Le cuir du canapé est gelé. Quand mes seins se sont pressés contre le dossier,
je n'ai pu réprimer un petit cri. Ma peau s'est hérissée en chair de poule.
Quand ses mains ont agrippé mes hanches, je me suis crispée. J'ai eu mal, quand
il m'a pénétrée. Malgré le préservatif lubrifié. Il aurait pu me mouiller un
peu. Je n'aime pas être enculée à sec !
Voilà une heure que je suis là, officiellement pour prendre en charge la
traduction d'un article italien en français. Yann travaille au service
communication d'une institution territoriale. Il me donne du travail
régulièrement depuis plusieurs mois maintenant. Mais je suis bien obligée
d'avouer que je dois ce job aussi à ma docilité. Yann ne m'a pas fait venir au
hasard.
Jean lui a parlé de moi.
Jean s'occupe beaucoup de moi. Je suis un peu comme sa fille. Enfin, une fille
incestueuse, alors. Notre relation est compliquée. Jean est l'amant de ma mère.
Yann est maintenant au fond de mon rectum. Sa bite est trop grosse. Il m'ouvre
en deux. Il a la quarantaine. Il a dû être beau, il a de très beaux yeux. Mais
l'abus de bonne chair et de bons vins lui a donné des kilos en trop, des poches
sous les yeux et un teint couperosé. Et du goût pour la perversité, dirait-on.
Pour l'instant il ne bouge pas, se contentant de rester plaqué contre mes
fesses. A ce stade, ma souffrance s'amenuise et j'ai hâte qu'il bouge. Lui, il
attend que je le réclame.
- Bourrez-moi, Monsieur, je veux vous sentir bouger dans mon cul !
- Alors, si c'est ce que tu veux.
Jean, c'est ma première queue. La première que j'ai vue en érection. Enorme. Pas
étonnant que je fasse la fine bouche, aujourd'hui encore. Il est aussi l'homme
qui m'a initiée à la fellation. A l'époque, il devait craindre de me dépuceler.
Ou que Maman se rende compte de quelque chose. Ce qui ne l'a pas empêché, plus
tard, de venir prendre place dans toutes mes ouvertures, lorsque le chemin a été
fait. Mais revenons à la chose.Je ne vais pas dire que ça ne m'a pas plu,
lorsque je l'ai sucé. Mais j'y ai laissé une bonne part de mon innocence et de
mes illusions de jeune fille.
Maman était absente, cet après-midi-là. Jean était passé prendre quelque chose
qu'il a avait oublié, me dit-il, en me trouvant dans le salon, en train de
réviser mes cours. C'était la fin de l'année scolaire, il faisait déjà chaud.
J'étais en slip et soutien-gorge. Ce n'était pas encore la mode des strings, et
mes sous-vêtements étaient sages. bien plus que moi ! Secrètement, j'attendais
cette rencontre. Trois semaines auparavant, j'avais touché sa queue, ma première
queue. Je voulais recommencer. Jean alla jusqu'à la chambre, récupérer je ne
sais quoi, mais quand il revint, il avait ouvert son pantalon et sorti sa bite,
comme si cela était naturel.
- Alors, ma petite cochonne, si nous reprenions là où nous en étions restés.
Je ne protestais même pas, un peu abasourdie tout de même. Mais je me
redressais. Il me saisit la main et la posa sur son membre. Mes doigts en
faisaient tout juste le tour, mais suffisamment pour que je le branle. Il guida
mon poignet, mais je n'avais rien oublié de la dernière fois. Je montais et
descendais le long de sa tige, jusqu'à recouvrir le gland d'un côté, et tirer
sur le frein de l'autre. J'étais fascinée par l'oil de sa bite. Sans m'en rendre
compte, j'avais approché très près mon visage.
- Embrasse-là ! ordonna Jean.
Comme j'hésitais, il posa sa main sur mon crâne, me guidant d'une légère
pression. Le gland heurta mes lèvres.
- Mieux que ça, petite pute !
Cette fois j'obéis, arrondissant mes lèvres, pour un baiser humide. Mais très
vite, elles durent s'ouvrir sous la pression. Je me retrouvais avec ce machin
dans la bouche ! Je lâchais la tige, et battit des mains, tentant d'échapper à
ce truc !
- Sois docile ou je me fâche ! Prends-la !
Je me débattis deux secondes encore, puis renonçais. Mes mâchoires se
relâchèrent et la queue me remplit, heurtant ma luette. J'eus un haut-le-cour,
mais Jean n'en tint pas compte.
- Allez, c'est comme un eskimo, applique-toi. Suce avec un peu de pression, de
bas en haut, sans relâcher. Voilà !
