Je m'appelle Julien, j'ai 27 ans et j'avoue être comblé par la vie :
j'ai une bonne situation professionnelle (architecte) dans laquelle je
m'épanouis complètement. Côté vie privée ça va très bien aussi. Mon
physique de grand brun ténébreux aux yeux clairs m'a toujours assuré une
certaine réussite dans mes affaires de coeur. Je suis actuellement en
ménage avec Annabelle, une avocate d'une trentaine d'années, grande,
brune et toujours habillée très sexy - tailleurs, jupes courtes et talons
aiguilles.
Au lit notre entente est excellente. Elle me satisfait pleinement, pour
autant j'admets ne pas être épris d'elle au point de ne plus regarder
les autres filles. Je ne suis pas insensible à une jupe dans la rue ou un
ardent regard. Je ne l'ai encore jamais trompée pourtant j'avoue avoir
eu envie de céder à quelques occasions.
Un jour elle m'a demandé de l'accompagner dans un magasin branché du
centre qui organisait une soirée spéciale pour ses clients les plus
fidèles. Elle m'attendait à l'entrée. Le climat était plutôt frisquet, de
fait, elle portait un long manteau qui laissait juste apparaître ses
longues jambes fines et ses talons hauts. Elle n'était pas seule ce soir
là. Elle avait aussi convié sa mère à la soirée. Christiane était une
version d'Annabelle en plus âgée. Même visage, mêmes magnifiques yeux
bleus, même silhouette longiligne. Seuls différaient ses cheveux courts
teints en blonds et surtout une tenue vestimentaire beaucoup plus sexy. Ce
soir là elle portait une veste ample plus courte qui ne laissait
apparaître que ses jambes. Cela donnait l'impression qu'elle ne portait
rien en dessous.
Entre nous ça a été le flash tout de suite. Nous ne nous étions jamais
rencontrés. Juste parlés au téléphone une fois. Annabelle me parlait
d'elle de temps en temps. Je sais qu'elle avait 58 ans mais qu'elle ne
les faisaient pas, ce qui est vrai, qu'elle vivait seule, elle avait
divorcé deux fois et avait beaucoup de succès auprès des hommes. Je
comprenais aujourd'hui pourquoi.
Nous avons sympathisé au cours de la soirée et elle m'a totalement
subjugué. Je suis tombé amoureux d'elle, de sa beauté, de son corps sexy
et de son assurance de femme mûre. De surcroit, elle avait envers moi une
attitude clairement intéressée. Elle ne me quittait pas des yeux et
profitait de toute occasion pour me toucher la main, le bras ou l'épaule.
J'en aurais été gêné si moi aussi je n'avais pas eu une certaine
attirance pour elle. Seule Annabelle ne voyait rien.
À partir de ce soir là, elle a envahi mes pensées. Pendant les jours qui
suivaient je ne pensais plus qu'à elle, je voulais la revoir. À tel point
que j'en délaissais Annabelle. Complètement obnubilé par Christiane,
j'ai alors tout risqué. Faisant fi de notre différence d'age et du fait
qu'elle est tout de même la mère de ma copine je l'ai invitée à
sortir. Sans en parler à Annabelle, je l'ai appelée et lui ai proposé un
restaurant. J'avais sous entendu qu'Annabelle serait là et prévu de lui
dire qu'elle avait du décommander à la dernière minute, prise à son
travail. Le plan était parfait et me permettait d'avoir une issue de
secours au cas où.
Christiane ne m'a posé aucune question quant à l'absence de sa fille.
Dès mon appel elle avait compris que je la draguais et avait décidé de
jouer le jeu. Je ne m'étais pas fait d'idées, notre attirance était bien
partagée.
Malgré son âge, elle était terriblement sexy. Talons hauts, mini jupe et
décolleté affriolant. Chaque fois qu'elle se penchait elle exposait à mon
vue l'échancrure de sa poitrine de rêve. C'est sans doute une des plus
belles femmes avec qui je suis sorti.
