TITRE :  C'est allé trop loin ...
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Histoire au bureau

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Nous rentrâmes à la maison sans rien dire et durant le voyage en voiture tout en conduisant je la regardais tout en me demandant si tout ce que je l'avais vu faire avait été bien réel...
     Mais les tâches de sperme sur sa robe moulante revenaient sans cesse me rappeler qu'effectivement je venais de voir ma si douce femme se faire proprement baiser comme une pute par son patron sous mes yeux, sans que je n'esquisse un geste...

     Qu'allions nous devenir après cela ?

     La nuit se passa sans que nous nous parlions elle fuyait mon regard et le silence était palpable et omniprésent : Je ne savais quoi lui dire et elle sans doute gênée ne savait quoi me dire non plus.
     Dans le lit durant cette nuit si particulière je la regardais me donnant le dos tentant de dormir, je voulus lui parler pour tenter de rétablir un contact mais elle se retourna lorsque je posais ma main sur son épaule et me regardant dans les yeux elle risqua un geste affectueux : sa main sur ma cuisse remontant sur mon sexe qui déjà en érection fut solidement pris dans sa paume, elle amorça une caresse et soudain une vision de son patron la sodomisant sous ses gémissements me traversa et j'éjaculais un long trait de sperme sur son bras...
     Honteux je me retournais : rien ne serait plus pareil... Je m'endormis et elle sans doute aussi.

     Je me réveillais le matin pour à peine la voir partir au travail dans une tenue que je lui trouvais assez particulière... En tout cas aguichante : un tailleur noir moulant à la jupe droite assez moulante et mi-cuisses...
     Elle me jeta un regard et ferma la porte partant pour une journée de travail...
     Et moi je ne pouvais cesser de penser qu'elle partait travailler avec ce type qui l'avait prise sans ménagement lui faisant subir les pires perversions, ce type qui avait enfoncé son sexe large dans tous les orifices de ma prude femme qui avait aimé cela, cette idée me hantait et des images insoutenables me troublaient : je la voyais jouir et en demander encore sous les assauts du sexe de Darmon, je la voyais se cambrer et retrousser elle-même sa jupe droite avec difficulté pour se faire introduire dans l'anus le sexe grotesquement énorme de Darmon. Et à ma grande surprise et dégoût : je bandais...

     2 jours passèrent ainsi sans le moindre mot entre nous, et chaque matin je la voyais partir presque hâtivement au travail toujours dans ses tenues bcbg mais moulantes. Quand un matin alors qu'elle était partie depuis près d'une heure le téléphone sonna...
     " - allo !
     - Oui allo qui est à l'appareil
     - ... Qui je suis... est peu important... je suis un collègue de votre femme... et je vous appelle parce que je crois que vous devez savoir...
     - Savoir quoi ?!
     - Savoir que... savoir que votre femme est une petite salope qui se fait défoncer le cul par son patron... tous les jours et plusieurs fois et cette salope en redemande et ne se cache pas la chienne ! ... Il fallait que vous le sachiez ! Si vous avez un peu de dignité ou même du respect pour vous ou les autres...
     - Mais...
     - C'est une garce complètement sous la coupe de Darmon qui la baise et en baise d'autres... Il fallait que vous le sachiez, il le fallait ... " -- click --

     Je restais là le combiné dans la main : cette nouvelle me surprenait elle ?

     Comme un robot je passais un blouson et décidais de me rendre au travail de ma femme.
     Dans les trois stations de métro qui me séparaient de son bureau j'étais tel un zombie : qu'allais-je faire une fois là bas exactement ?... ? je ne sais pas en tout cas j'en avais besoin... savoir.

