On sonna à la porte. Le chien aboya bruyamment.
Je pris sa laisse sur la table de salle à manger. J’ouvris
à Alban, un copain de mon frère que j’avais chargé de sortir
Buffalo, un gros bâtard berger allemand-on-ne sait-pas quoi
de 5 ans. Mes parents étaient en vacances en Italie tandis
que mon frère et la famille de sa copine étaient partis
en Espagne. Moi je travaillais de nuit dans une station
service. J’étais chargé de m’occuper de la ménagerie composée
du chien de la copine, de notre chat et d’un lapin. De plus,
il me fallait arroser régulièrement une jungle de plantes.
Sortir le chien était une corvée, c’est pourquoi, j’avais
demandé à Alban de s’en occuper. Nous nous serrâmes la main
et je lui tendis la laisse. Le chien fut comme fou et aboya
tout autour de nous. Alban lui attacha la laisse et m’en
débarrassa en faisant un tour pendant une petite heure.
Nous étions le week-end et j’avais du mal à reprendre temporairement
un rythme normal. Mon collègue m’avait dit qu’il fallait
trois ou quatre mois pour s’habituer à ce régime mais ce
n’était qu’un job de vacances, et je sentais que j’allais
être complètement lessivé à la rentrée universitaire, dans
un mois et demi. J’appréciais de rester seul pendant plus
de 3 semaines. Après mon retour de ma première année de
fac, les premiers jours d’euphorie passés, ma famille, m’insupportait
déjà. Heureusement que je travaillais et maintenant je goûtais
à nouveau à la solitude retrouvée.
Alban revint avec le chien
qui se jeta sur sa gamelle d’eau puis sur sa nourriture,
ne prêtant même pas attention au chat qui doubla de volume
et qui cracha. Ce jour-là, à ce moment-là, il avait décidé
de détester l’intrus. Alban s’affala sur le canapé. Il avait
18 ans. Il était maigre, assez petit, la peau couverte de
tâches de rousseurs, les cheveux tirant sur le roux, les
yeux verts. Il avait la beauté de la jeunesse. Il venait
de louper son bac. Cet été, il ne travaillait pas et occupait
ses mornes journées de vacances à réparer des mobylettes
ou à regarder la télé. Je lui proposai un coca et je m’assis
par terre, appuyé sur une chauffeuse alors qu’Alban s’allongea
sur le canapé en prenant ses aises. Nous regardâmes la télé,
la chaleur et la fatigue m’interdisant tout autre activité.
Alban sirota son coca qu’il reposa sur la table du salon,
une fois terminé.
Alors que je tentais de me
passionner sur la survie probable du héros dans une mauvaise
posture, je sentis qu’on me caressait le genou. Je contemplai
avec stupéfaction la main gauche d’Alban posée sur mon genou
le caressant légèrement. Je le regardai et il me lança un
charmant sourire. Je m’exclamai in petto : « Alban, pédé
? Non !? ». « A quoi joue-t-il ?» me demandai-je dans la
foulée. Etait-ce un test ? Ou une provocation d’hétéro ?
Je le laissai faire son manège, décidant d’attendre la suite
des événements. Il continua à masser mon genou et sa main
glissa sur ma cuisse. Je sentis une petite décharge électrique
sur le gland et ma verge commença à gonfler. A mon tour,
je caressai son genou, captivé par le héros qui s’en était
sorti et qui allait balancer la vanne de fin d’épisode.
Nous continuâmes pendant toute la plage de publicité et
le générique de la série suivante. Je pris l’initiative
de descendre sur sa cuisse soulevant un peu son bermuda
en toile légère qu’il portait.
Sa main descendit encore
et il me caressa l’aine. Maintenant, mon sexe déformait
visiblement mon short pourtant large. A travers la toile
de son bermuda, en prenant soin de ne pas toucher à son
sexe, je lui caressai le pubis, les aines et les cuisses.
Je m’enhardis et je glissai vers son ventre. Je soulevai
son tee-shirt et je passai sur son nombril. Sa peau était
très douce. Il me laissa faire en regardant ma main. Son
doigt alla dans les replis secrets de mon short et il souleva
mon slip pour atteindre la base des testicules. Je glissais
ma main entre son caleçon et son bermuda. J’atteins son
sexe qui était dur. Autant que je puisse juger, sa taille
était prometteuse de plaisirs futurs. Je le masturbai à
travers son sous-vêtement. J’écartai les jambes pour laisser
passer sa main qui me caressa le sexe. Je passai alors un
doigt sous son caleçon. Je touchai sa verge et je lui titillai
le bout de son gland circoncis. Elle réagit à cet effleurement
et se tendit un peu plus. Je passai le reste de la main
et je commençai à le masturber lentement, les yeux fixés
sur l’écran où les images n’avaient plus aucun sens.
