et je sentais
le plaisir monter petit à petit et de mon clitoris et de
ma chatte stimulés par le gros engin qui me baisait sous
le regard de mon mari. Karim était infatigable et alors
qu’il me pinçait les tétons je suis partie d'un coup au
7ème ciel en poussant un long cri de jouissance. J’étais
submergée par le plaisir, je criais des 'encore' et des
'oui' tout en me trémoussant, en essayant de m’empaler encore
plus sur le pieu qui déclenchait en moi cette folie furieuse.
Je n’étais plus que jouissance et j’implorais mon amant
de me remplir encore plus, de m’envoyer tout son foutre
en moi.
- Elle s’en donne ta petite
femme modèle hein, dit Hamid, et tu vois comme elle écarte
bien les cuisses et qu’elle s’enfile toute seule, bandante
non ?
- Oui super bandante, j’aurais
jamais imaginé ça d’elle.
- Attends t’as pas tout vu,
elle est vraiment très gourmande et très obéissante, c’est
un vrai régal de s’amuser avec elle et de se vider les couilles
dans ses petits trous serrés. Sans compter sa bouche, elle
t’aspire le gland et te vide les couilles en avalant tout,
un vrai délice…
Pendant ce temps je récupérais
de mon orgasme fulgurant, toujours vissée sur le sexe de
Karim qui n’avait pas joui et qui m’embrassait à pleine
bouche en pelotant mes seins et en restant dur en moi.
- Maintenant viens me sucer
la queue , dit Karim, tu vas goûter ton jus et je veux voir
ta belle bouche s’occuper de ma bite et de mes couilles.
- Tout de suite. Je répondis
en regardant Marc et en me mettant à genoux sur notre beau
tapis rouge, entre les cuisses de mon premier baiseur.
- Alors tu veux l’enfiler
ta femme comme ça, dit Hamid à Marc, regarde ce beau cul,
il n’attend qu’une bite. Je suis sur que tu crèves d’envie
de te la faire pendant qu’elle suce mon pote.
- Non, non, je vous la laisse,
pas question que je baise avec vous.
- Dommage, je suis sûr qu’elle
te viderait les couilles comme jamais mais je vais me la
faire, moi, devant toi, puisque ça te plaît tant que ça
et elle va crier de plaisir tu peux en être sûr, je vais
te la fourrer par derrière cette petite pute.
Sa bite était raide et il
se branlait doucement en regardant mon arrière-train pendant
que je léchais son acolyte à grands coups de langue. Lorsqu’il
se leva je le regardai s’approcher et se mettre à quatre
pattes derrière moi. Il ne perdit pas une seconde et presque
sauvagement il m’enfila son gourdin dans la chatte, son
gland venant en butée contre mon utérus. Tout mon corps
était de nouveau parcouru par des ondes de plaisir et en
m’attirant la tête en arrière par les cheveux il me dit
:
- Tu es vraiment trop bonne,
tu sais, ça t’excite de te faire prendre devant ton mari,
dis-moi ?
- Oui, Hamid, il a voulu ça
et je vais pas le décevoir. J’ai envie de m’éclater avec
vous et tant pis s’il veut pas en profiter.
- T’as raison, nous on va
te baiser et te fourrer de sperme comme tu aimes. C’est
tellement bon de se faire tringler par deux jeunes en pleine
forme et bien montés, hein ?
- Oui, oui, je vous adore,
j’adore vos queues bien grosses et bien dures, j’adore les
sentir gicler en moi. C’est génial de vous faire bander
comme ça, j’adore allumer les mecs et sentir qu’ils me désirent.
Avec vous je suis plus que comblée et j’ai la chance de
me faire mettre par des jeunes sympa, super non, Marc ?
