TITRE : De l'opéra aux cités
Catégorie : Histoire interraciale

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Mon nom est Diane de Mornay. J'ai 25 ans, et comme mon patronyme l'indique, je suis noble. Je souhaiterais raconter une aventure extrêmement inhabituelle pour une jeune fille de ma condition et qui me plonge dans un trouble coupable à chaque fois que j'y repense.

Je suis une belle blonde aux yeux verts très mince avec des seins fermes en forme de pomme qui, de l'aveu des hommes, donnent envie de mordre dedans. J'ai déjà eu quelques aventures sexuelles au cours de ma scolarité et de ma vie étudiante, mais rien qui ne sorte de mon milieu ultra privilégié.

Un soir de février, nous devions aller avec mes parents et quelques amis à une soirée de gala à l'opéra de Paris.

Comme pour ces soirées là, j'avais mis toute l'après-midi à me préparer à notre hôtel particulier pour être à mon avantage. Ma mère avait d'ailleurs supervisé ma toilette au cas où je rencontre un jeune homme de bonne famille ayant l'heur de me plaire. Elle reste en effet très traditionnelle et croit me faire rencontrer mon futur mari de la même manière qu'elle a rencontré mon père.

J'avais mis une robe de soirée en soie bleu nuit de Balenciaga à la jupe ample et longue avec traîne. J'avais également mis de longs gants d'opéra en soie de couleur crème qui remontaient au dessus de mes coudes. Le décolleté de ma robe était fendu en son milieu, ce qui laissait voir avec une audace calculée la rainure formée par mes seins. Une cape-manteau Christian Dior sans manche et dont le col relevé dépassait ma tête, également en soie, complétait cette toilette.

J'avais à l'occasion mis les bijoux que mes parents m'avaient offert pour mes 18 ans : une rivière de diamants autour du cou, deux boucles d'oreille assorties, des bracelets de perle ainsi que des bagues avec des rubis.

J'avais coiffé mes longs cheveux blonds en un savant chignon à l'aspect très lisse. Il ne nous restait plus qu'à partir. Notre chauffeur nous déposa sur les marches de l'opéra et le souffle froid de la nuit sur mes épaules nues me fit frissonner. Nous montâmes rapidement l'escalier afin de nous retrouver le plus rapidement possible à l'intérieur.

Je donnais mon manteau à la consigne, et nous nous rendîmes au cocktail privé organisé avant le commencement de l'opéra.

La salle était remplie de dames en robe du soir de grands couturiers parées de bijoux d'un prix inimaginable ainsi que de messieurs en smoking. Nous fîmes naturellement le tour de nos connaissances, ma mère me présentant à quelques messieurs ayant des fils célibataires, comme d'habitude.

Je pris un verre de champagne sur un plateau convoyé par un serveur du traiteur et me mis à discuter des sujets mondains obligés avec quelques autres invités.

Au milieu de la conversation, une sensation étrange me démangeait le cou, comme si j'étais observée, épiée. Je me retournais pour vérifier si mes sens ne m'avaient pas trompé.

C'est alors que je vis que je ne m'étais effectivement pas trompée : le serveur à qui j'avais pris le verre de champagne me dévorait littéralement des yeux.

Il s'agissait d'un jeune black à l'allure athlétique et dont les yeux perçaient les miens d'une manière insoutenable. Dés qu'il vit que je l'avais remarqué, il détourna les yeux. Comme un automate, sans réfléchir, je lui adressai un sourire. Ce court instant m'avait remplie d'une bouffée de chaleur telle que je n'en avais pas connue !

Un de mes interlocuteurs le remarqua mais le mit sur le compte du champagne : « Eh bien, Mademoiselle de Mornay, ils semble que la cuvée 1985 de Dom Pérignon soit un peu chargée en alcool ! »

Je ris avec l'assemblée à cette plaisanterie, soulagée que la raison de mon trouble n'ait pas été démasquée.

L'impression d'être observée ne cessa cependant pas de toute la durée du cocktail. Je regardais souvent à la dérobée si le serveur continuait à m'épier. Il ne pouvait en effet pas détourner les yeux de moi. A chaque fois que je le surprenais, il détournait les yeux de moins en moins et je ne pouvais m'empêcher de le fixer en souriant.

