TITRE :  Cocu et Voyeur
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale
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Ce n'est qu'en fin de matinée que je m’aperçut que j'avais oublié le dossier "Mallard" à la maison. Je l'avais emporté la veille au soir pour finir de l'étudier en vue de la réunion du lendemain, et ce matin, pressé par le temps, je l'avais oublié... Je décidai de profiter de l'heure du déjeuner pour passer le prendre à la maison. Cela ne m'arrivait quasiment jamais, et j'étais à mille lieues de me douter de ce qui m'attendait!

Mon déjeuner expédié "sur le pouce", je pris le chemin de la banlieue résidentielle où nous habitions. Il y avait peu de circulation à cette heure là et j'arrivai rapidement dans notre rue très calme. C'était l'été, il faisait chaud et personne ne flânait à cette heure où le soleil est si violent.

Peu de voitures le long des trottoirs et je n'en aperçus que mieux la 205 rouge qui était garée devant chez nous; pas de doute, c'était celle de mon ami Paul !

Cela m'étonna bien un peu car je me demandais bien ce qu'il pouvait faire chez nous à cette heure, mais très vite je me dis que sans doute, sa femme Brigitte, devait avoir emprunté sa voiture, comme cela arrivait parfois lorsque la sienne était en réparation. Brigitte était assez amie avec Evelyne et il leur arrivait souvent de se rendre visite ou de faire du shopping ensemble.

C'est donc sans me douter de quoi que ce soit que j'entrai dans la maison directement par la porte-fenêtre du salon où je m'attendais à les trouver... Mais le salon était vide.

J'allais appeler pour prévenir Evelyne de ma présence lorsqu'il me sembla entendre des rires du côté de la cuisine; puis tout de suite après, une voix qui n'était certainement pas celle de Brigitte ! Le rire était celui d’Evelyne, je l'avais reconnu, mais la voix ?

Intrigué et curieux, mais toujours loin de me douter de quelque chose, je me dirigeai vers la cuisine. Pour cela il me fallait emprunter le couloir et celui-ci était un peu sombre, alors que la cuisine, placée à l'autre extrémité, était, elle, très claire au contraire. C'est ce qui me permit de les apercevoir sans qu'ils ne m'aient vu...

La porte de la cuisine était en effet restée grande ouverte et, à ma stupéfaction, je découvris Evelyne dans les bras de Paul !!! Ce fut comme un coup de poignard qui me frappa en pleine poitrine... J'en restai figé, comme paralysé !

Leur attitude ne pouvait guère me laisser de doute sur la nature de leurs relations, car Evelyne était non seulement dans ses bras, mais elle le tenait par le cou et promenait ses lèvres sur son visage. Qui plus est, son corsage était complètement déboutonné et Paul y avait glissé ses bras pour la serrer contre lui. Mon cœur battait à tout rompre mais je me repris un peu; suffisamment pour me diriger vers la salle à manger dont la double porte vitrée me permettrait de les voir de plus près et sans risque d'être vu, car les volets étant fermés à cause de la chaleur. La pièce était plongée dans la pénombre, constituant ainsi un poste d'observation idéal.

Un bras entourant toujours la taille d’Evelyne, Paul s'était mis à lui tripoter les seins; il les malaxait à pleine main.

- "Ah, j'aime tes nichons..." l'entendis-je murmurer d'une voix visiblement excitée.

- "Mes nichons qui tombent..." lui répondit Evelyne en souriant d'un air ironique, et cela ne m'étonna pas car je savais combien elle était complexée par ses seins pas très gros mais en gouttes et aux gros bouts pendants.

- "Oui, mais il me bottent vachement!" répondit Paul: "Tu sais, tes nichons me font plus bander que ceux soit disant parfaits, d'une statue grecque! Je trouve ca vachement plus sensuel"

Sur ce point je dois dire que j'étais tout à fait de son avis, et que les seins d’ Evelyne m'avaient toujours beaucoup excité. A plusieurs reprises elle m'avait raconté qu'elle avait, adolescente, des seins très fermes, qu'elle trouvait d'ailleurs trop gros, au point d'en être complexée à l'époque. Avec les années, ses seins n'avaient sans doute pas perdu en volume, mais avaient baissé de quelques crans, prenant une forme caractéristique en gouttes, dont elle n'était d'ailleurs pas moins complexée, mais qui étaient à mes yeux (et à ceux d'autres je pense !), très excitants !

Paul ne tarda pas à lui ôter complètement son corsage, en le faisant glisser sur ses épaules, puis il empoigna les deux mamelles d’Evelyne à pleines mains en les serrant entre ses doigts comme pour en faire saillir les bouts, et les porta vers ses lèvres pour les sucer avec avidité.

