Je me présente, je m'appelle Jeff et j'ai 29
ans, blond, 1m85, bien bâti en raison d'une intense activité
sportive (handball, musculation, natation). Je suis marié
depuis 4 ans avec Vanessa, une petite brunette de 26 ans.
Ma femme est ce que l'on peut appeler une petite bombe.
Bon je sais, vous allez me dire que je ne suis pas objectif
vu qu'elle est ma femme... mais il reste que Vaness' (le
petit surnom que je lui donne) est belle à faire pâlir un
mort : 1m65, un petit visage mutin, une jolie petite poitrine
de 85B qui pointe à l'horizon, un corps de nageuse (elle
fait de la natation synchronisée) mais sans avoir les épaules
de déménageurs ! On s'est rencontrés sur les bancs de la
fac de socio à Toulouse. Après quelques années d'études
jusqu'à la maîtrise nous avons tous les deux changés de
voie, moi vers une activité de commercial chez une grosse
société parisienne, elle vers l'informatique. C'est ainsi
que nous sommes atterris à Paris début 2003.
Notre vie sexuelle peut être
considérée comme régulière et classique. Mais d'une manière
générale je crois pouvoir dire que nous aimons le sexe autant
l'un que l'autre. Cependant je crois être plus porté sur
la chose que ma femme. Il m'arrive régulièrement le soir
en rentrant du boulot de la prendre directement par les
hanches, et sans vraiment lui demander son avis, lui retrousser
sa jupe pour lui effectuer un cunnilingus acharné (j'adore
lécher et sucer les sexes féminins). On ne peut pas dire
qu'elle s'en plaigne vu les gémissements qui sortent de
sa bouche à chaque fois ! Mais si je peux difficilement
passer deux jours sans faire l'amour, ce n'est pas son cas.
Elle peut facilement rester plus d'une semaine sans rien
faire... L'horreur ! Mais ne voulant pas la brusquer, je
n'insiste pas et je me soulage souvent en me masturbant
violemment devant un film X.
Je disais donc que j'avais
trouvé un poste dans une société commerciale parisienne
spécialisée dans les cosmétiques. J'ai une collègue qui
s'appelle Gwendoline (joli prénom non ?). Je fus subjugué
par cette femme de 30 ans dès notre première rencontre :
1m75, rousse, des jambes fuselées, une taille de guêpe...
et une poitrine TITANESQUE ! A chaque respiration on avait
l'impression que les boutons de son chemisier allaient être
mis sur orbite !! J'ai toujours adoré les fortes poitrines,
ça toujours été un fantasme ! Je trouve celle de ma femme
parfaite, mais il reste que je fais une fixation sur les
gros seins ! Que voulez-vous, on ne se refait pas !
J'ai rencontré Gwendoline
la première fois à mon pot de bienvenue. Elle est venue
spontanément me voir pour se présenter :
" Bonjour, je m'appelle Gwendoline,
c'est moi qui vais te "parrainer" pendant ta période d'essai.
Si tu as besoins de conseils ou quoi que ce soit, viens
me voir"
GLUPS ... Que voulait-elle
dire par "quoi que ce soit" ???? Sur le coup je du lui paraître
comme un vrai benêt. Je lui ai bafouillé un pauvre "Oui..oui..merci"
et c'est tout ! Apparemment satisfaite de l'effet qu'elle
avait produit sur moi, elle est repartie vers d'autres de
ses collègues. Je ne pus m'empêcher d'admirer son cul magnifique
qui se dandinait de droite à gauche ... Mama mia !
Dès la semaine suivante je
partis sur un salon à Marseille avec Gwendoline. Je n'avais
pas cessé de penser à elle les jours précédents et lorsque
je faisais l'amour à ma femme, c'est souvent son visage
que je voyais... c'était la première fois qu'une autre femme
m'accaparait l'esprit à ce point.