Pourtant, je n'avais jamais flashé sur un noir auparavant, ni même pensé sortir avec l'un d'entre eux. Certaines de mes amies qui avaient tenté l'expérience m'avaient bien fait miroiter des délices interdits, mais je n'avais jamais été tentée et n'avais d'ailleurs jamais eu d'occasion tout court.

Celui-ci avait un je ne sais quoi d'animal et de populaire qui me captivait. Je devinais une musculature puissante sous son costume et ses yeux me transperçaient de part en part.

Enfin, on annonça que l'opéra allait commencer et nous nous rendîmes dans notre loge privée. Nous nous assîmes dans un bruit de froissement de soie et nous nous mîmes à écouter le spectacle.

Bien qu'étant passionnée par l'opéra, je ne parvenais pas à me concentrer sur la musique et le chant. Les yeux du serveur noir me hantaient et mon esprit ne pouvait s'en détacher.

Une sensation de moiteur m'oppressait et, plus honteusement, je ressentais une chaleur accrue dans mon sexe. Je tentais de lutter contre ces pensées, mais mon trouble ne faisait qu'augmenter, jusqu'à sentir ma culotte humectée de cyprine.

N'y tenant plus, je m'excusais auprès de mes parents, prétextant une envie d'aller aux toilettes. Je ne savais pas encore exactement pourquoi je voulais sortir de la loge. La raison me dictait d'aller me rafraîchir ou prendre un peu l'air frais pour me remettre les idées en place, mais mon inconscient me disait autre chose.

Je me dirigeais vers les toilettes à pas rapides dans le couloir alors désert, tout le monde écoutant la musique, en relevant ma jupe pour ne pas me prendre les pieds dedans. C'est alors que j'aperçu le serveur black qui venait de finir de débarrasser le buffet et qui sortait après s'être changé. Revêtu d'un jean, de baskets et d'un sweater à capuche pour retourner dans sa banlieue, son aspect laissait encore plus transparaître le côté animal et populaire qui m'avait troublé.

Je m'arrêtais et ouvris la bouche, mais aucun son ne sortait de ma gorge. Une de mes mains quitta ma jupe pour se positionner sur ma poitrine. Je pouvais sentir mon cour battre à un rythme infernal. Il me regarda droit dans les yeux et, mon état étant plus qu'un aveu, il me montra d'un signe de tête la porte des toilettes.

Je m'y engouffrais en courant à moitié, handicapée par l'ampleur de ma robe. Il me suivit et referma la porte derrière moi.

Je n'eus pas le temps de me retourner qu'il me serrait contre le mur, me couvrant le cou de baisers. Une main tentait de s'infiltrer dans mon bustier et se prit dans la rainure de mes seins, l'autre fourrageait dans ma jupe à hauteur de mon sexe.

Je sentais ma culotte complètement trempée de désir et me retournais pour l'embrasser à pleine bouche. Il me roula une pelle comme je n'en avais jamais connue : longe, dévastatrice, profonde. Je dus reprendre mon souffle.

Je le vis défaire la fermeture éclair de son jean pour en sortir un sexe en pleine érection. Il était visiblement très excité et bandait comme un taureau ! La taille de son sexe était bien plus grosse que ce que j'avais connu jusqu'à présent et était de plus circoncis.

Hypnotisée par cet engin, je tombais à genou devant lui dans le froufroutement de ma robe sur le carrelage des toilettes.

Prenant son sexe à la main, il me dit d'un ton sans équivoque :
- « Allez, suce moi ! »

C'était la première fois que j'entendais sa voix et son accent de type « banlieue » m'électrisa encore plus.

Je pris sa queue dans mes mains gantées de soie et la contemplais, paralysée par l'instant.

Il me prit alors la tête et me mit le visage dans ses poils pubiens en grognant d'énervement:
- « Allez ! Vas-y ! T'attends quoi ?! »

L'odeur qui envahit mes narines était particulièrement forte et augmenta encore mon excitation. Je pouvais sentir la mouille dégouliner sur mes cuisses. Tout en massant délicatement sa bite, j'approchais ma bouche de son gland, et, tendrement, l'effleurais de mes lèvres. Il tressaillit légèrement, tandis que ma langue parcourait ses bourses, puis remontait le long de sa verge. Puis, après lui avoir fait un beau sourire, je l'introduisis dans ma bouche, en en palpant chaque centimètre.

