Salut à tous mes copains Gay ! Je m'appelle
Jean-François, j'ai 28 ans et j'habite la jolie ville de
Tours, en Indre et Loire, où j'exerce le métier de coiffeur.
Coiffeur pour hommes mais aussi pour dames. J'ai, paraît-il,
un très bon coup de ciseaux. Je suis assez demandé par certaines
bourgeoises de cette ville et comme je suis plutôt mignon,
j'ai même eu droit, plusieurs fois, aux avances plus que
précises de femmes, souvent mariées, en quête d'aventures.
Je suis brun, 1 mètre 81 pour 70 kilos avec un visage aux
traits fins et de grands yeux noirs.
Mais moi, les femmes, c'est pas du tout mon truc. Je préfère
avoir sur mon fauteuil, un beau mâle bien bâti. Côté baise,
j'aime tout. Je prends autant de plaisir à sucer une belle
queue qu'à faire pomper la mienne. J'encule et je me fais
enculer. J'aime les hommes qui peuvent se montrer à la fois
virils et sensuels. Bien sûr, il m'arrive de "tirer un coup"
à la sauvette, pour me vider les couilles mais quand je
peux prendre mon temps avec mon partenaire, c'est encore
ce que je préfère et de loin...
Mon métier, c'est pour moi plus qu'une passion. Je suis
une sorte de fétichiste des cheveux. Le poil m'attire et
me rend fou, quelque soit sa forme. J'aime par-dessus tout
passer et repasser mes doigts dans la chevelure d'un homme
qui me plaît, masser cette toison soyeuse, y faire mousser
le shampooing, laver et rincer à grands jets tièdes sans
cesser de tripoter ce poil qui s'offre à mes caresses discrètes.
Mon plaisir est intense et quand à l'aide de mes ciseaux,
je trouve une coupe qui est en accord avec son physique,
son visage mais aussi, sa personnalité, je suis récompensé.
Il m'est arrivé de me mettre à bander en plein boulot pour
un mec alors que je m'occupais de lui. C'est ce qui s'est
passé avec Julien, un garçon de 26 ans. J'ai carrément flashé
sur ce joli petit minet en le voyant entrer dans le salon
: grand, super bien foutu, un visage d'ange avec de longs
cheveux bouclés aussi blonds que ceux d'un bébé. J'ai dû
accélérer la coupe que j'étais en train de faire pour être
sûr de l'avoir sur mon fauteuil. Ses cheveux étaient doux
et soyeux, fins mais agréables à coiffer. Ses petites boucles
blondes le rendaient irrésistible à mes yeux. C'est moi
qui lui ai suggéré de ne pas trop les couper mais de juste
leur redonner une forme.
Si j'avais pu, je serais resté des heures avec lui. Mon
seul désir était qu'il soit totalement satisfait de mes
soins. J'ai fait durer le plaisir du shampooing en lui octroyant
un long massage du cuir chevelu, sous prétexte de le relaxer.
Certains sont très sensibles à ces formes de caresses. En
plus de beau, il était sympa ! Il m'a dit son nom : Julien.
Adorable ! J'avais de plus en plus de difficulté à cacher
le trouble qu'il faisait naître en moi. Mais j'avais l'impression
que je ne le laissais pas indiffèrent tout de même. Je n'ai
pas pu le draguer ouvertement ni lui faire la moindre proposition
directe, parce que la patronne était juste à côté et qu'elle
a horreur de ça. Je lui ai juste lancé un regard très appuyé
au moment où il quittait le salon.
J'ai pensé à mon adorable blondinet et à ses boucles, tout
l'après-midi et je fus délicieusement surpris de le voir,
attablé seul à la terrasse du bar qui jouxte le salon, ma
journée de travail terminée. J'étais sûr qu'il m'attendait
et je ne me suis pas trompé. Nous avons pris un verre ensemble.
Je me sentais assez fier de ma coupe. Je m'étais contenté
d'égaliser ses longs cheveux bouclés qui retombaient dans
son cou et de rafraîchir légèrement la mèche au niveau du
front. Une demi-heure après, Julien me suivait chez moi.
Nous sommes passés directement dans ma chambre et là, j'ai
découvert un mec superbe, ni frêle, ni trop musclé avec
une poitrine assez velue et une jolie queue qui s'érigeait
au milieu d'un pubis blond frisé. Il avait un cul superbe.
Son corps et ses fesses étaient bien bronzés. Nous étions
fin août et comme moi, il devait pratiquer le naturisme
quand il allait sur une plage.
Nous nous sommes longuement caressés et embrassés. Sa peau
était douce. J'ai pris plaisir à passer et repasser un long
moment mes doigts dans ses cheveux fins, à masser son torse
et à exciter la pointe de ses seins cachés dans le poil
soyeux. Julien paraissait hyper sensible de ce côté là.
J'ai léché ses tétons, je les ai aspirés entre mes lèvres
avant de les pincer délicatement, sans le faire souffrir.
