Ce matin, elle s'était réveillée d'excellente humeur, depuis son lit,
elle voyait par la fenêtre le soleil qui brillait et qui annonçait une
très belle journée d'automne, chaude mais pas trop.
Sortant de sa douche elle admira longuement son corps nu dans le miroir
puis son regard se porta plus particulièrement sur son sexe. Hier soir
elle l'avait soigneusement épilé et les lèvres roses de sa vulve
apparaissaient maintenant dans toute leur nudité. Elle avait une petite
moule, mais avec des lèvres très proéminentes qui la mettaient très en
valeur.
"C'est réussi, il est beaucoup plus joli comme cela " se dit-elle en
passant lentement un doigt sur la fente. Son corps réagit aussitôt, son
autre main quitta alors sa poitrine et descendit également vers son sexe,
caressant au passage son ventre plat, jouant avec son nombril. Elle
s'attarda sur cette partie de son corps, admirant encore dans le miroir
son mont de Vénus d'une parfaite cambrure.
Elle savait très bien pourquoi elle s'était épilée, et surtout elle
savait pour qui. Elle pensa à lui et imagina l'effet que son sexe rasé
lui ferait. En effet, quelques jours plus tôt, son amant lui avait dévoilé
son adoration sans limite pour le sexe des femmes et la passion qu'il
avait pour sa petite moule à elle quand elle était épilée.
Dans cette discussion de confession, il lui avait également avoué qu'il
se masturbait régulièrement en pensant à elle. Cette dernière révélation
ne l'avait pas étonnée, car elle l'avait déjà vu, par la porte
entrouverte de son bureau, se donner du plaisir en solitaire.
Il faisait cela presque toujours de la même manière, assit à son bureau,
le pantalon et le slip baissés sur les chevilles. D'une main il tenait
son sexe, le caressant lentement mais vigoureusement tandis que avec
l'autre, il faisait défiler des photos sur son ordinateur. Elle émit un
soupir lorsque dans sa tête revint l'mage de cette queue toute raide
avec ce gland tout rouge et bien gonflé.
L'observant par la porte restée entrouverte, elle avait bien sur reconnu
les photos, ils les avaient faites ensemble quelque temps auparavant.
C'étaient des photos d'elle, pour lesquelles, soumise, elle avait du
écarter les jambes et exhiber son sexe dans toute les positions. Elle se
souvenait de ces séances de pose où la gêne se mêlait au plaisir. Elle
était timide, et ce n'était pas facile pour elle de lui exposer ainsi son
intimité la plus secrète, mais d'un autre côté elle aimait lui faire
plaisir et c'était agréable de savoir qu'il l'admirait et la désirait.
L'une des séance ses masturbations lui revint à l'esprit, elle avait
remarqué que non seulement la porte de son bureau était ouverte mais que
la porte de l'armoire à linge l'était également, de telle sorte que le
miroir fixé sur l'armoire reflétait tout ce qui se passait dans le bureau.
Elle avait tout de suite compris que ce n'était certainement pas un
hasard et que c'est lui qui avait organisé cette mise en scène. Amusée et
un peu excitée, elle avait décidé de jouer son jeu. Elle avait alors
entrepris le nettoyage de la petite salle de bain, sachant que depuis là,
elle pourrait l'observer se caresser.
Elle repensa au moment où le sperme avait jaillit. Le jet puissant de ce
liquide blanc s'était répandu par saccade sur le sol. Elle avait trouvé
cela très excitant et elle en était très émue, car s'il s'était caressé
tout seul, c'était quand même un peu grâce à elle qu'il avait joui, en
effet c'était une des photos en gros plan de sa petite vulve qui l'avait
stimulé.
En fait, elle n'avait pas totalement raison, car si les images de son
sexe parfait sur l'écran l'avaient beaucoup encouragé, c'est seulement
lorsqu'il avait vu dans le miroir qu'elle le regardait, que sa
jouissance était venue. Se sentir surpris par elle en train de se
masturber avait déclenché chez lui un orgasme très violent et d'une très
grande intensité.
Tous ses souvenirs provoquèrent soudainement chez elle une bouffée de
chaleur entre les jambes et elle ressenti une très forte envie de se
caresser. Ses mains remontèrent vers ses seins pour en caresser les tétons
qui ne tardèrent pas à durcir. Elle aimait beaucoup se caresser les seins,
agacer ses tétons. Inévitablement sa main gauche, elle s'était posée sur
sa vulve pour la masser doucement, elle soupirait.
Son index titillait son petit bouton qui ne demandait que ça, puis enfin,
elle glissa un doigt entre ses lèvres brûlantes. Les jambes écartées, elle
continuait d'une main à se triturer les seins et de l'autre se
masturbait comme une folle, introduisant deux puis trois doigts dans son
sexe.
Se retournant elle se mit sur les genoux et continua à se donner du
plaisir en agaçant son clitoris, elle ne contrôlait plus rien et enfin
elle explosa dans un orgasme libérateur.