Le prépuce circoncis était agréable à sucer et ma langue fit amplement connaissance avec lui. Je laissais aller le manche de son engin entre mes lèvres délicates, donnant des coups de langue sur le gland. J'entendais ses grognements de plaisir et j'enserrai sa taille de mes bras, faisant passer mes mains sur ses fesses musclées.

Je sentais mes seins qui tendaient la soie de mon bustier sous l'effet du désir. Le nez perdu dans ses poils, je ne pensais qu'à l'engin que j'avais en bouche, qui allait et venait avec un goût aussi fort. Je laissais vagabonder mes mains de ses fesses à ses testicules. Je commençais même à introduire un de mes doigts dans son anus. Soudain, un feulement :
- « Mhhhhhh. Ouiiiiii. Ca vieeennnnnt.. »


Je sentis sa bite se gonfler dans ma bouche et ses couilles se recroqueviller dans ma paume. Et d'un coup, le sperme m'inonda le palais au rythme de ses spasmes. J'avalais avec peine les saccades de foutre les unes après les autres, des vagues de plaisir envahissant mon corps. Ayant péniblement dégluti, je lui léchais goulûment le membre afin de le nettoyer des traces de foutre restantes. Ce blanc sur la hampe noire me fascinait de manière hypnotique.


Je devais être toute rouge, l'inconvenance de la situation étant à son comble ! Si ma mère, la marquise de Mornay, savait que sa fille léchait la bite d'un noir à genou dans les toilettes.

Il me repoussa la tête et se laissa tomber le dos contre le mur en gémissant, visiblement foudroyé par la puissance de son orgasme.

Je me relevais et soudain la situation me revint en tête : je me précipitais vers la glace pour voir mon état. Le jeune black ayant éjaculé dans ma bouche, je n'avais pas de sperme sur le visage, mais mon rouge à lèvre avait piteux état. Ma coiffure était encore à peu près en ordre mais ma robe était légèrement froissée sur le bustier et sur la jupe.

Je l'entendis derrière moi :
- « Allez, viens, on va continuer ça chez moi. Moi c'est Djafar. »

Un frisson me parcourut. J'étais déjà terrorisée par la situation, et là il voulait m'emmener chez lui. Comment expliquer mon absence à mes parents? Mais, comme envoûtée, je ne pus que me retourner et balbutier :
- « Je m'..m'appelle Diane. Diane de Mornay. D'.d'..d'accord.. M.Djafar... »

Je me relevais et nous sortîmes des toilettes. Heureusement que l'entracte n'était pas encore arrivé et que le couloir était vide. Je courus à l'entrée reprendre mon manteau, mes tempes étant en feu. Djafar étai sorti par l'entrée de service et m'avait dit qu'il passerait me prendre devant l'opéra.

Cette fois, je ne remarquais pas le froid de février malgré mon décolleté : mon sang bouillait et je n'entendais que les bruits de mon cour dans mes oreilles. Le goût de la queue de Djafar et de son sperme emplissaient encore ma bouche et m'enivraient.

Soudain, un klaxon m'arracha à ma torpeur et je remarquais Djafar, au volant d'une Golf hors d'age qui gesticulait pour me faire venir : - « Ho ! Tu penses à quoi ? Allez, bouge !! »



J'empoignais ma jupe et montais à bord de la petite voiture, ayant du mal à trouver de la place pour y faire rentrer l'ampleur de ma robe et de mon manteau. A peine avais-je refermé la porte que Djafar démarra comme un fou et se lança à toute allure dans les rues de Paris. Je n'étais visiblement pas la seule à être complètement excitée !
- « Alors, tu t'appelles Diane, c'est ça ? »
- « O.oui. », dis-je en baissant la tête
- « Oah, dis. C'est la première fois que tu suces un black ? »

Je ne pus même pas prononcer une parole vu mon état, mais je fis oui de la tête. De son côté, il passait plus de temps à me mater qu'à regarder la route.