     J'arrivais aux abords du bureau je regardais l'immeuble qui me faisait face et je rentrais.
     5ieme étage. Je sonnais la porte du bureau cossu s'ouvrit sur un large vestibule ou une secrétaire au fond à son bureau me fixait :
     " - Le bureau de monsieur Darmon...-dis je
     - Ici monsieur (me montrant une porte en bois massif magnifique ) mais qui dois-je annoncer ?
     Sans me soucier d'elle je me dirigeais vers ce bureau, me disant in peto " Dis lui que le cocu est là... " mais mes mots restèrent dans ma tête tout comme mes cris de surprises dans ma bouche quand ouvrant la porte, tandis que la secrétaire maintenant debout criait : " Il est en réunion !!! ", je découvrais la scène de mes cauchemars :
     Darmon était là debout dans son splendide bureau et ma femme était, elle, penchée le ventre sur le large bureau proposant sa croupe à son patron qui la bourrait avec violence, lui assenant des coups de reins violents qui la faisait bouger en cadence frottant et bousculant le bureau, jupe retroussée au-dessus des fesses, collant baissé à mi-cuisses et culotte sommairement écartée pour permettre l'intromission.

     Je restais quoi devant cette scène : ma femme, elle, lâchait des râles de plaisirs assez rauques encaissant le coup de reins de l'homme en sueur qui lui gifla la fesse lui lâchant un " salope va ! "

     La secrétaire à coté de moi semblait tout aussi interloquée mais après quelques secondes qui parurent une éternité elle se recula et ferma la porte (en marmonnant : quelle salope cette Sophie !) me laissant seul fasse à ce spectacle qui bafouait la dignité de mon couple : A nouveau ma femme se faisait prendre sous mes yeux par ce salop et à nouveau j'étais là incapable de dire ou de faire quelque chose.
     Le bruit de la porte se fermant, couvrant celui de ses couilles butant contre les fesses de ma femme, attira l'attention de Darmon qui se tournant vers moi eu un regard particulier soulevant un sourcil mais continuant de besogner ma femme qui décidément n'en finissait pas de jouir de cette pénétration violente :

     " - Qu'est ce que tu fous là p'tit gars? .... tu vois pas que tu déranges.... (puis se tournant vers Sophie toujours allongée ventre sur le bureau et lui tenant bien les reins) il accentua encore ses coups de reins la faisant crier plus encore comme jamais je ne l'avais entendue... elle adorait littéralement ce que lui faisait subir Darmon...
     - Oh t'es bonne toi - dit il tout en serrant les dents et continuant ses allées et venues.
     - Tu aimes ce que tu vois ... hein ! je la baise bien cette salope hein !! (secouant la tête ) je bourre cette salope depuis 1 heure et elle en veut encore... son cul va fumer ! et aspirer ma queue !!! J'ai jamais vu une tel vicieuse...
     Il s'adressait à moi, je compris qu'il ne savait pas qui j'étais, qu'il ne me reconnaissait pas : qu'il baisait ma femme sous mes yeux en me demandant d'apprécier cette turpitude...

     - Attends, regarde, dit-il...
     Il tenait alors sa grosse queue et avec application la sortit de ma femme puis la remis doucement mais en profondeur forçant son anus qui baillait grand ouvert, visiblement avide de cette grosse verge : il la sodomisait !!! C'était dans le cul qu'il la prenait depuis tout à l'heure il lui défroissait le sphincter avec cette violence !! et elle, elle gémissait ainsi la bouche ouverte complètement absente submergée par le plaisir malsain que lui distillait avec force Darmon ! Etait ce bien ma femme ! : Je ne la reconnaissais plus.

     Elle si prude qui me vantait les vertus de la fidélité et des relations raisonnables et les relations sexuelles simples à la " papa-maman ", outrée par les scènes de sexe trop explicites au cinéma, fustigeant les femmes faciles habillées comme des putes et surtout celles qui trompent leur mari !

     Eh bien cette femme était là maintenant subissant dans son délicat anus vierge de mon sexe, les assauts d'un sexe gros et noueux ne cherchant qu'à la défoncer avec violence ! Que se passait il exactement !