Nous nous masturbâmes pendant
un petit moment. Puis, je me levai et m’approchai de lui.
Des deux mains, je retirai son bermuda vert et rose et son
caleçon à petits cœurs rouges. Son sexe apparut dans toute
sa splendeur, au milieu du nid roux de ses poils pubiens.
Je grimpai sur le canapé. J’écartai ses cuisses et je me
baissai. Je lui donnai quelques petits coups de langue sur
ses petits testicules et je descendis vers leur base pour
remonter vers la naissance de sa verge. Il frissonna malgré
la chaleur qu’il faisait. Je lui caressai les hanches et
le pubis. Je le masturbai alors que ma langue lui lécha
la bourse et la naissance de ces fesses. Je remontai de
la pointe de la langue vers les plis de l’aine d’un coté
puis je recommençai de l’autre coté. Son odeur était un
peu forte et je gouttai à quelques perles de sueur salée.
J’engouffrai son gland, tout rouge dans ma bouche et il
hoqueta. Nous nous regardâmes dans les yeux pendant que
je m’activais sur sa verge. Il avait un regard concentré,
souriant et lubrique. Je le soulevai un peu et mes doigts
cherchèrent sa rondelle. Je lui stimulai le gland avec des
petits coups de langue sur sa base puis sur son frein alors
que je le branlai et caressai son anus. Il gémit et ses
mains me prirent par les épaules pour exercer une pression
et j’avalai son sexe plus profondément.
Je quittai sa verge pour
gober ses testicules. Je les léchai et je les parcourai
rapidement avec ma langue. Je mouillai un doigt et je tentai
de pénétrer ses fesses. Je le fis tourner rapidement sur
son anus et j’appuyai lentement. Je fus surpris qu’il entre
sans trop de problème. Je l’enfonçai jusqu’au bout et Alban
poussa un soupir de contentement. Je repris ma fellation
en même temps que je le doigtai. Il gémit. Je pris une cadence
assez rapide. Je le branlai alors que ma bouche s’occupait
de son gland. Mon doigt entrait et sortait rapidement. Ses
pieds se tortillaient et ses jambes étaient tendues comme
des cordes de piano. Son souffle était rapide. J’accélérai
mes mouvements sur son chibre, et dans ses fesses. Sans
crier gare, je sentis son sperme fluide et parfumé jaillir
dans ma bouche. Je continuai alors que j’avalai sa semence.
Sa verge se dégonfla lentement. Je retirai mon doigt et
je lui caressai le sexe et son doux pubis. Je me levai pour
boire un verre d’eau pour faire passer le goût un peu âcre
de son sperme. Le héros de la télé était dans une mauvaise
posture et on ne savait pas s’il allait s’en sortir.
Je revins près de lui et
je le regardai dans les yeux. Il me lança un sourire charmeur.
Je l’embrassai et nos langues se mêlèrent. Je lui glissai
à l’oreille « on peut aller dans la chambre ? ». Il hocha
la tête. Comme j’étais assez costaud et lui très léger,
je le pris dans mes bras comme une mariée. Il s’accrocha
à moi et je le transportai jusqu’à la chambre de mes parents.
Je le déposai délicatement sur le lit. Il enleva son grand
tee-shirt orange un peu passé tandis que je me déshabillai
rapidement. Je montai sur le lit et je me couchai sur lui.
Nous nous embrassâmes et je sentis son sexe se durcir à
nouveau. Je commençai un va-et-vient frottant nos sexes
l’un contre l’autre tout en caressant ses épaules, ses tétons
et ses hanches. Il posa ses mains sur mes fesses. Il les
malaxait puis les écartait pour faire glisser ses doigts
dans ma raie. Je me cambrai un peu plus et il put atteindre
l’anus. Je continuai mon va-et-vient. Je sentis la chaleur
de la volupté monter en moi.
Nous grognâmes alors que
j’accélérai la cadence de mon bassin. Il écarta ses cuisses
et il m’emprisonna mes jambes. J’étais complètement enveloppé
par son corps frêle et juvénile. Je lui donnai des coups
de boutoir et nos sexes se cognaient et massaient nos testicules.