- Enfile-moi bien, Hamid, j’adore ça et Marc va voir comment
vous vous videz les couilles dans sa femme…
Il m’a prise de plus en plus
fort, sortant régulièrement sa bite pour la passer entre
mes fesses et lubrifier mon petit trou pendant que je léchais
comme je pouvais le sexe de Karim. Il me pistonnait bien
à fond, tantôt lentement, tantôt furieusement en poussant
des rugissements de plaisir. Bien lubrifiés tous les deux
il a fini par pointer son gros gland contre mon petit trou
en annonçant à Marc qu’il allait m’enculer encore une fois
et me voir jouir du cul avec une bite d’arabe dedans. Il
me prit par les hanches et m’amena doucement à m’enfiler
son gland dans le fondement, il était gros et il lorsqu’il
passa mon anneau pourtant bien lubrifié je poussai cri de
surprise tellement je me sentais ouverte. Il marqua une
pause puis continua lentement sa poussée jusqu’à avoir introduit
toute sa longueur. Pour moi, il avait vraiment pris possession
de mon corps devant mon mari et il resta un moment comme
ça fiché dans mon cul ne faisant que des petits mouvements
qui me faisaient bien sentir sa longueur, la grosseur de
son gland tout au fond de moi. Puis il me pistonna, son
gros calibre coulissant sans problème grâce à notre excitation
commune et dans cette position je me sentais vraiment dominée
par le mâle qui me couvrait. Des ondes de plaisir parcouraient
tout mon corps et de nouveau j’étais en train de partir
en extase, lui demandant de me prendre encore plus fort
pendant que lui disait qu’il allait envoyer toute sa purée
au fond de moi. Je tenais fermement la queue de Karim, le
branlant régulièrement pour lui arracher à lui aussi des
gémissements de plaisir mais je n’arrivais plus à le sucer
sous les coups de boutoir de mon amant. J’ai joui la première,
gémissant et criant de plaisir, secouée par des spasmes
intenses qui me faisaient m’agripper au sexe devant moi.
Survolté par mon orgasme, Hamid continua de me pilonner,
sortant même complètement de temps en temps pour me renfiler
de plus belle, son gland gonflé au maximum par le plaisir
m’ouvrant en deux à chaque pénétration.
- C’est bon Stéphanie, t'es
trop bonne, j’ai jamais bandé aussi fort, vous voyez monsieur,
j’ai jamais été aussi gros même avec une jeune bien roulée,
elle va me faire exploser le sexe.
- Vas y Hamid, jouis dans
moi, je veux te sentir gicler dans mon cul, envoie-moi ton
sperme.
- Ouiiiiiii, prends ça, je
t’envoie tout.
Il me colla à lui, complètement
enfilée sur sa queue et il explosa enfin au fond de mon
cul. Il jouissait et me remplissait de son jus qu’il lâchait
en longs jets puissants que je sentais sortir de son gland.
Son orgasme dura un long moment puis il resta au fond de
moi en me caressant les seins dont les bouts étaient encore
dressés. Lorsqu’il sortit enfin de moi sa queue avait dégonflé
et il me demanda de lécher le sperme qui coulait de son
méat et qui collait à sa verge. Je me retournais vers lui
et obéissante comme une petite fille j’ai léché sa bite,
avalant le sperme qui coulait le long de sa queue un peu
ramollie.
- Tu es une belle salope,
ma chérie, et je vois que tu te fais remplir de foutre par
n’importe quel trou. Tu es très bien à quatre pattes comme
ça, ton cul est bien offert comme ça et on peut dire qu’il
t'a bien dilaté la pastille avec son engin, elle est encore
toute ouverte. Je t’enfilerais bien par derrière moi aussi…
- Vas y Marc encule-moi toi
aussi, prends-moi !
- Oh non pas question, je
regarde et c’est tout. Tu leur appartiens complètement en
ce moment et si je te baise ce sera après avoir tout vu,
tout ce dont tu es capable et qu’ils t’auront obligée de
faire.
- Comme tu veux chéri.
- Reviens me sucer maintenant,
dit Karim, moi j’ai envie de sentir ta langue et tes mains
sur ma queue et de t’envoyer ma purée dans la chatte ou
ailleurs, à voir.
Quittant les cuisses de Hamid,
je m’approchais de lui et prenais en main sa queue qui presque
instantanément, après quelques va-et-vient vigoureux, se
redressa et grossit. Je commençais par lui lécher les bourses
glissant ma langue presque jusqu’à son petit trou ce qui
lui fit de l’effet : il poussa un long oui de plaisir et
me demanda de continuer en avançant son cul au bord du canapé
pour me faciliter l’accès à sa raie. Je passais de ses couilles
à son cul tout en le branlant et je sentais sa queue durcir
très fort et prendre un volume intéressant.
- C’est bon de se faire lécher
les couilles et titiller le trou du cul, ça me fait super
bander ce que tu fais avec ta langue.
- Je vois, je continue ou
tu veux que je te mette un doigt ?
- Arrête et viens t’asseoir
sur moi.