La première journée sur le
salon fut très dure.. C’était mon premier salon et je ne
connaissais pas encore toutes les ficelles du métier. Gwendoline
venait donc souvent à ma rescousse. Nous nous sommes considérablement
rapproché pendant cette journée. Lors de notre pause du
midi j'ai pu ainsi apprendre qu'elle était mariée depuis
deux ans avec un prof d'anglais avec lequel elle s'ennuyait
à mourir ! Il semblait accorder plus d'importance à ses
élèves qu'à elle (le monstre !!!!!!).
"Et toi ? C'est encore l'amour
fou avec ta femme ?
- Ouais, on s'entend plutôt
bien sur tous les niveaux.
- Vous faites souvent l'amour
?
Je faillis m'étrangler avec
la frite que j'étais en train d'avaler !
- Oh excuses moi.. Ma question
te gêne ?
- Euh ... nan nan pas du
tout ! Je suis juste un peu surpris que tu me demande ça
c'est tout... (je devais être rouge pivoine !)
- Dis-le-moi si ça te gêne,
il n'y a pas de problème. Je sais que c'est un de mes défauts,
je parle très librement de tous les sujets...
Elle m'a lancé à ce moment
là un regard qui m'a fait durcir ma queue sur-le-champ.
J'avais de plus en plus envie de cette femme !!
- Non, je t'assure, il n'y
a aucun soucis... Oui on fait l'amour régulièrement... même
si mes désirs sexuels ne sont pas toujours en adéquation
avec les siens.
Mon Dieu, voilà que je commençais
à lui raconter ma vie sexuelle maintenant... Bizarrement,
ça m'excitait énormément. Mon sexe était de plus en plus
à l'étroit dans mon caleçon... j'aurais du mettre un slip
!!
- Moi et mon mari ne sommes
plus du tout en "adéquation" comme tu dis. Cela fait bien
longtemps qu'il ne m'a plus touché.
- Et ça te manque ?
- Bien sûr, toute femme aime
être désirée.
L'effet du vin du midi m'ayant
un peu grisé, je commençais à parler de plus en plus librement.
- Et tu as trouvé un moyen
de... enfin... tu vois quoi, de remplacer ce vide ?
- Dis donc toi, je croyais
que tu n'étais pas à l'aise sur ce terrain...
- Euh, non, excuses-moi,
je ne voulais pas te choquer !
Elle partit à rire aux éclats.
- Mais non gros bêta, je
te taquine ! Oui, je me satisfais toute seule la plupart
du temps. Tu sais il existe bon nombre de moyen pour une
femme pour se faire jouir toute seule !
Ca je le savais bien, pour
notre premier anniversaire de mariage, Vaness' et moi étions
allés acheter quelques petits matériels érotiques dans un
sex shop. Ma femme avait jeté son dévolu sur un gros gode
noire. On l'avait étrenné le soir même lors d'une partie
de jambes en l'air mémorable !
- Mais ça te suffit ?
- Tu veux savoir si j'ai
déjà eu des amants ? .. Oui quelques-uns uns... le latex
ça va un temps mais rien ne remplace un bon pieu de chair
!
Je crois que le vin commençait
à agir sur elle aussi !
Notre conversation s'arrêta
aussi brusquement qu'elle avait commencé car nous devions
retourner au salon.
Le soir nous sommes retournés
à l'hôtel où nous logions.
- Ca te tente un bon petit
resto ?
Je ne pouvais pas refuser
cette invitation non ?
- Bien sûr, no problemo !
On se retrouve dans le hall dans 1 heure le temps de prendre
une bonne douche ?
- OK à tout' !
Une fois arrivé dans ma chambre,
la première chose que je fis fut de me mettre à poil et
de me masturber en pensant à Gwendoline !! J'étais dans
un état d'excitation terrible ! Ma queue était déjà toute
poisseuse ! (Je crois pouvoir m'enorgueillir d'avoir un
sexe d'une taille un peu au-dessus de la moyenne (20 cm)).
