Bonjour, je m'appelle Emilie, je suis châtain,
les yeux verts pour 1m68. Maman d'une petite fille, je suis
mariée depuis 7ans et suis toujours restée fidèle.
Je travaille comme formatrice dans une société grenobloise
spécialisée dans les aérosols. Il y 3 mois, je suis montée
pour une semaine à Paris, à l'occasion du salon de l'emballage.
En marge de la manifestation, et parce que l'entreprise
n'avait fait une grande année, des réunions de stratégies
était prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial,
nous a fait le point sur les résultats décevants, en mettant
le doigt sur les supposées faiblesses...
De retour à notre hôtel, j'ai dîné avec un collègue de
Montpellier, Jérôme. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois
jamais, j'ai accepté de prendre un apéritif, et même deux
verres de blanc, à table. Arrivée au dessert, j'avais un
peu chaud au visage et la tête embuée.
En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu'il était
22h00 passées, et que je n'avais toujours pas téléphoné
à mon mari, comme prévu.
Je me suis excusée auprès de Jérôme, lui expliquant que
je devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri.
Il a proposé de commander une bouteille de champagne et
de la monter dans ma chambre. Sans explication, mais sans
doute pour partir au plus vite, j'ai dit « oui ».
Prenant congé, je me suis dirigée vers l'ascenseur pendant
que Jérôme attendait pour la note et le champagne. Arrivée
dans ma chambre, j'ai laissé la porte entrouverte, puis
j'ai déposé ma veste sur une chaise. J'ai vite composé le
numéro de chez moi. La petite était couchée, et j'ai raconté
ma journée à mon mari Benjamin.
Lorsque Jérôme est entré dans la chambre, j'ai été presque
surprise. Occupée par notre conversation, j'avais oublié
qu'il devait venir.
Comme il restait debout près de l'entrée, je lui ai fait
signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes
sur le bureau. Je ne voulais pas que mon mari sache que
quelqu'un était dans ma chambre. A coté du bureau, ma valise
était restée ouverte. J'ai vu Jérôme regarder dedans. Puis,
en se penchant, il a sorti un soutien gorge blanc en dentelles.
Il a commencé à l'agiter devant moi, avec un petit sourire
en coin. J'étais furieuse, et lui lançai un regard noir.
Je ne pouvais rien dire, à cause de mon mari, et Jérôme
a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de
nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string
qui allait avec le soutien-gorge, et une paire de bas noirs.
J'étais à la fois énervée et morte de honte. Du coup je
n'étais plus trop à la conversation. Mon mari commença à
me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais
un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée
m'avait usée, et que j'avais besoin d'une bonne nuit réparatrice.
En fait, je n'attendais qu'une chose: raccrocher pour dire
à Jérôme son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement
pour moi, Benjamin avait visiblement très envie de discuter.
J'étais partie depuis moins de 24h et je lui manquais déjà.
Il me détaillait tout ce qu'il désirait me faire à mon retour.
J'était mal à l'aise et n'entrait presque pas dans son jeu.
Au bout d'un moment, mon mari suspicieux me demanda si j'étais
seule. Effrayée, je lui ai dit que « oui » et essayais de
participer normalement à la conversation. J'étais gênée
par le fait que Jérôme était en face de moi et qu'il me
regardait.
Il est venu s'asseoir sur le lit non loin de moi, puis
s'est allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue.
Je dis à Benjamin combien lui et la petite me manquaient,
que j'avais hâte de rentrer à la maison. D'humeur câline,
il m'expliquait qu'à mon retour il me couvrirait de baisers
lorsque j'ai senti la main de Jérôme se poser sur ma hanche.
Je l'ai repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l'a remise
aussi tôt. Je l'ai repoussé 3 ou 4 fois, sans succès. J'ai
finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari
ne s'aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler
à mon mari, la main de Jérôme me caressant et me massant
doucement les hanches et le dos. Ce massage commençait à
me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Jérôme s'est
relevé, puis s'est assis derrière moi. Avec ses deux mains
il a commencé à me masser les épaules et la nuque. J'avais
accepté son massage, mais j'essayais d'écourter la conversation
avec mon chéri pour que cela n'aille pas plus loin.
Tout en me massant d'une main, il a, avec l'autre, commencé
à essayer de déboutonner mon chemisier. J'ai tenté d'arrêter
son geste, mais mon mari a demandé ce qui se passait, ce
qu'était ce bruit. J'ai répondu que ce n'était rien et ai
laissé Jérôme faire. Il a défait un à un les boutons, puis
a fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris
son massage. Il était doué, il a réussi à me détendre de
nouveau, j'étais bien... Il a d'abord repoussé les bretelles
de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément
sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l'ai
laissé faire, je l'ai même aidé en changeant le téléphone
de main pour qu'il puisse retirer complètement mon chemisier.
Puis il a dégraffé mon soutien-gorge et l'a enlevé. Malgré
cette situation incongrue, je n'avais plus envie que mon
mari raccroche.
Etre au téléphone, "réduite au silence", me donnait l'excuse
d'accepter sur mon corps les mains d'un homme qui, à priori,
ne me plaisait pas et qui, jusque là, ne m'avait jamais
fait connaître ses intentions.
