TITRE :  La crémaillère et mes amants
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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La semaine et le week-end passèrent rapidement à parfaire notre installation dans la nouvelle maison, tableaux, miroirs… et mon mari était attentionné, certainement pour faire oublier qu’il allait partir 3 jours. Mais finalement je me disais que j’allais y trouver mon compte (et même plus) et j’attendais presque avec impatience son départ tellement j’avais pris mon pied lors des séances de débauche précédentes. Etre à la fois soumise par ces jeunes mecs et m’envoyer en l’air avec autant de puissance me rendait folle et dépendante de ça comme d’une drogue. Je conseille aux femmes comme moi de se laisser aller à leurs désirs les plus inavouables et de tester toutes les voies du plaisir, en particulier avec des jeunes bien montés, endurants et sans tabou.

     Le mardi à midi j’amenai mon mari à l’avion et revint à la maison tout excitée après avoir fait les courses. Je me mis d’abord à préparer les canapés et autres réduction pour la soirée puis je pris une longue douche bien chaude pour me détendre. Ensuite je choisis avec soin mes dessous, petit string blanc rentrant dans mes fesses et soutien seins faisant pigeonner mes seins sans couvrir mes tétons ce qui avait pour effet de les faire pointer de façon très visible. Je mis ensuite une toute petite jupe blanche évasée que j’avais depuis quelques années et un petit pull assez moulant à maille large qui laissait à l’air mon nombril et permettait de deviner mes tétons.

     Ils arrivèrent vers 8 heures du soir, tous les trois en jeans et chemise largement ouverte. Ils avaient amener la boisson, champagne et vins rouge. J’étais complètement excitée de me retrouver avec ces 3 jeunes étalons qui m’embrassèrent à pleine bouche chacun leur tour, Hamid en profitant tout de suite pour me mettre la main aux fesses à travers la jupe. Sentant le string que j’avais mis il m’ordonna aussitôt de l’enlever et de mettre mon cul et ma chatte à l’air : il ne devait pas y avoir de barrière entre mes trous d’amour et eux, je devais m’offrir, être accessible à tout moment et obéir sans discuter.

     Ils s’installèrent confortablement au salon et je dus les servir, chacun me caressant à tout de rôle : Hamid me passa la main entre les jambes et il introduisit son majeur dans ma chatte avant de me le faire sucer. Karim lui me fit approcher entre ses cuisses et soulevant ma jupe il me lécha la chatte, sa langue râpeuse déclenchant immédiatement des ondes de plaisir

     « Tu es vraiment faîte pour l’amour, on va beaucoup s’amuser ce soir tous les quatre »

     Eric lui me fit asseoir sur ses genoux , il me caressa les seins au travers du pull et sentant mes tétons libres il déclara aux autres que j’avais vraiment des dessous super excitants. Faisant pointer mes petits bouts au travers des mailles il les suça doucement puis il prit possession de ma bouche pour une pelle d’enfer. Une fois tous servis Hamid me fit mettre sur une chaise et je dus prendre mon apéritif en ayant constamment les cuisses écartées, ma chatte presque entièrement rasée mouillant sous leur regard et leurs allusions perverses. Voyant que j’avais acheté des bananes et des concombres ils m’obligèrent à aller en chercher à la cuisine. Karim prit la banane, il coupa net une extrémité et m’ordonna de me branler la chatte avec. Je la pris et docile je m’approchais au bord de la chaise pour rendre facilement accessible celle-ci. Je la léchais devant eux comme une bite puis écartant mes lèvres je l’ai doucement introduite d’abord un tout petit peu puis ma chatte s’ouvrant toute seule je l’ai enfoncée de plus en plus profond. Ils me regardaient sans y croire tellement je m’abandonnais : la sensation était incroyable, la banane dure et douce à la fois touchait des terminaisons nerveuses qui me faisaient frissonner. De temps en temps je la sortais complètement et la léchais avec application avant de me la renfiler en soupirant, les cuisses toujours bien écartées. Karim se mit alors à éplucher le concombre, qui était assez long et d’une bonne épaisseur, sur les 2/3 tiers de sa longueur, arrondissant l’extrémité pour faire penser à un gros gland et reprenant la banane qui brillait de mon jus il me le donna

     « Prends ça salope, et fais toi jouir »

     Je le pris et le fis passer sur mon sexe et mes grandes lèvres qui pendaient. Le contact était froid mais leur obéissant je l’ai introduit dans mon sexe, forçant tout doucement l’entrée car l’engin était autrement plus gros que la banane. Je me l’enfonçais progressivement en le faisant coulisser et devant le spectacle ils sortirent leur queue pour se branler en rythme. Ils bandaient durs tous les trois en me regardant et gémissant doucement je me l’enfilais de plus en plus profondément. Ma chatte s’ouvrait littéralement pour avaler ce concombre qui frottait de toute sa longueur l’intérieur de mon fourreau humide, mes chairs élastiques s’adaptant à ce sexe végétal qui me faisait monter le plaisir inexorablement. Je gémissais de plus en fort en disant c’était bon, écartant les cuisses au maximum pour le prendre tout au fond et le faisant aller et venir dans toute la longueur de mon vagin. Ils buvaient leur apéritif en me regardant et sans pudeur je me pliais à toutes leurs exigences, m’enfilant le concombre toujours plus profond et plus rapidement en gémissant comme une folle. Leurs regards me rendaient folle autant que le plaisir que me procurait ce gode. Je voyais leur sexe grossir tout seul, raidir devant le spectacle que je leur donnais et j’ai poussé un long cri de jouissance quand j’ai eu mon orgasme, laissant l’engin fiché dans ma chatte. J’étais obscène, les cuisses écartées avec ce long concombre dans mon con, mais je jouissais puissamment et j’avais trois queues bien raides devant moi qui allaient m’enfiler.

