TITRE : Cathy la curieuse
Catégorie : 
Histoire Exhibtion et voyeurisme

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Je m’appelle Gisèle. Je suis une joyeuse célibataire dans la trentaine. Georges est un copain, cultivateur qui aime bien prendre avec moi des distractions sans sa femme ; il fait cela discrètement. Je suis apparemment l’une de ses préférées. Il faut dire que ses 44 ans ne l’empêchent pas d’être un amant vigoureux et passionné. Il n’a aucune fausse pudeur, on pourrait même dire qu’il manque de pudeur, parce que, lorsqu’on est dans un lieu public, je dois souvent lui rappeler de retenir ses ardeurs.


Ce dimanche-là, Georges et moi étions allés dans un parc. Nous avions trouvé un coin où il n’y avait pas beaucoup de monde pour étendre notre couverture. Georges aime mieux les couvertures que les tables, parce que ça nous permet de nous faire des bisous. En profitant des rayons du soleil et en buvant un rosé bien froid, nous nous sommes mis de l’huile l’un l’autre (bien plus que nécessaire !) et nous nous sommes embrassés à pleine bouche. Cela plaisait visiblement à un homme dans la cinquantaine qui nous observait en voyeur pervers. Je n’avais pas d’objection à ce que Georges passe sa main sur le haut de mes fesses ou qu’il ajuste ma culotte de temps à autre, mais quand il a commencé à jouer avec mon soutif, je l’ai arrêté. D’ailleurs, il était bandé et ça se voyait très bien. Cela plaisait évidemment au voyeur – la bosse dans son maillot le prouvait – mais pas à la mère de famille installée un peu plus loin...


J’avais beaucoup très envie de me faire culbuter. Georges est bien bâti, bien membré, et il sait faire jouir une femme. Quant à lui, je n’avais aucun doute sur ses intentions, ni sur son envie : cela paraissait de temps à autre dans sa culotte. Je lui ai proposé de venir souper à mon appartement. En route, j’ai téléphoné à ma copine Cathy. C’est une copine de travail à moi. Elle est très curieuse en matière de sexe ; son copain est un gars assez conventionnel et mes allusions à mes sorties mouvementées avec des hommes allument des étincelles dans ses yeux. L’autre jour, j’ai laissé tomber dans la conversation que cela ne me faisait rien de baiser en présence d’une autre femme et elle est restée songeuse. Alors, ce dimanche après-midi, j’ai pris la chance de l’appeler : elle était effectivement chez elle, seule, et était libre. Elle a tout de suite accepté de venir souper avec mon amant du jour et moi.


Comme nous montions l’escalier de mon immeuble, Georges me chauffait : il me prenait les fesses avec ses grandes mains et faisait des blagues cochonnes. Mais je lui ai dit qu’il y aurait une surprise et qu’il devrait attendre un peu pour faire la fête. Intrigué, il a voulu savoir quoi, il a voulu me prendre en douce, il a essayé toutes sortes de choses, mais j’ai réussi à le faire patienter jusqu’à l’arrivée de l’invitée mystère. Cathy portait un pantalon très ajusté en tissu élastique et un T-shirt qui suggérait de jolies formes de jeune fille, des petits seins hauts et fermes, un derrière légèrement rebondi. Une belle bande de peau était dégagée au niveau des hanches. Elle n’est pas ce qu’on appelle une belle fille, mais, avec ses cheveux longs et son corps très jeune, elle est attirante. Georges était ravi.


Dès que les présentations ont été faites et le pinard servi, il s’est assis entre nous deux et a commencé à lui faire du plat autant qu’à moi : comprenenez qu’il entreprenait de la caresser tout en racontant des choses gentilles. Cathy a été effarouchée et est allée s’asseoir dans un fauteuil à une place, pour plus de sûreté. Aors j’ai dit à Georges qu’elle venait souper et nous regarder. Il aime beaucoup baiser avec moi, mais j’ai senti qu’il était déçu, parce qu’il aurait préféré qu’on fasse ça à trois. Enfin, je devais m’y attendre...


En moins de deux, il avait enlevé son chandail et son pantalon et exhibait sa grosse bite, plutôt mollette encore. J’ai senti Cathy se raidir, mais elle était fascinée par ce gros engin noirâtre. Il m’a déshabillée très vite et s’est mis à sucer mes gros nichons. Je me suis étendue sur le sofa et me suis laissée faire. Georges me couvrait de baisers fous. Les yeux fermés, j’ai étendu le bras et c’est une bite bien raide que j’ai rencontré : alors je le tenais par là en le caressant doucement pendant qu’il m’embrassait sous les bras, sur le ventre, entre les cuisses puis sur ma chatte. Ca n’a pas été long que j’étais mouillée, et je ne voulais pas attendre plus longtemps pour me faire prendre, peu importe si Cathy était confortable ou pas avec ça.


Je me suis mise à quatre pattes sur le sofa et je lui ai dit de venir vite entre mes cuisses. Il ne s’est pas fait prier ! Comme je n’étais pas tout à fait assez mouillée quand il m’a enfilée d’un coup, j’ai poussé un cri et j’ai serré les fesses. Aussitôt Georges s’est excité davantage et Cathy s’est déplacée, mais je ne pouvais pas voir si elle était sortie de la pièce ou quoi.
Le reste s’est vite passé. Georges me pistonnait et je râlais. J’imagine qu’il faisait rebondir mes fesses (que je trouve trop grosses) à chaque coup de rein, parce qu’il a de la force dans les reins le beau Georges. Il a giclé en moi trop vite à mon goût. Quand il s’est retiré de ma fente, en essuyant le foutre qui coulait, pour ne pas salir, je me suis retournée, encore toute abasourdie. Cathy s’était installée sur le plancher, ce qui lui permettait de mieux voir. Elle avait replié ses jambes et avait l’air troublée. Son mec ne doit pas la servir aussi vigoureusement. Elle a semblé dégoutée quand Georges a léché le sperme qui sortait de mon vagin.


