Après cette première aventure (Un
engin exceptionnel), j'ai pris le goût de l'adultère.
Plus mon mari passait de temps avec son équipe de football,
plus je tentais de me rapprocher des « membres » de l'équipe.
C'est ainsi que j'ai connu Kéli.
Kéli est Camerounais. Il a à peine dix-huit ans et est
arrivé en France l'été dernier. Il s'est inscrit au club
de foot dès la rentrée dans le but de rencontrer du monde.
D'après mon mari Olivier, c'est un excellent atout pour
l'équipe. Pour ma part, ses capacités physiques m'intéressent
bien moins que l'envie irrépressible de goûter au bois d'ébène
et de vérifier que la réputation des blacks n'est pas usurpée.
Je commençais donc à échafauder mon plan.
Un dimanche d'octobre ; un autre match. Celui-ci est amical,
pas de grand enjeu en théorie, mais les joueurs y vont franco
et les contacts virils sont très fréquents. Kéli, par oubli
ou manque de budget (je n'ai jamais su), ne joue pas en
crampons, mais en simples chaussures de sport. Pas étonnant
donc qu'au bout d'une demi-heure, à la faveur d'un « contre
» (il paraît que ça s'appelle comme ça) un peu trop bourrin,
il s'écroule du haut de son mètre quatre-vingt dix en se
tenant la cheville. Il sort du terrain en boitant et se
dirige vers les vestiaires. Pour lui, la partie est finie.
Pour moi, elle ne fait que commencer car je ne vais pas
laisser passer une occasion pareille !
Le vestiaire pue la terre, l'herbe mouillée et surtout
la sueur froide. Le sol de béton brut semble froid et le
mobilier se limite à quelques bancs et des patères sur les
murs. Même pas de casiers pour ranger les sacs jetés en
vrac sur les bancs ou à même le sol. Il va falloir se passer
de tout confort.
À ce point du récit, je dois vous décrire comment je suis
habillée : je suis aujourd'hui en jogging. Pas très sexy,
vous allez me dire ! C'est vrai pour la plupart des filles
qui les utilisent pour cacher leurs formes, mais si l'on
sait s'en servir de la bonne façon, c'est une arme fatale
pour les hommes. En effet, ceux-ci se retournent souvent
et facilement dans la rue sur une jupette un peu courte
ou un décolleté plongeant. Un jogging est bien plus indiqué
pour une attaque surprise, car une vision fugace que vous
croyez volée vous fait souvent baisser votre garde. Mais
laissez-moi plutôt vous le démontrer...
Kéli est là, assis sur un banc, la tête entre les mains.
Je me dirige vers lui et lui demande :
- Comment va ta cheville ?
- Je crois que c'est juste une entorse, mais je vais devoir
stopper le sport pour quelque temps ! me répond-il d'un
air triste.
- À moins que tu ne trouves un sport où tu n'as pas besoin
de ta cheville !
Je lui lance avec un clin d'œil.
- Attends, je vais t'aider. Olivier a toujours de quoi
soigner une vilaine blessure comme celle-là.
Je me dirige alors vers un coin du vestiaire où j'ai repéré
le sac d'Olivier où je sais qu'il garde des bandes et des
crèmes anti-inflammatoires. Je sens le regard de Kéli qui
me suit, certainement posé sur mes fesses moulées dans mon
jogging. Mon string est tellement fin qu'il doit se demander
si je porte quelque chose en dessous. Je m'accroupis devant
le sac d'Olivier à la recherche de sa trousse de pharmacie.
Mon jogging est si serré et bas à la taille que je sais
que Kéli ne peut plus avoir de doutes sur ma lingerie. Le
papillon dessiné par la dentelle bleue de ma culotte doit
s'être envolé de sa cage de coton, capturant le regard du
bel africain. Je me retourne rapidement et lui demande innocemment
:
- Tu n'es pas allergique aux anti-inflammatoires, au moins
?
Gagné : je suis sûre qu'il matait ma culotte, le cochon.
Il tourne rapidement la tête dans la direction opposée et
bafouille :
- Euh... non... je crois pas...