Je me mis debout et j’enjambai
ses cuisses pour venir m’empaler toute seule sur son sexe
droit et raide comme un piquet, un vrai pal que j’allais
ficher dans ma chatte. Il me prit par les fesses, les malaxant
sans vergogne en me félicitant sur mon cul bien rebondi,
et m’amena au dessus de son gland. Je m’enfilai toute seule
dessus et ma chatte avala sans difficulté toute la longueur
du gros sexe de mon jeune amant. J’étais trempée et poussais
des soupirs de satisfaction à chaque mouvement de piston
sur ce membre qui me remplissait complètement pendant qu’il
me suçait les seins et m'aspirait les tétons. J’étais déchaînée
par le plaisir qui montait de nouveau en moi, plaisir que
me procurait cette grosse queue, comme jamais je n’avais
envisagé de sucer et de m’envoyer. Je m’empalais dessus
à mon rythme, j’accélérais pour le sentir bien dur au fond
de moi puis ralentissais pour sentir la pénétration du gland
qui me semblait grossir à chaque aller retour. Nous poussions
tous les deux des cris de plaisir et j’accélérais encore
le mouvement pendant qu’il pinçait mes tétons gorgés de
sang sentant l’onde de plaisir venir du fin fond de ma chatte
qui n’était plus qu’un puits de plaisir. Je me frottais
à lui, il m’embrassait à pleine bouche et je lui rendais
ses baisers. Après une longue chevauchée, chacun retardant
le plus possible son orgasme pour profiter au maximum de
la pénétration qui était totale, il me porta sur le tapis
et m’allongea dessus en continuant de me baiser, oui dans
ces conditions c’est de la baise à l’état pur, bien à fond.
J’écartais les cuisses en regardant mon mari qui continuait
de se branler, ma chatte rasée complètement remplie de la
pine infatigable du garçon. Je partis de nouveau la première
dans un orgasme fulgurant que j’accompagnais d’un long cri
de jouissance pendant que Karim continuait de m’enfiler
comme une poupée. Je le sentais encore grossir en moi quand
enfin il jouit à son tour. Il poussa de longs feulements
tout en envoyant son sperme dans ma chatte, plaquant ses
abdos contre mon pubis à chaque giclée que je sentais contre
mes parois. Il vidait ses couilles en moi, éjaculant fort
en jets puissants que je sentais tapisser mes parois internes.
Il resta un bon moment sur moi, me léchant les seins, les
oreilles et les lèvres puis il se retira doucement pour
venir me mettre dans la bouche sa queue trempée de sperme
et de mouille. Je lui ai tété le gland, léché la tige encore
bien gonflée puis il s’est assis dans le canapé. J’étais
allongée sur le tapis, les cuisses ouvertes et le sperme
suintant de ma chatte, offerte aux regards de mon cocu de
mari et de mes deux amants.
- Tu as vu hein, c’est une
belle salope ta femme et elle adore se faire enfiler par
des grosses queues bien juteuses.
- Oui, elle vous a bien vidé
les couilles et c’est vrai qu’elle aime ça. Ca fait deux
heures que je débande pas à la regarder se faire mettre
avec son beau cul et ses seins à faire bander un mort. Viens
me sucer maintenant, chérie, j’ai envie de me vider dans
ta bouche moi aussi.
- Tout de suite chéri, je
vais te soulager.
Je me suis relevée et installée
entre les cuisses de Marc qui ne me toucha pas. J’ai commencé
par le branler en le regardant dans les yeux puis je l’ai
léché de bas en haut, des couilles jusqu’au gland sur lequel
je faisais tourner ma langue. Il haletait, gémissait et
je sentais bien qu’il n’allait pas résister très longtemps
à ce traitement après la séance hard qu’il avait eue en
direct avec sa petite femme en premier rôle. Je l’embouchais
amoureusement et l’avalais profond en faisant tournoyer
ma langue sur son gland hyper sensible. Je lui ai massé
les couilles en même temps et je les sentais bien pleines,
grosses et contractées au maximum, prêtes à tout envoyer.
Je ralentissais mes coups de langue pour faire durer le
plaisir mais il se contracta et lâcha ses giclées de sperme
au moment je l’avais pris au fond de ma gorge. Son orgasme
était puissant et tout en me traitant de salope il m’arrosa
de giclées de sperme abondantes et puissantes comme jamais.
