Je m'appelle Bruno, j'ai 36 ans, marié, enfants, bon travail...
Ma femme est une jolie petite blonde, 1m58 pour 50 kilos,
de petits seins (entre 90A et 85B), un cul d'enfer et très
portée sur le sexe. Elle a beaucoup vécu avant moi et quand
je dis beaucoup, c'est vraiment beaucoup. Elle a baisé,
comme elle dit, avec tous les mecs qui lui plaisaient, en
se disant qu'elle ne voyait pas pourquoi ce privilège serait
réservé aux hommes. Elle a eu aussi, une fois, une relation
avec deux hommes qui fera peut-être l'objet d'un autre récit,
car elle m'a raconté cette soirée en détail pour m'exciter
et ce fut réussi. Entre nous, le sexe n'est pas tabou et
j'avoue qu'elle m'a bien dévergondé. Nous parlons souvent
d'échangisme, nous avions même décidé cet été, de franchir
le pas, mais le club où nous voulions nous rendre était
fermé. Ma femme F. était toute excitée, avait juste mis
un petit string, une jupe courte, pas de soutien-gorge.
Elle avait même épilé et parfumé sa chatte avant de sortir,
au cas où... mais pas de chance, sauf pour moi, car elle
était tellement chaude qu'elle m'a sucé dans la cage d'escalier
de notre immeuble en rentrant. Mais je m'éloigne de mon
récit, si ce n'est pour préciser que cette liberté sexuelle
vient de la légèreté de sa mère adepte du naturisme l'été
et que j'ai découverte ainsi il y a quelques années en vacances.
Au retour des vacances, nous sommes allés chez mes beaux-parents
passer quinze jours. Un jour que j'étais seul dans la journée,
j'en ai profité pour aller fouiller dans la chambre de ma
belle-mère. J'ai ouvert les tiroirs des commodes et je suis
tombé sur ses sous-vêtements. Ma belle-mère (Nicole) a 58
ans. Elle est petite, 1m53 pour 49 kilos. Elle a une chose
qu'on ne peut lui enlever : un cul qu'on a envie de caresser
avec de belles formes, des fesses charnues. Mais j'allais
apprendre qu'en secret Nicole était une sacrée cochonne.
Certes, ma femme m'avait bien dit qu'elle avait trompé son
mari à deux reprises, mais là... je trouvais donc des strings
de toutes les couleurs. Une femme de son âge avec des strings
et uniquement ça, cela m'étonnait un peu. J'ai donc continué
d'explorer la caverne d'Ali Baba : des soutiens-gorge assortis
aux strings de taille 90B et cinq ou six porte-jarretelles.
En poursuivant ma fouille minutieuse de la chambre conjugale,
j'ai trouvé, derrière une pile de pulls, des photos. Les
premières étaient des photos de vacances au camping, avec
des gens que je connaissais. Les photos suivantes montraient
trois couples d'amis de mes beaux-parents avec qui nous
avions passé l'été, des couples d'une soixantaine d'années
très classiques, mais qui là m'étonnaient. Sur les photos,
les femmes faisaient des défilés en sous-vêtements très
sexy, bas noirs, porte-jarretelles, guêpières... J'imaginais
que c'était une soirée délire de vacances, mais les autres
photos montraient ma belle-mère sans culotte, de dos, penchée
en avant, écartant sa chatte devant l'objectif de l'appareil
photo. D'autres photos la montraient sur les genoux d'un
ami, la chatte écartée. Je suis allé me masturber aux toilettes,
les photos à la main.
Deux jours plus tard, ma femme est partie pour la journée
voir une copine de lycée. Mon beau-père étant au travail,
j'allais passer la journée seul avec Nicole. J'avais en
tête les photos, les sous-vêtements... Je savais que Nicole
me trouvait beau mec... Désormais, je savais que c'était
une sacrée coquine.
Lorsque je me suis levé, vers 9 heures, elle était prête
pour aller au marché. Elle avait une petite robe d'été courte.
Je me suis assis pour prendre mon petit déjeuner. Je ne
portais qu'un bas de pyjama. Nicole me servit mon café en
me demandant comment je trouvais sa nouvelle robe. J'étais
extrêmement troublé. Elle sembla le remarquer et me sourit.
Je ne sais alors ce qui m'est passé par la tête, mais ma
main s'est posée sur son genou à côté de moi. Elle me regarda
sans rien dire, sans doute surprise. J'ai remonté un peu
le long de sa jambe ; elle ne disait toujours rien. Lorsque
j'ai atteint ses fesses et buté sur la ficelle de son string,
elle émit un petit :
- Non, arrête, tu es le mari...
Mais elle s'arrêta de parler lorsque je me suis levé. Du
coup, sa robe remonta et ma main lui caressait les fesses
; de l'autre je lui ai saisi la nuque, emmenant sa bouche
vers la mienne. Je lui ai alors murmuré :
- Dis-moi que tu n'as pas envie.