     Il sortit à nouveau son sexe du cul de ma femme qui soupira en écartant ses fesses d'une main et de l'autre cherchant le pieu qui la laminait :
     " Remets-la !!! vite.... remets.. " ce qu'il fit dans un sourire qui m'était adressé :
     Il a alors enfoncé à fond son sexe rigide et luisant dans l'anus de Sophie offert sans résistance ce qui ébranla ma femme qui se tordit de plaisir se cambrant encore plus ce qui la fit regarder vers moi, la bouche ouverte de jouissance tirant la langue le visage traversé de spasmes de plaisir qui la crispait en des grimaces de jouissances des plus expressives et donc bandantes...
     Elle eut un éclair dans ses yeux embrumés par le plaisir avant de crier la jouissance qui l'électrisa par le cul... elle s'affala alors sur le bureau et dit plusieurs fois le souffle court tout en lapant l'air :" C'est mon mari, c'est mon mari... c'est mon mari.. "

     Darmon eut un sursaut presque imperceptible et tout en me regardant il tira Sophie lentement hors de dessus le bureau ... La positionnant approchant sa tête de son sexe encore vigoureux souillé de sperme et de matières... Il força doucement ma femme à le saisir en bouche : ma femme qui au début me fixait et tentait de redescendre sa jupe moulante en lycra noir, n'y parvint qu'a moitié parce que sous la pression de son baiseur Darmon, elle devait maintenant s'atteler à le lécher, à sucer devant moi l'énorme sexe de celui qui l'avait débauché au plein sens du terme, fellation qu'elle entreprit lentement en me regardant puis avec ardeur en fixant Darmon et fermant les yeux de satisfaction (?!!) et ceci malgré ma présence.

     " - Ta femme.. c'est une vrai salope - me dit il alors doucement comme pour vouloir me ménager mais aussi me montrer qui était le maître...

     - Ce qu'elle aime c'est que je lui défonce le cul avec ma grosse bite et ensuite me la lécher... (levant légèrement les bras signifiant qu'il n'y était pour rien) elle adore ça, c'est comme une récompense pour elle... hein...

     Disant cela il la regarda " Dis le devant ton mari que tu aimes ça les grosses bites hein ! et surtout dans le cul !
     Se tournant vers moi " une dingue du cul jamais satisfaite ... ": et Sophie avilie à ses pieds le suçant, sa bouche déformée par le pieu de chair qui ne semblait pas vouloir dégonfler, elle s'attachait à creuser ses joues et serrer avec ses lèvres que j'avais cru prudes ce sexe turgescent, l'astiquant avec minutie et visiblement plaisir et délectation ne négligeant aucune succions ni aucun coups de langue sur la hampe de cette grosse tige chair qu'elle branlait en même temps d'une main ferme : sa science dans ce domaine me sidéra et ses mouvements lascifs de la tête pour mieux le prendre... Mais comment pouvait elle supporter que cet homme la traite ainsi et surtout devant moi son mari... mais elle ne disait rien et d'ailleurs comment l'eut elle fait avec cette énorme bite fichée dans la bouche...
     Observant mon mutisme il continuait plus avant ses commentaires salaces :
     " - Il parait que tu n'as jamais goûté son cul.... pfffiouuu !!! T'es vraiment un con, je comprends qu'elle te fasse cocu : ta femme aime le cul mais... vraiment le cul.... le cul tu comprends !!! ah ah !! T'es vraiment un cocu, je l'ai baisée dans tous les sens ta femme au point d'en avoir mal aux couilles et je suis pas le seul à lui avoir ouvert les fesses... Comme elle est trop bonne je l'ai fait goûter à certain de ses collègues.. -regardant ma femme avec un certain dédain il ajoute : insatiable ta pute !!

     C'en était trop, je serrais les poings et avançais d'un pas vers lui. Mais il me stoppa net par ses propos :
     - Tu vois je crois que tu devrais toi aussi goûter à son cul... Pourquoi serais tu le seul à ne pas sodomiser ta femme ducon !