Je pris la première au fond de la gorge et l’avalai difficilement,
les suivantes sur la figure et les seins tellement la première
m’avait surprise par son abondance. Il m’envoya comme ça
cinq ou six giclées de foutre et je le branlais en même
temps bien à fond pour qu’il se vide complètement. Une fois
l’orgasme passé et ses couilles bien vidées, il y avait
du sperme partout, j’ai léché son sexe et mes doigts dégoulinant
de foutre bien épais en le félicitant de m’avoir arrosée
comme ça et en lui disant que j’adorais faire gicler les
grosses queues bien remplie de sperme.
- Tu vois, dit Hamid, la
petite bourgeoise que tu as est une vraie bombe sexuelle.
Elle t’excite et elle te suce tellement bien que tu exploses
à tous les coups et comme elle aime ça il lui faut forcément
plusieurs queues. Elle me fait déjà rebander rien qu’à bouger
son joli cul devant moi.
- Moi aussi je sens que je
vais rebander très vite, tu es vraiment une vraie salope,
ma chérie, et comme tu aimes ça je vais te laisser entre
leurs mains expertes. J’ai l’impression que ces deux là
savent s’y prendre avec toi et que te payer des petits jeunes
super montés te plait bien.
- Oui j’adore me faire baiser
par eux, chéri, et en plus je m’aperçois dans ces conditions
que j’aime bien être dominée, obéir et devoir assouvir tous
les désirs d’un homme. Hamid le fait très bien et je suis
en train de devenir son esclave soumise, prête à assouvir
chacun de ses fantasmes… devant toi ?
- Oui c’est vrai ma belle,
tu dois m’obéir ou je te mets une fessée mémorable cul nu
devant tout le monde. Viens me sucer maintenant que tu as
vidé ton mari parce que tu m’excites vraiment trop à trémousser
ton cul sous mes yeux.
Je m’exécutais et laissai
Marc, la queue molle, pour rejoindre toujours à quatre pattes
mon maître et prenant son sexe en mains je commençais par
lui lécher le gland puis les couilles déclenchant rapidement
le raidissement de sa colonne de chair. Il m’encourageait
à le sucer et à l’aspirer bien fort, à prendre son gland
au fond de ma bouche et sous mes coups de langue d’experte
sa bite est redevenue très grosse et toujours aussi longue.
Je m’en donnais à cœur joie, lui léchant les couilles et
la tige tout en le branlant doucement quand il m’ordonna
de m’allonger sur le tapis, d’écarter les cuisses et de
me caresser les seins. Il allait m’enfiler tout près de
Marc et avec un petit regard vers mon mari je m’exécutais.
Aussitôt il vint entre mes cuisses et pointant son gland
à l’entrée de ma chatte il m’embrocha d’un coup puis commença
à me pistonner en me suçant les tétons qui raidirent aussitôt.
J’écartais les cuisses pour l’accueillir profond et venais
même à sa rencontre pour sentir son gros gland en butée
en couinant de plaisir. Sa queue me ramonait délicieusement,
j’étais couverte par un mâle qui me possédait entièrement
et je sentais les picotements de plaisir gagner de nouveau
tout mon sexe. Il sortit de ma chatte et s’allongeant sur
le tapis m’attira sur lui pour que je le chevauche et je
me suis donc empalée sur sa queue pendant qu’il prenait
mes seins à pleines mains. Ainsi j’avais Marc et Karim en
face de moi, tous les deux bandant de nouveau bien fort.
Mes deux jeunes amants étaient vraiment infatigables, bandant
dur sans relâche, et mon mari semblait prendre le même chemin
malgré ses 42 printemps.
Dans cette position c’est
moi qui m’enfilais sur le sexe de mon amant pendant qu’il
me caressait la poitrine et pinçait mes tétons. Après de
longues minutes sur lui, son sexe infatigable me faisant
mouiller comme une fontaine, Hamid suggéra à Karim de venir
m’enculer pour que je jouisse des deux trous en même temps.
Aussitôt Karim se leva et se plantant devant moi, la queue
tendue vers mon visage, il m’ordonna de le sucer. Je n’avais
encore rien répondu qu’il me prenait par les cheveux et
m’enfilait son sexe entre les lèvres.
- Vas-y ma belle salope,
goûte-la bien avant je te la mette dans le cul. Lèche-moi
bien le gland pour qu’il soit bien gros et bien lubrifié
pour passer entre tes belles fesses. Ton mari va voir comment
tu vas bien la sentir dans ton petit cul et on va t’entendre
prendre ton pied, je vais te remplir ton petit trou comme
il faut.
