TITRE : Coralie, ma colocataire
Catégorie : 
Histoire Lesbienne

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Coralie, ma colocataire.

Jeune femme actuelle, Minora avait aménagé un bel appartement un peu trop grand pour elle dont elle voulait partager le loyer avec une colocataire. Elle se sentirait moins seule dans cette grande ville et ce serait quand même mieux que la Cité Universitaire. Elle recruta donc une étudiante, comme elle, avec qui réaliser ce petit arrangement sans en subir trop l'envahissement. Coralie était parfaite pour ce rôle. Avec son air de bonne famille, elle ne risquait pas de la laisser en plan pour le loyer et paraissait propre et discrète. Un peu timide, elle ne risquait pas de ramener trente-six personnes à l'appartement. Cela ne deviendrait sans doute pas une grande copine, mais ce n'est pas ce que Minora recherchait. Très intégrée à la fac comme dans les boîtes où elle avait l'habitude de sortir, elle ne manquait pas de connaissances, surtout masculines il faut bien le dire... Mais laissons-la elle-même nous raconter ce qu'il advint :

1 - Lorsque je rentrais chez moi ce soir-là, Coralie était déjà arrivée...

La porte d'entrée était ouverte.


- Coralie c'est toi ?

Elle ne me répondit pas. Je l'entendis gémir dans la salle de bains. Elle était en train de s'ébattre dans la baignoire. Oups, elle avait l'air de se faire une gâterie. Après tout, elle en avait le droit. Elle était à présent, autant chez elle que je l'étais moi-même. Un peu gênée, je me rendis discrètement dans ma chambre pour ne pas la déranger.

Quel toupet ! Elle avait fouillé dans mes affaires ! Il y avait de mes sous-vêtements étalés partout ! Ah, elle pouvait jouer les mijaurées. Elle qui m'avait fait remarquer que je n'avais pas froid aux yeux avec les garçons... J'assumais peut-être un peu facilement mes envies mais, au moins, je n'allais pas chiper les petites tenues de mes copines... J'aurais dû m'en douter le jour où elle m'a fait la confidence de préférer se masturber que de se donner à un homme qu'elle n'aimait pas. Presque un geste d'hygiène, qu'elle disait... Quelle hypocrite ! Je n'aurais jamais cru qu'elle allait envahir ma chambre et mes placards pour faire ses petites affaires !

Je me dirigeai furieuse vers la salle de bain lorsque je l'entendis gémir de plus en plus fort.

- Hmmm... Minora, ce que tu sens bon... Oui branle-moi fort, encore,...

Beurk, elle se branlait en pensant à moi ! Si ça se trouve, elle était en train de renifler une de mes culottes ! Il fallait que j'en aie le cœur net. J'ouvris la porte...

Coralie bondit comme une chèvre, hors de la baignoire, emportant avec elle au moins la moitié de l'eau de son bain. Elle faillit glisser en attrapant son peignoir, derrière lequel elle se cacha avant de relever le regard vers moi, blanche d'émotion et de peur.

- Qu'est ce que tu caches dans ta main ?

- Je ne t'avais pas entendue rentrer. Il y a longtemps que tu es là ?

- Ce n'est pas la question que je t'ai posée.

Très gênée, elle me tendit mon petit string blanc tout mouillé.

- Tu en pinces pour moi n'est-ce pas ?

Elle baissa la tête en rougissant, comme une petite fille prise en faute. Elle n'osa pas répondre. Je l'observai trépigner sur place ne sachant sur quel pied danser et se tordant les doigts. Elle tremblait comme une feuille sans que je sache s'il s'agissait de froid ou de peur. J'étais au moins aussi intimidé qu'elle. Elle était touchante. J'avais envie de la protéger. Au bout d'un moment, inquiète, elle fit mine de lever le regard vers moi pour guetter une réaction.

- N'aies pas peur. Il n'y a pas de quoi avoir honte, lui dis-je en caressant sa tête. Je trouve finalement cela plutôt flatteur.

