TITRE : Boris, moi et les filles
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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Avec mon pote Boris, un petit Bulgare bâti comme un éléphant, on était à l'université. On fantasmait sur deux Espagnoles. Elles n’étaient pas très grandes, mais elles avaient ce genre de corps qui vous redresse la queue d’un sexagénaire. C’étaient des sortes de Pénélope Cruz. L’une, ma préférée, qui était blonde, s’appelait Sandra et l’autre, une brune, s’appelait Katerina. On était bien décidé à trouver un moyen pour conclure avec elles.


Dans cette optique, on a organisé un week-end dans la maison de mes parents en campagne. Bien sûr, eux n’étaient pas là. On avait tout arrangé de sorte qu’elles croient qu’il allait y avoir du monde et que c’était le truc à ne pas manquer. Au final, on devait se retrouver que les quatre seuls...


Le jour venu, notre plan marcha comme sur des roulettes. On avait tout prévu pour les mettre à l’aise : baby-foot et badminton pour resserrer les liens pendant la journée, alcool à volonté le soir pour les resserrer encore un peu plus.
Une chose incroyable s’est produite pendant la journée alors qu’on jouait au bad. Les deux filles s’amusaient à mimer des actes sexuels avec leurs raquettes pour nous déconcentrer. À un moment, elles se sont même mises à se caresser entre les jambes mutuellement !! Avec les raquettes !!! Moi qui les croyais un peu coincées... Je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer ma bite à la place de la raquette. Bref, le soir, on fit péter la bouteille de champagne, suivie des alcools forts. C’était l’étape cruciale, si elles refusaient de boire, on n’aurait aucune chance.


Au début elles étaient un peu réticentes sur l’alcool, mais petit à petit, en prétextant le bon goût de nos alcools et cocktails, on réussit à les faire boire. C’est fou comme une fille peut devenir pompette rapidement. L’étape suivante était le moment de vérité. Je devais emmener Sandra dans le jardin et Boris devait aller chercher du vin à la cave avec Katerina. J’ai donc pris cette fille par la main et je l’ai emmenée au milieu du jardin. Là, j’ai pas hésité une seule seconde. Je l’ai foutue par terre sur des couvertures et je me suis couché sur elle pour l’embrasser. Et ça a fonctionné mieux que je ne l’espérais. C’était une vraie lionne ! Elle était très entreprenante et poussait des petits rugissements. Ensuite, elle s’est mise à califourchon sur moi et a commencé à frotter sa chatte contre ma queue qui était déjà bien dure. Elle faisait des petits mouvements très rapides. Elle a même planté ses ongles dans mes pectoraux (quand je vous dis que c’était une lionne !!). Elle se déshabilla toute seule en un éclair, me laissant le champ libre pour lui lécher les seins. Elle avait beau être petite, elle avait des seins énormes, presque aussi gros que sa tête. En plus, ils avaient très bon goût. Le fait de la voir en train de gigoter à poil sur moi me procurait un plaisir immense mais incomplet. J’ai alors retiré tout mes habits avec son aide et elle recommença à frotter sa chatte contre ma bite, mais cette fois le contact était direct. Je pouvais sentir sa mouille couler sur mon sexe. C’était très agréable mais le problème est qu’il y avait un peu de vent, ça avait pour effet de me la refroidir.


Comme disait toujours mon ami Boris :

- Il faut garder la tête froide et la bite au chaud.

Je me rappelai de son conseil et l’exécutai. J’ai alors redressé mon sexe avec ma main, tout en relevant ma lionne avec l’autre. J’ai visé sa chatte qui ne s’arrêtait pas de mouiller et pendant que je sentais que j’entrais en elle, cette cochonne se mordait les lèvres et se pinçait les seins. Je me proposai tout de suite pour les pincer à sa place. Maintenant elle s’était un peu calmée, elle faisait de plus grands mouvements, plus lentement. J’étais content, ma bite était au chaud. Deux minutes plus tard, on a été coupé dans notre élan car on a entendu la voix de Katerina dire :

- C’est pas bientôt fini ces conneries !

Cette conne était juste derrière avec Boris. Sur le moment ça m’a trop énervé ! De quoi elle se mêlait ??? Et Boris était sensé s’occuper d’elle à la cave ! Mais, il y avait un truc bizarre. Ils étaient tous les deux nus !! Elle rajouta :

- Maintenant, on échange !

Puis elle s’est foutu à quatre pattes à côté de moi. Sandra s’enleva de moi à mon grand regret et alla se positionner devant sa copine pour l’embrasser. Elles étaient toutes les deux à quatre pattes en train de se rouler des pelles. Avec Boris, on n’y croyait pas nos yeux. Quelle bande de cochonnes !!! Cette fois Sandra parla à son tour :

- Vous attendez quoi les gars ???

Je revins à la raison et je me précipitai dans le cul de Katerina, Boris fit la même chose avec Sandra. On était tous les deux en train de les prendre par derrière alors qu’elles se pelotaient entre elles.


Ce spectacle nous a apparemment surexcités tous les deux au point de tenir à peine trente secondes avant d’éjaculer une première fois. Mais ça ne leur avait pas suffi. Elles en voulaient bien plus, alors elle ont pris chacune un pénis dans leur bouche pour nous sucer jusqu’à ce qu’on bande à nouveau. Elles n’ont pas eu besoin de faire ça très longtemps, car la vue de deux petites bombes sexuelles devant nous ne nous laissait pas indifférent du tout. On se remit au travail... C’était hallucinant, on pouvait caresser les seins des deux filles en même temps. Je trouvais par contre que Katerina avait une chatte beaucoup plus serrée que Sandra, mais c’était d’autant meilleur.


Quand on a fini, les deux filles sont parties dormir dans la même chambre. Ce n’était pas vraiment ce qu’on avait prévu. On est resté bien une heure dans le jardin avec Boris à ne rien dire tellement on était sous le choc. J’ose pas encore imaginer ce qu’elle ont bien pu faire toutes les deux dans la chambre... Le lendemain, elles étaient déjà parties quand on s’est réveillés. C’est là qu’on a compris qu’en fait ces gouines s’étaient servies de nous ! Mais bon, on n’est pas du genre à se plaindre avec mon pote. Maintenant, quand on les croise dans les couloirs, elles font comme si elles ne nous connaissaient pas. C’est dommage, j’aurais bien retenté l’expérience.

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