- Vas-y, prends la comme tu
veux, je veux l’entendre jouir.
Empalée sur la bite bien
raide d’Hamid, je suçais le gros gland que j’allais recevoir
dans le cul tout en lui caressant les couilles et les fesses
qu’il avait très musclées. Ca lui plaisait et il gémissait
de plaisir en me bourrant la bouche comme un sexe et en
répondant à mes caresses par des 'encore'. Alternant les
caresses sur ses couilles bien dures et ses belles fesses
bien rebondies je me suis enhardie et je lui ai mis un doigt
sur son petit trou, je lui ai introduit une phalange et
ne sentant aucune résistance je lui ai enfilé mon majeur.
Il a gémi de plus belle en criant que c’était bon et j’ai
senti sa queue grossir entre mes lèvres, son gland devenant
énorme. Ca lui faisait de l’effet et j’ai continué à lui
masser le petit trou tout en tétant son dard.
- Super bon ce qu’elle me
fait cette chienne, Hamid. Elle va me faire exploser dans
sa bouche si ça continue.
- Je vois, c’est bon son doigt
dans le cul ?
- Super excitant, je bande
à bloc. Je comprends qu’elle aime se faire enculer cette
salope, ça donne des sensations.
En gémissant il sortit de
ma bouche et vint se placer derrière moi collant tout de
suite son gros gland entre mes fesses qu’il ouvrait largement.
Le sentant forcer mon cul je regardais mon mari qui se branlait
doucement et qui me dit :
- Tu vas aimer ça, ma salope
? On dirait que tu es faite pour satisfaire les mâles quand
on voit tes seins ballotter comme ça avec une bite dans
la chatte, une autre entre tes lèvres ou dans ton cul. C’est
incroyable comme tu es excitante, baisez-la bien fort ma
petite salope, je veux encore l’entendre jouir et se faire
remplir.
- Oh oui, merci chéri, j’aime
ça.
Je lui répondis en poussant
un long gémissement car Karim venait de forcer mon sphincter
avec son gland et continuait lentement sa poussée en m’ouvrant
à son tour en deux. Sa bite pénétrait mon conduit anal presque
sans résistance et je sentais en moi ces deux queues tellement
grosses, et je gémissais, je criais presque car il était
vraiment gros et me forçait le cul sans s’arrêter. J’étais
prise en sandwich devant mon cocu de mari, je demandais
grâce mais il continua de m’enfiler jusqu’à la garde alors
que je gémissais de plus en plus fort et de douleur et de
plaisir. J’étais enculée à bloc, et Karim se mit à me ramoner
après m’avoir bien fait sentir son gland tout au fond de
mon cul et la douleur initiale laissa place rapidement encore
une fois à des picotements agréables annonçant la montée
du plaisir, mon cul s’adaptant, s’ouvrant à la pine qui
s’était fichée dedans. Il arrêtait de me tringler de temps
en temps, toujours la bite au fond de mon cul et c’est Hamid
qui prenait le relais dans ma chatte. Nous gémissions tous
les trois de plaisir et le salon s’emplissait d’une odeur
de fornication et de sexe qui me rendait folle. Je m’abandonnais
complètement au plaisir, à leurs sexes et à leurs caresses,
sans aucune retenue, complètement déchaînée. Sous le regard
de mon mari je criais mon plaisir d’être prise comme une
chienne, caressée, sucée, enfilée par deux beaux sexes bien
raides qui déclenchaient des ondes de plaisir dans tout
mon corps.
- Alors, c’est bon, Stéphanie,
tu la sens bien au fond de ton beau cul ?
- Oui c’est bon, c’est trop
bon, elle est trop grosse ta queue.
- C’est ça et t’aimes tellement
ça que tu en redemandes, tu as un cul fait pour ça petite
pute, bien fendu et on dirait qu’il aspire ma queue. Tu
aimes quand je sors complètement ? comme ça ? et que je
renfile bien à fond ton petit cul de bourgeoise ?
Il me chevauchait en me tenant
la taille, son engin bien dur et gonflé au maximum me ramonant
à fond les reins, prenant du plaisir à sortir complètement
de mon cul pour remettre son gland contre ma pastille, franchir
mon sphincter en force et me renfiler sa grosse queue bien
à fond. Il alternait les poussées lentes et profondes qui
nous faisaient gémir tous les deux avec de violents coups
de reins qui me laissaient le souffle coupé.