A ces mots Coralie fondit en larmes et s'abandonna aussitôt dans mes bras. Elle semblait au comble de la honte. Je décidai de la laisser se calmer un peu avant de mettre les choses au clair. Je lui frictionnai le corps par-dessus son peignoir afin de la sécher et la réchauffer. Peu à peu, elle sécha ses larmes. Son visage était encore rouge de confusion, mais son sourire et son regard plein de reconnaissance disait l'espoir qu'elle plaçait dans la tendresse que je pouvais lui donner. Je ne savais trop comment m'y prendre, mais il fallait bien que je dise quelque chose :

- Sache que je ne suis pas gouine !

- Mais, moi non plus... Que vas-tu imaginer ? Je ne sais pas ce qui m'a pris... Cela n'est pas dans mes habitudes... Je ne le referai plus, c'est promis...

- J'espère bien, dis donc. Tu ne vas tout de même pas souiller toutes mes petites culottes !

- Je n'ai rien souillé du tout !

- Je ne veux pas savoir ce que tu as fais avec, j'espère en tout cas que tu vas me les laver et repasser comme si de rien n'était. Il ne manquerait plus que je doive nettoyer tes cochonneries maintenant !

La pauvre. C'était sorti comme ça, sans réfléchir. Un brin de sadisme avait dû me guider inconsciemment. Je l'avais plantée là et je m'étais réfugiée dans la cuisine pour reprendre mes esprits. Pourtant j'aurais voulu être compréhensive. Mais je n'avais pas su. Plus la situation avançait, plus je me faisais mégère et plus je l'enfonçais. Que faire maintenant ? Je décidai de nous préparer le repas. Peut-être parviendrais-je à lui montrer, en cuisinant, ce que je n'avais pas su lui dire sur le moment : soyons de bonnes copines mais rien d'autre, je n'en ai pas envie.

En mettant la table, je l'imaginais effondrée dans la salle de bains. Sans doute m'en voulait-elle ? Peut-être n'osait-elle même pas sortir. Pas un bruit n'émanait des chambres ni des pièces d'eau. Je commençais à être inquiète. Je m'apprêtai à aller voir, lorsqu'elle sortit toute pimpante de la salle de bains. Elle avait retrouvé toute sa contenance. Le corps dignement dressé, enveloppée confortablement dans son peignoir. Je fus soulagée. Son maquillage cachait habillement les cernes que les larmes avaient dû creuser. On s'observa un instant, puis on échangea un clin d'œil pour effacer tout cela, avant que je l'invite à partager le dîner entre colocataires, en gage de notre réconciliation.

2 - Après le repas...

Durant le repas Coralie semblait radieuse. Elle avait visiblement été touchée par l'attention que je lui avais manifestée. J'avais en effet improvisé ce dîner comme un repas de fête, en décorant la table et en ouvrant une bouteille de vin. Nous méritions bien un petit remontant. C'est Coralie qui voulut nous servir :

- Toi, tu ne bouges pas, ce sera ma façon à moi de me faire pardonner.

- OK, chacune son excuse et nous serons quittes.

Mal à l'aise, elle avait tendance à en faire trop elle aussi. Pour le service, elle venait debout, tout près de moi, comme une servante de bonne famille, alors qu'elle aurait pu le faire depuis sa chaise. C'était mignon, mais l'ambiguïté créée ne me plaisait pas. Cela eut pour effet de glacer un peu mon attitude.

Coralie, elle, ne semblait pas s'en apercevoir. Elle multipliait les gestes de servilité. Voilà, Madame est servie ! me glissa-t-elle mutine en chaque occasion. Plus elle en rajoutait et plus je me renfrognais. Elle ne voulait vraiment rien comprendre cette sotte !

C'est elle qui fit la vaisselle pendant que j'en profitais pour choisir un programme télé et me détendre un peu dans le canapé. Lorsqu'elle revint, je renâclai à lui faire une place à mes côtés. Elle parvint tout de même à se frayer un espace sur notre petit canapé en se mettant de biais, le dos appuyé contre mon épaule et les jambes pendues par-dessus l'accoudoir. Elle semblait s'amuser de cette promiscuité. Moi je ne rigolai pas du tout.

- Tu es encore fâchée ?

- Un peu.

- Allez quoi, ça peut arriver à tout le monde de partir en vrille. Tu ne va pas me faire payer ça ad vitam aeternam.

