Dix secondes après ses amies entrèrent dans la chambre. J'eu la surprise
de ma vie en les voyant arriver, elles n'étaient pas nues comme son fameux
principe l'énonçait. Béa était habillée tout en jean : pantalon, chemise
et blouson. Les cheveux courts, et le corps plutôt androgyne, on aurait pu
la confondre avec un garçon. Quand à Dominique c'était le monde à
l'envers, je m'attendais à voir une fille, et en fait c'était un garçon
aux allures féminines. Maquillé comme un top modèle, il portait un
ensemble que j'aurais fort apprécié chez une fille : un pantalon blanc
hyper moulant, et une chemise totalement ouverte laissant apparaître sa
poitrine sur laquelle brillait une formidable collection de collier que
lui aurait envié Mister T. Le plus drôle fut lorsqu'il se mit à parler
d'une voix super aiguë, et bouger avec les même manières qu'une folle de
chez Michou. J'avais l'impression de rêver, jamais je n'avais été aussi
mal à l'aise.
- Qu'il est mignon ce beau jeune homme, annonça Dominique de sa voix de
fille, tu aurais pu nous le présenter bien plus tôt.
Il s'avança pour me faire la bise, et en profita pour laisser traîner sa
main sur mes parties intimes.
- Qu'est ce qu'il est gros et dur, dit il pour flatter mon ego. Je ne peux
pas résister à l'envie, prends moi en photo pendant que je lui fait un
petit bisou.
Sur ce il se mit à genoux, et en fait de bisous, il commença une véritable
fellation. Après quelques minutes, Clarisse l'arrêta :
- Attends un peu, je n'ai pas fini de faire mes photos, laisse moi
terminer.
Je n'arrivais pas à savoir si elle se doutait que cela se passerait ainsi,
ou si elle était complice de son ami.
- Reste dans la même position, mais retourne toi que je te prenne de dos.
Une fois dans la position demandée, j'entendis Dominique susurrer :
- Il est encore plus beau de dos.
Après quelques photos dans cette position, Dominique s'approcha de moi et
me dit :
- Tu veux bien te mettre à 4 pattes mon chou.
- C'est une excellente idée, fais moi plaisir, annonça Clarisse en se
positionnant pour me prendre de trois quart avant.
A peine en position, je sentis une main de Dominique se glisser sous mon
ventre et prendre doucement possession de ma virilité, et l'autre me
caresser les fesses puis aller doucement vers le reste de mon service
trois pièces.
- Ne bouge surtout pas, vous êtes superbes tous les deux me glissa
Clarisse.
Je dus subir les attouchements de Dominique sans broncher, même si je
devais reconnaître chez lui un certain talent pour ce type de caresses.
Lorsqu'elle eut pris suffisamment de photos, Clarisse vint alors se mettre
cuisses ouvertes devant moi et me demanda :
- Je n'en peux plus d'attendre je suis trop excitée, je t'en prie Raoul
occupe toi de moi.
Sur ce elle attira mes lèvres vers son ventre. Après plusieurs minutes que
ma langue la fouillait, elle intervint de nouveau.
- Regarde Dominique, il est aussi beau que toi, tu ne voudrais pas lui
faire plaisir ?
Pris par le désir de donner du plaisir à Clarisse, je ne m'étais pas
aperçu qu'il avait cessé de s'occuper de moi, et qu'il était entièrement
nu, son sexe fièrement érigé tout près de mon visage. Il attendait que mes
lèvres délaissent Clarisse pour s'occuper de lui, il n'en n'était
évidemment pas question. Clarisse sut une nouvelle fois se montrer
persuasive.
- Tout à l'heure tu n'as rien dit lorsqu'il t'a fait un bisou en arrivant,
cela n'avait pas l'air de te déplaire, tu pourrais lui faire plaisir à ton
tour. Tout ce que tu lui fais, je te le ferai aussi. Tu lui fais d'abord
un petit bisou, et ensuite tu le laisses te diriger.
N'attendant pas ma réponse elle rapprocha davantage mon visage du ventre
de Dominique, qui se colla lui aussi à me toucher. Vaincu, je rendis sa
caresse buccale à Dominique.
Béa qui s'était fait aussi discrète que possible depuis le début, avait
l'appareil photo en main, et n'attendait que cela pour immortaliser cet
instant particulier. Après avoir pris plusieurs photos, elle posa
l'appareil et vint se mettre derrière moi pour me prendre dans sa bouche.
Dominique s'écarta, laissant Clarisse prendre mon visage derechef et le
plaquer à l'endroit où il était auparavant. Je sentis alors la langue de
Béa délaisser ma verge, et perçus quelques secondes plus tard celle-ci
s'insinuer entre mes fesses pour me pénétrer plus intimement. Clarisse me
bloqua la tête plus fermement, je sentais venir sa jouissance.
Au même moment je sentis quelque chose de doux et chaud me pénétrer, en
même temps qu'une douleur bizarre m'envahir: c'était Dominique qui avait
repris la place de Béa et me pénétrait par derrière. Clarisse me
maintenait toujours aussi fortement pour que je ne puisse m'échapper, mais
je sentais les tressaillements de mon corps qui bougeait d'avant en
arrière. Béa avait repris l'appareil photo et ne cessait de nous prendre
tous trois sous tous les angles.
Après quelques secondes qui me parurent une éternité Clarisse et Dominique
jouirent de concert. Béa, bonne fille, n'attendit que cet instant pour me
rendre heureux à mon tour.
Clarisse me donna des explications plus tard dans l'après midi, quand nous
fument de nouveaux seuls. Elle était véritablement amoureuse de moi, mais
encore plus de Dominique.
Etant donné les mours un peu particulières de celui-ci, elle savait
qu'elle ne pourrait jamais avoir de relations physiques avec lui. En me
prenant comme intermédiaire elle avait l'impression que c'était aussi avec
lui qu'elle faisait l'amour.
Tout cela avait été combiné d'avance, et pour que ne sois pas déçu, Béa
avait été chargée de s'occuper de moi.
Je me souviendrai longtemps de ce premier rendez-vous galant avec
Clarisse.
Monsieur P.
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