- Oui, encore, encore, je
vais jouir, elle est trop bonne ta queue, va bien au fond,
encore, encore…chéri, je jouis, j’explose, il va me remplir
de jus.
- Vas-y jouis, ma belle, tiens
prends-la, je te la mets bien au fond, vas-y montre à ton
mari comment tu jouis du cul avec une bonne bite de beur,
ouiiii je jouis moi aussi, je t’envoie tout…
Et il a explosé dans mon
cul en longues giclées, abondantes, déclenchant mon orgasme.
Ce fut délicieux, violent, j’étais secouée de spasmes de
plaisir, écroulée sur Hamid qui m’embrassait, léchait mes
oreilles en me disant que j’étais bonne pendant que mon
enculeur vidait ses couilles dans mes intestins. Il me tenait
par les épaules, me plaquant contre lui, ses couilles prêtes
à rentrer dans mon cul, j’avais toute la longueur de sa
queue dans le cul et je la sentais vibrer en moi, son gland
m’inondant de sperme et déclenchant des ondes de plaisir
ininterrompues. On jouissait tous les deux, il gémissait
à chaque jet de foutre qu’il m’envoyait et quand enfin il
fut vidé il resta en moi un long moment, donnant quelques
coups de piston, reprenant son souffle. Lorsqu’il se retira
j’eus la sensation d’un grand vide dans mon cul, mon petit
trou restant ouvert et avant d’aller s’asseoir dans le fauteuil
face à Marc il me mit une claque magistrale sur les fesses.
- Elle a vraiment un cul
magnifique ta femme, je me suis vidé complètement, comme
jamais, là elle est vraiment remplie de foutre. Elle doit
faire bander tous les mecs dans la rue. Vraiment t’as un
cul d’enfer, une belle raie, un petit trou bien serré et
elle te masse la queue, tu es obligé de la remplir. Tu savais
qu’elle aimait ça à ce point ?
- Nooon, pas vraiment, mais
c’est vrai que c’est une très belle salope, bien soumise
et elle me fait bander à mort, répondit-il en se touchant
la queue raide comme un piquet.
- Elle va te sucer, dit Hamid,
qui me souleva de sa queue et me mit à quatre pattes entre
les cuisses de mon mari, lui se positionnant derrière moi,
et pendant ce temps je vais l’enfiler en levrette devant
toi, bien profond et tu sentiras mes coups de bite en direct.
- D’accord, viens me sucer,
salope chérie, j’en peux plus de te regarder te faire mettre.
- Avec plaisir, mon chéri,
je vais te vider les couilles pendant que Hamid me remplit
la chatte, ça te va comme ça ?
- Oui, ma petite pute, viens
me pomper.
Je pris en main son sexe
bien raide et au même moment Hamid m’enfila son sexe dans
la chatte et d’une poussée il m’embrocha, m’envoyant contre
les abdominaux de mon petit mari. Celui ci me prit par les
cheveux et introduisit son gland entre mes lèvres pendant
que mon amant, gonflé à bloc contre mon utérus, commençait
à me pistonner en caressant mon cul maculé du sperme de
mon enculeur. Tout en le regardant souvent dans les yeux
pour qu’il voie le plaisir que je prenais, je léchais avec
application le sexe et les couilles de Marc, le prenant
dans ma bouche pour sucer, téter son gros gland qui allait
décharger encore une fois dans au fond de ma gorge. Ca le
faisait vraiment bander comme jamais, il était raide et
son gland grossissait sous mes coups de langue et en gémissant
de plaisir il m’encourageait en me traitant de tous les
noms. Hamid me ramonait avec son engin, m’enfilant au plus
profond son gland énorme puis restant fiché au fond de moi
; je le sentais fouiller chaque centimètre de mes parois,
déclenchant des ondes de plaisir qui me faisaient mouiller
comme jamais. Lorsqu’il fait ça je ne me contrôle plus,
je gémis comme une chienne, je râle de plaisir et je la
demande encore plus profond. Répondant à ma supplique il
me prit par la taille et me redressant il m’empala encore
plus profond en me malaxant les seins, mon mari me regardant
en se branlant :
- Tu la sens bien comme ça,
elle est assez grosse et profonde ?