Agacée, je voulus la repousser d'un coup d'épaule mais elle était trop lourde et elle glissa sur mes genoux. Cela m'énerva encore plus et je voulus la frapper pour qu'elle sorte de là. Elle en était désolée. Elle forçait sur ses abdominaux pour se relever, mais n'osant s'agripper à moi elle ne parvenait pas à se dégager. Je martelai son ventre à petits coups de poings rageurs. Elle finit par abandonner et me laissa faire jusqu'à ce que je me calme. Elle restait là, à me regarder, avec une moue perplexe, se demandant ce qui me prenait.

Une fois ma colère passée, je restai prostrée, les poings relevés contre ma poitrine. Presque en larmes. Elle me caressa affectueusement l'épaule pour me ramener à moi.

- Ca va ?

C'est un comble. C'est moi qui viens de la frapper et c'est elle qui me demande si ça va.

- Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris.

- Ce n'est rien. Je ne savais pas que ça t'avait énervée à ce point. Le vin, le repas, je pensais que tu m'avais pardonnée.

- Je le croyais aussi. Pardon.

Elle était belle à présent. Etonnamment sereine dans une situation si scabreuse. Elle était sans défense, allongée sur mes genoux, le peignoir ouvert, débraillée par l'affrontement. Et pourtant, c'est elle qui semblait la plus maîtresse d'elle-même dans la circonstance. Grand seigneur, elle se permettait même de me consoler !

Sa gentillesse me calma. Je me décontractai et laissai reposer mes mains sur son ventre. Il y avait une marque un peu rouge à l'endroit exact où je venais de la frapper. J'effleurai sa peau comme pour enlever le mal.

- Ce n'est rien. Tu es très belle quand tu es en colère.

Je pris d'abord cela pour une plaisanterie. Mais à son regard, je compris qu'elle était au contraire très sérieuse.

- Je préfère que tu me fasses mal plutôt que tu me fasses la gueule.

Cet aveu me troubla. J'eus envie d'être capricieuse. Elle paraissait prête à tout accepter de moi. Nos regards ne se quittaient pas. J'hésitai. Les yeux mi-clos, elle m'épiait, essayant de deviner ce que j'allais faire de cet aveu. Je n'avais plus le cœur à la rabrouer. Sans être lesbienne, j'avais envie de jouer avec elle, comme une vilaine fille.

Ma main continuait à se balader sur son ventre. Faisant le tour de la tache rose. Je pris une inspiration et posai ma main un peu plus bas sur son ventre. Je pouvais sentir sa vessie légèrement gonflée sous ma paume moite. Elle devait avoir un peu envie d'uriner. J'en profitai pour appuyer dessus par à coups. Cela provoqua une mignonne contraction de son corps, suivie de frémissement. Je remontai ma main et accompagnai le développement de la chair de poule qui se formait le long de son flanc jusqu'à ses aisselles, en passant par la naissance de ses seins. Elle s'abandonna et émit un léger gémissement afin de m'encourager à continuer. J'eus alors envie d'être sadique.

J'attrapai soudainement la touffe de poils de son pubis et la tirai lentement vers moi. Son bassin se souleva, présentant son corps dans une position obscène, les jambes légèrement écartées. Cela devait lui faire un peu mal, mais elle ne se plaignit pas. Je relâchai les mèches de poils une par une, ce qui fit se déformer sa vulve par à coups. Une fois complètement libérée, sa fente s'était entièrement ouverte. On devinait le bourgeon de son clitoris qui aurait voulu sortir de son capuchon.

Je la fis attendre un peu, puis j'empaumai d'un coup toute sa vulve, la main grande ouverte en vibrant légèrement. Instinctivement la petite coquine écarta d'elle-même un peu plus les cuisses pour faciliter l'incursion de la main dans sa chair. J'augmentai la pression de mon bras sur elle. De la mouille commençait à me glisser sous les doigts, lorsque je décidai de remonter le long de sa fente en appuyant de toutes mes forces pour écraser l'ensemble de ses nymphes.

Je pensais que cela n'aurait rien d'agréable, mais ma partenaire de jeu ne semblait pas de cet avis. Son corps se raidit dans une position défensive. Elle relevait les genoux pour protéger l'accès à son bas-ventre. Mais en même temps, elle poussa un gémissement langoureux et entrouvrit les yeux amoureusement, comme pour m'inviter à aller plus loin dans cette direction.