Mais, pour toute réponse, elle colla ses lèvres aux miennes
et enfourna sa langue dans ma bouche. Pendant qu'elle me
roulait une pelle baveuse, ma main droite lui malaxait les
fesses ; elles retombaient un peu, Nicole n'était pas grande
et svelte et approchait les 60 ans. Mais cela m'excitait
encore plus. Mon léger pyjama ne dissimulait plus une érection
certaine. De ma main libre, j'ai descendu la fermeture éclair
de sa robe qui a glissé au sol. Je voyais enfin ma belle-mère
en string et soutien-gorge devant moi. J'ai appuyé sur ses
épaules ; elle a vite compris, s'est baissée et a descendu
mon pantalon de pyjama. Elle a d'abord pris mon sexe dur
et dressé dans sa main droite, l'a caressé en le regardant,
puis a levé les yeux vers moi, a ouvert la bouche et tout
en me fixant dans les yeux, l'a avalé. Elle a commencé un
va-et-vient de quelques secondes, puis l'a englouti entièrement
dans la bouche. Elle continuait à me regarder en me pompant.
Au bout d'un moment, je l'ai arrêtée, car je ne voulais
pas éjaculer, du moins pas tout de suite. Elle s'est relevée,
je l'ai prise par la main en l'emmenant au salon tout proche.
Elle s'est allongée sur le canapé, toujours sans rien dire,
me regardant nu et en écartant les jambes. Je me suis agenouillé,
j'ai commencé à l'embrasser à travers son petit string noir,
je sentais qu'il était trempé. Elle a pris ma tête pour
l'appuyer sur son sexe à travers le mince tissu. Je lui
ai écarté le string ; elle avait le sexe partiellement épilé,
les lèvres bien dégarnies.
Décidément, pour une femme de son âge, elle était très
sexy. J'ai commencé à passer ma langue sur ses grandes lèvres,
remontant vers son clitoris. Elle mouillait énormément.
Puis je lui ai embrassé carrément le sexe, fouillant du
bout de ma langue le plus loin possible. Son odeur de cyprine,
de mouille m'excitait de plus en plus. J'ai tiré sur son
string, elle a relevé les fesses pour me permettre de le
lui enlever complètement. J'en ai profité pour me caler
un peu mieux et pour lui embrasser l'anus. Elle s'est laissée
faire en gémissant. J'ai glissé un, puis deux doigts dans
sa chatte trempée, allant bien au fond pour atteindre son
point G ; sa mouille faisait de plus en plus de bruit. De
mon autre main, je lui ai sorti un sein de son soutien-gorge.
Je l'ai malaxé. Puis j'ai enlevé les doigts de sa chatte
pour les porter à son nez et à sa bouche, pour qu'elle sente
son jus. Elle a léché mes doigts, puis je les ai remis au
fond de son sexe.
Ma bouche lui a caressé le clitoris, puis est descendue
pour lécher son petit trou. Comme elle ne disait toujours
rien, j'ai continué jusqu'au moment où j'ai mis un doigt
à l'entrée. Elle a relevé les fesses et j'ai pris cela pour
une invitation. Je lui ai massé le petit trou au moment
où un jet de cyprine a giclé. Elle venait d'éjaculer puissamment
sous l'effet de ma caresse sur son point G. Du coup, son
petit trou était trempé et j'y ai enfoncé un doigt. J'ai
commencé un va-et-vient dans sa chatte et dans son cul,
quand elle m'a parlé pour la première :
- Viens, baise-moi... prends-moi.
Ces mots sortis de la bouche de ma belle-mère me firent
bander encore plus. Je me suis relevé, lui ai fait prendre
position à quatre pattes sur le canapé. Elle était là, offerte,
les fesses relevées, la chatte dégoulinante, son string
par terre, un sein sortant d'un bonnet du soutien-gorge.
Je lui dis que je n'avais pas de préservatifs, mais elle
me dit que de son côté ce n'était pas grave. Pour moi non
plus. J'ai passé ma queue dressée le long de sa vulve et
y suis entré d'un coup. Elle a poussé un petit cri. J'ai
pris un mouvement régulier et là elle commença à s'exciter
de plus en plus, me disant d'y aller plus fort, de bien
la baiser. Je me suis mis au fond d'elle et m'appuyant contre
son dos je lui ai demandé si elle avait envie que je la
prenne par le cul. Elle me dit oui tout de suite, mais j'ai
poussé le vice jusqu'à lui dire de me le demander. Elle
dit alors
- Baise-moi par le cul, encule-moi, je n'en peux plus,
j'ai envie de ta queue.
J'ai mis mon sexe à l'entrée de son petit trou et l'ai
rentré sans problèmes. Cela m'avait tellement excité, que
j'ai joui très vite, sans me retirer de son cul. Nous sommes
restés un moment comme ça, sans rien faire ni rien dire.
Après la douche, dans l'après-midi, avant que ma femme ne
rentre, je lui ai demandé d'essayer tous les sous-vêtements
sexy qu'elle avait, ce qu'elle a fait pour mon plus grand
plaisir. Je lui ai demandé encore si elle avait eu des relations
à plusieurs. Elle m'a dit qu'une fois en camping, avec deux
couples, elle a léché une femme (je ne lui ai pas dit que
j'avais vu quelques photos) et elle m'a raconté aussi qu'elle
avait fait l'amour à quatre reprises avec deux hommes, sans
le dire à son mari. Je lui ai avoué que j'aimerais bien
me la faire avec un autre homme. Elle m'a dit pourquoi pas
et ça a été le cas quelques mois plus tard. Ce sera peut-être
l'objet d'un autre récit.
Auteur
|