Je vais vous raconter l'histoire qui s'est produite il
y a deux ans de cela, pendant le "grand chambranle" (le
déménagement traditionnel de fin juin au Québec). J'avais
vingt-quatre ans à l'époque et j'ai toujours adoré le sexe.
J'ai vécu plusieurs expériences, mais celle-là restera à
jamais comme mon plus beau fantasme réalisé.
J'étais parti à Québec afin d'aider ma belle-mère et ma
belle-sœur à déménager. Quand tout fut terminé, je
devais aller chercher ma conjointe à son travail, soit au
moins 1h30 de route. Ma belle-sœur me demanda si elle
pouvait venir (pour me tenir compagnie). Je n'y vis aucun
inconvénient et sa mère non plus. Il faut dire que Sarah,
à 19 ans, possède un corps de rêve et surtout une paire
de seins à faire rêver qui ont souvent été la cause de plaisirs
solitaires lors des réunions de famille. Nous étions en
route quand, à mi-chemin, elle a voulu s'arrêter dans un
resto rapide pour manger un morceau et prendre des repas
à emporter pour sa mère et sa sœur. Un peu plus loin,
nous rencontrâmes un terrain de camping avec un fast-food
et c'est là qu'elle décida de s'arrêter.
Moi, je sortis de la voiture pour me dégourdir un peu les
jambes. Elle s'est mise à manger dans la voiture, sur le
siège arrière, mais avait laissé la portière ouverte pour
pouvoir me parler. C'est là, qu'après quelques instants,
je m'aperçus qu'elle mangeait son sandwich assise, mais
les jambes complètement écartées, et que je pouvais tout
voir sous sa minijupe. Quel spectacle ! Elle ne portait
qu'un string qui lui rentrait dans la fente et j'apercevais
son tatouage en forme de papillon sur son sexe tout rasé.
Wouah ! J'étais dans tous mes états, je ne savais plus où
me mettre, je n'arrivais pas à avaler une bouchée, mais
je ne pouvais quitter les yeux de son entrejambe. Elle me
vit rougir et perdre pied et me demanda en souriant ce qui
n'allait pas ! Comme si elle ne s'en était pas aperçue.
Je jouai le jeu et lui expliquai que la vision de sa chatte
me mettait dans tous mes états. Elle se mit à rougir à son
tour.
- Tu aimes ce que tu vois ?
- C'est magnifique, ce que je vois !
- Tu n'as qu'à venir plus près, pour constater comment
c'est doux et chaud !
Là, je n'en revenais tout simplement pas : Sarah me faisait
des avances ! Je ne me fis pas prier. Je m'approchai de
son sexe et constatai qu'elle était déjà toute humide. J'avançai
ma main, écartai le string et caressai doucement sa chatte.
Elle lâchait déjà quelques gémissements et me pria d'enfoncer
un doigt dans son puits d'amour. Sans problème ! J'entamai
un va-et-vient dans ses lèvres chaudes et coulantes. Sans
qu'elle le demande, trop occupée à soupirer et à se tordre
dans tous les sens, j'introduisis un second puis un troisième
doigt qui n'eurent aucun mal à coulisser. En même temps,
j'approchai ma bouche pour bien la lécher. Un goût exquis,
bien différent de celui de ma femme. Avec mes doigts bien
enfoncés dans le vagin ruisselant et ma langue sur le clitoris
dardé, je ne tardai pas à l'entendre gémir plus fort, jusqu'au
moment où son corps se tendit comme un arc avant de s'affaler
sur le siège de l'auto.
- Tu m'as fait jouir merveilleusement, maintenant c'est
à moi de m'occuper de toi !
Elle dégrafa mon pantalon et le fit descendre pour en faire
sortir ma queue qui commençait vraiment à avoir besoin de
respirer avec le manque d'espace et qui était déjà dure
comme fer. Elle fut surprise par la taille et me lâcha :
- Ma soeur doit avoir sacrément du plaisir, avec ce gros
tuyau !
- Tu vas le savoir dans pas tell ... Ahhhhhhhhhh !
Je n'eus pas le temps de finir ma réponse qu'elle avait
déjà ma queue en bouche et qu'elle me suçait et me branlait
comme jamais je ne l'avais été jusque là. Je fus obligé
de lui demander d'arrêter, sinon j'allais partir tout de
suite. Je la fis placer à quatre pattes sur le siège. Je
relevai sa jupe sur ses reins, écartai la ficelle du string
et plaçai ma queue à l'entrée de sa jolie fente imberbe.
Je commençai à la pistonner à fond. Des va-et-vient à n'en
plus finir qui m'essoufflaient tellement j'y allais avec
puissance. Je dus ralentir la cadence pour ne pas exploser
et j'en profitai pour jouer avec son petit anus tout rose.
Constatant qu'elle ne disait rien, j'en conclus que cela
ne la dérageait pas. Dire que sa sœur ne voulait pas
en entendre parler !
Avec le majeur, je pris un peu de mouille à sa chatte et
humidifiai son petit trou jusqu'à que mon doigt puisse coulisser
correctement. Ses gémissements de plaisir m'incitèrent à
introduire un deuxième doigt. Elle appréciait tellement
qu'elle me demanda de quitter sa chatte et de me finir dans
son cul. Je ne me fis pas prier et m'enfonçai sans peine
dans son anus qui devait être habitué, car je coulissais
à fond sans problèmes. Je me rendis compte alors qu'elle
avait passé une main sous elle et qu'elle se caressait le
clitoris, glissant parfois ses doigts mouillés jusqu'à mes
couilles durcies. Je sentis venir la jouissance. La sienne
n'était pas loin, elle criait que c'était bon, qu'elle allait
venir. Tout d'un coup, elle se crispa, serrant ma queue.
Mon sperme jaillit au fond de ses entrailles. Je sortis
d'elle, elle se retourna pour me sucer encore pour bien
me nettoyer et avaler les dernières gouttes de jus d'amour.
On s'embrassa et on se dépêcha de se rhabiller. Ma femme
et ma belle-mère allaient s'inquiéter !
En route, elle eut de nouveau envie et dégrafa mon pantalon.
Elle commença à me branler doucement, me faisant rapidement
durcir. C'était dur de se concentrer sur la route. Pendant
plusieurs minutes, elle continua ses va-et-vient. Je la
regardai du coin de l'oeil et lui vis un joli sourire.
- Cela faisait longtemps que je rêvais de toi, de pouvoir
enfin voir ta queue, avec ce que ma soeur disait sur toi
! Maintenant, je la comprends !
Elle se pencha sur moi et se mit à me sucer.
- Laisse-toi aller, je veux goûter ta semence.
Je ne pus résister très longtemps à sa bouche si sensuelle
et je suis venu longuement au fond de sa gorge. Elle avala
tout jusqu'à la dernière goutte qu'elle lécha sur le bout
de mon gland. Elle m'aida à remettre de l'ordre dans ma
tenue et là, nous continuâmes notre route, discutant comme
si rien n'était.
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