     Alliant le geste à la parole il se baissa et prit ma femme par l'épaule et la jeta sans ménagement sur le bureau et lui dit " allez cambres toi salope ton mari va te défoncer les fesses... " elle obtempéra se cambrant et s'appuyant sur le bureau me proposant son cul qui laissait échapper le sperme qui coulait sur l'intérieur de ses cuisses, et j'observais ainsi ma femme debout me donnant le dos les jambes légèrement écartées le cul saillant la jupe en lycra noir retroussée et le collant baissé attendant mon intromission anale qu'elle avait toujours refusé, mais elle dit doucement :
     - Non... s'il vous plait pas lui... pas lui s'il vous plait...

     J'étais interloqué : elle se refusait à moi son propre mari alors qu'elle acceptait avec grand plaisir les outrages sodomites de son patron et d'autres hommes (si j'avais bien compris ) " T'es vraiment une drôle de salope !"lui dit alors Darmon" tout le monde peut te monter mais pas ton mari ! "

     C'est à ce moment que je devint comme fou face à cette situation incroyable et complètement dingue et humiliante, cette humiliation de plus se transforma en puissance érotique bestiale et vengeresse, ainsi : Me précipitant vers ma femme je sortis mon sexe en pleine érection et le pointant en direction de ses globes fessiers et de son anus je la sodomisais d'une violente intromission complète et profonde.

     Mon sexe dur et long s'enfonçait centimètres après centimètres dans l'anus brûlant de Sophie encore visqueux du sperme de Darmon tandis que ses deux fesses serraient chaudement mon sexe tendu ce qui avait pour effet de tirer la peau de mon prépuce et ainsi provoquant une sensibilité accrue de celui ci, elle criait sous mon intromission mes couilles venant buter contre ses fesses si douces : Je voulais la défoncer furieusement : elle n'était plus ma femme mais l'objet de mon désir violent de vengeance et mes coups de reins violents accompagnés de cris de bête le prouvaient à la grande surprise de Darmon qui observait la scène sans un mot mais avec un large sourire.
     Sophie lâchait le même type de râles qu'avec Darmon cherchant désespérément de ses mains une prise sur le bureau pour supporter ma furie qui lui écartelait l'anus et la pistonnait tel un étalon en rut, elle grimaçait et se mit à tirer la langue la laissant traîner sur le bureau (elle me surprenait par sa perversité ce qui me donnait encore plus la barre) dans ma furie sexuelle je transpirais et regardais mon sexe allé et venir lentement mais fermement dans son fourreau brûlant de ma femme (action qui normalement entrait dans le cadre de mes relations de mari et femme mais ici tout était dénaturé ) et voyant mon sexe ainsi enduit et enfilant l'anus de Sophie frottant son muscle intérieur et lui procurant ce plaisir qui semblait finalement la rendre folle de jouissance, n'y tenant Plus j'accélérais mes coups de reins m'irritant ainsi le sexe mais le plaisir étant si grand que je lui éjaculais dans son boyau étroit dans un dernier coup de reins et un cri rauque de libération tout en tirant sa jupe en lycra retroussée à ses hanches: je me vidais au fond des entrailles du cul de ma femme qui elle aussi cria et fut parcourue de frissons et de spasmes...

     Je sortis ma bite de son fourreau brûlant et encore plein de foutre dans un bruit de succion dégueulasse observant une coulée de sperme émanant du trou malmené de ma femme et comme un voleur je pris la fuite sortant de ce bureau.
     Mais qu'avais-je fait !? violer l'anus de ma propre femme !!
     Qu'allais-je devenir ? qu'allait elle devenir ? ou en étions nous ?
     Ma femme me semblait complètement perdue et acquise et soumise à ce salop de Darmon qui l'avilissait dans les bras et sur le sexe d'autres hommes et moi je n'avais pas su réagir comme un mari normal, sans réellement comprendre l'enchaînement des évènements qui firent de ma femme si pudique et douce cette... salope qui ne jouit qu'avec des sodomies violentes.

     fin
     (si vous voulez une suite écrivez moi)
     

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