Nous ondulions à un rythme qui se faisait de plus en plus
rapide. Je m’accrochai à ses fesses et je me tendis à plusieurs
reprises, écrasant son pubis et nos sexes. Ma jouissance
monta rapidement et j’explosai sur son sexe dans un râle
de plaisir. Je retombai un peu lourdement. Je l’embrassai
goulûment. Je me mis sur le coté. Nous étions pleins de
mon sperme. Je le masturbai à nouveau tandis que je l’embrassai
et que je lui pinçai les tétons. Mes mouvements se firent
plus rapides et je caressai maintenant sa rondelle et sa
raie. Une secousse parcourut son corps et je sentis son
sperme chaud jaillir sur son ventre, se mélangeant au mien.
Je pris des mouchoirs en
papier sur la table de nuit et j’essuyai délicatement notre
sirop de corps d’homme. Je le regardai dans les yeux. Je
n’en revenais pas qu’il soit homo ou même bisexuel, peut-être.
Enfin, il y en avait dans mon entourage quelqu’un comme
moi. Son regard me renvoyait la solitude que je ressentais
à son âge. Je ne savais pas s’il avait des petits copains.
Une pense fugitive me traversa, l’imaginant avec mon frère.
Je la chassais rapidement. Peut-être qu’il soufrait le martyr
devant l’hétérosexualité probable et convenue de mon frère.
Je l’embrassai tendrement comme pour lui mettre du baume
au cœur.
Nous restâmes enlacés, nos
sexes à moitié mous. Il me tournait le dos, nos jambes étaient
emmêlées et je l’enlaçais par la taille. Je l’embrassai
de temps en temps sur la nuque. Je rêvassai à un avenir
possible après ce qui était en train de se passer. Peut-être
que nous pourrions vivre une longue histoire d’amour passionnée
ou peut-être cela ne serait alors juste une relation intense
de pur sexe, sans véritablement de lendemain.
A cette pensée, mon sexe
se raidit. Je l’embrassai à nouveau. Je lui caressai son
pubis et son ventre. J’ondulai un peu mon bassin et ma verge
se frotta sur ses fesses. Il tourna la tête et il m’embrassa
fougueusement. Son sexe était à nouveau en très grande forme.
Je me balançai de plus en plus rapidement. Il se mit sur
le ventre et il se cambra m’offrant son séant. Je l’embrassai
sur la nuque puis par sauts successifs je descendis vers
ses reins. J’écartai ses globes et sa rondelle m’apparut.
Je mis la pointe de ma langue
en haut de sa raie et je descendis lentement vers la base
de ses testicules en m’attardant un peu sur son oignon.
Je remontai lentement. Je donnai des petits coups de langue
sur son anus puis j’arrivai en haut de sa raie. Je repris
mon manège en sens inverse mais en restant un peu plus sur
sa rondelle. Après plusieurs va-et-vient, ma langue tenta
de s’engouffrer à l’intérieur par l’entrée de son anus serré.
Je lui malaxai ses fesses et ma langue était au plus profond
de lui. Elle gesticulait rapidement, donnait des coups,
léchait comme étant douée d’une vie propre sans que je la
contrôle vraiment. J’entendis gémir Alban et se tortiller
sous mes caresses buccales. De temps à autre, je le masturbai
très rapidement déchaînant en lui des petits cris.
Je salivai abondamment. Je
crachai dans ma main et m’enduis mon sexe. Son anus était
copieusement lubrifié par ma langue. Je lui présentai mon
gland. Je le pris par les hanches et je poussai prudemment.
Je sentis mon gland être enserré par un étau de chair. Alban
respirait fort. Je continuai ma progression, lentement mais
sûrement. Puis je sentis que mon gland avait passé son anneau.
Je pus alors m’enfoncer complètement en lui. Il poussa un
gémissement. Je me couchai sur son dos et lui demandait
à mi-voix si cela allait. Il me répondit par l’affirmative
avec son sourire charmeur. Je commençai alors aller et venir
dans son corps. Mon sexe était complètement emprisonné dans
ses tendres chairs moites et chaudes. J’accélérai le rythme
et je l’entendis ahaner à chacune de mes pénétrations. Je
me concentrai pour ne pas jouir. Mon bas-ventre se balançait
et je variais la cadence. J’adorai son petit cul glabre,
serré et très doux. Il avait l’air d’apprécier ma pénétration
ce qui m’excita encore plus.