Au restaurant nous avons beaucoup parlé. Dans les rares moments de
silence, nous restions de longues secondes les yeux dans les yeux. Mon
désir pour elle était de plus en plus fort et surtout je sentais qu'il
était réciproque. Plus tard je l'ai raccompagnée chez elle bien accrochée
à mon bras.
Devant sa porte, comme une évidence, elle m'a invité à entrer chez elle.
Je n'ai pas hésité une seule seconde. Je n'attendais que cela. Mais sans
savoir où cela nous conduirait, j'étais conscient qu'en le faisant je
mettais mon couple en danger.
Elle m'a invité à m'asseoir sur un fauteuil du salon. Autour, la déco
était sobre mais assez ancienne mode. Des bibelots, des photos où je
reconnus Annabelle, sa soeur aînée et ses enfants. Elle est revenue de la
cuisine avec les boissons, ses talons aiguilles claquaient sur le parquet.
Elle s'est assise sur le canapé d'en face en croisant les jambes. Dans
cette position sa jupe remontait très haut et on devinait l'arête de ses
bas. Je commençais à bander très fort.
Considérant que j'avais fait le premier pas en l'invitant, j'ai fait le
vieux briscard et feint de rester de marbre. Elle a du le percevoir et a
pris l'initiative. Elle m'a fait un numéro vieux comme le monde :
prétextant qu'il faisait chaud elle m'a demandé si cela me gênait si elle
se mettait à l'aise. Ainsi, sans plus de cérémonie et sans même attendre
ma réponse, elle retira son chemisier et le posa sur une chaise. Elle se
tourna vers moi, s'affichant en soutien gorge. C'était clairement un
appel. Au moment où elle s'est rassise, j'ai posé ma main sur ses genoux
et ai commencé à lui caresser les jambes. Voyant qu'elle ne protestait pas
j'ai avalé une gorgée du porto qu'elle m'avait servi et suis alors allé
m'asseoir à coté d'elle pour être plus près. Nous nous sommes embrassés.
- Je me demandais quand tu te déciderais, me dit-elle alors.
Sans rien dire je continuais à l'embrasser et à la peloter, remontant ma
main vers l'intérieur de ses jambes jusqu'à l'endroit de ma convoitise
que je découvris bien humide.
Elle s'est relevée et a dézippé sa jupe. Elle avait prévu son coup. En
plus de son soutien gorge pigeonnant, elle portait des dessous en dentelle
de couleur très excitants et des bas maintenus par un porte jarretelles.
Je n'avais jamais vu aucune femme en porter. Je croyais que c'était
désuet. Mais sur elle c'était splendide et cela lui allait très bien. Qui
a dit qu'en vieillissant les femmes s'enlaidissent ? Elle est encore
plus canon que sa fille.
Je me suis à mon tour déshabillé. J'étais super excité et dans la
précipitation j'ai perdu l'équilibre et suis tombé au moment de retirer
mon pantalon. Nous avons tous les deux ri, cela nous a aidé à détendre
l'atmosphère et nous a un peu libérés.
Elle m'a allongé sur le canapé et a longuement embrassé mon torse en me
mordillant les mamelons. J'étais aux anges. Mon caleçon boxer bien enflé
lui faisait visiblement envie. Elle l'a attrapé de chaque coté de mes
hanches et l'a retiré d'un coup sec. Ma bite bien dure se dressa sans
difficulté. Elle l'a saisie vigoureusement d'une main tandis que de
l'autre elle me malaxait les couilles avec douceur. Je sentis que ses
lèvres douces prirent le relais de sa main avec une efficacité redoutable.
- T'es vraiment super douée, lâchais-je dans un râle de plaisir.
Au moment où j'allais venir je me suis dégagé. Je l'ai attrapée par les
hanches tout en mettant ma langue dans sa bouche le plus loin possible. À
mon tour j'ai saisi sa petite culotte et l'ai fait descendre le long de
ses jambes décidemment magnifiques.
- Je ne suis pas une adepte de la chatte rasée, dit-elle comme je
découvrais son intimité.