La journée commençait bien.
Quittant la salle de bain, elle choisi de mettre sa mini-jupe beige et un
mini débardeur blanc qui laissait apercevoir le bas de son ventre. La jupe
était très courte et au moment de mettre un slip, elle hésita, "et si je
n'en mettais pas aujourd'hui".. Elle se ravisa, et enfila un petit
string rose transparent. Elle l'ajusta, celui-ci ne cachait en fait pas
grand-chose, mais il moulait adorablement son sexe. Le coton du
sous-vêtement s'était insinué dans la fente du sexe, il en épousait
parfaitement la forme. Elle pouvait voir les contours flous de ses lèvres.
" Je pense qu'il va aimer" dit-elle en abaissant sa jupe.
Elle prit son sac, attrapa une veste et quitta la maison. Elle travaillait
en tant que femme de ménage depuis plusieurs années pour la même famille.
Lorsqu'elle arriva devant son lieu de travail, elle remarqua tout de
suite que sa voiture était là. Cela signifiait qu'IL était là. Son coeur
se mit à battre plus vite, peut être allait-il rester travailler toute la
journée à la maison comme il le faisait parfois..
A peine entrée, elle entendit retentir un "Bonjour" qui venait du
premier étage, il était à son bureau..
"Voulez-vous nous préparer deux cafés dit-il, j'arrive tout de suite".
Lorsqu'il était entré dans la cuisine, une chose l'avait tout de suite
intriguée, il ne s'était pas habillé comme d'habitude, Il ne portait
qu'un petit short et un t-shirt. Il lui expliqua qu'il pensait
travailler à la maison et qu'il faisait trop chaud pour vraiment
s'habiller."
Ils burent le café tranquillement, discutant de tout et de rien. Il lui
demanda comment s'était passé le weekend, si elle en avait bien profité,
ils parlèrent de différentes choses, mais en fait de rien en particulier.
C'est lorsqu'ils eurent fini le café, qu'il s'approcha d'elle. Il la
prit par les épaules et lui dit, en lui tendant ses lèvres, "Bonjour
quand même..."
Elle lui donna un petit bec rapide.
"Oh!" dit-il j'aimerai tant en avoir un vrai..". Elle aussi, en
mourrait d'envie, mais elle adorait lui résister, se faire désirer. Elle
fit mine de refuser, mais suite à ses demandes insistantes, elle fini par
accepter.
Elle affectionnait particulièrement la manière dont il l'embrassait, sa
langue chaude qui fouillait sa bouche profondément, tandis que ses mains
caressaient son corps. Cela la faisait frémir. Il l'embrassait toujours
longuement et si parfois elle avait de la peine à respirer, elle vivait
ses moments avec extase.
Elle sentit une de ses mains partir sous sa jupe et ses doigts lui
caresser les cuisses et remonter vers son ventre. Juste pour le provoquer,
elle serra les jambes, empêchant la progression de sa main vers son sexe.
"Vous êtes chou d'avoir mis une jupe, vous êtes si jolie comme cela et
très désirable aussi" . "
Vous avez mis un slip?" lui demanda-t-il, en espérant secrètement
qu'elle lui réponde par la négative. Elle n'osa pas lui avouer son envie
de ce matin et elle lui répondit "oui, mais celui que j'ai choisi est
vraiment tout petit".
Reculant pour mieux l'admirer, il lui dit d'un air ferme mais emprunt
d'une forte émotion: " Vraiment tout petit ? Montrez le moi, remontez
votre jupe et montrez le moi".
Elle senti d'un seul coup une boule de chaleur l'embraser, tétanisée
elle obéit sans dire un mot. Elle fit remonter sa jupe et un slip rose
apparu. C'est vrai elle n'avait pas menti, le slip était minuscule.
Couvrant à peine son intimité, il moulait adorablement son sexe, laissant
deviner ses lèvres et le sillon qu'elles formaient.
A cette vue, il comprit tout de suite qu'elle avait tout épilé et que
sous le string son sexe était complètement nu. Le spectacle était aussi
érotique qu'impudique
" Enlevez votre slip" dit-il d'une voix à la fois ferme et douce,
"Faites moi admirer ce sexe glabre".
Il était trop tard pour réfléchir, ses mains étaient à la hauteur de
l'élastique et elle fit descendre son string jusqu'à terre et, afin
d'être plus libre, elle enleva également sa jupe.
Sa vulve apparut dans toute sa splendeur. Emerveillé il se pencha un peu
et constata à quel point sa chatte était déjà mouillée. Il passa ses
doigts sur la fente : Elle se mit aussitôt à gémir. Aussi, ôta-t-il ses
mains pour laisser place à sa bouche ; il s'agenouilla entre ses jambes
nues, saisit ses cuisses pour les écarter largement et fourra sa tête ; il
aimait sentir cette chaleur, cette odeur si spéciale; l'odeur de la
femme, de l'excitation, dans ce qu'elle a de plus secret et de plus
intime. il avança la langue et entreprit de lécher doucement le contour
des lèvres. Le goût de sa vulve était délicieux.