     Je finis mon verre de pastis bien tassé et resservis tout le monde, chacun de mes amants en profitant pour me caresser ou se faire branler. L’alcool que j’avais déjà bu me rendait euphorique et complètement soumise à ces mâles que j’allais devoir satisfaire durant une soirée et une nuit qui s’annonçaient très longue. Eric enleva son jeans et installé dans un fauteuil avec son verre de pastis, me fit mettre à genoux entre ses cuisses en m’ordonnant de le sucer lentement. Je prenais son sexe en main et je commençais par le branler doucement, décalottant complètement son gland mais il m’a rapidement pris par les cheveux et m’a fait engloutir son sexe qui grossissait à vue d’œil. Je le suçais et le léchais à fond ma salive dégoulinant le long de ce sexe qui avait atteint une grosseur intéressante. Mon assistant me relevait de temps en temps pour ne pas éjaculer trop tôt, il m’a enlevé mon pull et mon soutien gorge et il me faisait boire. J’étais déjà dans un état second et lui il gémissait de plaisir sous mes coups de langue, m’encourageant sans cesse à le prendre de plus en profond dans ma gorge. Les deux autres nous regardaient tout en sirotant leur verre, attendant leur tour en louchant sur mon cul et ma chatte découverts. Je m’occupais de la queue de Eric depuis un long moment, son gland était énorme, tendu au maximum, luisant mais il était endurant.

     « Continue ma belle, je vais t’en mettre un maximum, j’ai les couilles pleines à craquer et tu me fais bander comme un âne avec ta belle bouche et ta langue de velours.

     Je ne pouvais rien dire, j’avais la bouche pleine, mais je sentais qu’il allait bientôt venir

     - Encore Stéphanie, encore c’est trop bon, ouiiii je viens »

     Il se renversa en arrière et tout en poussant des cris de jouissance il se mit à se vider. Je pris son premier jet de foutre au fond de la gorge et je fus obligée de lâcher son gland tellement il m’avait envoyé de sperme d’un coup. J’en avais plein la bouche, du sperme épicé que je déglutis lentement pendant qu’il lâchait ses giclées de sperme suivantes que je prenais dans les cheveux et sur le visage. Je tenais sa bite par la base et il m’a arrosé comme ça 3 – 4 fois, des giclées puissantes et épaisses, puis je repris son sexe en bouche pour le téter et avaler le jus de ses couilles qui finissaient de se vider lentement. Il restait bien raide et tout en lui caressant les couilles, je m’appliquais à le nettoyer sur toute la longueur allant jusqu’à lui lécher ses poils tout blond. Ils me félicitèrent tous les trois pour ma superbe pipe et je me suis nettoyé le visage avec une serviette en papier avant qu’ils me demandent de les resservir. J’avais maintenant les seins nus, ballottant sous leurs yeux à chaque pas ou à chaque fois que je devais me baisser pour remplir leur verre et cela rendait mes tétons durs, les faisant pointer fièrement : voir leurs bites tendues vers moi me faisait frissonner de plaisir, déclenchait des picotements dans le bas du dos et me faisait mouiller en permanence. Hamid m’ordonna de le déshabiller complètement et je m’exécutais sous ses caresses les plus diaboliques. Une fois nue, je dus déshabiller les deux autres qui bandaient comme des ânes puis Hamid m’ordonna d’enlever ma jupe et de venir vers lui. Il caressa mon abricot tout lisse et humide et tout en me faisant écarter les jambes pour m’enfiler un doigt il me demanda de me caresser les seins. Complètement soumise et impudique je m’exécutais : j’empoignais mes seins et les malaxais, étirais mes tétons tout en gémissant de plaisir. Soudain il s’interrompit

     « Mets toi à genoux sur la table et suces moi maintenant, en écartant bien les cuisses et en gardant ton cul de chienne bien haut

     Je m’installais, j’avais sa queue dressée à portée de bouche et il me prit par les cheveux par m’amener au dessus d’elle et toujours docilement je commençais à lui lécher le gland. Karim se leva aussitôt, son gros gourdin à l’horizontale et il vint se placer derrière moi. Je m’attendais à être embrochée immédiatement mais au lieu de cela je sentis ses mains s’emparer de mes fesses puis sa langue commença à me lécher la raie. Surprise je me retournais en gémissant mais Hamid me prit par le visage et me ramena vers son sexe

     - C’est bon de se faire lécher le cul et la chatte, hein, mais suces moi en même temps
     - Oui, c’est bon, j’adore ça et je me remis à le lécher en le branlant doucement
     - Oui, elle est trempée. Elle a vraiment un cul superbe et bien fendu et sa chatte est super bonne. Je vais la fourrer comme une dinde ta nouvelle copine, bien au fond, elle me fait trop bander avec son petit air de petite fille bourgeoise bien élevée
     - Oui, petite bourgeoise bien élevée mais qui à le feu au cul, hein Karim, et je te parle pas de sa bouche qui est faite pour sucer et avaler. Elle te vide les couilles tellement bien qu’on croirait qu’elle les aspire.