Je l'ai prise pour l'asseoir sur un guéridon. Elle a ouvert les jambes
et j'ai introduis ma queue en elle. J'étais chaud bouillant. Bien que
j'étais loin de me sentir serré, elle couinait à chaque mouvement de va-et-vient de mon bassin. Elle en voulait aussi et se donnait à fond. Je ne
sais pas si c'était réellement sincère ou si elle simulait parce que par
moments, j'avais l'impression de ne pas toucher les bords. Ce large
vagin avait probablement dû voir passer des dizaines d'autres queues sans
aucun doute plus opulentes et plus expertes.
Je n'avais jamais été si excité. À peine m'étais-je libéré en elle que
nous remîmes ça sur le canapé. Ses soupirs de plaisir décuplaient mon
envie.
- Je te fais bander petit cochon, hein ?
Je répondis par l'affirmative.
- Dès que je t'ai vu, j'ai décidé que tu finirais dans mon lit et moi
aucun homme ne me résiste, me lança-t-elle en me mordillant l'oreille.
- Je ne serai sûrement pas le premier, répondis-je.
Plus tard, je l'ai portée jusqu'à sa chambre où, dans son lit, nous avons
encore fait l'amour. C'était le pied intégral. Jamais je n'avais eu de
telles sensations. Je mis cela sur le compte de son expérience. Je suis
sorti de là épuisé et vaincu par cette experte de l'amour. Il était tard,
j'étais vidé et inquiet de savoir comment j'allais expliquer mon absence
à Annabelle. En plus, pendant nos ébats, Christiane m'avait littéralement
labouré le dos avec ses ongles longs.
À la suite de cette soirée nous sommes devenus des amants réguliers. Mais
ni elle ni moi ne voulions dévoiler notre liaison. Plus que le fait de me
partager avec sa fille, c'est notre différence d'âge qui la gênait. Moi
j'étais totalement amoureux d'elle. On se voyait donc en cachette dans
des endroits discrets et à chaque fois c'était un ravissement plus fort
encore. Une fois on s'est même fait surprendre par une patrouille de
gendarmerie alors que je lui bouffais la chatte dans la voiture. Nous
n'avons du notre salut qu'à ses talents de négociatrice et bien sur à
ses charmes qui avaient ravi les yeux des gendarmes.
Ma relation avec Annabelle s'est considérablement détériorée. Elle n'est
pas stupide et a rapidement remarqué que mes absences répétées avaient des
raisons de plus en plus fantaisistes. Elle en a déduit que j'avais une
liaison ailleurs. Comme je suis plutôt franc et que je ne voulais pas la
faire souffrir davantage, je lui ai avoué que j'avais quelqu'un
d'autre dans ma vie sans lui préciser qui. À vrai dire, j'avais déjà
décidé de la quitter pour Christiane mais je ne savais pas comment m'y
prendre.
Notre séparation fut difficile mais pas douloureuse. En revanche pour
Christiane ce fût plus compliqué. C'est elle qui annonça à Annabelle
qu'elle était ma maîtresse. Annabelle s'est sérieusement fâchée avec
Christiane, se sentant trahie et peut-être un peu honteuse aussi de s'être
fait piquer son mec par sa propre mère. Aujourd'hui je vis avec
Christiane, la femme de ma vie. Notre relation est fusionnelle. Nous nous
faisons l'amour quasiment tous les jours et sommes convaincus d'être
faits l'un pour l'autre. Elle a fait de moi un homme et depuis que nous
sommes ensemble, aucune autre fille ne m'intéresse plus.
Cependant, je tiens à dire à quel point les préjugés ont la vie dure. Je
vois bien les regards en coin chaque fois que nous sortons ensemble. Notre
amour nous a séparé de nos familles qui nous ont tourné le dos. Elle a
30 ans de plus que moi. Notre liaison a été jugée contre nature et sans
avenir. Pourtant, l'avenir je ne le vois pas sans elle. Je viens
d'acheter un bijou et demain soir, je vais la demander en mariage.
Alexthegreat
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