Après quelques va-et-vient énergiques je déversa dans les
toilettes une quantité phénoménale de foutre ! Je vous avais
dit que j'étais excité à mort !
Après avoir repris mes esprits,
je passa rapidement sous la douche pour être à l'heure dans
le hall.
J'étais à peine arrivée que
Gwendoline arrivait habillée dans une robe noire qui faisait
ressortir admirablement ses formes et surtout son opulente
poitrine.
Elle se rendit compte tout
de suite de l'effet que sa tenue avait provoquée chez moi
!
- Dis donc, c'est moi que
tu regardes comme ça !
- Oh, excuses-moi, mais bon,
tu es magnifique dans cette robe ! Elle te va à merveille
!
- Flatteur va !
Elle me lança encore un de
ses regards qui avaient le don de me rendre dingue ! La
soirée commençait bien !
Nous sommes allés manger
dans un petit resto japonais du coin qu'elle connaissait.
J'adôôre les restos japonais !
Après un bon repas de sushis
et plusieurs verres de sakés, l'ambiance était à nouveau
très détendue et la conversation revint assez rapidement
sur celle qui s'était arrêtée ce midi.
Elle me parla de ses quelques
aventures sans lendemain qui lui permettait de satisfaire
ses envies de sexe.
- Et toi, tu n'as jamais
trompé ta femme ?
- Non, jamais, l'occasion
ne s'est jamais présentée...
- Et si elle se présentait,
tu le ferais ?
C'est à ce moment que je
sentis son pied commencer à remonter le long de ma jambe...
Je ne savais plus trop quelle attitude adopter. Tout ce
que je savais c'est que ma queue était à nouveau dure comme
du bois et que j'avais de plus en plus envie de cette femme.
- Euh... Je ne sais pas...
Peut-être..
Son pied arrivait maintenant
au niveau du haut de ma cuisse.
- Jeff ... Je vais être franche
avec toi... toute cette conversation sur nos vies sexuelles
m'a terriblement excitée et j'ai envie que tu me baises
!
Je fus tellement surpris
par ce mot cru que ma queue devint encore plus dure... le
massage de son pied sur ma braguette n'arrangeait pas les
choses !
- Mmmm ! A ce que je sens
tu n'as pas l'air contre .. Allez on y va !
Elle se mit alors subitement
debout pour quitter le resto .
Machinalement dans un état
second je la suivis vers la sortie.
Notre voiture de location
était garée derrière le restaurant. Vu l'heure tardive à
laquelle nous étions sortis, le parking était désert. A
peine arrivée à la voiture elle me sauta dessus et me roula
un patin mémorable. Le saké ayant inhibé tous mes remords
envers Vanessa, je lui rendis son baiser torride. Après
s'être échangé un bon 1/2 litre de salive, elle s'attaqua
à ma braguette et sortit ma queue depuis trop longtemps
emprisonnée dans mon slip (cette fois ci j'y avais pensé
!).
- Mmm .. Mais dis-moi tu
as une belle bite, bien longue et bien épaisse ! Je vais
me régaler, me dit-elle en se passant la langue sur ses
lèvres.
Le vocabulaire cru qu'elle
utilisait me rendait fou de désir et j'avais l'impression
de n'avoir jamais vu ma queue aussi gonflée !
Elle commença à donner des
petits coups de langue sur mon gland tout humide. Elle s'empressa
de bien le nettoyer de tout le méat que le recouvrait et
me faisant comprendre par plusieurs gémissements qu'il était
à son goût ! Puis elle engouffra dans sa bouche toute ma
queue et commença à me tailler une pipe mémorable ! Etant
déjà passablement excitée, je sentis que je pourrai pas
me retenir longtemps. Je fis part à ma cochonne de collègue
mon état.
- Ne t'inquiète pas, j'adore
avaler le sperme, alors n'hésite pas à me remplir la bouche
de ton foutre !
A peine avait-elle repris
ma queue en bouche que je lui lâchais plusieurs salves de
sperme dans la bouche. Elle eut du mal à tout avaler et
un filet blanchâtre coula de part et d'autres de ses lèvres.
