L’aventure que je voulais vous raconter s’est
produite il y a quelques années, à un moment où le célibat
me pesait tellement que je m’étais inscrit dans une agence.
J’étais loin de me douter de ce que j’allais y trouver.
Chaque semaine ou presque,
une rencontre différente. Se présenter. Se montrer sous
son meilleur jour. Au téléphone, c’est assez facile. Être
charmeur, gentil, rigolo. Rêver aussi, mettre une apparence
sur la voix, exercice ô combien risqué. Et puis vient rapidement
le jour de la rencontre physique. Et la déception mutuelle
neuf fois sur dix.
Je me souviens d’une infirmière
–appelons la carole- qui bossait aux urgences de l’hôpital
d’Aix en Provence, ma ville. Rencontre crispée. Puis le
moment où elle se lance
- Désolée d’être directe
mais …vous ne me plaisez pas suffisamment…
Ouf, soulagement, car moi
non plus je n’accrochais pas. Et en même temps, c’était
une fille chouette, pas envie de la brusquer, de la repousser.
Soulagé. Du coup, plus détendus nous sommes restés à parler
à la terrasse du café de Paris jusqu’à minuit en oubliant
de manger. Magie des soirs d’été.
Nous avons parlé de tout
et même de rien, de ses voyages à pied aux confins de la
Libye, de mes passions, de nos métiers, de nos visions de
la vie. Le moment du départ venu, dans le parking, elle
me serre affectueusement dans ses bras, comme une copine,
en me disant :
- Tu m’as remonté le moral.
Je suis contente de t’avoir connu !
Je remonte dans ma voiture
pour rentrer chez moi avec un sentiment mitigé. Je n’ai
encore pas rencontré la bonne et, en même temps, c’était
une bonne soirée.
Cinq minutes plus tard, je
me retrouve à un feu rouge et la voiture qui vient s’arrêter
près de moi n’est autre que la sienne. Je suis un peu gêné,
on se sourit.
Je démarre et m’amuse de constater
qu’elle suit le même chemin que moi. Si ça se trouve nous
sommes voisins. Mais je me fais des idées, elle me double
et disparaît devant moi. Elle roule vite, quand même...
Quelques instants plus tard,
je la rattrape. Sa clio est garée sur la droite et elle
est debout à côté. Est-elle parvenue devant chez elle ?
Elle me fait signe. J’hésite puis je m’arrête.
Elle ouvre ma portière et
s’assied à côté de moi, je la regarde avec surprise, je
n’ose rêver à ce revirement. En plus, je ne flashe pas vraiment.
Et là, surprise totale, elle
se baisse sur moi et commence à ouvrir mon pantalon en me
disant :
- Démarre !
Je démarre doucement, je
ne sais pas trop comment faire. J’ai failli lui dire « Carole
tu fais quoi ? », comme si ça ne se voyait pas… J’aurais
eu l’air fin. J’hésite à la ramener chez moi, peur de briser
ce début de magie. Alors je roule doucement, pour ne pas
qu’elle change d’avis…
Pendant ce temps la coquine
a sorti mon pénis et joue avec. Elle pianote dessus, me
branle un peu. Je commence à vraiment bander fort. Sa bouche
est à dix centimètres de ma queue et je ne suis même pas
certain qu’elle va me sucer. Elle souffle le froid et le
chaud, puis me lèche le gland. Je pose ma main droite sur
son épaule et je la laisse descendre doucement vers sa poitrine
menue.
Pendant ce temps, nous sommes
sortis de la ville, et je tourne deux fois à droite dans
un petit chemin. Je me gare doucement sous un arbre, le
coin est bien sombre.
Carole relève la tête vers
moi, elle sourit :
- Tu es vraiment trop gentil,
on pouvait pas se quitter comme ça. Alors ce que je te propose
c’est un moment de délire sexuel, sans aucune suite à prévoir.