Jérôme m'a saisi par les épaules, et m'a fait allonger
sur le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Jérôme faisait
courir tout en délicatesse ses doigts sur mon ventre, s'arrêtant
et jouant avec mon nombril. Les caresses et, peut être un
peu l'alcool, me mettaient dans un état de relaxation total.
Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains
de mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique,
avec ma poitrine, un 90c, en poires, comme elles disent,
et mes fesses à faire virer sa cuti à n'importe quel homosexuel.
Jérôme excitait la pointe de mes tétons avec l'intérieur
de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas.
Il m'a regardé droit dans les yeux, s'est approché de mon
visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit
baiser. Il m'a regardé de nouveau et m'a embrassée. Sa langue
me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait
à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément
de ce baiser; le téléphone collé à l'oreille mon mari continuait
de me parler sans se douter de rien.
Pendant que je reprenais mon souffle, Jérôme, le plus discrètement
possible, m'embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais
comme une anguille. Ses lèvres sont descendu vers mon ventre,
passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers
ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers. Prise
au jeu, j'ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche
sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et
les suçait en alternance régulière.
Sans m'en rendre compte, j'ai poussé un petit gémissement
que mon mari a entendu. Il m'a aussitôt demandé ce qui se
passait, et qui était avec moi. Prise au dépourvu, je lui
ai répondu que j'étais seule, que notre conversation m'avait
excitée et que je me caressais. En entendant cela, Jérôme
tout à son ouvrage, s'est relevé et m'a souri. Mon mari
m'expliqua que lui aussi était excité et qu'il se mettait
à l'aise pour se caresser. Jérôme s'est mis à genoux au
pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes
jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant
au contact de ma peau jusqu'à arriver à l'élastique de mon
string. Il l'agrippa fermement et le tira doucement vers
lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement
cambrée.
Au fur et à mesure, Alors que j'éprouvais un sentiment
de chaleur depuis de longues minutes, je sentais une bouffée
d'air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était
divin. Il a retiré ma culotte et l'a porté à son visage.
Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait
me faire. Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe.
Répétant à haute voix ce qu'il venait de me dire, Jérôme
me fit un clin d'œil et approcha mon bassin du bord
du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est
d'abord arrêter à quelques centimètres de ma chatte. Je
sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout
de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée
depuis 7ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années,
à 33ans cela faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait
pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant
par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je devais
mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.
Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi
je lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon,
a baissé son pantalon, et s'est retrouvé en boxer short
face à moi. J'ai compris ce qu'il attendait. Je l'ai attrapé
par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa bite
a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez
large, sans commune mesure avec celles que j'avais connues.
Il s'est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j'ai
alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le prendre
dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de
Jérôme, et ai commencé à le mordiller sur les cotés. De
ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se
contracter sous mes doigts. Par petites poses, j'expliquais
à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris
complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie.
J'y mettais tout mon coeur, ne pouvant éviter des bruits
de succions. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste,
m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée,
et devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit
sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était
dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé court et l'ai
rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement
dans l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé
au quart de tour.
Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de
son sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il
ne pourrait pas jouir. Il s'est mis à cheval sur moi, et
a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes
avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je
lançais vers son gland des coups de langues. Mon mari était
toujours à notre histoire, il avait repris le cours des
descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin au
dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait
et venait se servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je
n'avais jamais connu ça...
Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il
voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir
lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le
sentir en moi. Jérôme a compris le message, m'a laissé me
retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé
ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte.
Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il
est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille
un préservatif. Il l'a enfilé, et s'est présenté de nouveau
derrière moi.
J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller.
J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait
qu'il me défonce. J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme
me perforer. Je n'avais jamais été aussi remplie. J'ai dit
à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari
a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même
temps. Jérôme variait admirablement les rythmes. Mon plaisir
montait, montait, montait... Quand j'ai entendu mon mari
crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même moment
Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans
le préservatif.
J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis
écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la
peine de raccrocher.
Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement
à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé
à prendre de la vigueur. J'ai retiré le préservatif et,
alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé
son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette
fois être interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En
peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis
empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir
je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres
capotes. Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour
ce soir.
Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs.
Je lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons
baisé dans toutes les positions. A un moment, alors qu'il
me prenait en levrette, il m'a caressé avec son majeur ma
rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans
mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois
je n'ai rien dit. Il me dit enfin qu'il adorait mon cul
et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j'étais
vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros.
Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé
avant lui. Il m'a rassurée, puis convaincue.
J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement,
et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un
coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de
mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au
loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La
douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement.
Jérôme était toujours immobile, tout au fond de moi. C'est
moi qui ait commencé à bouger les fesses. Doucement il prit
mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a
accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après 5 bonnes
minutes de besogne il s'est retiré et s'est couché près
de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le
préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe.
De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé
légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un
état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me
caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter,
et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si
sa main était sur ma nuque, et même si c'était une première,
j'en avais envie. Je l'ai sucé plus fort, aspirant sa semence,
jusqu'à ce qu'il ne reste rien.
Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec
et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie,
mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale
a duré d'un commun accord que pendant le salon. Nos relations
sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien
suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma
tête, au mois de Septembre, toute la société est supposée
aller au Packaging Show, le salon de l'emballage de Dusseldörf,
et ce pour 10 jours...
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