TITRE : cousine Amel la suite III
Catégorie : 
Histoire au bureau

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Aujourd'hui au boulot, une collègue avec la qu'elle je me permit certaine expression, me dit : Qu'un de nos amis en commun, lui suscite certaines paroles, elle me demande donc ce que j'en pense, sans aucune hésitation ni pudeur : Il veut de baisé !! sincèrement j'étais trop énervé par ma cousine, je ne comprenais pas tant d'attention, d'intérêt pour être gratifié par une certaine ignorance t ooui.

L'essentiel, elle rougit par ma réaction, puis me dit : ne me dis jamais de pareil mot sinon . Sinon quoi ?! Tu me dis que . et je te réponds par . alors ma réponse te déplaise, je me dis toute pareille «Ingrate».
Un long silence puis elle dit : Stp tu pense vraiment ce que tu dis ? Je la regarde puis elle réplique par : et toi ? Je dis moi quoi ? Tu ne veux pas me toucher ?!
Je la regarde dans les yeux, elle avait les joues rouges, genre papiche, mignonne, même très. Je lui souris et elle reprend : Alors ?!!.
Je prends sa main et je la pose directement sur mon sexe, qui était raide d'excitation par ces paroles, elle tire la main mai j'insiste, au moment au mon membre répond par un sursaut ou un battement de cour, elle me l'écrase, comme si elle voulait me l'arrachais.

L'air de rien, je regarde en face de moi puis, je constate qu'elle la les yeux dans le vide, toute rouge et comme essoufflé, muette, malaxe mon membre avec insistance. Après une certaine hésitation, je dégrafe ma braguette, mon sexe surgi comme une catapulte.
Elle faillie sursautée elle dit : Non, Stp, ils vont ce rendre compte, moi l'air de rien, je sors mon sexe tout-en appuyant dessus, les veines bien visibles, il semblai raide, gonflé à bloc . Elle plonge la tête, comme si elle ramassai son stylo, le lèche d'un coup de langue et relève la tête en me disant «Tu aime ça salop» puis, elle me masturbe un bon moment. Des-fois, je fermais et elle pince ou tire sur mon membre puis, je la regarde et elle me dit non avec la tête. Je lui dis: pas c'est vite, doucement, j'ai envie de toi. Elle réplique par comment ? Ou ? Je me tais un instant te la réponse surgie.

Allez, l'ensemble du personnel sédentaire à la salle réunion, le temps que tous le monde sortes, je me lève et elle fut pareille. Je lui prends la main, elle réagie négativement t me dit : Non, quelqu'un pourra entrer. Je la pousse ver le bureau, elle n'arrêtait pas de dire, quelqu'un pourra nous surprendre, elle avait le souffle accéléré, je lui écarte les jambes puis le slip. Sa peau était chaude, la chatte barbue.
Rapidement, je lui caresse les fesses puis, je les écarte, je m'approche le sexe raide dans la main, je lui caresse l'anus, un peu brun avec le bout du sexe et j'appui tous doucement, elle réagie par une esquive en avant et un cri, je recommence puis, j'essai encore mais elle avance une autre foi, l'anus trop serré, alors je descends ver a chatte.
Je pénètre lentement, jute avec le bout de mon gland, elle était humide, mon sexe glissé comme sur du beurre, je me suis dis qu'elle a eu son premier orgasme.

Je me retire et je reprends toujours avec le bout de mon sexe puis, je la défonce avec tout mon long, qui lui arrache un Ahhhhhhh.. Ohhhhhhh.. Avec une accélération respiratoire. Ces fesses m'amortis à chaque élan et un claquement s'entend de nos frottements, je faisais vite, elle froissa chaque document sur le bureau, en suivant d'un hurlement, Oh Oui ne t'arrête pas, vite oui, encule-moi.
Avec les deux mains, elle écarte bien les fesses et me rappelle, Oh oui encule-moi, encule-moi. Alors, je le sors tout imprégné de sa semence, humide, je l'encule tous doucement et lentement, elle gémissait, oui, prend- moi.
Mais je n'ai arrive pas, elle était trop serrer, la peur de lui faire du mal ou qu'elle crie me traumatisé. Alors, je l'encule avec mon index tout-en lui malaxant l'intérieur du ventre avec mon gland. Elle a aimé la double pénétration, elle en demandé encore, elle j'accélérai le rythme puis, je me retire, en laissant l' index en elle, en mouvement et j'éjacule sur ces cuisses.
Après un moment, j'enlève mon doigt, doucement, un gémissement de satisfaction l'apaisée, et toute trempée, Op. elle le slip et la robe remises à leurs places. Elle me souris, puis sort, je fait de même vers les vestiaires et je prend une douche en me disant si s'était-elle !!.
J\'ai pas voulu tous ça, mélangé boulot et bisness, apparemment toute cette adrénaline, ce se sentiment de culpabilité n\'ont fait que croître mon excitation.

Maintenant, je comprends pourquoi cette pomme était si vitale.

writemenet


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