Carole était une femme d'une trentaine d'années qui travaillait dans la même société que moi. Elle était secrétaire ou du moins, elle travaillait dans la partie administrative de la société. Brune, les yeux verts, des seins pas trop gros mais avec des jolis tétons qui pointaient sous ses vêtements et très sensibles, des jolies jambes, un beau corps. Elle savait se mettre en valeur de part ses tenues, même lorsqu'elle portait un pantalon, son corps était fort désirable. Je la croisais souvent dans les couloirs, mais nos rapports se limitaient à des « bonjour, bonsoir » accompagnés d'un sourire de politesse. Un jour à la cantine, le midi, je me suis retrouvé à la table juste derrière la sienne. La pièce était découpée en petits espaces séparés par des bacs agrémentés de plantes artificielles qui formaient des sortes de petites haies, assurant une certaine intimité visuelle, mais non sonore, ce qui permettait d'entendre si l'on était curieux ce qui se disait à la table d'à côté. J'étais seul, elle était avec une autre fille de la société qui devait travailler avec elle.
Comme je n'avais pas de compagnie à ma table, j'avais tout
loisir, même sans être curieux, d'entendre ce que les filles
se disaient. Au début leur conversation portait sur le travail,
quelques commérages et quelques potins, dont la découverte
me faisait sourire lorsque je connaissais les personnes
citées. Puis leur conversation à tourné vers un caractère
plus intime, Carole disait à sa collègue que sa vie de couple
n'était pas au beau fixe et que sexuellement, la routine
s'était installée et que de toutes les façons, son compagnon
n'avait jamais vraiment été à la hauteur de ses attentes
et de ses désirs. Je gardais cette information dans un coin
de ma tête, mais sans plus. Mon repas étant fini, je me
suis levé et je suis retourné travailler.
Quelques semaines plus tard, il y avait un cocktail offert aux employés, pour les remercier des résultats réalisés sur l'année. Carole était là, elle portait une robe noire à fines bretelles, des bas ou des collants noirs et des escarpins. Elle discutait un peu avec tout le monde, puis à un moment elle s'est trouvée seule, un peu éloignée de la foule, au bout de la table où étaient disposés les canapés et autres amuse-bouche.
Je m'approchais, une coupe de champagne à la main.
- Bonsoir. Carole, c'est ça ?
Elle fut assez surprise, levant ses jolis yeux verts pour me regarder, puis je sentis qu'elle cherchait mon prénom.
Je lui tendis la coupe de champagne
- Robert, je m'occupe de la gestion du magasin des pièces
détachées.
Elle sourit
- Oui, bien sûr.
Puis, prenant la coupe elle me remercia.
- Vous avez l'air de vous ennuyer ? - Non, mais je n'aime pas trop la foule.
- Moi non plus, je préfère les ambiances plus intimes,
moins strictes.
Elle sourit en portant la coupe à ses lèvres.
- Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous parler, c'est dommage. - Oui.
Nous avons commencé à échanger des banalités, parlant de
la société, de tout et de rien, quand Valérie une fille
travaillant avec moi s'est approchée de nous.
- Alors Robert, tu ne participes pas à la fête ? Tu préfères
séduire la jolie Carole ?
Nous l'avons regardée, un peu confus.
- Elle a bon goût, fit-elle en s'éloignant.
Valérie était la coquine de l'entreprise, et tous les hommes de la société ou presque avait au moins eu une aventure avec elle.
Carole me dit :
- Ça y est, elle va raconter partout que nous sommes amants.
- C'est sûr qu'avec elle, il y a des chances que cela arrive,
dans mon cas ce serait flatteur, mais dans le tien, ce serait
peut être plus embarrassant ?
Elle haussa les épaules
- Peu importe, cela ne me dérange pas.
Nous avons continué un peu ce jeu, en imaginant ce qui se passerait si nous étions amants, comment nous nous rencontrerions, ce que nous ferions pour nous voir, mais le tout sur le ton de la plaisanterie, l'alcool ayant détendu l'atmosphère.
Elle regarda sa montre.
- Il commence à être tard, il faut que je rentre. - Ton mari t'attend ? - Non, mais j'ai un dossier à la maison que je dois finir pour demain, je l'ai oublié ce matin chez moi où je l'avais emmené hier pour travailler. Et mon patron le veut pour demain sans faute.