     Les entendre parler de moi comme ça me déchaînait, je massais les couilles de mon peintre d’une main tout en léchant sa grosse queue sur toute la longueur insistant sur le gland et le méat bien ouvert d’où s’écoulait un peu de liquide. Karim lui me bouffait littéralement le cul et la chatte, sa langue dure et râpeuse allant de mon petit trou à mon con grand ouvert qui coulait tout seul. Il me léchait la raie du cul en écartant bien les deux globes charnus et en introduisant sa langue profond dans mon petit trou qui était trempé de salive.

     Je suçais et j’étais léchée : une vraie salope dans ses œuvres et mon amant tout en me caressant les cheveux et en m’encourageant à le prendre bien à fond faisait des commentaires salaces

     - Il faudrait que ton mari voit ça, ça le ferait bander dur de te voir baiser et jouir avec trois mecs
     - Regardez moi ce beau corps de bourgeoise qui va être enfilé par tous les bouts
     - Doucement chérie, tu vas me faire exploser trop tôt

     J’allais jouir sous la langue de Karim quand il se redressa et qu’il déclara qu’il allait m’enfiler. Il me saisit les hanches avec ses grosses paluches et tout en positionnant mon cul à la bonne hauteur je le sentis écarter mes grandes lèvres et placer son gland énorme à l’entrée de ma chatte. Il m’écarta encore plus les cuisses et enfonça doucement sa pine en moi. Il prenait son temps et ma chatte s’ouvrait toute seule sous la poussée du gland qui me perforait pour aller se loger au plus profond de moi comme une tête chercheuse. Arrivé en butée il donna un coup de rein comme s’il voulait me transpercer et je sentis ses couilles et ses abdos contre moi.

     - Alors c’est bon d’en avoir une bien grosse au fond de toi, tu me fais tellement bander que j’ai envie de te transpercer avec pour te mettre mon sperme dans la bouche
     - Oui, c’est bon, vas y je la sens bien ta bite, elle est bonne
     - Je suis bien d’accord avec toi ma belle, et elle va encore grossir pour t’envoyer au 7ème ciel. J’ai envie de t’entendre crier, jouir comme une chienne, que tout le quartier sache que tu t’envoie en l’air

     Je tenais la queue d’Hamid et la léchais de temps en temps mais sous les coups de piston du jeune qui m’enfilait j’avais de plus en plus de mal à assurer et de temps en temps c’est lui qui me la mettait en me regardant et en encourageant son collègue. Offerte comme je l’étais, le sexe de Karim me remplissait totalement et je le sentais encore grossir en moi à chaque coup de piston. Il amenait son gland à l’entrée de ma chatte, frottant mon clitoris puis il m’enfilait de nouveau jusqu’au fond, tantôt lentement, tantôt comme un sauvage et je mouillais en continu en gémissant sous la puissance des coups et la grosseur de son engin. Il me couvrait comme une chienne me prenant par les hanches en écartant mes fesses ou par les épaules en me plaquant contre lui, son gland butant contre mon utérus. Il me baisait en poussant des han de bûcheron et j’avais l’impression d’être une poupée entre ses mains. Nous étions en sueur tous les deux et sous les assauts de son engin qui me ramonait comme jamais un premier orgasme me parcourut et je criais mon plaisir en lui demandant de continuer et de me remplir de son foutre. Mes muscles internes se contractaient autour du sexe qui me fouillait et je gémissais de plus en plus fort pendant que mon jeune beur, déchaîné et endurant, continuait de me pistonner en me tenant fermement. Il me bourrait de plus en plus sauvagement, mes seins tressautaient à chaque assaut et j’eus un deuxième orgasme lorsqu’il me saisit les seins en me pinçant et étirant les tétons qui réagirent instantanément en durcissant. J’étais secouée par les ondes de plaisir et de douleur car il me pinçait fort les tétons qui étaient tendus au maximum, sensibles

     - Elle aime ça les gars, regardez la jouir et se trémousser et elle en redemande encore. Regardez ce cul et cette chatte, elle est trempée de jouissance et presque je lui arrache ces gros tétons
     - Oui vas y encore, elle est trop bonne ta grosse queue, bourre moi bien, remplis moi de sperme
     - Attends ma belle, je vais te la remplir ta chatte, oui je viens

     Il me pistonna encore quelques coups et enfin il poussa un gémissement de dément lorsqu’il jouit au fond de ma chatte. Il giclait en moi en saccades interminables, tellement fort que je sentais ses jets me remplir. Il vidait ses couilles en me bourrant par petits coups et tout au plaisir de me faire baiser aussi fort j’eus un troisième orgasme qui monta du fin fond de mon vagin et me secoua toute entière en contractant une nouvelle fois mes muscles qui massaient sa pine en extrayant la moindre goutte de foutre de ses couilles. Lorsqu’il eut fini de se vider, il se retira lentement et il m’ordonna de lui lécher sa queue

     - J’ai joui comme jamais, vraiment tu m’as vidé les couilles comme personne et toi, tu as aimé ?
     - Oui tu m’as bien remplie, j’ai joui au moins trois fois, je ne pourrai plus jamais me passer de vos queues, elles sont vraiment trop bonnes
     - Allez, suces moi maintenant, j’ai envie de voir ta jolie bouche me nettoyer la queue, tu vas goûter notre jus mêlé, super non ?