Elle me dit ça avec un petit
sourire et je me dis en moi même qu’une fille qui dit ça
est une sacrée menteuse et, si ce moment est réussi, il
sera forcément suivi de bien d’autres.
Elle sort de la voiture, moi
aussi avec le pantalon à mi cuisses que je relève et je
récupère dans mon coffre une couverture que j’étends par
terre. J’ai un peu débandé et je lui ouvre les bras. Elle
vient se frotter contre moi, alors je n’hésite plus je lui
ouvre son petit haut bouton après bouton, pareil avec son
jeans que je lui descends pour me retrouver à genoux face
à un petit string noir. À mon tour je souffle le chaud sur
sa toison, puis plus bas. Elle sent fort. Elle plaque ma
tête avec ses deux mains puis soulève une cuisse tout en
l’ouvrant… Je tiens à pleine mains ses petites fesses nues.
En même temps j’écarte doucement son string et envoie le
bout de mes doigts fureter dans sa raie. Elle gémit doucement.
Je lui descends enfin son
string tellement je meurs d’envie de lui bouffer sa petite
chatte odorante. Elle me sourit, nue, perchée sur ses talons.
Alors je me relève, je quitte ma chemise et mon pantalon,
puis mon boxer et je m’allonge devant elle. Elle me comprend
et sans me quitter des yeux vient se placer au dessus de
moi jambes écartées. Elle tire sur ses grandes lèvres et
j'aperçois dans la pénombre sa chatte qui brille. Elle se
baisse et vient s’asseoir sur ma bouche :
- Suce moi encore, vas y
c’était trop doux !
Je la bouffe carrément à
grands coup de langue. J’aspire son jus et maintenant j’écarte
grandes ses fesses. Elle se retourne et se place en 69 au
dessus de moi. J’ai son petit trou face à moi. Je sens bien
que ceci n’a rien à voir avec le hasard.
- Tu veux que je te lèche
ou que je te pompe ?
- Les deux, coquine !
Elle rit et commence à m’aspirer
la bite. Je remonte doucement sa mouille vers son anus à
coups de langue et je commence à y appuyer mon doigt. Il
est tout rose, un peu froncé et dès que j’appuie un peu
il s’ouvre en même temps qu’elle recule vers moi. Elle me
pompe de plus en plus fort.
Elle me relâche, l’air frais
me fait du bien, j’ai la bite en feu. Et soudain je sens
qu’elle déroule un préservatif sur ma queue.
- Attends, tu l’avais mise
où la capote ?
J’en reviens pas elle était
complètement à poil.
- Et bien, dans ma main…
Cette fille me touche, c’est
une sacrée salope et en même temps elle me fait rire.
- Tu me commences en levrette
?
Comment refuser ça ? Je pose
ma bite contre ses lèvres et je me sens aspiré, elle est
chaude, un peu large. Je suis bien au fond.
Elle crie d’un coup :
- Ouiiiiiii Baise moi fort
!
Je sais qu’on peut nous entendre.
Ça ne me calme pas du tout. Je m’agrippe à ses hanches et
je la bourre le plus fort que je peux, c’est divin. Ça dure,
je perds le sens du temps, c’est trop bon.
Elle crie sans arrêt, je pense
qu’elle jouit, je me retiens comme je peux et, d’un coup,
je vois des étoiles, je jouis à bloc, je sens ma bite faire
des bonds dans sa chatte. Après un moment je sors et je
m’allonge à côté d’elle.
Plus de jambes, crevé.
Elle se love contre moi avec
une immense douceur, tourne la tête et me dépose un petit
bisou bouche fermée.
- T’as aimé ?
- C’était divin !
Sa main est déjà de retour
sur mon sexe. Elle m’enlève la capote, la porte à sa bouche
et boit un peu du sperme qui coule. Je reste surpris. Elle
me sourit :
- Tu viens chez moi ce soir
? J’ai très très envie que tu m’encules toute la nuit… tu
veux bien ?