- Ok, la raison est valable.
Elle s'approcha de moi, me tendit la joue pour m'embrasser, je sentis son parfum délicat et sa peau douce sur mes joues.
Puis posant sa coupe de champagne vide, elle se tourna
vers moi une dernière fois, et en me regardant droit dans
les yeux elle me dit
- J'aime les hommes, les vrais, ceux qui ne s'embarrassent
pas avec des ronds de jambes mais qui vont droit au but.
J'adore être un jouet entres leurs mains. Salut.
Et elle s'éloigna, puis sortit de la salle. Je restais immobile, les pensées les plus confuses et les plus folles ont envahi ma tête, le message était clair, à moi de jouer, mais comment allais-je m'y prendre ? Je ne tardais pas à partir moi aussi, mes pensées étant totalement occupées par cette dernière phrase de Carole. Comment allais-je bien pour voir négocier la suite ? Le lendemain à midi, je me suis arrangé pour arriver un peu avant elle à la cantine. Je l'ai vue rentrer, accompagnée d'une de ses collègues, je m'étais placé de telle manière qu'elle était obligée d'emprunter cette allée pour entrer dans la salle. Lorsque elle passa devant ma table, elle me sourit, je la regardai droit dans les yeux, puis lui désignant la chaise face à moi, lui dis d'un ton ferme : - Assieds toi ! Elle dit à sa copine d'aller s'installer, qu'elle allait la rejoindre. Elle posa son plateau sur la table et s'assit sans un mot. Puis, posant sa tête entre ses mains, son regard plongé dans le mien, elle me dit : - Ma dernière phrase t'aurait-elle fait de l'effet ? - Serais-tu là, sinon ? - Non, je ne pense pas. - J'ai bien repensé à cette dernière phrase, en as-tu pesé tous les mots ? lui dis je en insistant bien. - Oui ! - Tu es prête à être le jouet de mes envies et des mes fantasmes ? - Oui.
- Bien, dans ce cas, attends-toi à avoir de mes nouvelles
très bientôt pour en faire la preuve.
Elle se leva, reprit son plateau et me lança un regard qui en disait long qui reflétait aussi que ses pensées devaient bouillonner à leur tour. Elle alla rejoindre sa collègue, jetant de temps en temps un regard dans ma direction, signe du trouble que j'avais fait naître en elle.
Je quittai la salle, puis je retournai travailler. Dans
l'après midi, je composai son numéro de téléphone interne
:
- Carole G... j'écoute !
- Ce soir, chez moi, 18 heures.
Et je lui donnai l'adresse sans un mot de plus.
- Heu... 19heures plutôt, si tu veux bien, ce sera plus facile pour moi.
- Ok, 19heures chez moi, à tout à l'heure.
Et je raccrochai.
Mon travail fini, vers 17 heures - je n'allais pas faire des heures sup ce soir là - je rentrai. Arrivé chez moi, une petite villa à la périphérie d'un village à quelques kilomètres de mon travail, je me garai, puis j'allai prendre une douche afin d'attendre cette femme qui allait devenir ma Maîtresse, et avec qui j'allai expérimenter toutes mes envies. La douche terminée, j'enfilai un peignoir en éponge, puis j'allai mettre un peu d'ordre dans la maison, et préparer sa venue. La maison était constituée d'une grande pièce unique, où j'avais installé un grand canapé et un fauteuil style club, une table ronde avec quatre chaises. Il y avait une chambre assez grande où j'avais installé un bureau. Le seul luxe de cette maison était dans la salle de bains, la baignoire était digne de certains films d'Hollywood, en forme de haricot, avec des jets de massages, qui serviraient sans doute un jour avec Carole, comptant tout mettre en œuvre pour en faire ma Maîtresse régulière. A 19 heures, j'entendis une voiture se garer devant la maison. Je m'approchai de la porte, et j'éclairai l'entrée, tout en vérifiant que c'était bien elle par la fenêtre de la cuisine qui donnait sur le devant. Elle descendit de sa voiture, ferma la portière et se dirigea de manière directe et sans hésitations vers la porte. Avant qu'elle ne sonne, j'ouvris. Elle me regardait, debout devant la porte, tenant son sac devant elle. Elle portait la même robe noire que la veille, elle était donc allée se changer. Je lui fis signe d'entrer. Elle