Evelyne se laissa faire, ferma les yeux de plaisir et laissa échapper quelques gémissements plaintifs, puis comme Paul suçait de plus belle, elle ne put s'empêcher de murmurer :

- "Ah ! Tu les aimes mes nichons !"

Ce mot même m'étonna dans la bouche d’Evelyne, qui a toujours un langage très châtié, mais il est vrai que dans ces circonstances...

D'ailleurs je n'étais pas au bout de mes surprises car Paul lui répondit sur le ton de la complicité :

- "Tes nichons ? Tu appelles ça des nichons ! Regarde salope... Regarde ! De vrais pis de vache oui ! De vraies sacoches de vélo !" et il se mit à les faire ballotter de façon obscène. J'étais sidéré mais je compris qu'il ne s'agissait entre eux que d'un jeu complice lorsque je vis Evelyne s'exciter de plus en plus sous l'effet des moqueries de Paul.

- "Ahhh ! oui c'est bon..." dit-elle dans un râle "j'aime quand tu me parles ainsi"

- "Tu aimes... Tu aimes ça salope ! Tu n'as pas besoin de le dire; regarde, tu as les bouts tout raides !"

- "Et toi, tu es raide?" lui répondit-elle en souriant.

Décidément, j'avais peine à reconnaître ma femme, d'ordinaire si réservée avec moi.

- "Regarde..." lui répondit-il simplement.

Les yeux d’Evelyne brillaient; elle les plongea dans les yeux de Paul puis le fit reculer légèrement, s'agenouilla lentement devant lui et avec une évidente excitation je la vis s'attaquer à la ceinture du pantalon de Paul, puis aux boutons de sa braguette qu'elle déboutonna sans la moindre hésitation. Le pantalon tomba sans bruit aux pieds de Paul. D’où je me trouvais, placé sur le côté mais un peu en 3/4 arrière par rapport à lui je ne pouvais pas voir exactement la totalité de la scène, mais je voyais bien le visage d’Evelyne, et j'y lisais une évidente excitation. Sans plus hésiter que lorsqu'elle lui avait ôté son pantalon, elle saisit l'élastique du slip de Paul et le lui baissa quasiment à mi-cuisses. Elle sourit, leva les yeux vers lui d'un air de reproche et lui dit :

- "Tu ne bandes même pas!"

- "Je te fais confiance pour arranger ça..." lui répondit-il d'un air complice.

- "Tu exagères! Ce n'est pas une excuse..." répondit-elle.

Moi, dans ma cachette, je bandais comme un fou et je me demandais effectivement comment Paul pouvait ne pas être dans le même état que moi.

- "Allez, au lieu de discuter, au boulot!" lui dit-il.

Et, ce disant, il se recula et s'appuya légèrement sur le bord de la table de la cuisine. Il avait dû pour cela se tourner davantage vers moi, ce qui me permit de mieux le voir, et de découvrir avec une certaine stupeur (et aussi il faut bien l'avouer, un puissant sentiment de jalousie et d'humiliation), que si le sexe de Paul était effectivement encore flaccide, ce salaud avait de toute évidence été vachement gâté par la nature !

Sans exagérer, son sexe au repos pendait bien d'au moins 15 à 16 cm, avec un diamètre en rapport, ce qui, je dois humblement l'avouer était plus que ce que mon propre sexe pouvait atteindre en érection !

Ce qui me troubla le plus fut bien sûr de découvrir cet avantage anatomique de Paul, mais surtout de réaliser qu'il l'exhibait ainsi à quelques dizaines de centimètres seulement du visage d’Evelyne.

Oh bien sûr je n'ignorais pas qu’Evelyne avait déjà eu d'autres aventures avant de me connaître, elle ne me l'avait jamais caché, mais à cette époque elle ne m'en avait pas non plus dit davantage. Je ne lui avais de mon côté, posé aucune question sur ceux-ci ; sans doute un peu par crainte de savoir vraiment !

Mais là, je ne pouvais me le cacher : Evelyne avait sous les yeux la grosse bite de Paul et j'étais bien obligé d'admettre qu'elle ne pouvait pas ne pas établir de comparaison… Un moment, je réalisai même que tout compte fait, elle paraissait nettement moins stupéfaite que moi...

L'explication me sauta soudain aux yeux: Ce n'était pas la première fois qu'elle me trompait avec Paul ! Je n'en fus que plus troublé lorsque je vis sa main se saisir sans hésiter du lourd pénis et le soulever pour le porter à ses lèvres... Et moi qu'elle ne suçait que du bout des lèvres... et encore, quand j'insistais vraiment pour qu’elle le fasse... Là au contraire, devant moi, sous mes yeux, elle avait gobé d'un coup le pénis de Paul et le suçait sans aucune réticence, et même avec une assez évidente gourmandise.

