TITRE : Cousine ...
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Histoire au bureau

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Ma cousine, travaille dans le même bureau que moi, pour ma part, étant son cousin et ami je me suis jamais permis de la voir autre que ce qu'elle fut, mais voilà, c'est ainsi qu'un jour, au bureau, elle m'appelle pour une certaine brûlure au dos, sans aucune arrière pensée, je la suivi, elle c'est retourné, voulons me montré son dos, elle soulève son pull, ah son dos, se crue au niveau de sa colonne vertébrale, le haut des fesses qui montre à qu'elle point elle est bien ronde, je ne pouvais, les mot son insuffisant pour exprimé. Elle m'excitait souvent rien qu'à la voir.
Comme si c'était la chose la plus naturelle du monde, je l'assuré que ce n'est pas méchant etc... Au même moment, mes pensées me trahisse, mes yeux, j'étais mal à l'aise avec cette sensation de vouloir la prendre, là, sans pudeur, la lécher, oh ma tête, je me sentis engloutie dans un océan d'émotion, c'était presque de l'hypnose.

Une semaine s'était écoulée depuis, je ne pouvais totalement oublier ce qui s'était produit, et d'ailleurs, je ne le désirais pas, aussi évidente, et peut-être aussi nécessaire, que de manger ou de dormir, je ne pouvais aller contre ce désir, je tenais tant à elle ! Elle été ma cousine mais voilà, elle me troublait tant ! Jamais je ne m'étais senti aussi troublé.
Je la désirais, me laissant seul dans mes réflexions, son dos me débridait l'imagination, nourrissait mes fantasmes les plus secrets révélés par hanche, cette nuit là, j'ai rêvé d'elle.

- Arrivant au boulot, comme d'habitude, après ma grâce matinée et ma douche matinale, j'ouvre la porte du bureau, finement, gentiment, je lui souris, je lui fais la bise sur la joue, son souffle fais accéléré le mien, puis je m'assis juste en face d'elle, Très attentive à elle, elle était odieusement belle, et assis en face d'elle, je bandais sans même me caresser.

Nous étions seuls, j'ai laissé tomber une feuille (enfin doit-elle se dire), et je me laisse faire.
Elle avait mise une petite culotte très fine, qui faisait apparaître ça velours, complètement mouillée, rasée à l'américaine, J'adoré ça ! Elle a du s'en apercevoir de ma concentration vers son autre-jambe car elle n'a pas tardé à se mettre debout, ce dirige vers l'autre pièce, me lance un petit sourire coquin, je mouille terriblement, je la contemple avec un regard qui disait tant, j'en ai tellement envie ! "je me suis dit", faudrait faire un effort, je la suit puis je l'es trouvé face à la fenêtre, entrain d'arroser ces petites plants, elle adoré s'en occupé, je m'approche elle, mon souffle s'accélère, je remarque sa poitrine monter et descendre au rythme de sa respiration, comme si elle m'attendis, je touche ces fesses puis là elle essaya de se retourné, complètement bloqué par mon corps, elle s'est défendu mais j'ai insisté en me disant que c'était une allumeuse et que ce qui lui arrivait été de sa faute.

De toute façon j'étais bien obligé de le faire je n'en pouvais plus, j'ai commencé par la prendre par les cheveux, l'obliger a se penché en avant, elle sent mes mains lui caresser les fesses par-dessus sa petite jupe noire, Je la remonte sur sa taille, elle me supplier d'arrêter, mobilisé, mes doigts sur sa peau la faisait frémir, j'étais tout excité. Je frotte ma queue contre ces fesses, mes doigts cherchent sa culotte, je glisse mon doigt et lui caresse son petit trou, elle gémit de plaisir, je l'encule d'un doigt, elle n'arrêté pas de bouger, de me demandé d'arrêté tout en offrons ces fesses d'avantage elle aimé ça.

Derrière elle, je pris ses seins dans ma main et a commencé à les pétrir en faisant des va et viens dan son petit trou, je senti son désir, et malgré elle, elle laissait échapper un soupir de plaisir, alors je me mis à genoux, je remonte vers son anus, je pensée que personne ne l'avait jamais léchée à cet endroit là, et petit à petit je sentis quelle aimé ça, ma langue allait de plus en plus loin, elle me tendait ses fesses de plus en plus.
Puis j'écarte ces fesses et je la lèche encore et encore, passe ma langue vers son petit trou d'amour, commençant doucement à y insérer le bout de ma langue et mon doigt ; qui par réflexe résistais, finalement, elle s'ouvre, puis je me suis mis debout, je sentais ma queue gonflée, raide comme une barre en fer, je sentis de la mouille épaisse venir humecter mes doigts, je la pénètre doucement, elle me dit :- " Oh, doucement ", Dès lors, mon cour se mit à battre très fort ; m'exécutant, le sexe tendu en avant avec le bout trempé de mouille, mouillait également énormément, elle se penche, elle écarta alors ses fesses avec ses mains.

Le bout de ma queue lui caressait son petit trou, ce qui semblait drôlement en feu.

Elle avait le petit trou très serrer, ce qui m'excité plus, je lui caressé l'anus avec ma bite bien mouillé, je la senti qui s'ouvré, qui l'aspiré. Elle réclama :

- Je ne veux pas que tu me pénètre, je te ferais tous ce que tu souhaite, mais pas ma petite chatte... non....,

Et je lui dis

- Fais-moi confiance.

Sur ces mots, il se pencha plus. Je commencé par le lobe de son oreille, descendit doucement vers son cou, puis ses seins, je m'occupais divinement bien de ses seins, je la léchais, mordillait, pinçait, j'alternais douce violence et volupté, elle était très sensible des seins, je sentis comme une immense vague de chaleur envahir son corps et lorsque ma main a caressé son petit bouton intime qui n'attendait que cela, elle criait de plaisir.

Le fait de sentir son beau cul contre mon bassin me donnait plus envie encore de lui défoncer l'entrejambes.

- Vas y caresse-moi encore, c'est trop bon, je n'en peux plus, mets moi tes doigts, s'il te plait.

- Je vais faire mieux que cela, répondis-je.

Je la pénètre et je me remis alors à la culbuter de toute la longueur de ma grosse queue.

Mon gland forçait l'entrée de sa grotte secrète, elle était bien lubrifiée avec toute sa mouille et ma salive. Lorsque l'anneau se détendit, je crus mourir de plaisir, elle me retenait de la main et me demanda de faire encore plus doucement, elle resta immobile quelques instants, puis elle me parla et me demanda de l'enculé bien en fond, qu'elle voulait me sentir en elle. Je m'exécutai, et je la pénètre alors dans mon entier, son souffle en fut coupé, elle resta là encore immobile. je commencé à faire des aller-retour, je le sentais bien au fond de ses entrailles, ça me faisait du bien d'être enfin en elle. La douleur mêlée à l'excitation, au plaisir, elle gémit de plaisir, je la défonçais complètement, je la besognais de plus en plus vite et elle ma reçu en elle. Mon orgasme a été d'une telle puissance, que j'ai eu comme une absence, une sorte de trou de mémoire de quelques minutes.

Nous nous sommes enlacés et sommes restés silencieux comme ça, sans rien faire ni dire.

Au prochain rêve.

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