TITRE : Confession d'Olivia
Catégorie : 
Histoire Sado Maso

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Le cuir du canapé est gelé. Quand mes seins se sont pressés contre le dossier, je n'ai pu réprimer un petit cri. Ma peau s'est hérissée en chair de poule.
Quand ses mains ont agrippé mes hanches, je me suis crispée. J'ai eu mal, quand il m'a pénétrée. Malgré le préservatif lubrifié. Il aurait pu me mouiller un peu. Je n'aime pas être enculée à sec !
Voilà une heure que je suis là, officiellement pour prendre en charge la traduction d'un article italien en français. Yann travaille au service communication d'une institution territoriale. Il me donne du travail régulièrement depuis plusieurs mois maintenant. Mais je suis bien obligée d'avouer que je dois ce job aussi à ma docilité. Yann ne m'a pas fait venir au hasard.

Jean lui a parlé de moi.
Jean s'occupe beaucoup de moi. Je suis un peu comme sa fille. Enfin, une fille incestueuse, alors. Notre relation est compliquée. Jean est l'amant de ma mère.

Yann est maintenant au fond de mon rectum. Sa bite est trop grosse. Il m'ouvre en deux. Il a la quarantaine. Il a dû être beau, il a de très beaux yeux. Mais l'abus de bonne chair et de bons vins lui a donné des kilos en trop, des poches sous les yeux et un teint couperosé. Et du goût pour la perversité, dirait-on.
Pour l'instant il ne bouge pas, se contentant de rester plaqué contre mes fesses. A ce stade, ma souffrance s'amenuise et j'ai hâte qu'il bouge. Lui, il attend que je le réclame.
- Bourrez-moi, Monsieur, je veux vous sentir bouger dans mon cul !
- Alors, si c'est ce que tu veux.

Jean, c'est ma première queue. La première que j'ai vue en érection. Enorme. Pas étonnant que je fasse la fine bouche, aujourd'hui encore. Il est aussi l'homme qui m'a initiée à la fellation. A l'époque, il devait craindre de me dépuceler.
Ou que Maman se rende compte de quelque chose. Ce qui ne l'a pas empêché, plus tard, de venir prendre place dans toutes mes ouvertures, lorsque le chemin a été fait. Mais revenons à la chose.Je ne vais pas dire que ça ne m'a pas plu, lorsque je l'ai sucé. Mais j'y ai laissé une bonne part de mon innocence et de mes illusions de jeune fille.
Maman était absente, cet après-midi-là. Jean était passé prendre quelque chose qu'il a avait oublié, me dit-il, en me trouvant dans le salon, en train de réviser mes cours. C'était la fin de l'année scolaire, il faisait déjà chaud.
J'étais en slip et soutien-gorge. Ce n'était pas encore la mode des strings, et mes sous-vêtements étaient sages. bien plus que moi ! Secrètement, j'attendais cette rencontre. Trois semaines auparavant, j'avais touché sa queue, ma première queue. Je voulais recommencer. Jean alla jusqu'à la chambre, récupérer je ne sais quoi, mais quand il revint, il avait ouvert son pantalon et sorti sa bite, comme si cela était naturel.
- Alors, ma petite cochonne, si nous reprenions là où nous en étions restés.
Je ne protestais même pas, un peu abasourdie tout de même. Mais je me redressais. Il me saisit la main et la posa sur son membre. Mes doigts en faisaient tout juste le tour, mais suffisamment pour que je le branle. Il guida mon poignet, mais je n'avais rien oublié de la dernière fois. Je montais et descendais le long de sa tige, jusqu'à recouvrir le gland d'un côté, et tirer sur le frein de l'autre. J'étais fascinée par l'oil de sa bite. Sans m'en rendre compte, j'avais approché très près mon visage.
- Embrasse-là ! ordonna Jean.
Comme j'hésitais, il posa sa main sur mon crâne, me guidant d'une légère pression. Le gland heurta mes lèvres.
- Mieux que ça, petite pute !
Cette fois j'obéis, arrondissant mes lèvres, pour un baiser humide. Mais très vite, elles durent s'ouvrir sous la pression. Je me retrouvais avec ce machin dans la bouche ! Je lâchais la tige, et battit des mains, tentant d'échapper à ce truc !
- Sois docile ou je me fâche ! Prends-la !
Je me débattis deux secondes encore, puis renonçais. Mes mâchoires se relâchèrent et la queue me remplit, heurtant ma luette. J'eus un haut-le-cour, mais Jean n'en tint pas compte.
- Allez, c'est comme un eskimo, applique-toi. Suce avec un peu de pression, de bas en haut, sans relâcher. Voilà !
J'avais un truc énorme, salé, chaud, palpitant qui s'agitait dans ma bouche, cherchant à gagner en profondeur. Automatiquement, ma main se serra autour de la bite pour l'empêcher d'aller trop loin. Ce faisant, je la branlais à nouveau, pour le plus grand bonheur de Jean !
- Mais c'est qu'elle s'y prend bien, la petite garce ! Tu vas avoir droit à mon cadeau !
Je ne compris pas tout de suite de quoi il voulait parler. D'ailleurs, je poursuivis assez longtemps mon petit manège, sans qu'il lui soit encore nécessaire de maintenir sa main sur ma nuque. De temps à autre, je reprenais mon souffle, puis je repartais à l'assaut de la verge, tendue à rompre maintenant.
J'étais galvanisée par le résultat obtenu ! Je replongeais plusieurs fois, essayant d'en ingurgiter la plus grande longueur. J'aspirais, je mouillais de salive, je tétais, cherchant quel était le meilleur geste pour qu'elle durcisse encore. Et puis il y eut ce moment où Jean me saisit le crâne à deux mains, se poussant au plus profond, mon nez écrasé contre son pubis. Je le sentis raide, énorme, puis il y eut comme un spasme et un jet chaud et gluant emplit ma bouche. C'était quoi ? Oh la la ! Que m'arrivait-il ? Il y eut d'autres spasmes, et le liquide continuait à me remplir. J'étais terrifiée. Que fallait-il que je fasse ?
- Avale, salope ! Avale tout !
Et j'avalais, je déglutissais, laissant glisser dans mon osophage mon premier foutre.
Jean me relâcha. Saisissant mon menton, il me fit ouvrir la bouche. Il contempla avec satisfaction ma langue couverte de sperme.
- Toi, tu vas devenir une super cochonne ! Tiens, donne-moi donc ta culotte et vas te rincer la bouche, si tu veux. Domptée, j'obéissais, enlevant prestement mon slip. Il s'en servit pour essuyer sa queue. J'allais à la cuisine et crachais dans l'évier. Mais j'avais tout avalé. Je bus un verre de sirop pour changer le goût d'ammoniaque dans ma bouche. Quand je revins, il avait rangé sa bite. Mon slip était sur le sol, souillé.
- Approche !
Il glissa sa main entre mes cuisses.
- C'est bien ce que je pensais, ça t'a plu, tu mouilles. La prochaine fois, je t'apprends à prendre soin de mes couilles. Mais ne dis rien à ta mère, sinon .
Il tint sa promesse. La fois suivante, je devins bouffeuse de couilles. Et puis il y eut de nombreuses autres fois encore. Je devenais experte. J'essayais mes talents sur d'autres qui me déclarèrent reine dans ce domaine. La reine des pipes !