     Toujours sur la table basse du salon je m’approchais de lui et de son sexe qui avait bien dégonflé mais qui avait encore une taille respectable et qui pointait vers moi, luisant de sperme et de cyprine. A ce moment là Hamid me mit une grosse claque sur les fesses qu’il avait sous ses yeux en me disant de bien m’appliquer. Comme toujours je m’exécutais et prenant sa queue en main j’ai doucement amené son gland vers ma bouche. Il sentait fort mais je commençais à le lécher doucement avalant petit à petit son sperme et mon jus, je léchais toute la longueur de sa grosse tige et puis je l’embouchais complètement et lui pompais le gland lentement en caressant ses couilles. Je le suçais à fond, nue devant ses trois hommes et je prenais du plaisir à lui arracher des gémissements et à le faire raidir de nouveau, plaisir aussi d’être caressée par Hamid qui me flattait la croupe passant ses doigts à l’intérieur de ma raie

     - Ca me fait bander de voir ton arrière train offert comme ça et d’entendre tes bruits de bouche
     - Enfiles la pendant qu’elle me suce, je veux la voir en face en train de se faire tirer
     - Ok, elle va en avaler ta queue

     Je l’ai senti se lever du canapé et il est venu mettre sa queue raide entre mes fesses, la frottant lentement dans ma raie pendant qu’il caressait mon dos, mes épaules et écartait de nouveau mes cuisses pour que mon sexe dégoulinant s’ouvre et l’accueille sans problème. Je le sentais derrière moi, chaud, bien dur et encore plus gros que son copain que je suçais toujours avec gourmandise. Il passait sa queue entre mes cuisses, entre mes lèvres trempées, de nouveau sur mon petit trou. Lorsqu’il m’embrocha, je poussai un cri de surprise mais sa queue m’enfila à fond sans aucune difficulté tellement j’étais lubrifiée. La queue qui me fouillait maintenant était moins longue que la précédente mais plus épaisse. Il était planté en moi, me bourrant à petit coup avec son gland énorme que je sentais bien au fond de ma matrice. J’étais remplie, chatte ouverte et mouillant autour de ce pieu comme j’en avais jamais connu avant, et je me laissais aller à cette possession complète, au plaisir que me procurait ce sexe vigoureux. J’étais prise chez moi, comme une chienne, dans mon salon où je recevais et regardais la télé avec mon mari, sur la table basse offerte par ma belle mère, soumise à trois jeunes hommes qui jouissaient de mon corps à leur guise : ça me rendait folle et je gémissais en continu pendant que Hamid me limait à grands coups, sortant et entrant de ma chatte toujours plus dur et plus gros. Karim me caressait les seins gonflés, étirait mes tétons toujours plus rouge et me faisait lécher son gland entre deux gémissements. Le sexe qui me baisait était infatigable, me pistonnant comme un métronome et les abdos de mon amant venaient régulièrement frappés mon cul manquant à chaque fois de me faire tomber de la table. Sentant un doigt s’introduire dans mon cul je partis une nouvelle fois au 7ème ciel en lâchant un grand ouiii de jouissance absolue, mais mon amant ne me suivit pas dans cette explosion. Il continuait à me baiser et Karim me tenait la tête en me caressant doucement et en me faisant lécher son gland

     - Tu es belle quand tu jouis, tu sais, on voit que tu aimes ça, elle a la langue dehors et elle se lèche les lèvres Hamid
     - C’est bon, elle me serre bien la bite et elle vient s’empaler dessus à faire rentrer mes couilles dans sa chatte, vas y cries encore Stéphanie, jouis bien fort, ça me fait bander et je te sens mouiller de plus en plus
     - Oui, oui encore, tu me transperces
     - Oh oui, je vais te transpercer et te remplir de foutre chérie, tu la sens bien comme ça hein, et tu vas voir, elle a pas fini de grossir pour te farcir bien fort

     Il me pistonnait toujours, sa grosses queue m’ouvrant en deux, ses mains me tenant fermement, par les hanches, par les côtes en caressant mes seins, par les épaules en me serrant de temps en temps le cou comme s’il voulait m’étrangler pendant le coït ou la jouissance. De temps en temps il sortait complètement, passait son gland entre mes fesses en me promettant de me les ouvrir ce soir, et il m’enfilait de nouveau, son gland gonflé au maximum frottant mes parois. J’avais orgasme sur orgasme, mon corps n’était que jouissance, ma chatte, mes seins répondaient à chaque caresse, à chaque coup de piston par des éclairs de jouissance lorsque enfin il annonça la sienne. Il m’enfila bien à fond et laissa exploser dans un feulement rauque sa jouissance. Lui aussi criait en jouissant, bourrant le fond de ma chatte en me remplissant de son sperme. Il criait à chaque jet de foutre qu’il envoyait et je sentais son gland me remplir en saccades longues et puissantes. Il me couvrait comme une chienne et vidait ses couilles au fond de moi sous le regard lubrique de ses deux copains qui bandaient de nouveau, se branlant lentement d’une main tout en buvant une bière. Il resta en moi un long moment puis ayant complètement vidé ses grosses couilles qui pendaient maintenant il se rassit dans le canapé. Ca sentait fort la baise dans la pièce, on sentait l’odeur mêlée des corps en sueur qui ont fait l’amour et du sperme qui avait giclé de leurs bourses bien pleines. J’étais allongée sur cette table entre eux, cuisses ouvertes, ma moule ouverte aussi, presque lisse, dégoulinant du trop plein de sperme : je récupérais de mes jouissances et je pensais à mon mari en trouvant étrange qu’il n’ait pas encore appelé.