s'exécuta. Quand elle eut passé la porte, je refermai derrière elle et d'un signe de la main sans un mot, je lui indiquai d'entrer dans le salon. Elle attendait que je prenne une initiative, que je parle. Je m'approchai d'elle, je pris son sac à main et le jetai sur le canapé, puis sans un mot, je passai ma main gauche derrière sa nuque, de la droite j'écartai les pans de mon peignoir, et je saisis mon sexe. La pression de ma main gauche se fit plus insistante sur sa nuque, l'incitant à venir emboucher mon sexe. Je décalottai mon gland, mon sexe commençait à raidir, je le poussai entre ses lèvres, son buste étant penché en avant, sa tête au niveau de mon pubis. Elle ouvrit ses lèvres pour laisser passer mon gland chaud et commença à me sucer, ses deux mains sur mes hanches. Je tenais toujours ma main sur sa nuque, mais il était inutile de la forcer, elle s'exécutait apparemment avec plaisir. Ma queue qui avait atteint une bonne taille au fond de sa bouche qui coulissait le long de ma tige, je sentis sa langue douce par en dessous, je profitais de sa position, pour soulever sa robe. Je découvris ses fesses, et avec plaisir je constatai qu'elle ne portait pas de culotte. D'un geste sec, je lui claquai les fesses, elle émit un son, mais continua de plus belle à me sucer. Je recommençai, et chaque fois, d'un léger mouvement de la croupe, elle me faisait comprendre de continuer. Après quelques instants comme cela, où elle enfonçait mon sexe au plus profond de sa gorge, et où je sentais mon plaisir monter, je me suis reculé, puis la saisissant par les cheveux, je l'ai redressée pour lui faire un baiser profond. Ma langue dans sa bouche se mêlait à la sienne, ce baiser fut long et passionné, je sentais qu'elle appréciait mon audace et mon attitude directe. Tout en tenant ses cheveux, je m'écartai d'elle, son regard en disait long sur le plaisir qu'elle éprouvait de cette situation.
J'ai défait la ceinture de mon peignoir, me débarrassant
de ce vêtement qui commençait à me tenir chaud vu les conditions.
- Alors petite chienne, tu es contente de ton os ?
Elle prononça un oui qui n'avait rien d'un peut être.
La repoussant contre le mur face à moi.
- Allez à poil, enlève-moi cette robe !
Elle s'exécuta, soulevant la robe par-dessus sa tête, pour la lancer dans la pièce, son regard était fiévreux de désir. Je découvris son corps que je n'avais pour le moment qu'imaginé durant toute la journée.
Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins, sans êtres
gros étaient bien fermes et bien ronds, les aréoles brunes,
avec des tétons qui pointaient, incitant à la caresse. Je
descendis mon regard le long de son ventre, pour découvrir
un petit triangle de poils en forme de V, le reste de son
sexe étant épilé et bien lisse. Elle se tenait droite, attendant
la suite des évènements.
- Tu es très belle, encore mieux que dans mes rêves, je suis le Maître d'une très jolie chienne, j'en suis ravi. - Oui, fit-elle d'une voix profonde. Oui, je suis ta chienne, continue, fais de moi ce que tu veux. - Bien, c'est ce que je compte faire.
- Accroupis-toi !
Elle s'exécuta aussitôt, son dos contre le mur, ses jambes repliées et écartées, toujours gainées de ses Dim-up noirs et ses pieds toujours chaussés de ses escarpins. J'avais ainsi une vue imprenable sur son intimité offerte sans pudeur, certains reflets sur ses grandes lèvres indiquaient clairement qu'elle mouillait de la situation. Je pris ses mains, je les posai sur mes épaules, puis de nouveau je poussai mon sexe entre ses lèvres. Je poussai lentement pour m'enfoncer le plus possible en elle, sa tête en appui contre le mur, elle ne pouvait se soustraire à cette pénétration. Quand j'ai senti que j'avais atteint la limite du supportable pour elle, je restai un instant au fond avec de reculer d'un lent mouvement de reins. Ma queue tendue était recouverte de sa salive. Quand mon gland fut dehors, elle souffla, mais aussitôt elle ouvrit en grand sa bouche pour me faire comprendre que je devais encore la prendre ainsi.