- « Hé ! Tu sais que t'es mega bonne, toi ? J'ai encore jamais été pompé par une bourge comme toi, mais putain que c'est bon ! »

Arrivés sur l'autoroute, il mis sa main sur mes cuisses et les palpa au travers de la soie de ma robe. Il remonta vers ma chatte et j'écartais les cuisses sans même y penser. Alors qu'il atteignit mon intimité, je poussais un soupir de jouissance et commençais à me masser les seins.

- « T'es une vraie fontaine, toi ! Je sens que je vais devenir accro aux bourges, Madame la marquise ! » ricana-il.

Je n'avais pas remarqué que j'avais tellement mouillé que ma robe en était auréolée !!

Remarquant une aire, il donna un coup de volant sec pour s'y engouffrer et je dus me rattraper à la poignée pour ne pas me cogner contre la porte sous l'effet de surprise.

L'aire était vide à une heure aussi avancée de la nuit, à part un ou deux camions où devaient dormir les chauffeurs, les rideaux des cabines étant tirés. Un des réverbères était en panne, ce qui donnait à la lumière environnante une touche inquiétante. Mais sur le moment, j'étais loin de penser rationnellement !

Djafar sorti de la voiture comme propulsé par des ressorts. En un bond, il fit le tour du capot et ouvrit ma porte avant que j'aie pu réagir. Il m'empoigna par le bras et me fit sortir : - « Allez, j'peux vraiment pas attendre jusqu'à chez moi ! »

Sa force était réellement impressionnante car il me tira de l'habitacle comme si je ne pesais pas plus qu'une poupée de paille. J'étais presque suffoquée par l'excitation du moment.

- « Remonte moi ça ! » aboya-il en montrant ma robe

J'aggripais les larges replis formés par ma jupe et mes jupons et les remontais aussi haut que je le pouvais. Il se mit à genoux devant moi et tenta de m'enlever ma culotte. Il était tellement excité qu'il n'y arrivait pas et il prit un canif dans sa poche avec lequel il la découpa en deux. Il rejeta les morceaux de dentelle rageusement derrière lui et se releva.

D'une main, il retourna le bustier de ma robe pour en faire jaillir mes seins. Je sentis la fermeture éclair dans mon dos sur le point de se rompre devant la violence et la rapidité de son geste.

Par un réflexe, je mis une main devant ma poitrine. Il l'empoigna vigoureusement et me poussa contre la voiture.

Je sentis le métal froid sur mon dos au travers de mon manteau, mais Djafar, ayant entrepris de baisser son jean et son slip vint immédiatement se coller contre moi. Il passa ses mains sous mes fesses et entrepris de me lever à hauteur de son sexe.

Mes mains abandonnèrent ma robe et je m'accrochais à son cou. Je sentis son gland fourrager contre ma vulve pour trouver l'entrée. D'un coup, il enfonça fougueusement son membre en moi, me faisant pousser un cri tenant autant du plaisir que de la surprise. Malgré sa taille, j'avais émis tellement de cyprine qu'il entra en moi sans problème.

J'enroulais mes jambes autour de ses hanches et il commença à me ramoner profondément. Jamais les lèvres de ma chatte n'avaient à ce point été écartelées. C'est comme si mon vagin entier était empli par une chair ardente. Le plaisir éprouvé dépassait de loin tout ce que j'avais connu jusque là. Mes seins nus frottaient contre le tissu rêche de son sweat à chaque ondulation.

Djafar me tenais toujours par les fesses et me faisait faire de petits sauts pour amplifier encore plus le va et vient de sa bite en moi. Je sentais la soie de mon manteau se froisser sérieusement contre la vitre de la voiture, mais la tenue de ma toilette était la dernière de mes préoccupations.

Il se mit à me lécher les tétons de mes seins, qui étaient maintenant durs à m'en faire mal. Mon cri de jouissance à cette nouvelle caresse le poussa à me les mordiller. Mon Dieu ! Je perdais la tête de plaisir ! L'indécence de ma situation le multipliait par dix et mes halètements devenaient de plus en plus forts ! Jamais ma chatte n'avait servi d'écrin à un membre pareil.

