C'était un chaud après-midi de
juillet, je ne me sentais pas bien car un mal de dents me
faisait souffrir le martyre. J'avais attendu trop longtemps
pour contacter mon dentiste, mais le sachant en vacances,
j'avais préféré prendre mon mal en
patience afin d'attendre son retour, mais là, je
n'en pouvais plus. Je décidai de me mettre en quête
d'un dentiste remplaçant.
J'appelai donc mon dentiste habituel afin d'entendre son
répondeur me donner les coordonnées d'un confrère
disponible en cette période estivale.
Je pris note du numéro qui m'était donné
et le contactai à son tour. Une voix chaude me répondit
qu'il pouvait me prendre en fin de journée, qu'il
me placerait en dernière patiente afin d'avoir tout
le temps devant lui de voir ce qui n'allait pas.
Je passai donc la fin d'après-midi à essayer
de me détendre en prenant un bain de soleil dans
mon jardin.
Un peu avant l'heure du rendez-vous, je revêtis
une petite jupe légère et un chemisier blanc
dont le décolleté mettait mon bronzage et
la forme de mes seins en valeur.
Je m'engouffrai ensuite dans ma petite auto où la
chaleur était écrasante.
J'arrivai le corps moite et brillant devant chez mon nouveau
dentiste. Je sonnai et un homme d'âge mur, d'au moins
vingt ans mon aîné, m'ouvrit la porte avec
un sourire enchanteur. C'était un bel homme d'allure
sportive, fin de la quarantaine, au teint hâlé
et aux tempes qui commençaient à grisonner.
Il était habillé d'un pantalon de toile beige
et d'une chemise jaune au dessus desquels il portait, ouvert,
le traditionnel tablier de dentiste.
Nous nous installâmes dans son bureau où
un léger courant d'air rafraîchissait l'air.
Il me demanda les renseignements d'usage tout en me regardant
de façon pénétrante et insistante.
Je sus dès cet instant que je ne le laissais pas
indifférent. Nous parlâmes ensuite de la saison
estivale et il m'expliqua que les patients se faisaient
rares car tout le monde était parti, ce qui lui permettait
de mettre enfin un peu d'ordre dans ses dossiers qui s'amoncelaient
partout dans son cabinet. Et sa petite famille étant
partie au bord de la mer, il avait tout loisir de faire
cela à son aise.
Il me pria ensuite de le suivre vers le grand fauteuil qui
trônait au centre de son cabinet. En me laissant passer
devant lui, nous nous frôlâmes et un frisson
me parcourut.
Je m'installai dans cet énorme fauteuil afin qu'il
puisse aisément ausculter ma bouche. Je me calai
au fond du siège et mes mains agrippèrent
les accoudoirs, afin de prévenir une éventuelle
douleur. Le fauteuil se transforma aussitôt en couchette.
Le dentiste vint s'asseoir derrière moi, se pencha
afin de m'attacher un "bavoir" de circonstance
et je sentis son souffle chaud et son regard intense ne
me quittait pas.
Il me fit ouvrir la bouche et localisa instantanément
le lieux de mes souffrances. Il travailla plus d'une heure
dans ma bouche, son visage placé au dessus du mien.
Ma douleur s'étant résorbée grâce
à l'injection de produit anesthésiant, j'eus
tout loisir d'observer son visage penché sur moi.
A chaque instrument nouveau qu'il prenait, son bras ou sa
jambe me frôlait, et le fait d'être ainsi entièrement
à sa merci était des plus excitant.
En fin de travail, il plaça autour d'une de mes
dents une sorte de broche qui m'obligea à garder
la bouche ouverte. Il m'expliqua qu'il me faudrait patienter
un petit moment afin que les produits durcissent .
Il enleva ensuite mon "bavoir" ce qui découvrit
mon décolleté. Quelques gouttes de salive
et de sang s'y trouvaient, et il les essuya avec application
tout en me fixant droit dans les yeux.
Comme il vit que je ne pouvait retenir un frisson, il commença
à me caresser doucement le cou et le haut des seins.
