TITRE : Coquines asiatiques à la plage
Catégorie : 
Histoire asiatique

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Deux semaines aux îles Canaries. J’avais économisé quelques mois pour pouvoir m’offrir ce petit séjour. Deux semaines de bronzette, ça allait me faire du bien. J’ai rapidement repéré deux petites Chinoises, une fois sur place. Elles passaient leurs journées sur la plage et le soir, elles mangeaient toujours à l’hôtel, à la même heure, avant de regagner leur chambre.


J’ai passé les premiers jours à les observer. Les autres femmes étaient pour la plupart des grosses Allemandes, c’était inintéressant. Alors je me suis lancé et un jour, je me suis installé à côté d’elles. D’abord, je me suis contenté de les examiner. Elles semblaient très jeunes. Elles étaient toutes les deux minces. L’une d’elles avaient des traits vraiment ravissants. J’avais rarement vu une fille au visage si parfait. L’autre semblait plus banale, certes, mais elle avait des seins plus gros, ce qui compensait largement.


Finalement, j’ai osé leur parler. La prétendue timidité des Asiatiques m’effrayait. La suite vous montrera que c’est une stupide légende. J’ai eu besoin de gros efforts pour m’exprimer en anglais, mais comment aurais-je pu faire autrement ? En fait, ces filles semblaient ravies que je les aborde. J’ai un peu blablaté pour lancer la discussion, mais rapidement, ce sont elles qui m’ont raconté leur vie. C’est surtout celle aux bons seins qui parlait, mais je gardais à l’œil sa charmante amie.


En gros, elles m’ont dit que leur père à chacune étaient d’importants ingénieurs dans une grande usine de production de téléviseurs. Ça me faisait un peu penser à toutes ces émissions qui parlaient sans cesse de l’économie chinoise. Le niveau de vie de beaucoup de ces gens s’était amélioré à toute vitesse. Les familles de ces deux filles devaient avoir du pognon, je me disais qu’ils n’étaient pas encore très nombreux à aller faire bronzette en Europe, contrairement aux Japonais par exemple.


Rapidement, je n’y ai plus pensé. Après tout, qu’est-ce que j’en avais à foutre ? J’essayais de créer dans ma tête un modèle de jeune Chinoise parfaite en utilisant les seins de l’une d’elles et le visage de l’autre. Le résultat était bien appétissant. Peut-être que si je parvenais à les sauter toutes les deux, ça me ferait un souvenir assez proche de cette image que j’avais imaginée.


Restait à concrétiser. J’ai longtemps douté, mais mon heure finit par arriver. Parfois, l’hôtel organisait des fêtes le soir. Je n’ai rien réussi à faire durant la soirée folklorique, mais celle qui suivit fut une grande disco avec alcool à gogo. Tout le travail consista à réussir à faire boire ces deux coquines. Au début, elles préféraient ne pas en boire, du moins c’est l’impression qu’elles me donnaient, mais une fois que j’ai pu leur faire boire une coupe de champagne, c’était parti. Elles ont continué en riant de plus en plus bêtement et je me suis arrangé pour que nous nous retrouvions tous les trois à la plage.


Visiblement éprouvées par les effets de l’alcool, les deux nanas se sont couchées contre moi. J’en ai profité pour les caresser dans le dos, sur les épaules… Et soudain, j’ai senti deux mains se promener sur moi.J’ai regardé autour de moi, personne dans les parages. Une main allait et venait entre mes jambes, l’autre faisait de même sur mon torse. Je m’étais trompé, elles n’étaient pas amorphes. Le rythme accélérait. Les boutons de ma chemise ont sauté rapidement, l’un après l’autre. C’était celle au joli minois qui s’était chargée de me mettre torse nu. Et l’autre, celle aux gros seins, qui était décidément plus coquine, m’avait déjà refilé une trique d’enfer. Elle a descendu ma fermeture éclair pour mieux s’occuper de mon engin. Sa collègue m’embrassait délicatement.


Je me suis lancé à mon tour en saisissant la plus mignonne par la taille et en forçant l’entrée de sa bouche avec ma langue. Elle avait un petit cul tout ferme que je malmenais avec mes mains. Nullement jalouse, celle aux gros seins a sorti ma queue à l’air et l’a directement engloutie. Je m’en suis rendu compte pendant que je léchais le cou de la mignonne. C’était l’extase. Je me suis détourné pour admirer le spectacle. Ses grands yeux en amande me fixaient et je les voyais très bien malgré la frange très basse qu’elle avait. Les deux filles souriaient, en fait ravies de s’éclater un peu, loin de leur pays autoritaire. Elles n’avaient encore rien vu, j’étais bien décidé à poursuivre la soirée par une séance d’élargissement de chattes étroites.


Je finis par juter dans le sable. C’était parfait. Quelques minutes pour me remettre de mes émotions et j’allais pouvoir baiser comme un porc. Histoire de ne pas perdre la face, je fis semblant de les faire attendre volontairement. Je me contentai de leur raconter des conneries, de les caresser (ce qui n’était évidemment pas désagréable) et accessoirement de surveiller que personne n’était en train de nous espionner.


Et c’était reparti, j’avais juste l’embarras du choix pour tremper ma queue. Mais je me dis que la petite ne m’avait pas sucé et qu’il était injuste que seule sa copine ait eu cet honneur. Alors je m’approchai de cette dernière et lui caressai la chatte. Elle se mit à mouiller et je me penchai avec délectation sur son orifice odorant. Pendant ce temps, j’indiquai de la main à la petite que c’était à son tour de me sucer. Elle se débrouillait moins bien que sa copine, mais la langue plongée dans une bonne chatte, je me suis vite remis de cette déception. Et la nana ne se laissait pas faire, elle appuyait sur ma tête comme si j’étais un jouet. Les cuisses bien écartées, elle semblait prendre son pied. Pendant ce temps, sa copine semblait s’enhardir et me branla de plus en plus vite, jusqu’à ce que je lâche ma sauce. Malgré cet extase, je continuai à lécher, ce qui prit pas mal de temps mais les petits cris furent à la hauteur de l’attente.


Bizarrement, ce furent les deux nanas qui s’endormirent les premières. Je pus alors aller chercher des préservatifs. Comme elles ne dormaient qu’à moitié à mon retour, je les enculai sans la moindre vergogne. La grande m’avait paru être au pays des rêves, mais alors que j’essayais maladroitement de lui enfiler ma queue par derrière, ce fut elle qui me saisit le manche et se l’enfila en se mordant les lèvres. J’avais touché le gros lot.

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