J'avais un truc énorme, salé, chaud, palpitant qui s'agitait dans ma bouche,
cherchant à gagner en profondeur. Automatiquement, ma main se serra autour de la
bite pour l'empêcher d'aller trop loin. Ce faisant, je la branlais à nouveau,
pour le plus grand bonheur de Jean !
- Mais c'est qu'elle s'y prend bien, la petite garce ! Tu vas avoir droit à mon
cadeau !
Je ne compris pas tout de suite de quoi il voulait parler. D'ailleurs, je
poursuivis assez longtemps mon petit manège, sans qu'il lui soit encore
nécessaire de maintenir sa main sur ma nuque. De temps à autre, je reprenais mon
souffle, puis je repartais à l'assaut de la verge, tendue à rompre maintenant.
J'étais galvanisée par le résultat obtenu ! Je replongeais plusieurs fois,
essayant d'en ingurgiter la plus grande longueur. J'aspirais, je mouillais de
salive, je tétais, cherchant quel était le meilleur geste pour qu'elle durcisse
encore. Et puis il y eut ce moment où Jean me saisit le crâne à deux mains, se
poussant au plus profond, mon nez écrasé contre son pubis. Je le sentis raide,
énorme, puis il y eut comme un spasme et un jet chaud et gluant emplit ma
bouche. C'était quoi ? Oh la la ! Que m'arrivait-il ? Il y eut d'autres spasmes,
et le liquide continuait à me remplir. J'étais terrifiée. Que fallait-il que je
fasse ?
- Avale, salope ! Avale tout !
Et j'avalais, je déglutissais, laissant glisser dans mon osophage mon premier
foutre.
Jean me relâcha. Saisissant mon menton, il me fit ouvrir la bouche. Il contempla
avec satisfaction ma langue couverte de sperme.
- Toi, tu vas devenir une super cochonne ! Tiens, donne-moi donc ta culotte et
vas te rincer la bouche, si tu veux.
Domptée, j'obéissais, enlevant prestement mon slip. Il s'en servit pour essuyer
sa queue. J'allais à la cuisine et crachais dans l'évier. Mais j'avais tout
avalé. Je bus un verre de sirop pour changer le goût d'ammoniaque dans ma
bouche. Quand je revins, il avait rangé sa bite. Mon slip était sur le sol,
souillé.
- Approche !
Il glissa sa main entre mes cuisses.
- C'est bien ce que je pensais, ça t'a plu, tu mouilles. La prochaine fois, je
t'apprends à prendre soin de mes couilles. Mais ne dis rien à ta mère, sinon .
Il tint sa promesse. La fois suivante, je devins bouffeuse de couilles. Et puis
il y eut de nombreuses autres fois encore. Je devenais experte. J'essayais mes
talents sur d'autres qui me déclarèrent reine dans ce domaine. La reine des
pipes !
Yann a pris immédiatement un rythme ample et sans douceur, coulissant de toute
sa longueur dans mon anneau rectal. Il ahane comme un bouf et je sens ses
couilles battre ma vulve. Il a juste baissé son pantalon, pour pouvoir
m'investir. Moi, il m'a demandé de me mettre nue, à l'exception de mon string.
Une coquetterie de sa part. Il aime bien dégager la bride de ma raie et la poser
sur ma fesse. Il m'a regardée me déshabiller, en défaisant son pantalon. Il
s'est caressé la bite pendant je lui dévoilais mon corps. Il a enfilé un
préservatif.
- En place !
- Bien, Monsieur.
Jean a su révéler en moi toute ma perversité. Il m'a enseigné la soumission et
le plaisir que je pouvais en tirer. L'humiliation est devenue le moteur de ma
jouissance. Il a ôté toute idée de limites à ma sexualité. Il m'a montré qu'en
matière de sexe rien n'est sale, ni vulgaire. Pas évident la première fois où on
l'on vous demande de lécher la queue qui vient de vous prendre l'anus. Je
m'étais déjà faite enculer une paire de fois, non, plusieurs paires de fois.
Mais Jean a toujours eu une longueur d'avance, question perversité. C'était dans
les premiers mois de notre histoire. Il savait que je n'étais plus vierge, ni
d'un côté ni de l'autre. Cette fois-là, il me confia qu'il se lassait un peu des
pipes, que cela devenait trop routinier. En disant cela, il sortit de ma bouche,
me guida pour que je m'agenouille sur le fauteuil du salon, chez Maman. Il passa
son bras sous mon ventre pour que je me cambre, et s'accroupit derrière moi,
pour me lécher consciencieusement l'anus. Ce fut un moment délicieux, tant il y
mit de la douceur et de patience. Il finit par cracher dessus, et fourra l'un de
ses doigts, sur toute sa longueur dans mon rectum. Il se redressa et pointa son
gland volumineux sur mon étoile. Il força, ne se soucia pas de mes petits cris
et s'enfonça lentement, mais sans faiblir. Si je m'en souviens bien, il n'y
avait pas encore eu d'aussi gros calibre dans mon cul. Je tentais de lui
échapper. Alors il me fessa, rudement. Une paire de claques sur chacun de mes
globes. Sans sortir de mon cul. Cela me fit mal et me calma. Il reprit son coït,
en me tenant par les épaules. Il me ramona un long moment, butant au fond de mon
rectum, puis jouit enfin. Je me croayais soulagée. Quand il se dégagea, il
s'avança vers ma bouche et s'engagea ente mes lèvres sans me demander mon avis,
la queue encore bien raide, luisante de sperme. Il avait bloqué sa main sur ma
nuque, de sorte que je ne me dérobe pas. J'étais surprise de cette saveur
inconnue et âcre, je salivais beaucoup pour la noyer. Puis je nettoyais son
membre avec application, me servant de ma langue pour passer tout autour de son
gland et de sa tige.