Je commençai de lent allers-retours dans sa cavité buccale,
elle se laissait faire s'ouvrant au maximum, tout en agitant
sa langue pour me donner plus de plaisir. Elle salivait
abondamment et une partie coulait sur ses seins. Quand j'allais
trop profond, elle serrait ses mains sur mes épaules pour
me le faire comprendre, je marquais une pause, puis je sortais
pour de nouveau mieux la remplir.
- J'adore ta bouche, elle est chaude et soyeuse, tu aimes
te faire prendre par là comme si c'était ton sexe ?
Elle faisait « hummm », étant incapable de parler, ma queue emplissant sa bouche, mais quand je me retirais, elle disait « encore !» d'une voix haletante. Je fis glisser ses mains sur mes tétons, j'adore cette caresse quand je me fais sucer. Elle caressait doucement mes tétons, cela m'électrisait à chaque fois que j'entrais dans sa bouche. Je tendis les mains pour arriver à atteindre ses tétons à elle. Je m'en emparai, je les fis rouler, je les tirai vers le haut, quand ma queue sortait de sa bouche, et elle râlait de plaisir.
Sentant mon plaisir monter, je continuai à aller et venir
dans sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu.
- Je vais te jouir dans la bouche, j'adore ça et tu vas
tout avaler ! Compris ?
Je me retirai suffisamment pour qu'elle puisse dire oui. J'accélérai mon va-et-vient, elle continuait à me caresser les tétons et moi les siens, je sentis des picotements dans les reins, puis au moment où j'allais jouir, je me suis retiré, ne laissant que mon gland dans sa bouche. J'ai inondé sa cavité de mon plaisir, elle ne bougeait pas, ayant refermé ses lèvres sur mon gland. Les jets se faisant plus rares et moins puissants, elle saisit mon sexe pour le branler et en extraire les dernières gouttes. Elle avala mon sperme mêlé à sa salive, puis aspira mon gland en faisant des bruits obscènes. Quand mon sexe fut bien propre et qu'il commençait à ramollir, elle le lâcha, se laissant tomber, tout en restant dans sa position accroupie. Ses cheveux étaient mouillés par sa sueur, elle était très belle. Je repris doucement mes esprits, la jouissance avait été forte, mes jambes étaient cotonneuses. Elle respirait fort, la tête penchée en avant. Quelques secondes plus tard, je la saisis de nouveau par les cheveux, pour lui indiquer de se redresser.
Debout contre le mur, ma main dans ses cheveux, de mon
épaule gauche je la plaquai contre le mur. Je m'approchai
de son oreille, et doucement je lui dis :
- Alors petite pute, tu es contente de ce début ?
- Oui, répondit-elle doucement.
Ma main droite se plaqua sur son pubis qui était brûlant
et trempé, il était doux et lisse, la sensation était divine.
- Mais tu mouilles ma parole, ça t'excite donc d'être mon jouet, mon esclave de plaisir ? - Oui. - Désormais quand nous ne serons que tous les deux, où que nous soyons, tu devras me dire bonjour en prenant ma queue dans ta bouche, c'est compris ? - Oui.
- Bien.
En disant cela, je pousse mon index et mon majeur dans son sexe, ils glissent facilement et sont emprisonnés dans une fournaise, je les bouge un peu dedans, puis l'annulaire va les rejoindre. Je commence à la branler, la sensation est agréable pour moi, ce sexe brûlant et liquide autour de mes doigts, je tiens son plaisir dans ma main.
Je l'embrasse de nouveau d'un baiser profond et tout en
accentuant mon geste, je me fais de plus en plus rapide
en elle. Elle remue, veut se retirer de ma bouche pour reprendre
son souffle, mais je ne cède pas, sa respiration s'accélère
de plus en plus au rythme de mes doigts, je sens son corps
se contracter, elle pousse un cri qui est étouffé par nos
bouches mêlées, son corps se raidit, je sens mes doigts
qui sont écrasés par les contractions de son vagin, puis
la pression diminue. Je sors mes doigts gluants de son intimité,
je les porte à sa bouche, et les enfonce entre ses lèvres.