Je voyais ses lèvres aller et venir sur la hampe luisante de salive. Evidemment, le sexe de Paul ne tarda pas à bander, à grossir et s’allonger. Evelyne en avait les lèvres déformées, arrondies en anneau, les commissures toutes tendues sur ce membre maintenant strié de grosses veines gonflées. Je voyais tour à tour ses joues creusées par la succion ou déformées, gonflées par la poussée du gland... Je ne peux pas vous dire ce que j’éprouvais; voir sa propre femme avec la queue d’un autre homme dans la bouche c’est déjà quelque chose, mais quand cette queue est plus longue de dix centimètres que sa mienne et d’une grosseur en rapport, il y a de quoi « flipper »!...

Et je « flippais » à mort; je trouvais injuste que ce soit moi qui l’aime et que ce soit ce mec qui ne voyait en elle qu’un moyen facile de se vider les couilles qui ait à lui offrir un tel morceau ! C’est une chose qui d’ailleurs n’a jamais quitté mon esprit par la suite; à chaque fois que je me suis retrouvé nu devant ma femme, je n’ai pu m’empêcher de penser que ce type lui exhibait un tout autre engin...

Après avoir sucé Paul pendant une bonne dizaine de minutes, j’entendis Evelyne lui demander :

- « Tu me baises ? On va où ? Dans la chambre ? ».

Je dus presque faire un bon pour m’esquiver... Ce fut de justesse... Ils devaient avoir tous deux très envie de baiser, car je venais juste de m’enfermer dans les toilettes lorsqu’ils passèrent dans le couloir, puis montèrent à l’étage...

Pour moi, il était inutile que j’espère pouvoir les apercevoir. La maison que nous habitions alors était construite de telle façon que cela m’aurait été impossible sans qu’il me voient... Je dus donc me résoudre à rester au bas de l’escalier; tendant l’oreille... Il y eut dix minutes d’un quasi silence puis je commençai à percevoir des gémissements que je connaissais bien... Je n’avais plus aucun doute à me faire, car ces gémissements, Evelyne ne les laissait échapper que lorsqu’elle était déjà pénétrée...

J’entendis ces gémissements, de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés, et bientôt ils se changèrent en halètements... Je tendais l’oreille, le cœur battant à tout rompre car jamais je n’avais encore entendu Evelyne exprimer si bruyamment son plaisir... Et ce n’était que le début, bientôt ce furent des râles, puis des cris... Oui de vrais cris qu’elle se mit à pousser, rythmés par les ahanements de Paul... Jamais... Jamais je n’avais entendu ma femme jouir ainsi, jouir si fort... Les grincements du lit me renseignaient sur la façon dont il la baisait; il la limait lentement, régulièrement et puissamment de toute la longueur de son gros membre et puis, par moment, soudain il accélérait brusquement sa cadence... La bourrant à grands coups de pine et j’entendais alors Evelyne gueuler, hurler de plaisir.

Je l’imaginais, cuisses écartées, clouée au lit par la violence des coups de bite... Je crois bien même l’avoir entendue chialer de plaisir...

Mais soudain la sonnerie du téléphone retentit et par un réflexe idiot, incontrôlable, dû à ma peur d’être surpris, je bondis à l’extérieur de la maison... Quelle connerie !

Dès que je fus dehors, je m’aperçus que dans ma précipitation j’avais tiré la porte fenêtre du salon et qu’il me serait impossible de rentrer à nouveau par là... Quant à la porte principale il ne fallait pas y penser car celle-ci était équipée d’un gong automatique à l’ouverture...

Quel con ! J’étais là dans le jardin et, bien qu’en cet après-midi tout fut désert, j’allais finir par être vu par un voisin si je restais là... Je n’avais pas d’autre choix ; je regagnais ma voiture ; mais il m’était impossible de partir...

Je fis deux à trois fois le tour du lotissement puis je finis par me garer au bout de notre rue, assez loin pour ne pas risquer d’être vu et suffisamment près pour apercevoir Paul lorsqu’il partirait...

Il devait être quinze heures... Ce fut l’un des moments les plus longs de ma vie et vous le comprendrez lorsque je vous dirai que Paul ne sortit qu’à dix sept heures quarante cinq de la maison ! Durant près de trois heures ce fut pour moi un véritable calvaire; je ne cessai pas une seconde de penser à ce qu’il devait lui faire; comment il la prenait, combien elle gueulait...

Et contre toute attente cela me faisait bander !

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