Je parie que, s'il n'était pas black, il aurait rougi à
ce moment-là. La fameuse boîte à pharmacie en main, je me
mets à genoux aux pieds de Kéli. Je suis très affairée à
répartir les affaires sur le sol, mais je sens son regard
posé sur moi. La veste du jogging est ouverte sur un petit
top moulant parfaitement ma poitrine que j'aie plutôt fière
et ferme (90C). Mes tétons dressés par l'excitation ne laissent
certainement aucun doute à Kéli sur le fait que je ne porte
pas de soutien-gorge. Ma position me permet de serrer les
bras, ce qui a pour effet de comprimer ma poitrine et d'augmenter
encore mon décolleté. Je tourne mon visage vers le haut
et croise le regard de Kéli. Encore pris la main dans le
sac ! D'ailleurs, quel homme résisterait à la vision d'une
belle plante à genoux à ses pieds, soumise et accessible
? Un simple coup d'oeil au short de Kéli me permet de voir
que je ne me trompe pas : ce garçon n'est pas de bois...
Je lui prends délicatement le pied et lui retire lentement
ses chaussures et chaussettes sans lui faire mal. Sa cheville
a en effet déjà bien gonflé. Je prends une noix de gel et
commence à lui masser doucement les chevilles. J'admire
ses muscles qui roulent sous mes mouvements. Je sens une
puissance incroyable dans ce jeune garçon. Mon excitation
monte encore d'un cran. J'ai chaud et je me sens mouiller.
Je voudrais déjà avoir son gland dans ma bouche. Je lui
parle tendrement pendant que je le masse, lui expliquant
les blessures que j'ai déjà rencontrées, mais aucun de nous
deux n'est vraiment intéressé par cette discussion, concentrés
que nous sommes sur ce point de contact sensuel. Ma respiration
s'accélère. Je déroule avec précision la bande de tissu
autour de sa cheville ; il est comme hypnotisé par mes gestes,
par mes paroles et par ce qu'il voit.
En fait, je suis émue par ce post-adolescent candide. Je
suis venue en conquérante pour un passage en force comme
avec Torsten mais, maintenant qu'il est à mes pieds, c'est
moi qui fonds. Je me redresse lentement vers son doux visage,
mes yeux plongés dans les siens. Ma main gauche remonte
de sa cuisse le long de son torse, jusqu'à son cou. Comme
dans un film au ralenti, je ferme les yeux et l'embrasse.
Il semble d'abord surpris, immobile, ne sachant comment
répondre. Il se laisse ensuite gagner par ce suave baiser,
ouvre les lèvres et prends les miennes entre les siennes.
C'est comme si une vague de tendresse s'engouffrait en moi
par ma bouche et me comble jusqu'au bout de mes extrémités,
provoquant un suintement de bonheur entre mes cuisses. Nos
langues s'emmêlent maintenant avec force et fureur.
Je n'en peux plus ; j'ai un besoin physique de cet homme,
de le sentir en moi. Je glisse ma main dans son short et
en sors un sexe lourd à moitié bandé. Je branle doucement
cette masse de chair et la sens durcir rapidement. De son
côté, Kéli n'est pas en reste. Il m'enlève ma veste de jogging
et mon top suit dans la foulée, libérant ma poitrine durcie
à l'extrême. Kéli fait glisser ses grandes mains le long
de mes épaules, soupèse mes globes et fait rouler mes tétons
sous ses doigts agiles. C'est exquis. Kéli bande maintenant
comme un taureau. Mon Dieu, quel engin ! Un peu plus court
que Torsten, certes, mais encore plus large. Ma main que
j'ai pourtant longue et fine n'en fait pas le tour. Je suis
fascinée par cette bite circoncise, noire au gland rouge,
que je vais maintenant essayer d'emboucher. Je griffe doucement
de mes ongles ses boules lourdes et rasées (quelle délicate
attention !) cependant que je colle ma bouche le long de
sa hampe et remonte jusqu'au frein. Ma langue, suivie de
ma main, s'enroule autour de ce pieu noir.
Je mouille vraiment comme jamais ; mon string doit être
à tordre. Je glisse une main dans ma culotte et introduit
un doigt inquisiteur entre mes lèvres pour le déposer exactement
entre mon petit bouton d'amour et mon puits de plaisir.