Elle en avala tout de même un maximum.
- C'était délicieux ! Tu
as très bon goût ! J'aimerais cependant que tu me rendes
la pareille ! Je suis excitée comme une vraie salope et
ma chatte est trempée !
Etant fan des cunni, je ne
me fis pas prier ! Toutes mes inhibitions étant déjà tombées
depuis plusieurs minutes, je me mis à utiliser le même langage
qu'elle;
- Ouais petite salope, je
vais m'en occuper de ton con ! Tu ne vas pas le regretter
!
Je lui retroussa sa robe
jusqu'à la taille et ... quelle ne fut pas ma surprise de
me trouver nez à nez avec une chatte parfaitement rasée.
La petite cochonne n'avait pas pris la peine de mettre une
culotte !
Sans attendre je l'allongeai
sur le capot de la voiture (et oui, nous étions toujours
sur le parking... désert heureusement !) Et me mis en peine
de lui nettoyer sa chatte ruisselante de cyprine ! Elle
aussi avait un bon goût ! Elle eut l'air d'apprécier mes
coups de langue car elle se mit à gémir comme une folle
en me parlant d'une manière de plus en plus crue, ce qui
avait le don de m'exciter encore plus !
- Oui c'est ça vas-y, nettoies
bien ma chatte de chienne en chaleur ! Tu aimes ça lécher
les cons hein, petit obsédé va ! Ahhhh ... oui comme ça,
continues ! Ahhh ... je suis une vraie salope qui aime se
faire baiser !
Je m'attaquais maintenant
à son petit bouton qui était gonflé au maximum. En même
temps que je la léchais, je commençais à lui titiller la
rosette avec un doigt, ce qui la rendis complètement folle
!
- OUI ! Enfonce-le ! Vas-y,
doigte-moi le cul en même temps j'adore ça ! Ahhh ! C'est
bon !
Mon doigt rentra sans trop
d'effort dans le cul de ma salope de collègue. On sentait
bien que cet orifice avait l'habitude de recevoir du monde
!
J'avais la bouche remplis
de sa jouissance et ma langue commençait à fatiguer mais
je continuais à m'exciter sur ses lèvres et son clitoris
et à activer mon doigt dans ses entrailles.
Au bout de 5 minutes, elle
se cabra d'un coup en poussant un hurlement de jouissance.
On s'effondra tous les deux
l'un sur l'autre.
- Mmmm, tu m'as tué salaud
! Tu sais y faire avec une chatte. Mais j'ai envie de te
sentir en moi maintenant. Viens rentrons vite !
Après s'être rapidement rhabillé
(Gwendoline n'eut qu'à rabaisser sa robe) on repris le chemin
de l'hôtel. J'avais pris le volant. Gwendoline en profita
pour me sortir ma queue à nouveau raide comme du bois et
commença une petite branlette. Elle ne put s'empêcher de
me prendre en bouche tout en se caressant en même temps.
J'avais un mal fou à me concentrer sur la route !
Au bout de 5 minutes nous
étions revenus au parking de l'hôtel. Etant lui aussi désert
je ne pus m'empêcher, à peine sorti de la voiture, de formuler
un fantasme qui me taraudait depuis plusieurs jours.
- Avant de remonter dans
la chambre, je veux me vider à nouveau les couilles mais
sur tes grosses loches cette fois-ci !
- J'ai compris, tu veux que
je te fasse une petite branlette espagnole hein ? Pas de
problème, j'adore ça aussi ! Allez viens par là !
Sur ce elle défit les boutons
de sa robe et me présenta son soutien-gorge plus que bien
rempli !
Elle fit rapidement sauter
son agrafe et libéra ces deux mamelons : je ne m'étais pas
trompé sur la grosseur de ces nibards ... ils étaient énormes
!
Elle s'agenouilla auprès
de moi et me descendis le pantalon et le slip sur les chevilles.