Yann aime bien jouer à ce jeu. Je serais sa secrétaire et je serais une sacrée
salope. Mais il faudrait me mater un peu. Il m'ordonnerait ainsi de me foutre à
poil et de m'agenouiller sur le canapé, en cambrant bien ma croupe. De cette
façon, une fois mon string écarté, il aurait une belle vue sur mon étoile mauve,
qui semblerait lui dire :
- Défonce-moi, je n'attends que ça !
C'est comme ça à chaque fois. Moins d'une minute plus tard, il m'a enfoncé sa
bite jusqu'aux couilles.
Maintenant les choses s'accélèrent, c'est-à-dire que la main de Yann s'empare de
mes cheveux et qu'il met plus d'ardeur dans son rythme. Il rue en moi, et son
bassin claque mes fesses chaque fois qu'il est au fond.
- Je crois qu'on l'a bien méritée, cette sodomie. Voilà ce qui arrive quand on
se croit tout permis. On me provoque et on voudrait rester impunie ? Salope !
Jean m'a appris aussi le plaisir que l'on peut tirer de toutes les essences de
son corps. J'espère ne pas choquer en évoquant comment je suis devenue une ....
Un jour que l'on était en ville, à faire les boutiques, et comme il venait de
m'acheter des sous-vêtements de toute beauté, il m'a demandé de me soumettre
sans discuter à ses ordres. Il m'a dit qu'il avait une pressante envie d'uriner
et qu'il ne voyait pas d'autre solution. Il m'a entraînée dans une allée et m'a
forcée à m'accroupir entre deux poubelles. Il s'est débraguetté et a sorti sa
queue.
- Il ne va rien falloir perdre si tu ne veux pas être souillée. Applique-toi !
Et, me tenant la tête levée vers lui, il s'est vidé dans ma bouche, son gland
posé sur ma langue. Il n'était pas question pour moi de ne pas être à la hauteur
et de jouer les dégoûtées. Je n'y aurais gagné qu'une bien plus sévère punition.
J'ai donc avalé tout ce qu'il m'a donné, et malgré la saveur salée, je n'ai pas
faibli. Et j'ai dû sucer son gland pour ne pas laisser la dernière goutte.
- Et voilà, petite salope, tu es maintenant mon urinoir préféré.
Quand nous sommes ressortis de l'allée, il a bien voulu que nous allions boire
un café. Pour être franche, cette fois-là, je suis allée vomir dans les
toilettes. J'avais honte de moi. Cela a été la dernière fois. que j'ai eu honte.
Par la suite, j'ai adoré le faire.
Je sens que la crise s'approche. Yann ralentit un peu le rythme, semblant
souhaiter ne pas précipiter les choses. En fait, il attend que ce soit moi qui
bouge, Obéissante, je me projette contre lui, empalée au plus profond sur sa
bite. Puis je coulisse en avant, puis je recommence en arrière. C'est moi qui
ahane maintenant. J'ai chaud, je sens les gouttes de sueur se former au creux de
mes reins.
- C'est qu'elle cherche à me faire jouir, la petite pute !
- Oui, elle veut votre sperme, la petite pute. Maintenant !
- Attends. Je te bourre encore un peu le cul !
Et il reprend les rênes, si j'ose dire, une main crispée dans mes cheveux,
l'autre crochetée à ma fesse. Mais ce sont quand même les dernières ruades.
Jean m'a initié à d'autres formes de soumission. Une fois, je suis restée trois
jours attachée à un radiateur, nue, ne pouvant m'asseoir ailleurs que sur le
carrelage froid. Il m'avait menottée dans la salle de bain. Il avait posé près
de moi deux cuvettes, l'une pour mes besoins naturels, l'autre pour manger. Plus
une assiette creuse pour boire de l'eau. Selon les repas, j'ai eu de la purée,
de la soupe, une mousse au chocolat, des pâtes en sauce tomate. Que des choses
faciles à manger, sans couverts. Mon visage, mes cheveux, même mes seins étaient
souillés. Durant ces rois jours, j'ai eu droit à tout. Fellations, pénétrations
en levrette, couchée, debout, sodomies. Et lorsqu'il ne bandait plus, il se
servait de moi pour uriner. La nuit, j'avais droit à une couverture. et à être
réveillée par ses agissements. Il venait tout doucement et disposait de moi,
sans autre forme de procès. La sodomie sans y être préparée, voilà donc un
moment que j'y suis habituée.
