Imagines donc, que tu es à ton bureau, seule.
Enfin, pas tout à fait. Je suis juste en face. Depuis le
début de la
journée, tu ne fais que croiser et décroiser les jambes
et il m'arrive
d'apercevoir le tissu de ta culotte sous ta jupe.
Déjà, les jours d'avant, je t'avais surprise parfois
un doigt carressant le
renflement pubien et parfois glissant entre 2 boutons de
ta robe..
Dans la fin de l'après-midi, il n'y a plus personne
que toi et moi.
Et nonchalament tu fais semblant de faire tomber un stylo
à tes pieds.
Tes jambes s'ouvrent et se referment pendant que tu
me regardes avec
insistance. Dur, je suis .
Je comprend l'invitation et te propose de le ramasser.
Comme il a glissé
sous un meuble tiroir, je suis obligé de me mettre à 4 pattes
devant toi. Et
lentement, tu écartes les cuisses de façon à ce que je ne
perde rien du
spectacle. Evidemment, impossible de retrouver le stylo.
Je te propose de
chercher en ddessous de ton bureau.
Je vois ta main glisser vers l'ourlet de ta jupe alors
que je suis à 50 cm
de tes genoux....
Je suis hypnotisé par cette main qui remonte la jupe jusqu'à
mi cuisse et
qui continue jusqu'à l'élastique de la culotte.
Celle-ci semi transparente,
est humide et j'ai déjà l'mpreqqion de sentir
le parfum de ton sexe. Tu
longe l'elastique de haut en bas et de bas en haut
puis tu le tire de côté
pour dévoiler ton sexe (blonde, brune tu ne m'as pas
dit). Je suis à
l'étroit dans mon pantalon. Mamain se pose doucement
sur ton genou et
commence sa progression à l'intérieur de la jambe.
Je me rapproche et pose
ma bouche à son tour sur le genou. Tu tressailles maintenant,
chaaque fois
qu'un baiser que j'essaie de faire aussi léger
qu'un courant d'air se
rapproche.
Maintenant, elle est à 5 cm de ton sexe. Chacune de mes
expirations fait
onduler tes hanches. Je t'entends dire dans un murmure
de venir et je pose
mes lêvres sur le petit bourgeon naissant et descend dans
une fine carresse
vers l'orifice mouillé de ta chatte. Tu ne supporte
plus que je soit si
doux, alors tu prends ma tête à deux mains pour que ma bouche
se colle et
mon visage se collesur les lêvres ouvertes.
Ma langue vient s'immicer entre les lêvres, jouant
avec et évitant pour
l'instant de plus profondes explorations. J'attrape
ton clitoris et
l'aspire. Tu te cabre et ton plaisir manque de me faire
jouir.
Je monte par dessous une main vers tes seins et je vois
que tu avais déjà
commencer à les carresser, ils sont nus, dur et les tétons
dressés. Tu
gémis. Ma langue ce transforme en bite et te pénetre pendant
que je malaxe
tes seins. Tu coules tellement que mon visage est trempé,
enfin tu jouis. et
t'affaisse en serrant les cuisses. Mais c'est
moi qui n'en peux plus.
Je pousse ta chaise à roulette et te force à te lever, tu
est encore toute
molle et bouillante de ta jouissance. Je te prends comme
un pantin et te
pose à plat ventre sur le bureau, la culotte semble s'en
aller seule. Je
libère mon sexe et le fait pénetrer dans ton sexe. Tu gémis
de nouveau, tes
mains cherchent à toucher mes fesses.
Tu es chaude et humide. Je vois tes fesses qui ondulent
chaque fois que
j'entre en toi et qui me suivent chaque fois que je
sort. J'attrappe tes
seins et tu te cambre de nouveau. Puis l'envie de te
sodomiser me prend et
je sort pour me présenter devant ton cul. Tu le sens et
tu veux te retourner
en me disant non, non. Mais, doucement, bien lubrifiée,
ma bite fait son
chemin et tu ne refuse plus. Tu as un Oh! d'ettonement
quand je m'enfonce
jusqu'au ventre, et tu gémis violement. Je sens que
tu vas encore jouir. Il
en faut de peu que je jouisse aussi quand je sent ton spasme,
puis un
deuxième.
Je sors et entre de nouveau dans ton sexe.
Tu es épuisée et tu ne réagis pas tout de suite, mais les
ondulations
reviennent et de nouveau la jouissance, puis encore une
fois. La dernière
est celle qui m'emporte et la tienne en est démultipliée
au point que je
craigne que tu ne fasse une attaque.
Je tombe enfin dans le siège. Je regarde ton cul encore
secoué de
frémissement. Il est mouillé, taché, rouge. Ton sexe gonflé
s'ouvre comme
une fleur. Alors je m'agenouille et lèche l'ensemble
avec une grande douceur
qui contraste avec le moment d'avant. Tu aime cette
carresse qui t'apaise et
écarte encore plus les fesses et les jambes. Le plaisir
est autre.
A la fin tu te retourne en te redressant péniblement, un
sourire incertain
sur la bouche, puis tu m'embrasse, aussi doucement
que je t'ai leché...
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