J'avais toujours ma broche dans la bouche et je ne pouvais
pas parler, mais il vu aux réactions de mon corps
que cela me plaisait beaucoup. Sa main descendit alors et
se glissa sous mon chemisier, je ne pus m'empêcher
de laisser échapper un grognement de plaisir. Sa
main glissait entre mon soutien-gorge et le tissu de mon
chemisier, il soupesait mes seins, l'un après l'autre
et semblait les trouver à son goût puisqu'il
me dit qu'il y avait la dessous de quoi remplir les mains
d'un honnête homme .Il déboutonna ensuite mon
chemisier et fit apparaître mes seins enserrés
dans leur soutien de dentelle bleue. Ses mains passèrent
derrière mon dos et il le dégrafa mettant
à jour ma jolie poitrine bronzée. Il se plaça
à côté de moi et pris un sein dans chacune
de ses mains, il les pétrit tel un boulanger pétrissant
ses miches. Il approcha ensuite sa bouche de mes larges
mamelons et se mit à me sucer les bouts, à
me les mordiller, à me les téter.
Je ne pouvais toujours pas parler, mais mes gémissements
allaient croissants et je sentais mon entrejambe s'humidifier
de plus en plus . Il était très excité
et quand je voulus moi aussi le caresser il m'en empêcha
en me maintenant les mains sur les accoudoirs. Je ne me
fis pas prier et me laissai faire par ses mains expertes
et sa bouche avide. Il se caressa le visage avec mes seins
et y prenait apparemment au moins autant de plaisir que
moi .
Sa main glissa alors sur mes cuisses tandis que sa bouche
tétait toujours mes seins. Il bougeât ensuite
son siège afin de le faire rouler à l'extrémité
du fauteuil. Il me tira les pieds pour me faire glisser
vers lui. M'écarta les jambes en les plaçant
sur ses épaules, ma jupe glissa jusqu'à mes
hanches et il entreprit de me sucer la chatte à travers
mon string de dentelle tandis que ses doigts jouaient toujours
avec mes mamelons. Mon excitation allait croissante, mes
mains serraient de plus en plus les accoudoirs et ma chatte
dégoulinait . Je sentis sa langue glisser entre mon
slip et ma peau puis écarter délicatement
mes lèvres humides, elle poursuivit son chemin jusqu'à
l'entrée de mon vagin et s'y glissât le plus
profondément possible. Cette langue agile se dirigea
ensuite vers mon clitoris qui était bandé
comme un pénis et dès son premier contact,
je ne pût m'empêcher de bondir et de pousser
un cri, ce qui amplifia encore son ardeur. Il me souleva
et fit glisser mon string.
J'étais écartée et offerte ne pouvait
pas parler mais ayant tout le loisir de gémir. Il
reprit son oeuvre où il l'avait laissée, il
me suça et me mordilla le clitoris, puis, sa langue
le quitta pour pénétrer mon vagin et glisser
vers mon anus. Mon dentiste ramena ses mains sous mes fesses
pour me soulever d'avantage et permettre ainsi à
sa langue de mieux me fouiller.
Ses doigts m'écartèrent encore davantage les
cuisses et il se mit à lécher avidement le
trou de mon cul. Je sentis sa langue s'y glisser et ses
doigts m'écarter encore plus de manière à
agrandir le passage pour celle-ci.
Moi qui étais vierge de cet orifice, je découvris
une ébauche du plaisir qu'il pouvait m'apporter .
Nous étions tous deux au comble de l'excitation.
Il m'allongea sur le fauteuil et vint se frotter à
moi tout habillé, ma jupe était remontée
sur mon ventre, mon chemisier était ouvert et mon
soutien-gorge se trouvait à hauteur de ma gorge.
Je sentis son sexe énorme contre mon pubis, ses mains
mes caressaient, sa bouche me dévorait avidement.
Il se coucha sur moi et entreprit d'enlever les instruments
dentaires qui se trouvaient encore dans ma bouche. Il m'embrassa
alors vigoureusement, en jouant avec sa langue dans ma bouche.
Je pouvais goûter le liquide de ma chatte qui dégoulinait
de ses lèvres et de son menton.
Il se redressa, et me retourna, il était toujours
habillé et ouvrit la braguette de son pantalon puis
m'empoigna les fesses. Je m'accrochai aux accoudoirs, la
croupe offerte attendant son bon vouloir .
Il me lécha et me mangea la chatte, suça mon
clito et enfouit simultanément sa langue dans mon
anus et ses doigts dans mon vagin. J'étais telle
une chatte en chaleur, je voulais le sentir dans mon ventre,
dans mon cul, j'aurais souhaité qu'il ait 100 mains
pour me palper et me caresser sous toutes les coutures .