Je sortis de ses fesses.
Il était maintenant complètement ouvert. Je le retournai
sur le dos. Je soulevai ses jambes et je les posai sur mes
épaules. Son anus m’apparut prêt à gober ma verge. Je le
pénétrai sans plus de ménagement. J’allais et venais tandis
que je pouvais lire sur son visage le plaisir que je lui
procurai. Il se masturba au rythme de mes hanches. J’accélérai
puis au moment où je sentis la volupté et le plaisir déferler
en moi, je décélérai. Je contrôlai le flux et le reflux
des marées de la jouissance. Je me retirai à nouveau. Je
mis Alban sur le coté. Je lui écartai les jambes et j’entrai
à nouveau en lui. Je ne pouvais plus quitter ses entrailles.
Je lui caressai son sexe, ses testicules, et l’entre jambe
pendant que je le pistonnai rapidement. Nous gémissions
de plaisir. Je basculai sur le dos et il s’assit sur mon
chibre. Je lui saisis les hanches et je le fis coulisser
sur mon sexe complètement tendu. Il descendait et montant
rapidement. S’il continuait j’allais exploser dans ses entrailles.
Il se masturba en cadence et il me massa les testicules.
Il gémissait et son corps se tendait. J’entendis ses fesses
claquer sur mon pubis. Quand il était assis, Je m’arc-boutai
pour le pénétrer encore plus profondément.
Je le basculai sur le ventre.
Il était à 4 pattes. Cette fois, j’allais nous mener vers
les sommets du plaisir et de la jouissance. Je le pris par
les hanches et j’accélérai mon va et vient. Je soufflai
très fort et lui hoquetait à chaque fois que j’étais complètement
en lui. Il continuait à se masturber. Je laissai le plaisir
se déchaîner dans mon corps. J’entendais le claquement de
mon bassin sur ses rondeurs, qui annonçait nos cris de plaisir.
Un tremblement me parcourut et j’explosai en lui dans un
feulement. Je continuai à le pistonner tandis que d’une
main je le remplaçai pour sa masturbation. Il gémit et cracha
son sperme sur ma main et sur les draps. Je n’avais pas
débandé. C’était exceptionnel. Je continuai à le pénétrer,
très rapidement, férocement et je sentis à nouveau le plaisir
monter. Je le pénétrai si violemment que je le soulevai
maintenant avec mes coups de reins. Je me dégageai de ses
rondeurs et je déchargeai à nouveau sur ses fesses. Je m’écroulai
sur lui complètement essoufflé.
Nous restâmes un moment complètement
rompu par cette chevauchée épuisante. Il m’embrassa et se
rendit aux toilettes. Il se dirigea vers la salle de bain
où j’entendis l’eau couler. Il revint dans la chambre et
m’embrassa fougueusement. Puis il récupéra son tee-shirt
orange et sortit. Je me levai à mon tour et je le rejoignis
dans la salle à manger. J’étais complètement nu, ma verge
sentait le foutre. Il s’était rhabillé. A la télé, un héros
balançait sa vanne de fin d’épisode. Alban s’approcha de
moi. Il prit mon sexe dans sa main et m’embrassa. Il me
lança un de ses sourires craquants et me dit « à plus tard
». J’allai dans la salle de bain et je pris une douche rafraîchissante
et apaisante. Avec une joie intérieure intense, je repensais
à ce qu’il c’était passé. Mon sexe se tendit à nouveau.
Nous passâmes les semaines
suivantes à faire l’amour dans chacune des pièces de l’appartement,
sous l’œil médusé de Buffalo et du reste de la ménagerie.
Il m’apprit que depuis un an, il utilisait le minitel et
qu’il avait eu des rendez-vous dans les villages des environs.
Il y avait beaucoup plus d’homos que je ne le croyais. Il
avait même couché avec le père d’un de ses copains et plusieurs
autres hommes mariés. Avec ses camarades, il a eu quelques
aventures profitant de leurs envies « exploratrices » et
leur soif de plaisir. Il m’apprit que mon frère avait essayé
sans toute fois y prendre de plaisir. J’étais donc le seul
homosexuel de la famille. Au retour de mes parents, on s’est
revu une dernière fois dans une cabane de chasseurs. Nous
avions bien profité l’un de l’autre, nos sens étaient repus
de notre jouissance.
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