Elle frémissait de tout son corps, écartant le plus largement possible les
jambes pour lui faciliter l'accès.
Les petits coups de langue d'abord discrets se changèrent en grandes
lapées bien appuyées ; il sentit alors que sa vulve s'ouvrait comme un
bouton de fleur ; elle était offerte, prête à recevoir tous ses assauts ;
il s'attaqua encore au clitoris ; celui-ci était tout dressé et venait à
la rencontre de sa langue.
Dans une technique parfaitement maîtrisée, il redessina de sa langue le
contour de ses lèvres, explorant le moindre recoin, ralentissant et
s'attardant aux endroits les plus richement innervés. Doucement, il
faisait aller et venir sa langue le long de la fente, titillant à chaque
passage le clitoris Les vagues de plaisir devinrent plus rapprochées, plus
intenses. Sentant son orgasme arriver, il introduisit un doigt, puis deux
dans son vagin.
Il la sentit se cabrer puis s'immobiliser, il appliqua sa bouche autant
qu'il put sur son sexe et il sentit alors sa chatte s'ouvrir tandis
qu'elle criait de plaisir.
Elle resta tendue, les yeux fermés, les jambes écartées pendant de longues
secondes avant de retrouver son souffle. C'était bon, elle avait joui
intensément.
C'était à son tour maintenant de lui donner du plaisir, elle en frémit de
joie.
Elle s'approcha de lui et d'un geste plein de douceur mais décidé, elle
fit glisser son short : le sexe apparut, déjà tout gonflé de désir.
Elle se laissa glisser à genoux devant lui, son regard se riva sur cette
queue turgescente, elle observait avec gourmandise l'imposante paire de
testicules.
Elle lui agrippa les couilles. Elle les soupesa dans le creux de sa main
et vit son sexe se raidir encore plus. Elle fit rouler chaque testicule
doucement entre son pouce, son index et son majeur, puis les embrassa.
Elle ouvrit grand la bouche et en goba un entièrement. Elle suçota le
testicule comme s'il s'agissait d'une friandise. Elle fit la même chose
avec l'autre puis donna de petits coups de langue sur le gland.
Brusquement elle engloutit le pénis entre ses lèvres roses et se mit à le
sucer avec une férocité presque animale. De la salive s'écoulait de sa
bouche tandis qu'elle dévorait ce sexe dans un grand bruit de succion.
Elle le suçait avec adresse. Elle léchait toute la longueur du sexe
recouvert de salive. L'énorme queue durcit davantage peu à peu.
Elle savait qu'il allait jouir, que son sperme allait jaillir, elle
aurait bien aimé le sentir éjaculer dans sa bouche, mais ça elle ne le
pouvait pas. Ce n'est pas que ça la dégoutait vraiment, mais c'était
comme cela, c'était physique. Elle avait essayé plusieurs fois mais elle
n'y était jamais totalement arrivée.
Sentant le moment proche, elle sortit alors la queue de sa bouche et pris
le gland entre ses doigts et elle commença à masser doucement la pointe,
comme il lui avait appris. Avec son autre main elle entreprit de lui
caresser les testicules. Il avait fermé les yeux pour mieux profiter de
l'instant .
Elle eut un petit hoquet de surprise lorsque le sperme apparut, par longue
saccade, deux, trois, quatre.ça n'arrêtait plus.Mais elle continuait son
massage, elle voulait qu'il jouisse à fond, souhaitant qu'il se vide
complètement, qu'il lui donne toute sa semence. Totalement absorbée par
cette éjaculation, elle n'avait même pas remarqué que le premier jet avait
complètement maculé sa joue. Elle était adorablement désirable avec ce
sperme qui coulait maintenant vers la commissure de ses lèvres.
L'obligeant à se relever, il l'embrassa fougueusement mêlant sa salive
avec le sperme de sa joue. Elle remarqua immédiatement que le goût de son
baiser était différent, mais ce goût acre ne lui déplu pas.
"Merci, c'était très bon" lui dit-il en réajustant son short. Vous
m'avez donné beaucoup de plaisir, votre bouche et vos mains sont si
agiles.
Elle voulut s'habiller, mais il attrapa son slip et lui dit: " non non,
ne le remettez pas, je vous le rendrai ce soir, aujourd'hui je veux
profiter de vous, et je veux pouvoir accéder à votre sexe à tout moment.
Vous resterez donc comme cela toute la journée. Après tout nous n'avons
conclu que les préliminaires.."
Cela la fit d'abord rigoler, "mais après tout pourquoi pas " se
dit-elle, ce n'étais pas si désagréable de se sentir nue. Elle aimait le
faire de temps en temps chez elle et là, comme c'était plus risqué, cela
avait plus de piquant. D'accord dit-elle mais seulement jusqu'à midi.
L'après-midi trop de monde pouvait rentrer sans prévenir..
La matinée se poursuivait ...
Jean Finiel
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