Sous les coups de boutoir de Djafar et de ses assauts de mes tétons, je sentis monter en moi un puissant orgasme qui me secoua de part en part. Je me cambrais de toutes mes forces contre la voiture et tendis mes jambes à l'horizontale avec une telle force qu'un de mes escarpins à talon aiguille fut éjecté de mon pied. Les parois de mon vagin se contractèrent en cadence avec force sur la verge de Djafar. Ce fut pour lui le coup de grâce et il déversa de puissants jets de foutre chaud en moi. Je ne pus réfréner un cri sauvage en renversant ma tête en arrière.

Je m'effondrais sur le cou de mon vigoureux amant black, totalement annihilée par la jouissance. Il retira son sexe de mon vagin et l'essuya dans un pan de mon manteau en soie. Il avait également le souffle coupé par notre violent coït. J'essuyais quant à moi la cyprine et le sperme gluant qui coulaient en abondance sur mes cuisses avec la tulle de mes jupons.

J'essayais de remettre un peu d'ordre dans ma tenue et repositionnais mon bustier. Je jetais un oeil dans les environs afin de récupérer l'escarpin que j'avais perdu quand je vis que les rideaux aux fenêtres des camions n'étaient plus fermés ! Le bruit que nous avions fait lors de notre accouplement les avait sûrement réveillés. Deux visages hilares de routiers me dévisageaient et l'un d'eux, voyant que je l'avais aperçu, mima une fellation.

Morte de honte, je ramassais rapidement ma chaussure et revins encore toute pantelante à la Golf de Djafar.

Celui-ci, me dévisageant avec un grand sourire de satisfaction, me lança :
- « Allez, on remonte ! Je vais te montrer que j'ai encore des forces, ma belle ! »

Cette fois-ci, je voulais réellement aller jusqu'au bout de l'aventure et du plaisir de mon propre gré. Je remontais donc dans la voiture. Je poussais un gros soupir en retombant contre le dossier du fauteuil et mis ma main sur le sexe de Djafar. Je pouvais le sentir au travers du jean et je passais ma paume langoureusement dessus. Je ne voulais surtout pas que mon bel amant africain perde sa fougue avant la fin.

Le trajet dura une éternité à mes yeux, tellement j'avais envie de reprendre l'action où nous l'avions interrompue. Pourtant Djafar enfonçait la pédale d'accélération à fond et la Golf semblait sur le point de se désintégrer sous l'effet de la vitesse.

Enfin, nous aperçûmes les tristes barres en béton du quartier de Djafar. Je n'étais naturellement jamais entrée dans une cité et n'en connaissais que les échos que nous en faisaient parvenir les médias. J'avoue que je n'étais pas très rassurée même si mon désir de pousser la jouissance jusqu'à son extrémité était le plus fort.

Nous nous garâmes au milieu d'un ensemble de HLM passablement défraîchis où les paraboles aux fenêtres étaient particulièrement nombreuses.

Alors que je sortais de la voiture, je pouvais distinguer des groupes de jeunes au bas de presque chaque immeuble, certains ayant de terrifiants molosses en laisse. Je me blottis contre Djafar alors que nous nous approchions de l'entrée de son bâtiment : une bande de sept jeunes à dominante black-beur squattait le hall en se passant des cigarettes que je pensais être du hasch.

Djafar en profita pour me passer copieusement la main aux fesses et me susurra après m'avoir léché l'oreille :
- « T'en fais pas, princesse, c'est juste que mes potes, ces lascars là. J'te veux que pour moi. J'ai pas fini avec toi. »

Dès que nous passâmes la porte du hall, toutes les conversations s'arrêtèrent et les regards convergèrent vers nous. Je pouvais voir leurs yeux me dévorer et des sifflets admiratifs se firent entendre :
- « Oh, Djafar, c'est qui ce top que tu trimballes ? »
- « Putain, la vache ! Ta race, Djafar ! »
- « Hé, tu donnes trop dans la bourge, maintenant ? »

D'un air triomphant, Djafar me retourna et m'embrassa avec voracité et me pétrissant le corps de ses mains afin de bien montrer que j'étais sa chose. Le contact de sa langue contre la mienne m'ôtait toute volonté et me faisait baigner dans un océan de désir et de soumission.

