Depuis de nombreuses années j'étais partagé entre l'envie de raconter mon
histoire et la gêne de devoir avouer mon comportement. Aujourd'hui les
années ont passé et je reste seul pour en parler.
Jeune ingénieur et marié à l'époque, nous habitions un studio en ville.
Mes beaux- parents habitaient une maison dans un quartier proche et nous
recevaient fréquemment. Depuis ma première rencontre avec Andrée, ma
belle-mère, je la trouvais séduisante malgré la différence d'âge Son mariage
ne marchait pas trop bien, un mari souvent absent et vraisemblablement
volage. Ils se séparèrent d'ailleurs peu de temps plus tard.
Les fêtes familiales étaient souvent l'occasion de danser, plaisir partagé
par tous les membres de la famille. Tenir dans mes bras Andrée était une
source d'émotion et de caresses esquissées discrètement, de tendres regards,
pas de gestes cependant trop équivoques. Elle dansait à merveille et me
faisait ainsi progresser dans ce genre de loisir. Toujours habillée avec
beaucoup de classe mais aussi avec une pointe de séduction. J'étais grand,
mince, blond aux yeux bleus et je sais que je plaisais beaucoup aux jeunes
filles de mon entourage professionnel, mais rien ne me prédisposait à ce qui
allait se produire.
Pilote privé, j'emmenai un jour Andrée faire une longue balade en avion,
alors qu'elle craignait tellement cette expérience. En vol sa robe d'été
courte dégageait en partie ses cuisses minces et le haut de ses bas noirs,
son décolleté me laissait apparaître des seins que mes mains avaient déjà
frôlés de nombreuses fois en dansant. Au retour, elle me remercia en me
déposant une série de baisers fougueux, instant émouvant mais abrégé par la
présence d'autres membres de la famille.
Peu de temps après, lui ayant rendu un service en réparant un problème
électrique chez elle, nous étions devant la porte de sortie et en
l'embrassant nos lèvres fortuitement se touchèrent. Elle me reprocha ce
geste, je m'excusai et j'ajoutai que je la trouvais adorable, et que je
l'adorais. Elle en rit, puis me caressa la joue et me conseilla de partir
vite en m'embrassant d'une façon peut-être un peu plus appuyée que
d'habitude.
Quelques jours plus tard, seul avec elle en début d'après-midi, pour un
motif que j'ai oublié, nous allions prendre une tasse de café avant que je
parte. Dans le salon elle posa ma tasse sur la table basse et s'assit sur le
fauteuil à côté. Je lui pris sa main et l'attirai vers moi en lui déclarant
que j'éprouvais beaucoup de choses troublantes à ses côtés. Elle se leva,
s'approcha et lentement s'assit sur mes genoux, puis elle m'embrassa
tendrement. J'étais surpris, de mon audace, mais aussi de sa réaction, et de
la rapidité de l'évolution de son attitude. Dans mes bras je la serrai,
caressant sa taille, sa poitrine menue au travers du tissu, son ventre, ses
cuisses et l'embrassant tendrement ; mes mains tremblaient, mon sang
bouillonnait.
Mon émotion devait être perceptible tout comme la sienne; ses gestes
devenaient caressants et sa main s'insinuait dans ma chemise après avoir
ouvert un bouton. Ma main caressait maintenant ses cuisses et remontait
lentement sous sa jupe, ses mains couraient sur mon torse et sa langue
fouillait impérieusement ma bouche. Je glissai un doigt sous sa culotte et
constatai qu'elle était humide, ses jambes s'écartèrent un peu afin que je
puisse la caresser et Andrée me laissait faire tout en explorant mon torse
après avoir ouvert ma chemise.
Elle portait des bas noirs suspendu à un porte-jarretelles et une culotte
de taille minimum. Ma main explorait sa peau sous ces sous-vêtements
affriolants que j'avais déjà devinés lorsque nous dansions, mais cette fois
elle m'offrait son corps, son intimité pour la première fois. Les yeux
fermés, elle respirait maintenant plus calmement, belle, avec sa peau douce
et lisse au toucher.
Je l'ai déshabillée complètement, elle en a fait autant avec moi et nous
nous sommes allongé sur le tapis du salon, quelques secondes avaient suffi
pour que nous soyons nus et enlacés, je l'ai caressée doucement, ma main
prenait possession de son sexe, mes doigts se glissaient entre les lèvres
entrouvertes puis à l'intérieur du vagin, j'entendais son souffle
s'accélérer en rythme avec mes caresses, son désir montait et lui donnait
des contractions dans son ventre pendant que sa chatte expulsait son
liquide, elle jouissait avec abondance sous la caresse, d'une façon quasi
continue et je découvrait cela pour la première fois chez une femme.
Sa main avait emprisonné mon sexe gonflé et dressé presque à la verticale,
elle me complimenta sur sa taille et me demanda d'être doux avec elle car
elle en redoutait la pénétration, mais sa chatte ouverte très humide
l'accueillit et accrochée à mon corps, quelques coups de reins suffirent
pour la faire jouir à nouveau, elle était déchaînée, en demandant encore et
encore, sans pause, criant son plaisir ; plus je la pénétrais, plus je
donnais de force à mes mouvements, plus elle semblait apprécier avec
gourmandise, tout cela accompagné d'une sorte de clapotis explicite sur la
quantité de liquide que nous avions échangé dans cet instant.