Ce petit replat est mon coin préféré. Je commence à y effectuer
des petits cercles de plus en plus larges, frôlant au passage
mon clitoris gonflé et mon vagin détrempé. De l'autre côté,
j'ai du mal à prendre dans ma bouche ce mât juteux, tellement
il est gros. Tous nos sens sont exacerbés. D'abord les mains
expertes de Kéli sur mes seins, triturant mes tétons ; ensuite
ma main, ma bouche, ma langue, mes lèvres sur ce gourdin
exceptionnel ; et enfin mes propres doigts qui vont et viennent
entre mon clitoris et mon vagin ; tout cela contribue à
me faire exploser dans un orgasme fulgurant. Mon vagin est
secoué de spasmes de plaisir. Toute à mon plaisir, je continue
à secouer comme une furie le vit d'ébène qui ne tarde pas
à expulser sa purée blanche. Surprise, je ne m'étais pas
aperçue que Kéli allait venir. J'en prends plein les cheveux,
sur les joues et sur ma poitrine. Je me jette sur la pine
pour pomper le reste de l'impressionnante quantité de jus
d'amour qui en sort.
Empoignant sa bite à pleine main, je la nettoie parfaitement
de ses souillures. Elle reprend de la vigueur. Je n'en peux
plus, il faut que je sente ce superbe engin en moi. J'enrobe
la verge vibrante d'un fin plastique en sachet et je grimpe
à genoux sur les cuisses de Kéli et guide son pieu dans
ma fente. Il est vraiment plus large que Torsten. Je peux
le sentir à la distorsion de mes lèvres qui accueillent
ce pieu que je m'insère lentement, centimètre par centimètre.
À un moment, je crois même qu'il ne pourra jamais rentrer
tout à fait, mais la progression continue et me fait monter
un peu plus vers l'extase, jusqu'à ce que je le sente buter
au fond de ma matrice, ce qui me déclenche un nouvel orgasme.
Tout cela est vraiment exceptionnel.
J'attrape à pleines mains les patères au-dessus de la tête
de Kéli. Je m'aide de ces ancres murales et de mes cuisses
pour contrôler ma remontée. Chaque centimètre de chair qui
sort de mon antre y laisse un grand vide. À ce moment précis,
je me rappelle ce que ma mère me disait toujours :
« On se rend compte de ce que l'on a quand on le perd
»
T'en fais pas, maman ! Ce coup-là, je vais pas le laisser
partir de si tôt ! À la lisière de ma fente, je m'empale
de nouveau avec un râle de plénitude. Je recommence l'opération,
de plus en plus vite, sur toute la longueur de ce pieu de
béton chaud et humide. Mes seins se balancent au rythme
de mes hanches endiablées. Au passage, Kéli ne peut s'empêcher
de lancer sa langue autour de mes tétons. Je joue tellement
loin avec la longue tige qu'elle finit par sortir accidentellement
de mon con. J'attrape d'une main la barre d'acier, pose
ma tête au creux de l'épaule de Kéli et me frotte lentement
et longuement le clitoris sur toute la longue de sa tige
en ondulant du bassin. Ce contact m'électrise ; je ne vais
pas tarder à jouir, mais je veux sentir son jus exploser
en moi. Je replonge donc la colonne de chair en moi et glisse
mes mains autour du cou de Kéli et le plaque contre ma poitrine.
Il pose ses mains sur mes fesses qu'il écarte exagérément.
Sa bite gagne encore un ou deux centimètres de profondeur
et mon plaisir augmente d'autant. Je me déchaîne maintenant
avec rage pour monter vers l'extase. Kéli et moi crions
notre plaisir qui résonne sur les murs nus du vestiaire
alors que je sens sa queue gonfler. Nous accélérons encore
notre rythme effréné jusqu'à ce que dans un râle guttural
et primitif Kéli explose dans le latex. Cette sensation
me fait partir au septième ciel alors que je continue ma
pompe diabolique, ralentissant lentement la cadence.
Epuisée, les genoux meurtris, je remercie Kéli de cette
séance exceptionnelle et m'éclipse avant que la mi-temps
ne ramène les joueurs aux vestiaires. Après le match, mon
mari Olivier me confie qu'il n'est pas étonné que Kéli se
soit blessé car il l'avait retrouvé littéralement « à plat
» à la mi-temps. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire
avant de lui répondre que le garçon aurait certainement
besoin de repos car il avait l'air d'être « vidé ». Plus
tard dans la soirée, Olivier me fait remarquer que j'aurais
pu mettre autre chose qu'un jogging car ce n'est pas sexy.
Le pauvre ne connaît pas les secrets cachés des joggings.
Et vous, mesdames et messieurs, qu'en pensez-vous ?
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