Elle s’est rhabillée rapidement,
moi aussi. Je plie la couverture pleine de feuilles, je
la jette dans le coffre. J’ai la tête à l’envers. Je ne
suis plus qu’un sexe sur pattes. Je ne parviens plus à penser.
Elle habite en plein centre
d’Aix, ce qui veut dire que je retourne au parking. Nous
marchons l’un contre l’autre, sans rien dire. Je monte derrière
elle un grand escalier, jusqu’au dernier étage d’un immeuble
neuf et là, elle ouvre la porte d’un appart magnifique.
La vue est grandiose. Tout le séjour s'ouvre par de grandes
baies sur la ville. Elle me regarde et commence à déboutonner
son jeans :
- Tu veux boire quelque chose
où tu m’encules maintenant ?
Toujours ce petit sourire
en coin, comment résister, d’ailleurs je n’en ai aucune
envie… Je m’avance. Elle s’échappe et va sur le balcon.
Elle pose ses mains sur la rambarde, devant elle. Vu d’en
bas, on ne se doute de rien, elle a gardé son petit haut.
Derrière, je recommence à la lécher, je lui mouille le cul
au max, puis je me relève et pose ma bite sur son petit
trou. Elle recule et m’aspire :
- Aahhhh !
Un cri sonore. Pas gênée
du tout elle ronronne :
- Comme c’est bon la sodo…
Vas-y doucement, au début…
Le contraste entre ses propos
cochons et sa petite voix douce me rend dingue.
- Je te sens bien, tu bandes
comme un taureau, vas-y plus loin, prends-moi toute !
Je sors puis je rerentre,
je joue avec son œillet qui reste ouvert. C’est trop bon,
à mon tour je me laisse aller à lui dire :
- C’est bon ! Il est bon ton
cul, tu es vraiment une petite salope !
- Pourquoi petite ?
Elle rit de son audace. Moi,
je ne pense plus qu’à ce petit cul qui me serre la bite.
- Vas-y, bourre-moi fort
maintenant, à fond !
J’accélère et je perds très
vite le contrôle. L’orgasme me coupe les jambes. Elle hurle
au point que j'ai peur de lui avoir fait mal...
Je la prends dans mes bras,
elle se retourne et m’embrasse enfin à pleine bouche.
Je sens que je suis en train
de craquer pour cette fille.
Elle le sent.
- Tu sais, je ne suis pas
une fille pour toi, tu es bien trop gentil !
- C’était trop bon ! Je veux
que l’on se revoie, on ne peut pas se quitter maintenant
- Non ! Je t’avais prévenu,
un bon coup c’est tout !
Son sourire mignon contredit
ses propos. Je ne comprends plus, mais j’ai trop peu de
la perdre. Je la regarde par en-dessous en boudant. Je sens
monter des larmes que je ne cherche pas à retenir. J'insiste
:
- Ce n’est pas possible,
c’était trop bon, je veux que l’on se revoie !
Elle éclate de rire. Elle
est magnifique, assise sur cette chaise de jardin, les jambes
écartées.
- Évidemment, idiot, que
ce n’est pas possible ! tu me prends pour qui ?
- Attends, je ne comprends
plus rien, explique-toi !
- C’est facile, moi je cherche
un mec qui soit dingue de sexe et, en même temps, qui ne
soit pas du genre à disparaître une fois qu’il a tiré son
coup. Je veux un copain qui tienne à moi et, en même temps,
je veux qu’il soit dingue de mon cul. Comme toi !Mais je
ne pouvais pas dire ça dans l’annonce… Si tu avais respecté
le deal, je ne t’aurai plus jamais revu !
Nous avions 28 et 31 ans
à l’époque. Depuis, nous avons eu deux enfants, Maxime et
Julie. Elle est toujours ma petite femme et, dans un lit,
c’est toujours une immense salope.
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