Georges est resté tout nu, sa bite pendante. Il faisait exprès pour passer devant Cathy et la faire rougir. Il faut dire qu’il a un pénis comme je n’en ai jamais vu. Très large à la base, il va en s’amincissant vers le bout ; en fait c’est un peu comme un cône. Le tout petit bout fait un peu sourire, mais la grosseur de la partie près du corps est impressionnante. Quand il est mou, comme maintenant, il pendouille et le petit bout est comique. Mais quand il s’enfonce dans un femme, c’est formidable, parce qu’elle se sent bien remplie et que toute cette viande fait une de ces pressions sur le clito... Nous avons commandé des sushis. Pour aller répondre à la porte, j’ai évidemment mis mon peignoir. Le livreur a eu l’air décontenancé par le spectacle qui s’offrait à lui : une très jeune femme toute habillée, une autre en simple peignoir, les cheveux défaits, et un homme flambant nu.


Georges voulait que Cathy ne garde que ses sous-vêtements pour le dîner. Elle a refusé. L’atmosphère était tout de même détendue quand nous nous sommes assis à table, le vin ayant produit un bon effet. Cathy voulait savoir ce que nous avions fait l’après-midi : elle l’a su... Et s’est mise à sourire. Puis Georges, entre deux bouchées, m’a empoigné un sein par l’ouverture du peignoir. Un peu plus tard, il a ouvert le peignoir complètement, pour que je me retrouve poitrine nue, et a dit à Cathy :

- Il n’y a rien de plus beaux que les seins d’une femme.

C’était une invitation, qu’elle a comprise, mais n’a acceptée qu’à moitié : quand elle est revenue de la cuisine, elle avait enlevé son T-shirt et laissait voir ses deux seins, même ses mamelons foncés, à travers un soutien-gorge léger. Georges n’a pas manqué de la féliciter. Il a aussi laissé entendre que le reste avait l’air tout aussi ravissant, ce qui a flatté Cathy.
Il recommençait à bander. Quand il est allé chercher quelque chose à la cuisine, il est revenu fier comme un paon, son sexe bien droit, ce qui a fait pouffer Cathy de rire. J’imagine que son mec ne fait pas ça souvent ! Il s’est approché de moi, pour que je lui donne un bisou sur le gland. À sa grande surprise – et à la stupéfaction de Cathy – je l’ai pris dans ma bouche aussi loin que je pouvais. Je n’avais pas été satisfaite plus tôt et j’en voulais plus. J’ai commencé à le sucer et à lui caresser les fesses ; debout à côté de moi, il se laissait faire et je sentais tout son corps qui se raidissait tranquillement. Je sentais aussi qu’il n’était pas peu fier de montrer ses capacités à une si jeune femme.


En me levant, j’ai pris la queue de Georges dans une main et, dans l’autre, la main de Cathy. Je les ai tous les deux entraînés vers ma chambre. Sur un ton ferme, j’ai dit à Cathy que c’était le temps de se déshabiller, et, sans attendre de réponse, je me suis étendue, sur le lit, nue, sur le dos. Georges n’avait pas besoin d’un dessin pour comprendre mais il hésitait, ne sachant ce qu’allait faire Cathy. En fait, elle ne garda que son petit slip et vint s’étendre avec moi en demandant si elle pouvait participer avec des caresses. La réponse a été instantanée : Georges s’est étendu entre nous deux, lui présentant son derrière et déposant sa queue sur ma cuisse.


Il fallait quand même le faire durcir comme il faut. Je me suis donc mise en 69. Pendant que je m’activais sur sa bite, Georges me mangeait la chatte et Cathy lui caressait les fesses avec hésitation. À sa demande, elle lui a pris les noix, ce qui n’a pas manqué de le faire bander encore plus fort en quelques minutes. Georges et moi étions prêts. Mais Cathy ? Même si j’étais énervée, je lui ai demandé si elle préférait caresser Georges ou moi. Elle ne savait pas quoi répondre. Il n’a pas attendu et, d’un geste vigoureux, m’a placée sur le côté, s’est installé derrière moi et m’a enfilée graduellement en trois coups. Elle s’est placée devant moi, la tête tout près de ma chatte, pour voir le mieux possible sans doute. Georges pénétrait jusqu’au fond de moi lentement, je sentais sa bite me remplir le ventre, c’était fantastique. Puis tout à coup j’ai senti un petit doigt sur mon clito : c’était Cathy ! Alors là, je me suis mise à gémir comme cela ne m’arrive pas souvent.


Après m’avoir caressé un peu les seins, Georges m’a prise par les hanches. Et cela a été le grand départ. Quand il pilonne une femme avec sa grosse queue, celui-là, on le sent ! Je me sentais toute chaude dans le bas du ventre, puis dans tout le reste. Quand Georges a déchargé, il a fait des saccades avec ses reins : c’était comme une rafale et je me suis sentie emportée. Il a râlé longtemps et fort (les voisins !) et j’ai senti plusieurs jets de foutre dans mon con. Je n’en pouvais plus, je manquais de souffle. Curieusement, mon réflexe a été de m’approcher de ce beau cul de jeune fille à côté de mon visage et d’y enfouir ma face. Il avait une légère odeur, la culotte était un petit peu mouillée.

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