Il bandait très dur. Une queue fine mais longue restait
plaqué sur son ventre. Je me suis placé tête-bêche sur lui
et j'ai avalé sa tige tout en lui offrant la mienne, plus
courte mais plus large. J'ai léché ses couilles blondes,
son cul, j'ai pompé sa bite en m'efforçant de l'avaler jusqu'à
la garde. Julien me rendait les mêmes caresses. Je savais
que comme moi, il pouvait se montrer aussi bien actif que
passif. Puis, c'est lui qui s'est retrouvé sur moi, toujours
en 69. J'ai pu mieux découvrir son cul et sa rosette brune
et plissée, entourée de quelques poils blonds. C'était très
bon de baiser avec lui. J'ai dardé ma langue dans son anus
puis je lui ai enfoncé mes doigts. L'orifice était souple,
il s'ouvrait bien. Alors que Julien se déchaînait sur ma
bite et mes couilles, j'ai eu envie de le goder dans cette
position.
Je n'ai eu qu'à tendre mon bras pour prendre mon gode noir
qui se trouvait dans ma table de nuit. Je l'ai léché pour
bien le lubrifier de salive et je l'ai enfoncé entre ses
fesses. Mon engin, pourtant assez gros (20 sur 5), n'a rencontré
aucune résistance. Je lui ai bien enfoncé le gode dans le
cul et j'ai commencé à le faire aller et venir tout en reprenant
sa tige entre mes lèvres. C'était bon de l'entendre gémir
et de le voir se tortiller de plaisir. Il me murmurait :
" Oui, encule-moi, baise-moi le cul, défonce-moi. " J'avais
envie de prendre tout mon temps. Je possédais un autre gode
dans le tiroir de ma table de nuit et je le lui ai tendu
pour qu'il me baise, lui aussi. Emmanchés tous les deux,
nous avons continué à nous branler mutuellement, à nous
pomper et à nous tripoter les couilles. Il a changé de position
et il est venu m'embrasser encore tout en me demandant de
le baiser pour de bon, cette fois.
J'ai récupéré mon slip et je l'ai repassé en le remontant
bien pour garder le gode bien enfoncé dans mon cul. Je me
suis étendu sur le dos, j'ai dégagé ma bite et Julien est
venu se placer à genoux sur mon pubis. Il a dirigé lui-même
ma pine entre ses fesses et s'y est empalé doucement. J'adore
cette position. Elle me permet de pouvoir regarder le visage
de mon partenaire grimacer de plaisir mais aussi, de l'embrasser,
de lui lécher et caresser ses seins et de branler sa queue.
Julien s'est enfoncé tant qu'il a pu et il m'a demandé de
le laisser faire. Il a commencé à bouger sur moi, à se limer
tout seul sur mon pieu bien comprimé par ses muqueuses fermes.
C'était divin, j'avais carrément l'impression qu'il me taillait
une pipe avec son cul. Il montait, il descendait, il ondulait
de droite à gauche. De temps en temps, il accélérait le
rythme, il se défonçait plus fort puis il ralentissait.
Il se tenait bien droit et, avec une main passée dans son
dos, il malaxait mes burnes ou bien, il faisait bouger le
gode qui me remplissait. Moi, je jouais avec ses poils et
ses tétons érigés tour à tour. Quand je l'ai vu fermer ses
yeux, j'ai compris qu'il n'allait pas tarder à jouir. Ses
mouvements sont devenus plus rapides, plus saccadés, sa
respiration était haletante. Je l'ai branlé plus sèchement
et dès que j'ai senti son foutre, je me suis vidé dans son
cul. Ce fut délicieux. Son sperme abondant a arrosé mon
ventre et mon torse et j'ai bien pressé ma main sur sa tige
pour en extraire les dernières gouttes. Je les ai recueillies
sur mes doigts que j'ai ensuite portés à sa bouche pour
qu'il les lèche.
Alors que Julien avait toujours ma queue plantée entre ses
fesses, il est retombé sur moi et nos deux bouches se sont
soudées. Son coeur battait très fort, il avait du mal à
retrouver son souffle. Je l'ai embrassé en caressant ses
cheveux. Aucun de nous deux ne semblait ne vouloir se désunir.
Puis, en riant, il m'a lancé :
- Tu m'as très bien baisé, salaud !
Je lui ai répondu que c'était lui qui avait tout fait. Nous
étions en nage, tous les deux, nos deux visages encore rouges
de plaisir. Je lui ai proposé d'aller prendre une douche.
La salle de bain est la pièce que je préfère dans mon petit
appart. J'y ai fait installer une douche avec plusieurs
jets. Les buses de refoulements sont disposées à des nivaux
différents sur trois cloisons. C'est très agréable mais
très excitant aussi. J'ai fait goûter à Julien les petits
massages de la queue mais aussi du trou du cul à l'eau tiède.
Alors que nous nous amusions, nous nous étions très vite
remis à bander tous les deux. Ce fut à son tour de me prendre.
Je me suis placé contre un mur, les fesses bien cambrées
vers l'arrière et Julien m'a baisé.
Nous avons passé toute la nuit ensemble et je le revois
encore de temps en temps. Quand il a besoin d'une coupe,
je le coiffe à domicile. On se met à poil tous les deux,
je m'occupe de lui et ensuite, on se retrouve dans mon lit.
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