-Oui, c’est bon, je répondis
entre deux râles, mes tétons durcis par les caresses.
- Tu la vois ta femme, elle
adore la bite, là je lui mets profond comme jamais tu sais,
elle est empalée sur mon gland et je la sens tellement bien
que j’ai l’impression de la transpercer.
- Je vois, elle t’apprécie
vachement la garce et t'aimes bien ses nichons aussi.
-Oui, elle est super bandante
et je vais te l’envoyer au 7ème ciel en la remplissant de
sperme jusqu’aux yeux notre petite salope à tous.
- Ouiii vas-y remplis moi
bien, je répondis en reprenant le sexe de Marc en main et
en lui léchant le gland qui était prêt à exploser.
Il se remit à me pistonner
lentement, profondément, retardant au maximum sa jouissance,
et sa grosse queue me fit rapidement de nouveau jouir en
premier, comme une malade. Je me suis mise à gémir, à crier
des 'oui' et des 'encore' pendant que je branlais mon mari.
J’étais secouée par l’orgasme qui me parcourait de part
en part, je m’empalais sur la bite qui continuait de me
ramoner en venant à sa rencontre pour la prendre bien à
fond et devant le spectacle que je lui offrais, mon mari
explosa à son tour. Il juta de bonnes giclées de sperme,
quatre ou cinq longs jets que je pris sur les seins et il
en prit lui aussi sur sa poitrine. Nous jouissions tous
les deux en nous regardant et, perverse, je lui souriais,
me passant la langue sur les lèvres, léchant les quelques
gouttes de sperme qui m’avaient atteinte. Je prenais mon
pied comme jamais, baisée devant mon mari, moi la mère de
deux enfants, vue comme une femme BCBG il y a encore quelques
semaines et j’étais prête à tout pour jouir encore plus
si possible réclamant à mon amant de jouir au fond de ma
chatte.
- Oh oui, je t’envoie tout,
répondit-il dans un souffle, ma bite va exploser, je vais
te remplir.
- Vas-y Hamid, vide tes couilles,
je veux ton foutre au fond de moi, ouiiii…encore…plus fort…
ouiii…chéri il me remplit, il gicle…
Hamid jouissait enfin, il
me tenait fermement par les hanches, son gland en butée
contre mon utérus et il lâchait en moi ses longues giclées
de sperme brûlant. Ses abdos étaient collés à mon cul et
je sentais sa grosse queue palpiter en moi au rythme de
sa jouissance, en me collant contre la queue gluante de
mon mari.
- Tu la sens bien, grosse
salope, ça te fait jouir, comme ça, devant ton mari, et
Karim qui rebande comme un âne, alors lui il va t’exploser
pour de bon…
- Oui, oui c’est bon…
- Je vois ça petite pute,
tu m’appartiens vraiment maintenant et je vais t’en faire
découvrir des choses, des bien grosses comme tu aimes hein
et devant ton mari s'il est toujours d’accord, et devant
ta sœur aussi ça sera bandant…
- Oui quand tu veux, d’accord
chéri ?
- Bien sûr ma chérie, tu obéis
à Hamid sinon et lui et moi on te donne une fessée dont
tu te souviendras. C’est bien, tu aimes le sexe, j’aime
le sexe, tu aimes obéir et te faire baiser, j’adore te voir
te faire baiser. Tu vas être comblée, je crois.
- Oh oui on va la combler
ta petite femme et la remplir, ne t’en fais pas, il faut
que tu invites ta petite sœur pour qu’elle voie la salope
que tu es et pour qu’elle participe avec toi à une petite
soirée en famille, j’ai très envie de vous voir réunies…
- Oui Hamid je l’inviterai
bientôt.
Lorsqu’il sortit enfin de
mon sexe, j’étais épuisée d’avoir autant joui, la pièce
était remplie de l’odeur de sperme, de fornication mais
j’étais radieuse. J’avais eu des orgasmes comme jamais,
je m’étais fait baiser, enculer devant mon mari, j’avais
joui par tous mes trous et vidé les couilles de mes amants
devant lui et j’avais déjà envie de recommencer.
Karim m’a baisée encore une
fois et ils sont partis dans la nuit en nous laissant, moi
remplie de sperme et épuisée de jouissance, mon mari à la
fois surpris de me découvrir sous cet angle et ravi de l’expérience
et de celles qui s’annonçaient.
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