Elle me dit avoir découvert des sensations nouvelles, assez fortes pour
qu'elle n'ait plus conscience du temps et de l'endroit, une sorte de voyage
continu avec des sensations exacerbées pour reprendre l'expression qu'elle
me confia quelques minutes plus tard. Elle ajouta n'avoir jamais une telle
intensité avec son mari, ni accueilli un sexe aussi impressionnant, elle
avait atteint uns sorte d'ivresse, ou des limites inconnues. .
Gênés et un peu honteux par ce qui venait de se passer, après ses quelques
paroles sur l'acte que nous venions de commettre, Andrée me dit qu'il ne
faudrait plus jamais recommencer, elle était la mère de ma femme, nous
étions tous les deux mariés et personne ne devait découvrir ce qui venait de
se produire. Elle ajouta quelques détails sur ses déceptions dans sa vie
d'épouse. Pour ma part je lui ai confié alors le manque d'enthousiasme de ma
femme et je pense qu'à ce moment je voyais dans cet acte une façon de
sauvegarder l'équilibre de mon couple.
Toujours nus, allongés l'un contre l'autre, je caressais encore son corps
que je voyais maintenant dans son ensemble, elle était mince, des chevilles
fines, des formes bien dessinées, un corps de jeune femme extraordinairement
sensuel à mes yeux. Je n'ai pas écouté ses réserves sur cet instant de
bonheur et lui ai déclaré que je l'adorais encore plus et qu'en prenant
énormément de précautions je ferais en sorte de pouvoir la retrouver en
toute intimité car j'en avais une formidable envie. Andrée ne protesta pas
trop mais déclara que j'étais un peu fou et imprudent..
Pendant quelques jours la vie repris un cours normal mais je n'oubliais
pas le corps d'Andrée et ses réactions dans mes bras. Malgré les risques
j'ai trouvé les moyens de pouvoir préserver quelques moments d'intimité qui
nous ont encore apporté cette jouissance profonde, ample bien que ce soit
des instants courts, volés dans des endroits peu propices, la cuisine, le
couloir, le garage, la buanderie et dans des positions quelques fois
inédites pour nous deux. Nous avions surmonté nos remords et nous goûtions
pleinement notre sensualité exacerbée sans réserve.
Pour me plaire Andrée continuait à porter ses dessous affriolants, me les
réservant devait-elle un jour me l'avouer. Je lui ai dit le plaisir que
j'éprouve à la voir porter ses tenues. La voir en bas et sous-vêtements
noirs sur une peau d'une grande blancheur est un souvenir que je ne peux pas
oublier.
Entre nous c'est toujours extraordinaire, sa fougue, ses demandes
réitérées, ses besoins de femme et ma jeunesse pleine de vigueur font des
miracles, elle a des orgasmes multiples, elle inonde sa chatte et de ce fait
retarde le moment ou j'éjacule, nous avons des relations voluptueuses et de
plus en plus longues, et une complicité discrète qui fait qu'en famille nous
nous comprenons juste avec un regard ou une mimique.
J'ai mis à profit des après-midi de récupération de tour de services, des
moments de liberté entre deux réunions à l'extérieur, des nuits de service
pour nous retrouver, et nous étions toujours dans l'attente de ces moments
intenses.
Nous sommes partis en vacances dans le Sud de la France, Andrée seule car
son mari l'avait quitté, quand à moi je me posais de nombreuses question sur
l'attitude de ma femme qui avait toujours besoin d'un moment de liberté
alors que nous avions des projets de visites, de baignades, de sorties en
soirée. Les ballades en montagne seul avec Andrée, elle en maillot de bain
et short, moi torse nu en short nous conduisait au plus profond de la
campagne, masqué par la végétation et là inévitablement nous nous enlacions
pour un rapport plein de fougue, auquel succédait des caresses afin de
retrouver une part de calme avant de revenir. Nous avons fait l'amour dans
la piscine, dans sa chambre, dans la campagne, à la plage, rien ne nous
rassasiait mais rien ne permettait à qui que ce soit de deviner cette
relation.
De retour de vacances, nous avons repris nos rendez-vous discrets assez
souvent trop courts mais aussi des après-midi complètes ou dans la pénombre
d'une chambre d'hôtel nous passions plusieurs heures accouplés et faisant
l'amour en variant la fréquence et l'intensité de mes mouvements mais sans
changer de position, André jouissant de nombreuses fois, (ce que très peu de
femme m'ont montré depuis) moi la comblant de tout ce que je pouvais lui
donner sans arriver à lui faire demander d'arrêter, nous étions trempés en
fin de journée, le lit aussi et tout notre corps allait ressentir encore le
lendemain cet exercice continu.
Puis après quelques années et un divorce, tout à changer, Andrée a
déménagé dans le Sud, et cette période devenait un souvenir qui ne nous
rapprochait plus que dans notre mémoire. J'ai cherché à retrouver de tels
instants d'intensité et de satisfaction avec d'autres partenaires , mais je
ne les ai retrouvés que très exceptionnellement depuis et le fait de
raconter cet épisode me donne toujours les mêmes réactions physiques qu'à
l'époque.
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