Julie aime sentir l'eau de la douche ruisseler sur son magnifique corps de
nymphomane. Elle est faite pour le sexe. Elle a besoin régulièrement de sa
dose de coups de queue. Cette blonde de vingt cinq ans n'est jamais
rassasiée. Son mari Rémi, vingt six ans, le sait. "Si tu assure pas, lui
répète-t-elle, je prendrai un amant. Un black bien monté de préférence. Tu
sais que j'en ai toujours rêvé". Elle sort de la douche et contemple
son corps dans le miroir du placard. Un sourire satisfait, elle enfile un
peignoir et va s'installer sur le canapé. Très vite, elle part dans des
pensées érotiques. Elle sent une agréable chaleur au creux de son ventre.
Elle dénoue son peignoir, écarte ses jambes et commence à se caresser.
-Oh ma chatte, mais tu es toute mouillée, tu aimes ce que je te fais,
polissonne. Et toi, mon petit clitoris, tu te régales quand je te
décalotte pour te doigter. Je vais vous faire du bien, vous allez voir.
Elle ôte son peignoir. Elle écarte ses jambes au maximum et part dans des
caresses. Elle se cambre pour faire ressortir son ventre et ses seins.
Ses doigts s'activent dans sa chatte et sur son bouton. D'un coup,
c'est l'explosion. Elle roule sur la moquette, prise de spasmes. Elle
jouit. Elle attrape ses cheveux à deux mains et agite sa tête dans tout
les sens, comme si elle devenait folle. L'orgasme est terrible. Elle
hurle comme une bête en se tortillant au sol comme une chatte en chaleur.
"Putain, mais qu'est-ce-qu'il m'arrive". Elle glisse une main entre
ses cuisses. Elle s'aperçoit que ses lèvres sont toute gonflées. Le sang
afflue dans son clitoris. Son corps en veut encore. À moitié inconsciente,
Julie se relève et se met à cheval sur l'accoudoir du canapé. Elle
appuie ses mains sur le dossier et cambre ses reins pour faire ressortir
sa croupe. Elle commence à faire de lents va-et-vient. Ses lèvres
ouvertes frottent sur le cuir du canapé, de même que son clitoris
entièrement décalotté qui racle sur l'accoudoir. Elle passe une main en
arrière et joue avec son petit trou, préalablement lubrifié de mouille.
"Toi aussi tu aimerais prendre un coup de queue, je le sais".
Julie ne sais pas comment se mettre tellement elle apprécie ce qu'elle se
fait. Elle accélère ses va-et-vient sur l'accoudoir. Elle perd
l'équilibre et tombe sur la moquette, le corps en proie à de terribles
tremblements. L'orgasme est aussi puissant que le premier. C'est en
larmes qu'elle crie sa jouissance.
"Ha, ha, que c'est bon mon dieu, je me fais jouir toute seule maintenant.
Quelle bordille je suis".
Elle reste un moment allongée, jambes écartées, profitant des derniers
instants de bonheur, parcourant son corps de ses mains. Une fois remise,
elle décide d'aller prendre une douche. À peine rentrée, le miroir
reflète son corps encore en feu, secoué de frissons, comme s'il réclamait
un surplus de caresses. Les bouts de ses seins, devenus énormes, lui font
mal. Elle les prend et les fait rouler entre ses doigts.
"Mes chéris, vous vous régalez. Vous avez besoin de mains d'hommes vous
aussi".
Elle ouvre le tiroir pour prendre ses produits et tombe en arrêt devant
une cartouche de dentifrice et une brosse ronde. Le tout du calibre
d'une bonne queue. Avec la brosse, elle commence par exciter son petit
bouton, puis se l'enfonce dans la chatte. Les râles de plaisir ne tardent
pas à se faire entendre. Ensuite, elle taquine son petit trou avec le tube
de dentifrice.
Doucement, le gode de fortune disparait dans l'anus entièrement dilaté.
Elle est dos au miroir. Elle tourne la tête pour contempler son corps se
faire prendre par les deux intrus. Aux bouts de dix minutes, des
hurlements de plaisir traversent la salle de bains. Elle vient de jouir
pour la troisième fois.
"C'est pas vrai, petite pute que tu es, salope. Mais c'est tellement
bon".
Elle sent la cyprine couler sur ses cuisses. C'est sur, une douche
s'impose. En lavant ses parties intimes, un sourire éclaire son visage.
"Vivement ce soir, vous allez voir comme je vais bien m'occuper de
vous".
Sa toilette terminée, elle décide d'aller de se reposer. Son corps l'a
bien mérité.
Frankie
|