Ayant fini de m'embrasser, il me retourna et me plaqua le dos à lui. Je pouvais sentir son sexe à nouveau dur comme de l'acier se frotter à mon anus entre les couches de nos vêtements. Il tira mon manteau vers l'arrière, histoire de me dénuder les épaules, et commença à me caresser les seins. Je ne pouvais m'empêcher de soupirer de félicité en fermant les yeux.

- « C'est mieux qu'une bourge, les gars. Madame est une aristo ! »

De nouveaux, les sifflets admiratifs fusèrent à qui mieux mieux.

- « Elle m'a sauté dessus alors que je taffais pour ce boulot merdique de loufiat à l'opéra. Elle en a jamais assez, sur ma mère ! »

Il ponctua cette dernière phrase d'une gifle contre ma poitrine et je poussais un petit glapissement de surprise qui fit s'esclaffer l'assemblée.

Il me poussa vers les escaliers en lançant à ses potes :
- « Vous m'excuserez, mais c'est l'heure de monter la pouliche. Ce s'rait pas poli de faire attendre Madame la Marquise ! »

Je pus entendre une série de ricanements et de commentaires salaces derrière nous alors que nous commençâmes à monter les marches, Djafar me donnant de petites claques contre les fesses pour me faire avancer plus vite.

Alors que nous allions passer la porte de l'appartement de Djafar, derrière laquelle on entendait la télévision à fond, au cinquième étage, il me prit a nouveau par le poignet et me pressa contre lui, me regardant dans les yeux avec agressivité :
- « Y'a mes parents. Alors tu leur montres du respect, compris ? »
- « Oui, oui, tout ce que tu voudras ! »

Il ouvrit et me fit passer dans l'appartement. Des remugles de cuisine africaine m'accueillirent dès le pas de la porte. Un désordre à la limite de la malpropreté caractérisait son logement.

Djafar me poussa plus qu'il m'emmena vers le salon d'où partaient les bruits de la télé. Ses parents regardaient une émission de variété, une jeune fille d'environ 15 ans qui devait être sa sour faisant le rechapage dans un coin.

- « Hé, j'vous présente une invitée surprise ! » lança-il à la cantonade. « J'veux pas être dérangé, compris ? »

Ses parents me fixaient avec incrédulité, mais sa mère avait un grand sourire sous son voile. Vous imaginez, voir son fils avec une superbe bourgeoise de l'aristocratie ! Quant à sa sour, son regard était empli d'une jalousie malsaine et ne pouvait se détacher de mes bijoux.

Sans attendre de commentaire, Djafar me fit pivoter d'un tour de main et me fit entrer dans sa chambre. Celle-ci était remplie de posters de groups de rap et de photos le montrant avec ses « lascars » ou accompagné de conquêtes féminines.

Il m'arracha mon manteau Dior de mes épaules et le jeta dans un coin de la pièce.
- « Et maintenant, tu strippes ! » me dit-il en mettant sa chaîne hi fi en marche.

Il s'assit dans un vieux fauteuil défoncé et prit une posture de rappeur afin de jouir du spectacle. Je n'aimais pas beaucoup le rap et cette musique n'était pas ce qu'il y a de mieux pour faire un strip langoureux, mais je ne voulais absolument pas décevoir ce si viril amant black.

Je commençais donc à onduler devant lui en me caressant les seins et les hanches avec mes mains gantées de soie. Je voulus commencer par ôter ma parure de diamants, mais il me rappela à l'ordre :
- « Non ! Tu gardes ça ! J'veux te baiser avec ! »

Je lui obéis docilement et commençais à dézipper le dos de ma robe. Arrivée au bas du dos, je laissais tomber le bustier afin de révéler ma poitrine. Je pris mes seins nus entre mes mains et les pétris à m'en faire mal. Sur son ordre, j'en léchais également les tétons.

Je continuais à danser et dézippais le reste de la fermeture éclair. Je fis tomber le reste de ma robe Balenciaga à mes pieds comme une large corolle. J'étais maintenant complètement nue, à l'exception de mes bijoux, de mes gants et de mes escarpins. J'en profitais pour me masturber et exciter mon clitoris en écartant les jambes dans une posture indécente, mais tellement électrisante.

