Alors que je vivais chez mon cousin et sa compagne, tous
deux à peine plus âgés que moi, celle-ci a commencé à s'intéresser
à moi ; moi qui, jusque-là, avais l'impression de la déranger.
Ils venaient d'avoir un bébé et, pour moi, ils semblaient
heureux, bien que dans son dos mon cousin passait son temps
à coucher avec des filles qui était très franchement moches.
Mais pour lui, le nombre avait toujours compté plus que
la beauté de ses conquêtes.
Souvent Sabrina, la femme de mon cousin, et moi, nous nous
trouvions seuls chez eux. Parfois même sans leur bébé que
les grands parents gardaient très souvent. Durant ses longues
soirées ou journées en tête-à-tête, nous parlions. Elle
me racontait ses soucis, ses rêves, ses problèmes passés
ou bien les problèmes qu'elle avait avec ses beaux-parents.
Nous étions devenu en quelques semaines des amis très proches.
Les matins, alors que mon cousin patait au travail, elle
venait me réveiller en me portant mon café au lit. Toujours
le même rituel: elle me caressait l'épaule et le torse.
Mais, au fur et à mesure que le temps passait, les caresses
étaient plus douces et je les ressentais autrement. Plus
le temps passait, et plus Sabrina me faisait des insinuations.
Au début, elles étaient discrètes, puis elles furent de
plus en plus claires. Elle était grande, fine et belle,
le genre de fille que tous les hommes rêvent d'avoir. En
plus, elle était une maman douce et attentionnée et je me
disais que c'était pas possible qu'elle s'intéresse vraiment
à moi et que je me faisais des idées.
Mes doutes furent dissipés un soir. Apres une longue journée
que nous avions fini en boîte de nuit, mon cousin nous avait
ramenés à la maison, Sabrina, moi et une de ses employées,
âgée de 18 ans qui avait passée la soirée avec nous et qui
devait passer la nuit chez eux, mon cousin était reparti
raccompagner une autre de ses employées que je savais être
sa maîtresse. Apres une bonne douche, je me suis mis au
lit.
Quelques minutes plus tard, Sabrina vient me rejoindre.
Elle s'allonge à cote de moi et après quelques minutes à
parler, elle me donne un baiser sur les lèvres. Je la laisse
faire, mais au second baiser je l'ai repoussée et nous avons
parlé. Elle m'a avoué son amour et ses désirs. Durant de
longues minutes, nous sommes restés au lit à nous embrasser,
à nous serrer l'un contre l'autre, puis j' ai mis un terme
à cette situation. Le matin au réveil, alors que je croyais
les événements de la veille oubliés, dans la cuisine, Sabrina
s'approche de moi discrètement et me donne un baiser sur
les lèvres. J'étais vraiment très surpris et inquiet. Mon
cousin et sa stagiaire étaient là dans la pièce juste à
côté.
Quand, quelques heures après, mon cousin est parti raccompagner
sa stagiaire, Sabrina est revenue vers moi et a renouvelé
son baiser. Je lui ai dit que ce n'était pas bien. Elle
était accord avec moi mais, durant plusieurs semaines, nous
étions comme des gamins. Dès que l'occasion se présentait,
nous nous embrassions très souvent au nez et à la barbe
de la famille et des amis.
Je n'avais, durant cette période, pas l'impression de faire
quelque chose de mal. Nous n'échangions que des baisers
et nos caresses restaient au niveau de mon torse et de sa
poitrine. Un beau matin, alors que nous étions seuls à la
maison, tout le monde étant déjà parti au travail, j'étais
assis à la cuisine, déjà en jean et T-shirt à boire mon
café avant de partir en vadrouille, quand Sabrina est entrée
dans la pièce, toujours dans son peignoir de bain bleu ciel
qui lui arrivait au-dessus des genoux, et qui découvrait
ses superbes jambes. Elle s'est mise face à moi et m'a embrassé
sur la bouche. Dans le mouvement, le peignoir s'est entrouvert,
dévoilant sa poitrine en poire. Sabrina s'est redressée
et est sortie de la pièce quelques instants pour réapparaître
face à moi. Le peignoir légèrement entrouvert laissant apparaître
une petite toison blonde.