Il m'attrapa ensuite par les hanches et sans le moindre
ménagement, me pénétra de son pieu
dur comme la pierre. Je sentis ses coups de butoir violents
me transpercer, j'hurlais de plaisir. Il m'attrapa ensuite
les seins et continua son pilonnage. J'étais au comble
de la jouissance, et je sentis mon liquide vaginal couler
le long de mes cuisses.
Brusquement, il sortit de mon vagin, me donna une claque
sur chaque fesse, ce qui me fit pousser une plainte de douleur,
mais l'excitation était si grande .
Il m'écarta ensuite les fesses, je voulus lui dire
que jamais un homme ne s'était introduit dans mon
cul, mais je n'en eu pas le temps. J'hurlai d'abord de douleur,
mais très vite, celle-ci fit place au plaisir. Son
va et vient s'accélérait, c'était extraordinaire.
Je pensai un instant au voisinage qui ne pouvait pas ne
pas m'entendre à travers la fenêtre ouverte,
mais bien vite, mon esprit revint à ce qui se passait
dans le cabinet. Je sentis son sperme se déverser
par giclées à l'intérieur de mon cul,
il sortit prestement son sexe afin d'éjaculer sur
mes fesses et m'enduire le cul de sa semence.
Je m'écroulai, épuisée de plaisir,
mais je compris rapidement qu'il ne comptait pas en rester
là. Il me retourna une nouvelle fois afin que je
lui fasse face, il m'obligea à m'accroupir devant
lui et me dit que la salope qui était devant lui
allait devoir utiliser sa bouche fraîchement remise
en état. Il était toujours complètement
habillé avec son sexe qui sortait de sa braguette,
et moi, j'avais toujours le chemisier ouvert, le soutien
pendant et la jupe relevée, le seul vêtement
qu'il m'avait retiré était mon string.
Je commençai donc à lui caresser le sexe
et à lécher le sperme qui se trouvait encore
à l'extrémité de son gland. Très
rapidement, celui-ci retrouva une certaine rigidité.
Ma langue le lécha, ma bouche l'engloutit. Je suçai
son gland afin d'en récolter les quelques gouttes
de sperme qui s'en échappaient. Ma main lui imprima
un mouvement de va et vient et ma bouche gourmande l'aspirait
avec avidité. Ma main libre glissa dans son pantalon
pour lui caresser les couilles. Là, n'allant sans
doute pas assez vite à son goût, il prit ma
tête entre ses mains et accéléra le
rythme. Je le sentais gonfler dans ma bouche même
si celle-ci était encore légèrement
endormie. Et là, n'en pouvant plus, il poussa un
cri rauque et éjacula par jets dans ma bouche en
maintenant ma tête afin que je puisse tout avaler.
Je continuai à le lécher, l'aspirer, le pomper,
il était savoureux. Il me traita encore de salope
en m'obligeant à ne rien oublier, puis, me releva
et m'embrassa fougueusement.
Il me prit dans ses bras, et tout doucement me souleva
pour me poser sur l'une de ses armoires. J'étais
surprise du changement d'attitude qui s'opérait en
lui. Autant avait-il été violent et direct
il y a un instant, autant maintenant, il faisait preuve
d'une infinie délicatesse. Il m'écarta doucement
les jambes plaça le creux de mes genoux sur ses épaules,
et se mit à me lécher doucement. Il contempla
ma chatte en partie rasée et titilla délicatement
mon clitoris.
Il attrapa ensuite "l'aspirateur" qui permet aux
patients de ne pas s'étrangler avec leur salive et
commença ma toilette intime. La succion de son appareil
nettoya ma chatte, mon anus et mes fesses des restes de
sperme et de liquide vaginal. Il embrassa une fois encore
mon clitoris, puis saisit mon string et me le remit. Il
se pencha alors vers ma poitrine, embrassa doucement chacun
de mes seins et rajusta mon soutien-gorge. Il enfouit un
moment son visage entre mes seins comme s'il voulait en
garder l'odeur à tout jamais, se redressa et reboutonna
mon chemisier. Il referma également sa braguette
après avoir replacé son sexe enfin repu dans
son pantalon. Il me remit sur mes pieds et se pencha vers
mon oreille pour me dire qu'il avait adoré me baiser
et qu'il en garderait à jamais le souvenir. Je compris
que cette aventure serait la seule que nous connaîtrions
à deux, je voulu protester, mais il plaça
son doigt sur ma bouche afin de m'intimer le silence. Puis
il m'embrassa en guise d'adieu .
Voilà. Vous savez maintenant pourquoi je fantasme
sur le corps médical .
S'il y a des volontaires, je suis partante .
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