- Vas-y !
C'est le signal de Yann. Il se bloque au fond de moi. Il est tellement gros et
long que j'ai l'impression qu'il remonte mes intestins. Entre mes cuisses, je
lui chope les couilles et je les serre, fermement.
- Salope !
Et il éjacule. Un soubresaut, un jet de sperme. Puis plusieurs sursauts, et
plusieurs jets en saccade. Si je ne sens pas la semence chaude me remplir, je
sens par contre très bien les contractions de sa bite dans mon rectum. et j'aime
ça ! Même si je ne jouis pas vraiment. Je me sens un peu pute, dans cette
situation. Je garde la tête froide, professionnelle. Je m'applique à le
satisfaire. J'ai besoin de mon job. Et je n'ai pas fini.
Jean est aussi un fin gourmet. Aucun ne l'égale dans le cunnilingus. Il sait
commencer doucement, du bout de la langue, pile poil là où c'est bon. Puis,
petit à petit, il augmente la pression, au fur et à mesure que mon clitoris
durcit. Je m'ouvre du mieux que je peux, mes pieds posés sur son dos, un peu
comme une grenouille. Sa salive se mêle à ma mouille. Ma vulve devient un
marécage. J'ai peur parfois que cela l'écoeure, mais il n'en parait rien. Au
contraire ! Il aspire mes sucs, s'en régale. A tel point que le plaisir se noue
au creux de mes reins. Et quand je jouis, je gémis et je me libère. Oui, je
pisse dans sa bouche, en poussant de petits cris :
- Je fais pipi ! Bois-moi, cochon !
Yann s'est retiré, il a enlevé sa capote et l'a noué. Je me suis retournée et
assise face à lui. Je prends sa bite qui ramollit entre mes doigts et je le
porte entre mes lèvres.
- Allez, fais-moi tout propre. Il ne faut pas que je sente le sexe en rentrant
chez moi. Attends, je vais améliorer la toilette.
Et là, il me fourre une pastille à la menthe, que je suce en même temps que lui.
Parfois je me demande ce que pense sa femme, si elle lui fait une pipe quand il
rentre le soir, de ce parfum.
Puis tout se termine rapidement. Je reprends mes vêtements, les enfile
rapidement. Il devient soudain pressé, me lance :
- Cette traduction, pour dans trois jours ? Même heure.
- Bien, Monsieur, je serai là.
- Tu veux ton petit cadeau ?
Dernière étape. Je dois remonter ma jupe, enlever mon string et le lui offrir.
Un string chaque fois. Mais, en échange, j'en ai un autre, tout neuf, toujours
les mêmes, en satin blanc, un triangle tout simple et des brides toutes fines.
Il ouvre un tiroir et jette mon sous-vêtement, non sans avoir senti et caressé
la bande de tissu qui passe entre les cuisses. Du même tiroir, il retire une
boîte de mouchoir et me la tend :
- Tu ne vas pas le salir tout de suite.
Derniers gestes à accomplir. Je lui tourne le dos, soulève ma jupe sous laquelle
je suis nue, bien sûr, et je m'essuie les fesses, histoire d'enlever toute trace
de lubrifiant et de mouille. Puis j'enfile le string neuf et le lui montre
- Tous ces poils, c'est le bordel, tu devrais faire quelque chose, la tailler un
peu, non ?
Je ne réponds pas. Il aime ma toison, je le sais.
Et il me remet mon chèque et le dossier. La traduction n'est pas un simple
prétexte, c'est un vrai boulot. C'est juste que je suis bien payée pour le
faire. A moins que ce ne soit mal payé, si l'on considère tout ce que je
fournis. A la porte de son bureau, il me salue poliment, pas de bises, juste une
légère inclinaison de la tête. C'est élégant, j'aime bien. Mais j'aime moins
quand il étreint ma fesse, en glissant sa main sous ma jupe.
- A bientôt
- Au revoir, Monsieur. Merci de votre confiance.
Tu parles !
Je me demande ce que Jean lui a dit de moi. Jean m'aime, il n'y a pas de doute.
Mais il me traite aussi comme son objet sexuel. Un objet qu'il ne répugne pas à
partager. Et moi, j'y trouve ma part. Aussi, je ne sais pas si je me soumets à
Yann parce que j'ai besoin de mon job ou parce que j'obéis à Jean.
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