Yann a pris immédiatement un rythme ample et sans douceur, coulissant de toute sa longueur dans mon anneau rectal. Il ahane comme un bouf et je sens ses couilles battre ma vulve. Il a juste baissé son pantalon, pour pouvoir m'investir. Moi, il m'a demandé de me mettre nue, à l'exception de mon string.
Une coquetterie de sa part. Il aime bien dégager la bride de ma raie et la poser sur ma fesse. Il m'a regardée me déshabiller, en défaisant son pantalon. Il s'est caressé la bite pendant je lui dévoilais mon corps. Il a enfilé un préservatif.
- En place !
- Bien, Monsieur.

Jean a su révéler en moi toute ma perversité. Il m'a enseigné la soumission et le plaisir que je pouvais en tirer. L'humiliation est devenue le moteur de ma jouissance. Il a ôté toute idée de limites à ma sexualité. Il m'a montré qu'en matière de sexe rien n'est sale, ni vulgaire. Pas évident la première fois où on l'on vous demande de lécher la queue qui vient de vous prendre l'anus. Je m'étais déjà faite enculer une paire de fois, non, plusieurs paires de fois.
Mais Jean a toujours eu une longueur d'avance, question perversité. C'était dans les premiers mois de notre histoire. Il savait que je n'étais plus vierge, ni d'un côté ni de l'autre. Cette fois-là, il me confia qu'il se lassait un peu des pipes, que cela devenait trop routinier. En disant cela, il sortit de ma bouche, me guida pour que je m'agenouille sur le fauteuil du salon, chez Maman. Il passa son bras sous mon ventre pour que je me cambre, et s'accroupit derrière moi, pour me lécher consciencieusement l'anus. Ce fut un moment délicieux, tant il y mit de la douceur et de patience. Il finit par cracher dessus, et fourra l'un de ses doigts, sur toute sa longueur dans mon rectum. Il se redressa et pointa son gland volumineux sur mon étoile. Il força, ne se soucia pas de mes petits cris et s'enfonça lentement, mais sans faiblir. Si je m'en souviens bien, il n'y avait pas encore eu d'aussi gros calibre dans mon cul. Je tentais de lui échapper. Alors il me fessa, rudement. Une paire de claques sur chacun de mes globes. Sans sortir de mon cul. Cela me fit mal et me calma. Il reprit son coït, en me tenant par les épaules. Il me ramona un long moment, butant au fond de mon rectum, puis jouit enfin. Je me croayais soulagée. Quand il se dégagea, il s'avança vers ma bouche et s'engagea ente mes lèvres sans me demander mon avis, la queue encore bien raide, luisante de sperme. Il avait bloqué sa main sur ma nuque, de sorte que je ne me dérobe pas. J'étais surprise de cette saveur inconnue et âcre, je salivais beaucoup pour la noyer. Puis je nettoyais son membre avec application, me servant de ma langue pour passer tout autour de son gland et de sa tige.