     Lorsque je me suis levée pour aller à la salle d’eau, Eric me suivit avec sa queue à moitié gonflée. Il en profita pour me coincer contre le lavabo, sa pine contre mon cul et il me caressa les seins avec ses deux grosses mains tout en m’embrassant dans le cou. Je m’abandonnai entière à ce moment de tendresse, sa langue parcourant mon cou, mes oreilles avant qu’il me retourne pour m’embrasser sur la bouche et prendre possession de ma langue. Il devait avoir le goût du sperme qui m’avait arrosé et que j’avais avalé mais cela ne le gênait absolument pas car je le sentais durcir contre mon ventre. Je répondis à ses baisers et nos bouches, nos langues se sont liées sauvagement dans un échange bestial. Il me pétrissait les fesses, m’aspirait la langue, m’écrasait les seins en me traitant de petite pute et en me promettant de m’enfiler de partout.

     Revenue au salon, Hamid m’ordonna de remettre une mini jupe en gardant mes seins et mon cul à l’air car j’étais encore plus bandante pour lui comme ça :

     « une jupe bien courte sans rien dessous, je te veux toujours comme ça prête à te faire enfiler par n’importe quelle queue n’importe où, super excitant non ?

     oui, très excitant » Je suis allée mettre une mini jupe fermée par des pressions devant qui m’arrive à peine à mi cuisses et j’ai resservi un verre à tout le monde. Nous avons terminé toutes les assiettes, j’étais de plus en plus éméchée, riant pour un rien, prête à n’importe quoi dans cet état. Ils ne parlaient que sexe, imaginant les situations les plus scabreuses dans lesquelles ils pourraient me prendre ou me faire prendre. J’avais les cuisses en permanence bien écartées et ils bandaient tous les trois de nouveau. Ils me regardaient en se branlant doucement et je devinais en voyant ces sexes que j’allais y passer de nouveau et que la nuit serait longue. Hamid décréta qu’il voulait me prendre dans notre chambre alors ils se levèrent et je dus les précéder vers mon lit conjugal. Celui-ci a à la tête des barreaux métalliques auxquels mon mari m’a déjà attachée pour vivre certains de nos fantasmes et il se reflète dans deux miroirs : celui immense de l’armoire qui permet de voir tout le lit et un mural qui plonge vers le pied du lit. Karim me prit par les épaules et me mit face au miroir de l’armoire en me disant qu’on allait bien s’amuser ensemble et que j’allais pouvoir tout voir. J’avais sa queue raide entre les jambes, il me caressait les seins et il m’amena doucement vers le lit où Hamid s’était étendu. Celui ci m’ordonna de le sucer et je me mis à quatre pattes sur le lit entre ses cuisses musclées, mes seins lourds ballottant sous moi de façon super bandante et mon cul largement offert sous ma jupe qui ne cachait absolument rien de mon abricot rasé et de ma raie culière. Je lui léchais d’abord les couilles, remontant doucement le long de son sexe déjà bien raide et finalement je l’ai empoigné pour l’enfourner et le sucer comme une malade, l’aspirant bien fort pour le faire raidir et lui arracher des gémissements de bonheur. Tout à coup je sentis une main entre mes cuisses et un doigt pénétra ma chatte trempée, Karim était là avec son engin énorme pointant devant lui. Il le prit en main et sans coup férir m’embrocha d’un coup à fond ses couilles venant buter contre mes lèvres intimes. Je suçais toujours la grosse queue de mon maître et l’autre me pistonnait de toute sa longueur en tenant fermement mes hanches et criant sans cesse que j’étais trop bonne et qu’il allait me la mettre dans tous mes trous. Hamid l’approuva et me prenant par les cheveux me dit de venir m’empaler sur sa queue et qu’ils allaient me remplir ensemble de leur foutre. Jamais je n’avais été prise comme ça et je le suppliais de ne pas faire ça, je lui expliquais que j’étais trop étroite, qu’ils allaient me faire mal avec leurs gros engins mais il ne voulait rien entendre. Surtout tous les trois voulaient m’enfiler de toute part et me voir soumise à tous leurs caprices, à toutes les envies. Pour eux j’étais faite pour ça, pour me faire enfiler et baiser par tous mes trous qui les accueillaient si bien. Ils me trouvaient à leur goût, mes seins et mon cul les rendaient fous, ma bouche était faite pour sucer les queues et en plus ils voyaient que j’y prenais du plaisir, que je jouissais sans retenue à chacun de leur assaut.