- Goûte ton plaisir, ta jouissance !
Elle avale et lèche mes doigts, je m'écarte de son corps, elle se laisse doucement tomber contre le mur, visiblement fatiguée par ce qu'elle vient de ressentir. Je la laisse, elle s'allonge à moitié sur le sol pour récupérer, sa respiration se calme. Je vais chercher deux coupes et une bouteille de champagne dans la cuisine, puis je reviens dans le salon. Elle est toujours sur le sol, mais redressée en appui sur son coude droit, de sa main gauche elle tente de se recoiffer, du moins elle arrange ses cheveux mouillés et en bataille. Je m'assieds sur le canapé, je la regarde, ses yeux sont brillants, illuminés de cette lueur indéfinissable que les femmes ont après avoir joui.
Je sers les deux coupes, elle va pour se relever et s'approcher.
- Non, comme une petite chienne !
Elle sourit, comprenant ce que je veux, elle se met à genoux,
les mains posées au sol et elle s'approche doucement de
la table d'une démarche féline.
- Bien.
Arrivée à la table, je porte la coupe à ses lèvres, et je l'aide à boire. Doucement le liquide frais coule dans sa bouche, mais aussi sur son menton et sur le bas de ses joues, pour finir sur le plateau en verre de la table. Je lui fais signe que je trinque, et je bois ma coupe à mon tour.
Elle me regarde droit dans les yeux, et d'une manière sensuelle,
mais impudique, tout en penchant sa tête pour ne pas me
perdre du regard, elle lèche le champagne sur le plateau
de la table, pour ne pas en perdre une goutte.
- Bien tu es une bonne chienne docile, je crois que je
vais te garder.
Elle ne dit rien, mais elle sourit avec un regard mystérieux, en passant sa langue sur ses lèvres. Puis continuant à avancer vers moi, elle pose sa main droite sur ma cuisse, puis sa gauche sur mon autre cuisse, pour les écarter. Elle se penche en avant et embouche mon sexe. La sensation est étrange, sa bouche est douce et fraîche, je me laisse aller en arrière pour savourer l'instant.
A genoux entre mes cuisses, elle commence à me sucer en
aspirant, ses mains posées sur mes genoux. Mon sexe commence
à se raidir, sa bouche se fait plus chaude.
- Mets la tête en arrière !
Elle obéit.
- Ouvre la bouche !
Elle le fait.
Je fais couler un peu de champagne dedans.
- Continue !
Elle se penche et prend mon sexe dans sa bouche. Je sens de nouveau la fraîcheur sur mon sexe, mais aussi le picotement des bulles, et le liquide froid qui coule le long de ma queue pour finir sur mes bourses. Elle n'avait pas tout avalé. Après quelques va-et-vient, elle envoie la tête en arrière pour recevoir une nouvelle dose de champagne. Durant de longs moments elle s'est livrée à ce petit jeu, me suçant avec du champagne dans la bouche, et je sentais la fraîcheur et les bulles, ces sensations étaient extraordinaires.
Mon sexe étant bien raide, je la laisse encore un moment
me sucer dans cette position, puis je lui dis :
- Sur le fauteuil ! Présente-moi ton cul !
Elle se dirige vers le fauteuil, de l'autre côté de la table, toujours à quatre pattes, en ondulant de la croupe pour bien s'exposer, impudique et offerte. J'admire son abricot lisse qui ondule entre ses cuisses.
Arrivée près du fauteuil, elle se hisse doucement dessus,
mais au lieu de s'agenouiller comme je l'attendais, elle
met ses genoux sur les accoudoirs, et s'écrase véritablement
sur le fauteuil, sa tête reposant sur l'assise. Cette pose
est très indécente, son sexe et son anus sont ainsi offert
totalement à la vue, la place libre en dessous, lui permet
de passer les bras pour écarter son sexe et bien s'offrir.
- Très jolie vue, tu es très chienne, mais je ne vais pas
me plaindre, continue, caresse-toi !
Elle glisse ses mains sous son ventre, écarte ses lèvres
et se caresse le sexe, se fouillant de ses doigts fins.