- « Allez, tes cheveux ! »

Je retirais l'épingle à tête de rubis qui retenait mon chignon et qui avait jusque là résisté aux traitements que j'avais subi. Mes lourds cheveux blonds tombèrent alors en cascade sur mes épaules. A cet instant, Djafar quitta sa position et vint me rejoindre en se déshabillant fébrilement:

- « Il y a encore un trou avec lequel je n'ai pas fait connaissance » me dit-il en me passant une main sur les fesses.

Je compris tout de suite. Je me mis à quatre pattes sur le lit en relevant la croupe afin de lui présenter mon anus en offrande. Il se positionna derrière moi et je sentis ses mains parcourir mes courbes. Il approcha son visage de mes fesses et sa langue parcourut mon anus de bas en haut. L'onde de choc que provoqua cette caresse en moi m'ôta toutes forces et je faillis tomber de tout mon long sur mon lit, mais Djafar me retenait et tenant fermement mes seins.

Instinctivement, j'écartais encore plus les cuisses afin de lui faciliter l'accès à mon trou. Sa langue fit avec précision le tour de mon rectum avant de s'y enfoncer par petits coups vicieux. Mes soupirs devaient profiter à tout l'immeuble !! Soudain, un liquide gluant m'envahit la raie des fesses : Djafar avait craché sur mon anus afin de le lubrifier et étalait sa salive avec ses doigts.

Le moment fatidique était arrivé et je sentis son gland à l'entrée de mon petit trou. Il me prit par les hanches et m'empala centimètre par centimètre sur son membre d'ébène. Mon oillet s'ouvrit avec peine : je n'avais jamais été emplie de cette manière de ce côté-là et la douleur se mêlait à un plaisir intense. Une fois qu'il eut rentré sa queue de toute sa longueur, il se mit à me pilonner avec véhémence :
- « T'es si étroite !! Oh oui, t'es trop bonne ! »

Je ne pouvais rien répondre, à part des ahanements de plaisir. Djafar me besognait comme un possédé, m'abreuvant de termes obscènes. Le va et vient de son sexe en ma plus profonde intimité était la chose la plus excitante qui m'était jamais arrivée ! Je sentis soudain son sexe se raidir et enfler dans mon cul, sensation suivie d'un cri de jouissance et de puissantes giclées de sperme m'inondant le conduit.

Il ressorti son membre après quelques mouvements destinés à lui vider complètement les bourses et m'agrippa par les cheveux :

- « Et maintenant, on joue à la fée du logis, Madame la Marquise ! »
Il me mit la tête à hauteur de son sexe noir recouvert du blanc de son foutre. Sans me faire prier, et sans même penser qu'il venait droit de mon cul, je le pris dans la bouche en fermant les yeux. Il était encore plus chaud que lorsque je l'avais sucé la première fois dans les toilettes de l'opéra et ce goût mêlant son odeur, de la sueur, du sperme et ce je ne sais quoi provenant de mon petit trou mettait mes sens en folie. Je le léchais consciencieusement, m'attardant particulièrement sur son gland circoncis.

Une fois que je lui eus nettoyé la bite, Djafar me releva et me regarda attentivement. Il me prit mon collier de diamants et me dit :
- « Ca fera un beau cadeau pour ma soeur, tu crois quand même pas que déguster une bite pareille c'est gratuit ? »

Je le laissais faire, morte de fatigue et de plaisir. De toutes façons, je lui aurais laissé l'ensemble de mes bijoux et de ma toilette pour m'être faite tirer comme çà !

Nous nous rhabillâmes en silence et je tentais de remettre un peu d'ordre dans ma coiffure. Je ne sais plus exactement ce qui s'est passé ensuite, étant dans une sorte d'état second, mais je me souviens que Djafar m'a raccompagnée en voiture à notre hôtel particulier peu de temps avant que mes parents ne reviennent de l'opéra. Le baiser que je lui dérobais au sortir de sa Golf fut particulièrement fougueux.

J'eus ainsi le temps de me laver et de me mettre au lit avant que ma famille ne me surprenne. J'ai mis mon absence soudaine de la loge sur le compte d'un malaise passager et ils n'en ont jamais rien su.

Pour ma part, je ne peux m'empêcher de repenser à cette soirée et à Djafar sans mouiller.

kekolo56

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