Elle me reprit en bouche
quelques instant "C'est pour la rendre bien dure !". Je
la soupçonnais simplement d'adorer sucer les queues car
la mienne était déjà raide comme une barre à mine !
Elle me coinça ensuite entre
ses deux loches et commença son va-et-vient. C'était tout
simplement divin de sentir sa queue emprisonnée dans cet
étau de chair tendre ! Dès que mon gland ressortait elle
s'empressait de l'avaler ou de lui donner des petits coups
de langue. Au bout de quelques minutes de massage intensif
je me vidais une nouvelle fois, mais cette fois-ci sur sa
poitrine.
- Raaah ! C'est booon !
La petite salope s'empressa
ensuite de nettoyer ma queue et de ramasser et d'avaler
avec ses doigts tout le foutre répendu sur ses seins !
- Hummm ! Décidément j'adore
le goût de ton sperme... Il t'en reste encore j'espère ?
Car la soirée ne fait que commencer. Tu vas me baiser comme
une chienne maintenant !
-Ouais, t'inquiète pas !
J'ai encore de la réserve !
Étonnamment, à l'idée de
posséder bientôt cette femelle en chaleur, ma queue commençait
déjà à retrouver de la vigueur !
Cinq minutes plus tard nous
étions rendus dans sa chambre. Nous avions choisit la sienne
car je ne voulais pas être dérangé par un coup de fil inopportun
de Vaness' !
La porte était à peine refermée
que nous nous roulions à nouveau un pâtin mémorable ! Ce
baiser avait à la fois le goût de mon sperme et de sa jouissance
à elle ! J'ai adoré !
Rapidement nous nous débarrassâmes
de nos vêtements. Gwendoline n'eut pas grand chose à enlever
car elle n'avait pas pris la peine de remettre son soutien-gorge
!
- J'ai envie d'un 69 !
Hop ! Deux secondes plus
tard nous voilà étendu sur le lit elle en train de s'activer
sur ma queue et moi en train de le titiller le clito et
les lèvres. Elle était à nouveau trempée !
Rapidement je lui insinua
un, deux puis trois doigts dans son con. Elle trémoussa
son cul de plaisir !
Après 10 minutes de léchouilles
mutuelles, je décidais de prendre les choses en main.
Je la basculais sur le dos
et lui écarta les cuisses. Elle compris tout de suite !
- Ouais, vas-y mets-moi ta
grosse bite au fond ! Je veux te sentir en moi !
Ma queue trouva rapidement
le chemin et s'engouffra sans aucune peine malgré sa grosseur
dans son antre tout humide de cyprine et de salive.
- OUI ! Tu es gros ! J'adore
ça ! Hummm ! Je te sens bien en moi ! Ramones maintenant
!
EExcité par ses paroles je
me mis à la pistonner de plus en plus violemment. Ma queue
sortait de son con pour y rentrer immédiatement ! Elle hurlait
de plaisir.
- AHHH ! C'est bon ! Vas-y
baises-moi comme la chienne que je suis !
J'étais dans un état second,
je me mis à mon tour à l'insulter.
-Ouais, tu aimes ça te faire
ramoner la chatte hein ? T'attendais que ça que je te la
mette bien profonde ! Grosses salope va ! Tiens ! Tiens
!
J'accélérais de plus en plus
le rythme de mes va-et-vient. Au bout de 10 minutes, je
sentis mon foutre remonter le long de ma hampe et quelques
secondes plus tard je me vidais pour la troisième fois de
la soirée les couilles, dans sa chatte cette fois-ci ! Elle
eut un orgasme violent en même temps que je déchargeais.
Nous nous écroulâmes dans
les bras l'un de l'autre pour récupérer de notre effort.
Nous étions tellement exténués par nos "exercices" que nous
nous sommes endormis immédiatement.
Quelques heures plus tard
je fus tiré de mon sommeil par une douce sensation au niveau
de mon bas-ventre.