Elle est encore mouillée.
Je me lève et je m'approche d'elle, je parcours son dos avec mes doigts, j'effleure ses fesses, le dessus de ses cuisses, je passe sur le côté de sa poitrine, je remonte sur sa nuque, puis je redescends doucement le long de sa colonne, puis je continus mon geste. En passant, j'effleure son anus et je finis en mêlant mes doigts aux siens sur son sexe. Puis d'un geste vif, je claque ses fesses. Elle pousse un petit cri, mais continue à se caresser, sans bouger le reste de son corps. Ma main retombe sur sa croupe offerte, avec un bruit sec, elle étouffe un deuxième petit cri. - Tu sais que tu es une vilaine fille ? - Ah bon ?
- Oui tu es une vilaine fille qui excite les hommes, ce
n'est pas bien !
Et ma main tombe sur ses fesses. Cette fois-ci le petit
cri se transforme en râle de plaisir.
- En plus, tu aimes être vilaine !
- Oui, je suis une vilaine fille, très vilaine !
Je passe derrière le fauteuil, son buste repose sur le dossier, elle me regarde, toujours avec cette lueur de désir dans les yeux.
J'approche mes doigts de ses lèvres, je passe mon index
droit dessus, puis je le pousse pour entrer dans sa bouche.
- Suce ma jolie, suce, tu sais si bien le faire !
Elle suce mon doigt comme elle l'a fait avec mon sexe. Je joue un moment avec elle, elle ronronne comme une chatte, ses mains lui donnent du plaisir.
Je retire mon doigt pour le remplacer par mon sexe, mon
gland passe lentement entre ses lèvres, je sens la douceur
soyeuse de sa bouche m'entourer, je me penche un peu et
de mon doigt humide de sa salive, je caresse son petit trou.
Je sens qu'elle est sur le point de jouir, je me retire
et je donne une claque sur ses fesses pour ponctuer son
plaisir.
- Stop ! Cesse de te caresser ! - Non, s'il te plaît ! dit elle d'une voix hésitante, se concentrant sur son plaisir.
- J'ai dit stop !
Et ma main tombe sur ses fesses. Je fais le tour, je me
positionne derrière elle, je passe mes mains sous ses coudes,
pour sortir ses bras de sous son ventre.
- Bras croisés dans le dos, mains sur les fesses !
J'accompagne mes mots de gestes et je croise doucement ses bras, puis je dépose ses mains sur ses fesses, qu'elle saisit pour bien s'ouvrir s'il en était besoin, vu sa position.
Je m'empare de sa taille et je positionne mon sexe à l'entrée
du sien.
- Humm, fait-elle écartant un peu plus ses fesses.
D'une seule poussée, je vais au fond de son sexe, je le sens autour de moi, brûlant et humide. Elle râle de plaisir durant toute la pénétration. Arrivé au fond, je me retire aussitôt, pour ne laisser que mon gland juste à l'entrée, entre ses petites lèvres. - Tu veux ? - Oui, prends-moi, je suis ta chose » !
- Je peux faire de toi ce que je veux ?
En même temps, je m'enfonce au plus profond d'elle même.
- Ouiiii, fais ce que tu veux, mais prends-moi !
Je me retire lentement, mon sexe est trempé de sa mouille.
Je sors mon sexe du sien, et je pose mon gland sur son
petit anneau brun.
- Tout ce que je veux ? »
- Ouiiiii !!!!
Je force le passage d'une poussée lente mais régulière, elle étouffe un long râle en enfouissant la tête dans le dossier du fauteuil. Je sens son anus qui m'enserre, mes couilles viennent au contact de son sexe, je reste ainsi quelques secondes, j'en profite pour lui caresser le dos de la main droite. Je ressors lentement, elle émet encore un long son étouffé par l'étoffe.
Je la tiens par le bassin et je commence à aller et venir
très lentement dans son anus étroit. Au bout de quelques
temps, je passe ma main sous mon sexe, et je glisse mon
pouce dans son vagin, tout en frottant son clitoris avec
le reste de ma main. Je sens mon doigt à travers la fine
peau qui le sépare de mon sexe. J'accélère, allant de plus
en plus vite en elle, elle ne cesse de grogner, elle vibre
sous la pénétration.