Yann aime bien jouer à ce jeu. Je serais sa secrétaire et je serais une sacrée salope. Mais il faudrait me mater un peu. Il m'ordonnerait ainsi de me foutre à poil et de m'agenouiller sur le canapé, en cambrant bien ma croupe. De cette façon, une fois mon string écarté, il aurait une belle vue sur mon étoile mauve, qui semblerait lui dire :
- Défonce-moi, je n'attends que ça !
C'est comme ça à chaque fois. Moins d'une minute plus tard, il m'a enfoncé sa bite jusqu'aux couilles.
Maintenant les choses s'accélèrent, c'est-à-dire que la main de Yann s'empare de mes cheveux et qu'il met plus d'ardeur dans son rythme. Il rue en moi, et son bassin claque mes fesses chaque fois qu'il est au fond.
- Je crois qu'on l'a bien méritée, cette sodomie. Voilà ce qui arrive quand on se croit tout permis. On me provoque et on voudrait rester impunie ? Salope !

Jean m'a appris aussi le plaisir que l'on peut tirer de toutes les essences de son corps. J'espère ne pas choquer en évoquant comment je suis devenue une ....
Un jour que l'on était en ville, à faire les boutiques, et comme il venait de m'acheter des sous-vêtements de toute beauté, il m'a demandé de me soumettre sans discuter à ses ordres. Il m'a dit qu'il avait une pressante envie d'uriner et qu'il ne voyait pas d'autre solution. Il m'a entraînée dans une allée et m'a forcée à m'accroupir entre deux poubelles. Il s'est débraguetté et a sorti sa queue.
- Il ne va rien falloir perdre si tu ne veux pas être souillée. Applique-toi !
Et, me tenant la tête levée vers lui, il s'est vidé dans ma bouche, son gland posé sur ma langue. Il n'était pas question pour moi de ne pas être à la hauteur et de jouer les dégoûtées. Je n'y aurais gagné qu'une bien plus sévère punition.
J'ai donc avalé tout ce qu'il m'a donné, et malgré la saveur salée, je n'ai pas faibli. Et j'ai dû sucer son gland pour ne pas laisser la dernière goutte.
- Et voilà, petite salope, tu es maintenant mon urinoir préféré.
Quand nous sommes ressortis de l'allée, il a bien voulu que nous allions boire un café. Pour être franche, cette fois-là, je suis allée vomir dans les toilettes. J'avais honte de moi. Cela a été la dernière fois. que j'ai eu honte.
Par la suite, j'ai adoré le faire.

Je sens que la crise s'approche. Yann ralentit un peu le rythme, semblant souhaiter ne pas précipiter les choses. En fait, il attend que ce soit moi qui bouge, Obéissante, je me projette contre lui, empalée au plus profond sur sa bite. Puis je coulisse en avant, puis je recommence en arrière. C'est moi qui ahane maintenant. J'ai chaud, je sens les gouttes de sueur se former au creux de mes reins.
- C'est qu'elle cherche à me faire jouir, la petite pute !
- Oui, elle veut votre sperme, la petite pute. Maintenant !
- Attends. Je te bourre encore un peu le cul !
Et il reprend les rênes, si j'ose dire, une main crispée dans mes cheveux, l'autre crochetée à ma fesse. Mais ce sont quand même les dernières ruades.

Jean m'a initié à d'autres formes de soumission. Une fois, je suis restée trois jours attachée à un radiateur, nue, ne pouvant m'asseoir ailleurs que sur le carrelage froid. Il m'avait menottée dans la salle de bain. Il avait posé près de moi deux cuvettes, l'une pour mes besoins naturels, l'autre pour manger. Plus une assiette creuse pour boire de l'eau. Selon les repas, j'ai eu de la purée, de la soupe, une mousse au chocolat, des pâtes en sauce tomate. Que des choses faciles à manger, sans couverts. Mon visage, mes cheveux, même mes seins étaient souillés. Durant ces rois jours, j'ai eu droit à tout. Fellations, pénétrations en levrette, couchée, debout, sodomies. Et lorsqu'il ne bandait plus, il se servait de moi pour uriner. La nuit, j'avais droit à une couverture. et à être réveillée par ses agissements. Il venait tout doucement et disposait de moi, sans autre forme de procès. La sodomie sans y être préparée, voilà donc un moment que j'y suis habituée.