Cette assoiffée de sexe était
à nouveau en train de me sucer la queue... on ne peut pas
souhaiter mieux comme réveil !
- Humm ! Tu n'es jamais fatiguée
toi !
- Je voulais te réveiller
de la plus douce des façons qu'il soit... tu aimes ?
- J'adore, ne t'arrête surtout
pas !
Elle reprit sa pipe et j'en
profitais pour malaxer ses deux obus tout en lui caressant
son mont de venus !
Ces petits gémissements m'encouragèrent
à m'aventurer plus bas vers son petit trou. Je commença
à lui masser doucement sa rosette et à l'humidifier avec
ma salive. Je n'avais qu'une idée en tête : je voulais l'enculer
! C'était le dernier trou que je n'avais pas encore visité
! J'introduisis un premier doigt sans problème. Rapidement
un deuxième vint le rejoindre. Je débutai alors un mouvement
tournant afin de bien lui dilater l'anus. Elle gémissait
de plus en plus et avait abandonné sa fellation. Elle se
contentait de me masturber doucement.
- Encules-moi ! m'ordonna-t-elle
avec ce regard indéfinissable qui avait le don de me mettre
dans tous mes états.
Je lui roula un pâtin en
même temps que je continuais à lui élargir avec mes deux
doigts sa rosette. Un troisième doigt vint rejoindre les
deux premiers. Après quelques minutes je décidais qu'elle
était fin prête pour recevoir ma bite dans ses entrailles.
Je la coucha sur le dos, les
jambes bien écartées.
Doucement je positionnais
mon gland à l'entrée de son cul et je commençais à la prendre,
centimètre par centimètre.
Après quelques instants,
mon gland était entièrement fiché dans son cul.
Après avoir esquissé un premier
rictus de douleur, Gwendoline commença à s'habituer à la
grosseur de mon sexe. Je commençais alors à effectuer quelques
va-et-vient. Je voyais sur son visage que la douleur faisait
rapidement place au plaisir. Je n'avais pas une grande pratique
de la sodomie. Ayant un sexe assez gros, Vaness' n'aimait
pas trop cet exercice !
Mais Gwendoline ne semblait
pas, elle, être gênée par cette grosseur !
- Oui c'est bon, je la sens
bien ! Hummm ! Vas-y accélère ! Allez !
Celà m'encouragea à la pistonner
de plus en plus vite.
Elle haletait de plus en
plus tout en se masturbant la chatte.
- Oui ! Oui ! Défonces mon
cul de salope ! Ahhh !
Je pouvais maintenant sortir
et rentrer ma bite sans problème ! Je faisais l'amour à
une véritable furie assoifée de sexe ! Je commençais moi
aussi à perdre pied !
- Tu aimes ça grosse salope
hein ! Tu aimes te faire défoncer le trou de balle par une
grosse queue ! T'en redemande !
Gwendoline hurlait maintenant
(pauvres voisins de chambrées !!)
- OUI ! OUI ! PLUS PROFOND
! ENCULES-MOI PLUS FORT !
Au bout de quelques minutes
de ce traitement je déchargeais dans ces entrailles, en
même temps qu'elle arrivait à son énième orgasme de la soirée
!
J'étais cette fois-ci complètement
vidé !
Affalés sur le lit nous reprenions
notre souffle ! Ma queue ramollie ressortie d'elle-même
de son cul en faisant un drôle de bruit, ce qui nous fit
partir dans un fou rire incontrôlable !
Finalement, après quelques
instant de repos, nous allâmes nous doucher tranquillement
tout en s'embrassant et en se caressant. Nous étions trop
fatigués pour remettre ça encore une fois !
Je décidais de m'endormir
avec elle, histoire de bien finir cette soirée que fut mémorable
!
Le lendemain nous avions
notre deuxième journée de salon et le soir même nous retournions
en train sur Paris.
Ce retour donna lieu à d'autres
ébats épiques... mais c'est une autre histoire !
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