- J'adore ton cul, je pense que je ne te prendrai que par là !
- Oui, si tu veux, crie-t-elle. Ne t'arrêtes pas, c'est
trop bon !
Je vais et je viens en elle, je la sens se contracter autour
de ma queue, elle se cambre en arrière, ses doigts se crispent
sur ses fesses, elle pousse un cri de jouissance, avant
de retomber, la tête sur le dossier. Je sens mon plaisir
monter au creux de mes reins, je sors de son anus.
- Ta bouche !
Elle se retourne d'un mouvement rapide, tombe assise sur le fauteuil et ouvre sa bouche au moment où mon sperme jaillit par saccades de mon sexe. Elle le reçoit sur le visage et la poitrine. Elle s'empare de mon sexe, le branle et suce le gland comme si elle était prise de folie. Je sens mes jambes se dérober, je prends appui sur les accoudoirs pour ne pas tomber, elle continue à téter mon gland, tout en me branlant vigoureusement, je sens une deuxième vague de plaisir monter, et de nouveau je gicle dans sa bouche, et elle avale tout aspirant la moindre goutte. Le contact de ses mains et de ses lèvres devient presque douloureux. Je la fais cesser et je tombe à genoux face à elle. Elle me regarde en souriant, mon sperme macule encore ses joues et sa poitrine. Je reprends lentement mes esprits, à genoux devant elle. Son visage est beau, ses yeux verts en disent long sur les sensations qu'elle a ressenties. Je me recule et je me laisse tomber sur le canapé.
Elle vient me rejoindre et se love contre moi.
- Si tu continues comme ça, tu peux faire vraiment tout ce que tu veux de moi, je t'appartiens.
Je la regarde en souriant.
- Je vais vraiment faire ce que je veux de toi ! »
Elle me sourit et approche son visage du mien pour m'offrir
un baiser passionné, sa bouche a encore le goût de mon sperme,
nos langues se mêlent. Puis elle repose sa tête sur ma poitrine.
- Je vais prendre une douche, j'en ai besoin, dit-elle
en se levant doucement.
Je lui désigne la salle de bains. Je la suis du regard, son délicieux derrière qui m'a donné du plaisir ondule à chaque pas. Elle ne porte que ses bas, je la trouve très belle. Pendant qu'elle prend sa douche, je remets mon peignoir et je vais à la cuisine nous préparer un petit en-cas, le sexe, ça creuse. Elle ressort, le corps ceint d'une serviette, elle est très jolie ainsi. Elle me rejoint dans la cuisine, où nous grignotons avec avidité ce que j'ai trouvé dans le frigo.
Quand il ne reste plus rien, elle me dit :
- Je vais me sécher les cheveux et après je rentre.
Puis elle retourne à la salle de bains, où j'entends le sèche-cheveux qui est entré en action.
Je range la cuisine, quand elle revient vêtue de sa robe
et de ses bas, portant à la main ses escarpins.
- J'adore ta salle de bains.
- Tu auras l'occasion d'y revenir !
Elle me sourit, va chercher son sac sur le canapé, je suis
dans l'encadrement de la porte, elle avance doucement vers
moi.
- On se voit demain au boulot ? - Oui, comme si de rien n'était.
- Parfait, cela me convient.
Elle dépose un baiser sur mes lèvres en se hissant sur la pointe des pieds, puis enfile ses chaussures, avant de se diriger vers la porte d'entrée.
Je la regarde, elle pose la main sur la poignée, puis se
retourne.
- J'allais oublier...
Elle revient vers moi, se penche en avant, glisse sa main par la fente du peignoir, saisit délicatement mon sexe, et l'embouche une dernière fois, en aspirant, puis dépose un baiser sur mon gland et se redresse.
- Si je dois dire bonjour ainsi, pourquoi pas au revoir
?
Je lui souris, elle ouvre la porte, au moment où elle la
passe, je lui dis :
- Je ne veux plus que tu mettes de culotte, je te veux accessible tout le temps !
- Ok.
Elle m'envoie un baiser du bout des doigts, se dirige vers
sa voiture et s'en va.
La suite dans les prochains épisodes.
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