Ma femme, Sarah et moi nous sommes mariés
il y a de cela déjà 15 longues années.
Nous nous sommes rencontrés très jeunes. Je
n'ai jamais aimé d'autre femme que Sarah et je crois
pouvoir affirmer qu'elle n'a jamais connu d'autre homme
que moi. Nous nous aimons encore comme au premier jour,
mais d'un point de vue plus intime, une certaine lassitude
commence à poindre dans notre couple. Depuis peu,
nous ne faisons plus l'amour aussi souvent qu'auparavant
et nos ébats dans un lit durent moins longtemps,
sont moins violents. Si, au début de notre relation,
une activité sexuelle tout à fait " traditionnelle
" suffisait amplement à nous satisfaire tous
deux, aujourd'hui, à presque 35 ans, nous sommes
à la recherche de nouvelles sensations, plus fortes,
plus intenses. Voilà pourquoi nous souhaitons tenter
de nouvelles expériences.
Notre dernière lubie consiste à pratiquer
l'art raffiné de la masturbation réciproque
en voiture. L'attrait du danger, même mesuré,
associé à l'excitation que nous ressentons
nous amène souvent à éprouver des sensations
très fortes dans cette situation. Nous aimons atteindre
les sommets du plaisir tout en roulant, de préférence
sur l'autoroute pour limiter les risques pris, notamment
en terme de rencontres. Nous ne sommes pas encore prêts
à partager physiquement nos expériences. Tout
au plus acceptons-nous parfois de faire profiter des voyeurs
inconnus de nos ébats.
En général nous nous rendons sur l'A7, l'autoroute
du soleil, entre Beaune et Chalon sur Saône pour assouvir
notre envie de sexe extrême. Avant de partir, mon
épouse enfile une robe ultra courte et " oublie
" de porter une culotte. Son petit cul nu et sa jolie
fente rasée de près prennent l'air mais cela
ne suffit évidemment pas à éteindre
le feu qui lui brûle le bas-ventre. Pour ma part,
je passe juste un short ample qui laisse à peine
apparaître le bout de ma grosse queue contre ma cuisse
velue.
Nous formons un beau couple tous les deux. Souvent les
gens nous remarquent dans la rue et certains, hommes ou
femmes sans distinction, se retournent même sur notre
passage. Sarah est grande et sportive. Sa taille très
fine fait ressortir encore mieux sa belle poitrine naturellement
gonflée et son cul ferme. Ses longs cheveux blonds
ondulent sur ses épaules bronzées. Son physique
athlétique ne jure pas avec le mien. Nous passons
beaucoup de notre temps libre à faire du sport et
ça se voit.
Arrivés sur place, nous nous glissons lentement
sur la voie de droite et je lève le pied de l'accélérateur
afin de donner libre cours à nos fantasmes. Nous
sommes venus pour ça. Le plus souvent, nous commençons
par caresser tous les deux notre propre sexe. Nous avons
appris à apprécier depuis longtemps déjà
le plaisir trouble de regarder son partenaire se caresser
le sexe solitairement. Sarah n'est pas la dernière
à ce petit jeu très excitant. D'ailleurs,
c'est généralement elle qui donne le signal
du départ. Dès notre entrée sur l'autoroute,
sitôt le péage passé, elle relève
en effet sa courte jupe et se tripote fébrilement
les cuisses, déjà toute émoustillée
à l'idée de ce que nous allons vivre. Ses
deux mains longues et fines caressent la chair sensible
de ses jambes fuselées en remontant lentement vers
la chatte aux abois qui guette ses attouchements impudiques.
Au passage, elle touche la peau très fine qui recouvre
les os de son bassin, juste à côté de
ses grandes lèvres. Elle apprécie particulièrement
cette caresse qui a le don de l'électriser. Elle
sent déjà son sexe chaud qui palpite au creux
de ses cuisses ouvertes.
Troublé plus que de raison par la vision de ma femme
qui s'offre une branlette à mes côtés,
je sors ma queue du short qui l'habille si peu mais pourtant
la comprime trop. Je la passe par l'ouverture d'une jambe
et l'empoigne à pleine main. Je fais aller et venir
mon poing serré sur le manche noueux, de la base
au sommet du gland, alors qu'à côté
de moi, Sarah enfonce trois de ses doigts dans son trou
béant et juteux, les jambes bien écartées.
J'entends le bruit que font ses allers et retours dans sa
moule et ça m'excite.