D'un ton faussement autoritaire, je lui reprochai de ne pas rester tranquille.

- Tst, Tst, Tst, on écarte les genoux ! Là, on reste bien sage... On a envie de se faire tripoter, n'est-ce pas ? Alors pas bouger ! Compris ?

Elle reposa doucement ses genoux sur le lit, me montrant sa confiance. Mais dans le même mouvement, ses bras vinrent se positionner en croix sous sa poitrine. Si elle s'était écoutée, je pense qu'elle aurait croisé ses mains sur son pubis.

Amusée, je la regardai attendre la suite. Docile. Offerte.

- Tu veux jouer ? Après tout, c'est toi qui l'auras voulu. Tu sais que tu m'excites comme ça ?

J'enlevai mon string et remontai ma jupe ; puis me décidai à monter sur elle. Je la chevauchai en appui sur son torse, emprisonnant ses bras entre mes cuisses. Ses seins sur ma vulve me délivraient une délicieuse caresse pendant que son souffle me chatouillait le derrière. J'avais envie de triturer à nouveau ses poils. Elle en avait beaucoup et j'aimais emmêler mes doigts dedans. Puis, sans prévenir, je me remis à tirer dessus. Cela fit sortir exagérément son clitoris de sa cachette. L'idée me vint de jouer un peu avec de cette façon. Apres avoir tiré un coup sec vers le haut, je tirai doucement vers le bas. Les lèvres de son sexe se refermèrent alors peu à peu sur lui, jusqu'à ce que le capuchon le recouvre à nouveau totalement. Puis, je tirai une fois de plus vers moi d'un coup sec et ainsi de suite. Cela lui procurait une étrange masturbation qui semblait lui plaire. Son souffle se faisait plus fort sur mes fesses et elle se tortillait de plus en plus sous moi. J'étais de plus en plus excitée. Oserais-je lui demander de me sucer ?

Petit à petit, je rapprochai mes fesses de son visage en frottant ma vulve sur le haut de ses seins, son cou, bientôt son menton et même son nez. C'était irrésistible. Je faisais entrer le bout de son nez à l'orée de mon vagin. Cela ne devait pas sentir très bon, ni être très facile pour respirer, mais elle ne me reprocha rien. Tout juste émit-elle un gémissement frustré lorsque j'abandonnai son pubis pour me consacrer à mon propre plaisir. Je me masturbai carrément sur son visage pendant qu'elle, de son côté, ne pouvait que se rassasier de mon propre plaisir. Mais elle était très excitée elle aussi. Elle dégagea un peu l'un de ses bras pour faire glisser un doigt vers son Mont de Vénus. Je ne voulus pas la laisser se masturber. J'interrompis son geste et remis sa main prestement à sa place, juste au moment où elle s'apprêtait à atteindre l'organe de son plaisir.

- Sors ta langue, je t'en prie... Mange-moi !

Je jouis comme une folle lorsqu'elle déroula enfin une langue douce et avide dans mes entrailles. Sa bouche m'aspirait et avalait toutes mes sécrétions. Quelle sensation délicieuse que de se sentir aimée au point de transformer ses propres souillures en offrande d'amour !

Lorsque je repris mes esprits, je constatai qu'elle avait profité de mon assoupissement pour essayer de se branler un peu. Je lui en fis le reproche et lui demandai de venir s'installer à côté de moi dans le canapé où nous nous sommes endormies toutes les deux pour la nuit. Que de rêves cochons a-t-elle dû faire dans son sommeil...

3 - Au réveil.

Je me suis réveillée la première. Elle était assez jolie, endormie en chien de fusil contre moi. Elle avait plaqué son pubis contre ma jambe. Sans doute avait-elle eu du mal à s'endormir dans l'état d'excitation dans lequel je l'avais laissée. Peut-être avait-elle eu terriblement envie de faire pipi. Se comprimer la vulve contre mon genou avait dû seulement la soulager. Mais cela ne m'énerva pas. Au contraire, je trouvais ça attendrissant. Rien ne l'aurait empêchée de se lever et d'aller aux toilettes ou d'aller se masturber dans sa chambre. Mais elle avait préféré rester là, contre moi. Cela m'excitait et je me mis à onduler du bassin contre elle, tout en lui caressant les cheveux. Ma jambe frottait doucement son pubis, la réveillant doucement. Elle gémit, mais n'osa pas se réveiller complètement de peur de mettre fin à cette caresse qu'elle avait l'air d'apprécier.