     Mes deux amants arabes m’empoignèrent et sans aucune résistance je m’enfilais sur la queue luisante de Hamid qui m’attira à lui et m’embrassa en me disant que j’allais aimer ça et qu’ils allaient me fourrer comme deux frères

     - Tu vas avoir deux queues comme tu les aimes, bien gonflées, au fond de toi en même temps, super hein
     - Je ne sais pas
     - Mais si, se faire fourrer par tous les trous, monter au 7ème ciel et se faire farcir de sperme par des mecs bien montés vous en rêvez toutes, non et regardes tes seins ils sont déjà tendus à bloc tellement tu attends ça
     - Oui, je ne sais pas, faites doucement
     - Mmm tu es trop bonne, je bande à mort, ta chatte dégouline sur mes couilles, regardes la queue de Karim, tu le fais bien bander aussi petite salope, tu vas bien jouir avec ça dans le cul

     Je voyais dans la glace Karim en train de se mettre derrière moi et sa queue était effectivement gonflée à bloc, pointant vers mon cul comme un pal qui allait me transpercer. Il la prit en main et il pointa son gros gland luisant contre mon petit trou. J’eus un mouvement de recul instinctif mais je ne pouvais leur échapper et les fesses écartées par les mains de mon enculeur je sentis son gland dur comme du béton forcer petit à petit mon anneau. Il poussait doucement et mon assistant, installé dans le fauteuil près de nous jouait les voyeurs en se branlant doucement. Nous gémissions tous les trois de concert lorsque le gland de Karim passa mon sphincter d’un coup m’arrachant un cri de surprise. J’étais enfilée par mes deux trous, prise en sandwich pour la première fois de ma vie et même forcée comme ça je n’avais pas mal. Je faisais bander ces jeunes mecs, j’allais les faire jouir en moi, ils profitaient de mon corps mais ils me donnaient du plaisir comme jamais et il n’y a plus que ça qui comptait pour moi. Karim continuait de m’enculer, enfilant toute la longueur de son sexe dans mon petit trou, m’ouvrant les reins en deux en gueulant que c’était bon et que mon cul le faisait bander comme jamais. Il me tenait fermement et finit de m’enfiler d’un coup, ses couilles et ses abdos venant buter contre mon arrière train, puis il entama des va et vient puissants, sortant de temps en temps son gland pour m’enfiler de nouveau d’un coup déclenchant en moi des ondes de plaisir aussi puissantes que celles partant de mes tétons et de mes seins malaxés et sucés par Hamid. Je m’agrippais au montant du lit devant moi et accompagnais doucement les mouvements des queues qui me fouillaient vraiment profond lorsque un orgasme me fit crier comme une folle. La queue qui m’enculait m’envoyais au septième ciel et j’hurlais ma jouissance tellement elle était violente et inattendue demandant à Karim de continuer, de me prendre encore plus fort et de tout m’envoyer. Il ne se fit pas prier et se mit à me pistonner puissamment, toute la longueur de sa queue m’enfilant à chaque coup. Il sortait son gland de temps en temps et en même temps que je lui demandais de la remettre il m’enculait de plus belle en rentrant comme dans du beurre. Mon assistant bandait fort à côté et avec un petit sourire me dit que j’étais une sacré salope pour me faire mettre comme ça. Karim en rajouta :

     - Oui, une salope vraiment bonne, j’ai jamais bandé dur comme ça dans un cul. Elle a un cul bien rembourré comme il faut, une belle fente avec un petit trou bien serré qui te masse la queue comme jamais
     - Mmmm, doucement Karim tu es trop gros, vous êtes tous les deux énormes
     - Oui mais tu aimes tellement ça, ça te fait même jouir comme une folle et puis je vais jouir moi aussi, je vais te remplir le cul de foutre, oh ouiiiii ça vient, j’explose… c’est bon, c’est trop bon… je te remplis, tu la sens bien comme ça

     Il m’enfila à fond d’un coup et en me tenant les hanches il se mit à jouir au fond de mon petit trou. Il giclait en longues saccades sans bouger et je tendais mon cul vers lui pour le sentir se vider au fond de moi

     Il se vida en gémissant puis se retira rapidement pour s’allonger de tout son long sur la moquette. J’avais la sensation d’un grand vide, mon cul devait être grand ouvert et il dégoulinait du sperme de mon enculeur qui m’avait envoyé une dose de foutre hors du commun. Hamid me fit rouler sur le dos en restant en moi et en me léchant les seins il se mit à me bourrer la chatte. Sa queue n’avait pas débandée et il me couvrait de son corps d’athlète, son gland énorme venant buter contre mon utérus à chaque ondulation de son corps. Je me sentais toute petite sous lui et je lubrifiais comme jamais de me faire prendre comme ça par un jeune mec aussi baraqué qui me secouait comme une poupée gonflable. J’écartais les cuisses au maximum et je m’arquais sous lui pour amener mon bassin à sa rencontre et sentir son sexe me ramoner. J’étais transpercée par son engin, il me bourrait en prenant son temps. D’une main il me maintenait les poignets au dessus de la tête, de l’autre il me caressait les seins, les fesses et s’attardant sur mon petit trou dégoulinant il me dit