- Vas-y !
C'est le signal de Yann. Il se bloque au fond de moi. Il est tellement gros et long que j'ai l'impression qu'il remonte mes intestins. Entre mes cuisses, je lui chope les couilles et je les serre, fermement.
- Salope !
Et il éjacule. Un soubresaut, un jet de sperme. Puis plusieurs sursauts, et plusieurs jets en saccade. Si je ne sens pas la semence chaude me remplir, je sens par contre très bien les contractions de sa bite dans mon rectum. et j'aime ça ! Même si je ne jouis pas vraiment. Je me sens un peu pute, dans cette situation. Je garde la tête froide, professionnelle. Je m'applique à le satisfaire. J'ai besoin de mon job. Et je n'ai pas fini.

Jean est aussi un fin gourmet. Aucun ne l'égale dans le cunnilingus. Il sait commencer doucement, du bout de la langue, pile poil là où c'est bon. Puis, petit à petit, il augmente la pression, au fur et à mesure que mon clitoris durcit. Je m'ouvre du mieux que je peux, mes pieds posés sur son dos, un peu comme une grenouille. Sa salive se mêle à ma mouille. Ma vulve devient un marécage. J'ai peur parfois que cela l'écoeure, mais il n'en parait rien. Au contraire ! Il aspire mes sucs, s'en régale. A tel point que le plaisir se noue au creux de mes reins. Et quand je jouis, je gémis et je me libère. Oui, je pisse dans sa bouche, en poussant de petits cris :
- Je fais pipi ! Bois-moi, cochon !

Yann s'est retiré, il a enlevé sa capote et l'a noué. Je me suis retournée et assise face à lui. Je prends sa bite qui ramollit entre mes doigts et je le porte entre mes lèvres.
- Allez, fais-moi tout propre. Il ne faut pas que je sente le sexe en rentrant chez moi. Attends, je vais améliorer la toilette.
Et là, il me fourre une pastille à la menthe, que je suce en même temps que lui.
Parfois je me demande ce que pense sa femme, si elle lui fait une pipe quand il rentre le soir, de ce parfum.
Puis tout se termine rapidement. Je reprends mes vêtements, les enfile rapidement. Il devient soudain pressé, me lance :
- Cette traduction, pour dans trois jours ? Même heure.
- Bien, Monsieur, je serai là.
- Tu veux ton petit cadeau ?
Dernière étape. Je dois remonter ma jupe, enlever mon string et le lui offrir.
Un string chaque fois. Mais, en échange, j'en ai un autre, tout neuf, toujours les mêmes, en satin blanc, un triangle tout simple et des brides toutes fines.
Il ouvre un tiroir et jette mon sous-vêtement, non sans avoir senti et caressé la bande de tissu qui passe entre les cuisses. Du même tiroir, il retire une boîte de mouchoir et me la tend :
- Tu ne vas pas le salir tout de suite.
Derniers gestes à accomplir. Je lui tourne le dos, soulève ma jupe sous laquelle je suis nue, bien sûr, et je m'essuie les fesses, histoire d'enlever toute trace de lubrifiant et de mouille. Puis j'enfile le string neuf et le lui montre
- Tous ces poils, c'est le bordel, tu devrais faire quelque chose, la tailler un peu, non ?
Je ne réponds pas. Il aime ma toison, je le sais.
Et il me remet mon chèque et le dossier. La traduction n'est pas un simple prétexte, c'est un vrai boulot. C'est juste que je suis bien payée pour le faire. A moins que ce ne soit mal payé, si l'on considère tout ce que je fournis. A la porte de son bureau, il me salue poliment, pas de bises, juste une légère inclinaison de la tête. C'est élégant, j'aime bien. Mais j'aime moins quand il étreint ma fesse, en glissant sa main sous ma jupe.
- A bientôt
- Au revoir, Monsieur. Merci de votre confiance.
Tu parles !

Je me demande ce que Jean lui a dit de moi. Jean m'aime, il n'y a pas de doute.
Mais il me traite aussi comme son objet sexuel. Un objet qu'il ne répugne pas à partager. Et moi, j'y trouve ma part. Aussi, je ne sais pas si je me soumets à Yann parce que j'ai besoin de mon job ou parce que j'obéis à Jean.

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