- Tu m'as beaucoup fait jouir hier, sais-tu ? Tu avais déjà sucé une femme ? Moi je ne pourrais pas. C'est trop dégoûtant.

Elle ne répondit pas. Elle rougit, trahissant le fait qu'elle m'entendait. J'augmentai le mouvement de ma cuisse contre son sexe tandis qu'elle écarta légèrement les siennes. Elle faisait semblant de se réveiller doucement, comme si rien ne se passait, mais en même temps elle répondait à mon mouvement par les pressions de son bassin.

- Tu as bien dormi, me demanda-t-elle, ingénue ?

- Très bien, lui dis-je, continuant mon manège. Et toi ? Tu as l'air fatiguée !

- Non, non... je t'assure... très bien dormi... ahana-t-elle en mentant. Son corps semblait fourbu et courbaturé. Les traces des plis de ma veste s'étaient imprimées sur sa joue. Sa frustration avait l'air de gagner sur sa patience et son bassin ondulait sur ma jambe en une lente masturbation.

- Tu as pu trouver une bonne position ?

- Oui... Oui... dit-elle en continuant à se frotter contre moi.

- Tu n'as pas envie de faire pipi ?

- Non, ça va... continua-t-elle à mentir. Je t'assure... Reste encore un peu... Je me réveille doucement...

- Petite hypocrite, tu te branles sur moi n'est-ce pas ?

Choquée par le changement de ton, elle ouvrit grand les yeux, l'air étonné. Elle comprit dans mon regard qu'elle pouvait cependant continuer. Sans doute n'aurait-elle pas pu s'arrêter de toute façon.

- Vas y branle-toi petite chatte. Branle-toi sur la jambe de ta colocataire. Il le faut bien, puisque tu es si excitée. Fais-toi jouir, petite gouine. Tu m'as bien eue hier soir, hein ? Tu as eu ce que tu voulais, n'est-ce pas. Elle était bonne la viande de Minora ?

Mes mots la choquaient. Elle me regardait affolée mais ne pouvait pas s'empêcher de continuer de s'exciter comme un animal sur ma cuisse. Je la regardai fixement et durement l'air vaguement dégoûtée. Peut-être cela contribuait-il à l'exciter malgré la honte. Elle s'agitait de plus en plus fort. Elle n'allait pas tarder à jouir.

Je la rejetai alors brutalement, la renversant sur le côté et me levant prestement.

- Allez, soulage-toi toute seule. Tu as bien droit à un peu d'intimité pour faire tes cochonneries. Tu es si pudique parait-il... Fais-toi bien jouir, que l'on soit tranquille pour un moment.

Elle ne m'avait pas attendu pour s'exécuter. Elle s'astiquait frénétiquement le clitoris. Mais moi, je voulais qu'elle ait un vrai orgasme.

-Attends je vais te chercher ton vibromasseur. Pas question que tu te contentes d'une petite branlette, je veux que tu sois vraiment soulagée.

Elle me regarda partir, sa main s'immobilisant sur son sexe, les yeux affolés. Elle n'avait pas bougé d'un pouce quand je revins, dix secondes plus tard, un phallus en plastique à la main. Je ne tins pas ma promesse de la laisser faire toute seule : je plongeai moi-même l'engin dans son ventre.

Elle avait l'air aux anges. Les yeux fermés. Complètement partie dans son monde. Je la ramonai puissamment en faisant tourner la colonne de plastique et en pistonnant son vagin. De l'autre main je branlais son clitoris. Elle, elle se cambrait, contractait ses cuisses, ses abdominaux. Elle passait sa langue sur ses lèvres ou la tendait loin devant elle, comme si elle pénétrait la bouche ou le sexe de quelqu'un. Ses mains parcourait son corps, malaxaient ses fesses, remontait vers ses seins. Bientôt elle se pinça les tétons sans ménagement. J'accélérai la pénétration, faisant avancer plus profondément encore le gode en elle. Jusqu'à ce que l'orgasme éclate. Violent. Radical. Elle sautait comme une carpe sur le canapé.


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