     - Il t’a bien fais jouir du cul Karim et en plus il t’a mis la dose de foutre. Ce qui est super bandant c’est de t’entendre à la fois gémir de t’en prendre une bien grosse et d’en redemander en même temps : tu es vraiment une très jolie salope faite pour la baise
     - Oui il m’a complètement transpercée
     - Tiens goûtes ce qu’il t’a mis dans le cul, et il me fit lécher ses doigts plein du sperme que j’avais pris dans le cul. Pendant que je lui suçais les doigts il grossissait en moi en me pistonnant de plus en plus fort, son gland butant au fond de ma matrice, mes seins ballottant à chaque poussée
     - Regardes moi ces seins, ils me font bander à mort, tu sais qu’ils sont bandants et on a du te le dire souvent
     - Oui très souvent mais jamais on m’a prise comme ça
     - Tu es sure ? avec ton superbe cul et ta poitrine je te crois pas, sans parler de ta bouche de suceuse et ton air d’allumeuse tu as dû passer à la casserole souvent
     - Non jamais, j’allume mais jamais je n’avais trompé mon mari jusqu’à maintenant, jamais
     - Et bien on va te faire rattraper le retard que tu as pris ma jolie salope parce que ta chatte elle en redemande, écartes bien les cuisses que je te fourre à fond, oui comme ça, super et à partir de maintenant quand quelqu’un voudra te mettre tu obéiras et tu écarteras les cuisses comme une putain, compris ?
     - Oui Hamid je t’obéirai, mmmm vas y enfiles moi bien, j’aime ton sexe

     Il sortit de ma chatte pour frotter son gland entre mes lèvres dégoulinantes et d’un coup il me renfila, soulevant mon bassin pour me pistonner bien à fond. Sa grosse queue m’ouvrait en deux et je sentais le plaisir monter de nouveau en moi. J’étais vraiment en train de devenir une nymphomane et d’être dominée, soumise par ces étalons décuplait mon plaisir. Je gémissais de nouveau comme une folle, demandant à mon amant de m’envoyer en l’air, de m’inonder de son sperme. Lui me malaxait les fesses, léchait et aspirait mes tétons et j’explosai de nouveau de plaisir, l’onde partant de mon clitoris et de ma chatte m’arrachant des cris de jouissance tellement c’était puissant. Mes cuisses et ma chatte étaient grandes ouvertes Hamid continuant à me prendre de toute sa longueur en me disant qu’il allait me remplir. Je le vis et le sentis se crisper et en poussant un grand oui de jouissance il se mit à jouir au fond de mon sexe, accompagnant ses longs jets de sperme par de petits coups de reins qui faisaient buter son gros gland contre mon utérus. Je le sentais effectivement me remplir de son foutre qu’il a abondant. Il a joui longuement, lâchant toute sa semence en moi en me regardant dans les yeux puis se retirant lentement de mon fourreau il m’attrapa la tête et m’ordonna de lui lécher les couilles et la queue. Il me fit glisser entre ses jambes et je mis à lécher le sperme qui dégoulinait le long de son sexe qui tout en débandant était encore d’une taille respectable. Ca sentait fort, comme dans toute la chambre d’ailleurs, mais je m’exécutais et avec ma langue je lapais le jus des couilles jusqu’au gland en m’attardant sur ce gros nœud que j’adore avoir en bouche. A ce moment je sentis que l’on m’écartait de nouveau les cuisses : c’était Eric qui avait regardé en se branlant jusqu’à maintenant qui me les avait saisies et m’attirant au bord du lit vint mettre sa tête entre mes jambes et commença à me lécher la chatte, aspirant mon clitoris entre ses lèvres et malaxant mes seins sans ménagement. Hamid s’installa à la tête du lit, ses couilles et son sexe pendant entre ses cuisses et demanda à mon assistant comment il trouvait son jus de couille. L’autre lui répondit que ça le faisait bander comme un âne de lécher les petites chattes remplies de sperme et il rentra sa langue râpeuse et dure bien profond m’arrachant des soupirs d’aise. Il me léchait divinement bien, bouffant littéralement ma chatte à certains moments, ses mains maintenant mes cuisses ouvertes de façon indécente puis continuant à m’attirer vers lui sa langue glissa entre mes fesses pour venir aussi titiller mon petit trou. Je ne savais plus où j’étais tellement les sensations étaient puissantes et perverses, je gémissais de nouveau comme une chienne sous les assauts de cette langue qui fouillait, léchait, rentrait dans mes entrailles où avaient joui deux autres mecs qui regardaient le spectacle en se branlant doucement. Il me repoussa au centre du lit et il se leva, son sexe effectivement tendu au maximum, en me regardant avec envie

     - Tu vas te la prendre aussi celle là, ma belle, et bien profond. Vraiment j’aurais jamais imaginé te voir faire baiser comme ça quand tu fais tes cours bien sagement. Y en a qui serait surpris au collège, tu crois pas ? Ca te plairait peut être une orgie en salle de physique ou dans les douches de mon club de hand ? regardez la moi la petite bourgeoise avec sa chatte ouverte qui se fait mettre dans sa propre chambre, je peux Hamid ?
     - Vas y prends la et fourre la bien
     - Mets toi à quatre pattes face à la glace Stéphanie je vais te prendre comme une chienne en chaleur se fait prendre dans la rue

     Il se mit derrière moi et en me donnant une claque magistrale juste sur mon cul offert il me fit écarter les jambes pour que mon abricot soit bien ouvert et d’un coup il m’embrocha. Sa longue queue prit possession de ma chatte et je le voyais dans le miroir de l’armoire passer sa langue sur ses lèvres. Immédiatement je mis à mouiller et il glissa une main sous moi pour caresser mes seins qui ballottaient à chaque coup de reins qu’il me mettait. A ce moment le téléphone se mit à sonner et je voulus aller répondre rapidement mais Eric me saisit aux épaules et me plaqua contre lui, son sexe complètement au fond de ma matrice :