Elle s'est penchée à nouveau. Nous avons échangé des baisers
qui, de tendres, passèrent à gouleyants. Puis j'ai commence
à embrasser et à lécher sa poitrine et son ventre et dans
un sursaut de lucidité j'ai réalisé que j\'étais avec la
femme de mon cousin germain et que nos jeux n'avaient plus
rien d'innocent. Je l' ai repoussée en refermant son peignoir,
ce qui l'a laissée comme glacée! Elle s'est reculé et a
dit que j'avais raison ! Même pas dix minutes plus tard,
dans la pièce adjacente, nous nous sommes croisés et nous
avons recommencé à nous bécoter. Nos baisers étaient longs
et goulus, nos caresses sèches et fermes. Nous sommes passés
dans la salle qui se trouve juste à côté, et je me suis
assis sur le sofa. Sabrina s'est assise sur mes genoux.
Nous nous embrassions avec fougue et ma main droite caressait
sa poitrine. Je malaxais fermement et parfois légèrement
et avec douceur.
Après quelques minutes, ma main gauche entra elle aussi
dans le jeu. Je la laisse glisser le long de son dos puis
elle passe sous ses fesses pour tenter de caresser son intimité.
Sabrina m'a deviné et dans un mouvement de hanche, elle
se repositionna sur mes genoux en écartant légèrement les
cuisses de manière à laisser ma main gauche continuer sa
route. Je n'ai pas connu beaucoup de filles jusque-là. Le
con de Sabrina est tout humide. Ma main droite glisse le
long de sa poitrine et remplace ma main gauche, plus agile
et plus indiscrète. De nouveau, je pense que je suis en
train de fouiller le ventre de la femme de mon cousin. Je
la repousse à nouveau et je me redresse. Elle se met debout
et elle se met face à moi et m'embrasse et dans l'élan elle
dégrafe mon pantalon et commence à me masturber. Je suis
comme ivre. Mon moment de lucidité se laisse noyer dans
mon envie.
Durant de longues minutes, nous nous embrassons, caressons,
masturbons mutuellement, debout, assis sur le canapé, par
terre. Puis, à nouveau, la lucidité me reprend et je m'éloigne
d'elle qui, comme moi, est pleine de désirs. Mon sexe est
tendu de désir. Je vois bien que Sabrina est comme moi,
dégoulinante, ses cuisses trempées jusqu'aux genoux. Elle
me dit qu'on va prendre un bain ensemble. Elle me tient
par la main et nous commençons à monter à l'étage. Dans
l'escalier nous avons recommencer à nous caresser et arrivés
en haut des marches, mon jean est déjà sur mes cuisses,
mon sexe hors de mon slip et dans la main de Sabrina et
prêt a exploser. Là, je décide de prendre le dessus et au
lieu d\'entrer dans la salle de bains, je la tire vers la
porte de ma chambre. Je la fais basculer sur le bord du
lit. Son peignoir est complètement ouvert. Moi, jean et
slip aux chevilles, je glisse sur elle en essayant de reprendre
pour finir la direction des opération que Sabrina avait
menées jusque-là! Tous les deux fougueux, ivres et comme
enragés, nous nous caressons et voyant que je n'y arrive
pas, Sabrina a repris à nouveau les directives.
- Je vais t'aider!
Elle saisit mon sexe dans sa main et me guide en elle. Elle
bouge comme une folle et se mord les lèvres, la tête tendue
vers l'arrière. Elle gémit, souffle très fort. Moi je retiens
difficilement ma jouissance en entrant dans son con. Je
me sens comme aspiré et son comportement m'excite beaucoup.
Elle n'arrête pas de m'encourager et je pense que si mon
cousin la baisait comme ça, il n'aurait pas besoin d'aller
ailleurs. Elle n'arrête pas:
- Oui! Viens! Entre! Encore! Bien au fond...
Ça m'excite comme une bête mais tout cela n'a duré que quelques
secondes, le temps de quelques allers-et-retours en elle.
Je jouis et j'éjacule dans son ventre une énorme quantité
de sperme. J'essaie malgré tout de la limer encore un peu.
Je suis vide mais je suis encore bandé. Après m'être retiré,
je m'assois sur le lit à côté de Sabrina et je la regarde.
Elle glisse sa main entre ses cuisses et dit en regardant
le plafond:
- Eh! bien, j'étais pas la seule à avoir envie! Tu m'as
remplie comme jamais!
Ces paroles m'ont surpris, de la part de cette douce et
discrète maman qui, par la suite, se révéla être une vraie
nymphomane qui, par ses paroles et ses actes, m'a surpris
plus d'une fois encore...
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