Je ralentis un peu, ne dépassant guère les
90 kilomètres à l'heure. A cette vitesse plus
que raisonnable, je peux me branler sans prendre trop de
risques et jeter en même temps des coups d'il
réguliers mais furtifs sur le spectacle réjouissant
que m'offre ma tendre épouse sur le siège
passager. Entre mes doigts, je sens ma bite qui me fait
mal tant elle est dure. Le prépuce va et vient sur
le nud gorgé de sang qui laisse bientôt
s'écouler doucement un liquide translucide facilitant
la lubrification. Sarah s'est maintenant glissée
tout au bord du siège et je vois distinctement ses
mains qui s'activent de plus en plus vigoureusement sur
et dans son sexe. Trois doigts d'une main sont plantés
dans sa moule baveuse tandis que l'autre virevolte sur son
clito raidi par le désir. Elle fait tourner délicatement
le petit bout bandé, insistant plus lourdement sur
la boule de chair électrique qui le surmonte. Ses
gémissements appuyés et ses râles de
plaisir emplissent déjà l'habitacle de la
voiture. Je devrai dire " nos gémissements "
d'ailleurs. Car je ne suis pas en reste et le plaisir que
je ressens, tant avec les yeux qu'avec le sexe, est au moins
aussi violent que celui de mon épouse. Je le lui
dis :
- Sarah, c'est trop bon de te voir et de t'entendre. Continue
comme ça, touche-toi ! J'aime te voir heureuse, j'aime
te savoir comblée ! Continue encore !
- Non, je veux que tu me finisses ! Mets ta main sur ma
chatte et branle-moi ! Je vais te toucher aussi. Je ne veux
pas jouir toute seule. Je vais te faire juter et c'est toi
qui me bourreras avec tes doigts pour finir !
Joignant aussitôt le geste à la parole, elle
se penche légèrement vers moi et prend ma
bite dans sa main. En même temps, elle écarte
plus largement ses cuisses, facilitant le passage de mes
doigts vers sa moule. Je tiens le volant d'une main assurée
et quitte de plus en plus fréquemment la route des
yeux.
Je déniche tout en haut de sa fente la tige d'amour
qui s'y cache. Je titille lentement le bout de son clitoris,
le branlant avec trois de mes doigts formant une petite
pince. Je tire un peu dessus, puis, je repousse la très
fine peau qui en recouvre à peine le bout. J'insiste
sur le bouton humide terminal. Plus bas, je glisse conjointement
l'auriculaire et l'annulaire dans sa fente. Repliant mes
doigts, j'enserre le haut de sa vulve dans un véritable
étau et concentre mes efforts sur le petit pieu de
chair car je sais qu'elle apprécie tout particulièrement
qu'on le lui masse. D'ailleurs, les cris qu'elle pousse
maintenant ne laissent guère de doutes sur ses goûts
en la matière.
L'état d'excitation extrême dans lequel Sarah
se trouve maintenant ne l'empêche pas pour autant
de branler ma bite avec application, même si ses mouvements
se font un peu désordonnés par moment. Ca
a toujours été une bonne branleuse et, une
fois de plus, je sais qu'elle va m'amener à l'orgasme.
J'ai beaucoup de mal à garder le cap sur la route
alors que je sens déjà monter la sève
dans ma queue. Prudemment, je ralentis encore un peu afin
d'amener le véhicule sur la bande d'arrêt d'urgence.
Au passage, je découvre les visages éberlués
mais envieux de quelques jeunes retraitées, collées
à la fenêtre d'un bus qui nous suivait depuis
quelques temps et nous double volontairement à très
petite vitesse. Si ça peut leur faire du bien ou
leur donner des idées, j'en suis heureux...
A peine notre voiture est-elle arrêtée, warning
allumés, que j'entends et je vois Sarah qui hurle
sa jouissance, presque animale. Je ne peux contenir plus
longtemps le jus qui ne demande qu'à sortir de mes
couilles bien pleines. Ma femme, toujours plantée
sur mes doigts, se jette sur ma queue pour recueillir dans
sa bouche la précieuse liqueur qu'elle expulse. Appliquée,
elle n'en perd pas une goutte. Les lèvres gourmandes
et la langue vicieuse, elle suce le bout de mon gland pour
nettoyer jusqu'aux dernières traces de sperme.
Notre vie sexuelle a beaucoup gagné en intensité
depuis que nous laissons libre cours à nos fantasmes.
Même nos parties plus classiques ont pris un tour
nouveau. Mais nous préférons de loin multiplier
les expériences inhabituelles. Je ne sais pas qu'elles
seront les limites que nous nous imposeront dans notre redécouverte
du plaisir mais, par contre, je sais déjà
tout ce que nous aurions à perde si nous devions
y renoncer. Aujourd'hui, nous sommes bien plus épanouis
qu'auparavant et nous ne regrettons pas le moins du monde
le temps ou nous nous contentions de rapides et répétitifs
ébats dans l'intimité de notre chambre conjugale.
La prochaine fois, je vous raconterai peut-être comment
nous nous sommes donnés en spectacle à tous
les touristes d'un bus hollandais sur une aire de repos.
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