     - Pas question petite salope, je vais te mettre pendant que tu réponds, si tu veux vraiment répondre, c’est peut être ton petit mari, tu imagines ça : lui faire la conversation en te faisant baiser?
     - Vite, Karim, il faut que je réponde, décroches et donnes moi le téléphone

     C’était mon mari qui m’appelait de l’hôtel comme chaque fois et il me demanda ce que je faisais. Je lui dis que j’étais au lit et que je regardais la télé, oui j’étais toute nue dans le lit, oui je pensais à lui. J’avais du mal à répondre normalement car la queue d’Eric grossissait régulièrement, il me mettait des coups de piston qui amenaient son gland contre mon utérus et je sentais le plaisir venir de nouveau. Mon mari me raconta qu’il avait envie de ma chatte, qu’il se branlait en même temps et je lui répondis que moi aussi je me branlais avec un beau concombre et en haletant je lui dis que je mouillais complètement.

     - Tu te l’enfiles profond ?
     - Oh oui chéri et il est tellement gros qu’il m’ouvre complètement et il coulisse super bien, ouiii c’est bon, j’ai les cuisses bien ouvertes et je me l’enfiles bien à fond
     - C’est le concombre qui te fait couiner comme ça ? on dirait que tu vas jouir et que tu n’est pas seule

     J’avais la chatte en feu et mon assistant me bourrait tellement fort que ses abdominaux claquaient mon cul à chaque coup de rein et en plus il me malaxait les tétons qui étaient durs maintenant et qui me faisaient mal tellement ils étaient tendus et rougis par les pincements. Je devais me retenir pour ne pas hurler sous ces coups de boutoir et mon petit mari se doutait de quelque chose car je n’arrivais même plus à lui parler distinctement

     - Dis moi ce qui passe chérie ! ! Je bande comme un âne à t’entendre comme ça. Tu te fais baiser ? dis moi tu te fais prendre comme une salope ou tu te branles vraiment ?

     Je sentais le plaisir envahir de nouveau mes reins et je me lâchais en couinant dans le combiné, poussant des gémissements de bonheur, criant des encore et encourageant mon baiseur à me prendre bien à fond tout en entendant Marc me traiter de petite salope au téléphone, lui qui se branlait en même temps. Eric m’enfilait de plus en plus fort, de plus en plus loin et il m’avertit qu’il allait me remplir de son foutre tout en continuant de me pistonner de sa queue qui me semblait énorme en moi. Il bandait comme un âne de me prendre comme ça, quasi devant mon mari

     - Qui est ce qui te baise Stéphanie, dis le moi salope, qui est ce qui t’enfiles, tu vas jouir au téléphone ?
     - Oh oui je jouis chéri, ouiiii c’est vraiment trop bon, je haletais au téléphone secouée par les coups de boutoir de Eric, c’est mon assistant de laboratoire qui me baise et il est en train de me transpercer la chatte
     - Salope, comment il te prend ? et …il est seul ?

     Il me prend en levrette comme une petite chienne, ouiii je vais jouir, non il est pas tout seul, ils sont trois chéri et ils m’ont prise de partout, ils m’ont rempli de sperme toute la soirée, pardon

     - Grosse salope tu vas voir quand je vais rentrer, hmmm, et tu m’as fait gicler en plus

     A ce moment là la jouissance éclata dans mes reins et je poussai un long gémissement en même temps que Eric qui lâcha ses longs jets de foutre tout au fond de ma chatte. Il me tenait collée à lui et je sentais en moi sa queue énorme qui m’inondait de sperme en saccades pendant que le plaisir me faisait frissonner, bouger du cul comme jamais avec mes seins ballottant de façon indécente. J’étais vraiment devenue une salope et pendant que mon cher assistant finissait de vider ses couilles je répondis dans un souffle à mon mari

     - C’est vrai Marc je suis une salope mais tu aimes ça non ?
     - C’est ça tu as raison, fais toi bien baiser, on règlera ça demain soir

     Il raccrocha brutalement et épuisée je me dégageai de la bite qui m’avait envoyée au septième ciel et je m’allongeais sur le dos, les cuisses bien écartées en sentant le jus qui me coulait entre les fesses. La chambre sentait fort le sexe, la fornication et je regardais les trois mecs qui venaient de me baiser par tous les trous : ils sont tous les trois attirants, bien bâtis et je suis contente de leur appartenir, de les faire bander avec mon corps et de leur vider les couilles. Après un long moment de récupération, les trois garçons se sont rhabillés et Hamid en me prenant par la taille m’ordonna d’aller chercher mon mari à l’aéroport sans culotte, la chatte à l’air comme une petite putain. Comme je voulais discuter il me prit par le cou et doucement me répéta ses ordres en précisant qu’il saurait si je lui avais bien obéi et que salope comme j’étais il était sur que je mouillerai demain lors des retrouvailles.

     J’ai passé une excellente nuit et me suit levée vers midi quand mon mari me téléphona. Il me demanda si j’étais seule et de venir le chercher à l’avion vers 19 heures. Il m’avoua qu’il bandait fort et qu’il avait du mal à se concentrer sur ses réunions.

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