J’avoue que l’annonce m’avait séduit : « Couple la trentaine,
bien dans sa tête et bien dans son corps, cherche jeune
homme pour réalisation fantasme commun. Curieux ne pas s’abstenir,
esprit ouvert bienvenu. ». Suivaient deux initiales, N.
et M. et un numéro de téléphone en région parisienne.
Jeune homme de 25 ans à l’époque, je vivotais entre la
fac et quelques boulots alimentaires, sans grandes idées
sur la vie et sur ma vie en général. Plutôt grand, plutôt
mince et plutôt mignon d’après mes copines de fac. Enfin,
rien de bien extraordinaire, éternel adulescent indécis,
je me laissais porter par le courant, comme beaucoup d’autres.
Ce qui se passa ce soir là bouleversa ma vie.
J’appelais. M. décrocha. Il avait une voix assez dure qui
s’adoucit quand je lui annonçais le but de mon appel. A.
mit le haut-parleur et nous parlâmes de tout et de rien.
Enfin, surtout lui, car il parla beaucoup. Comme j’essayais
d’en savoir un peu plus sur leur annonce, M. me posait une
autre question sur mes goûts, cinématographiques, culturels,
vestimentaires ou autres. Il essayait de me cerner et quant
à moi, j’avais perdu le fil de mes pensées, l’écoutant sans
cesse, assez embarrassé par notre conversation, mais avec
une excitation trouble qui me faisait transpirer. Je commençais
à bander, ce qui me faisait transpirer davantage et ajoutait
au trouble de notre conversation. Je changeai de position
sur mon fauteuil, mon sexe commençant à me faire mal, à
l’étroit dans mon pantalon. Ma voix était méconnaissable
et je bégayais.
Ils se parlaient de temps en temps, car j’entendais des
bribes de voix, masquées par une main sur le combiné. Au
bout d’un moment, un grand silence s’installa. C’est moi
qui rompis ce silence en proposant timidement « On peut
peut-être se rencontrer ? ».
Il me plaisait. Je lui plaisais et je plaisais à sa femme
apparemment.
« Très bien, N. et moi sommes d’accord. Ce soir ? »
La panique me gagna et comme inconsciemment, je répondis
« Très bien. Où ça ? »
« Chez nous, nous avons une grande maison à Suresnes. Vous
connaissez ? »
« Oui, oui. Je me débrouillerai. »
J’allais raccrocher, quand il cria presque:" Attendez,
vous n’avez pas l’adresse ! "
Je rougis aussitôt en riant un peu bêtement. Il me dicta
l’adresse, puis raccrocha en ajoutant: « A tout à l’heure
Frédéric, ça va te plaire, tu verras. »
Je raccrochai à mon tour. Mon cœur battait fort et mon
sexe était toujours tendu. Je me levais du fauteuil, tout
engourdi et le front brûlant et presque aussitôt, j’empoignais
mon sexe à travers mon pantalon. Il m’en fallait plus très
vite, et en un clin d’œil, j’étais debout dans mon salon,
face à mon téléphone, le pantalon et le caleçon sur les
chevilles, en train de me masturber violemment, comme un
automate. Je jouis en quelques secondes, mon sperme gicla
sur le tapis et coula sur ma main. Je repris mes esprits,
me regardai dans la glace de la salle de bain. Ca va. Je
quittai mon appartement et hélai un taxi.
Quelques dizaines de minutes plus tard, celui-ci me déposait
devant un portail ancien du vieux Suresnes. Je sonnais à
l’interphone et la lourde porte s’ouvrit sans que j’aie
prononcé un mot. Je jetais un coup d’œil vers l’allée de
gravier qui menait vers une belle demeure bourgeoise totalement
éclairée. Les gravillons crissaient sous mes pas tandis
que j’avançais, à moitié rassuré. A mi-chemin, la porte
d’entrée s’ouvrit et une silhouette apparut. N. portait
une jolie robe d’été blanche. Elle était grande, mince,
une longue chevelure noire flottait sur ses épaules. La
peau mate, des yeux foncés également. Orientale. D’origine
libanaise certainement. Elle me souriait.
« Bonsoir Frédéric ! »
Je me demandais si elle se moquait de moi ou pas, j’étais
de plus en plus mal à l’aise. Elle souriait toujours, me
regarda attentivement de bas en haut pendant quelques secondes,
puis prononça sur le même ton : " Entre ! "
Un beau vestibule, des meubles anciens chinés, une décoration
savamment négligée, un escalier de chêne, des souvenirs,
des photos au mur, des chaussures qui traînaient, des clés,
bref une maison qui respirait la douceur des maisons de
famille. Je me sentais mieux.
Elle me précéda dans le salon, M. m’attendait dos à la
cheminée en buvant un verre.
« Bonsoir Frédéric ! »
Même attitude, mêmes intonations, je me tournais vers N.
qui me tendait déjà un verre en ajoutant :
« Je m’appelle Nadja et je te présente Marc, mon mari.
»
Marc était grand, bien bâti, les cheveux châtains courts,
les yeux verts. Il portait un très classique costume anthracite
sur une chemise blanche. Voyant que je l’observais sans
avoir prononcé un seul mot, il prit la parole :
« Nadja et moi sommes très heureux de te rencontrer. Tu
nous fais confiance ? »
Je bredouillais un vague « Oui oui » mais il me coupa la
parole :
« Ne dis pas oui pour me faire plaisir. Nadja et moi voulons
un OUI ou un NON massif de ta part, mais que tu répondes
honnêtement. Réfléchis et réponds sincèrement. »
Je les regardais tous les deux, ils étaient beaux, ils
avaient l’air heureux et équilibrés, ils me souriaient toujours,
il avaient l’air bizarre, étranges, différents mais gentils.
Ils devaient s’aimer beaucoup. Je pris une profonde respiration
pour prononcer distinctement le OUI que nous attendions
tous les trois.
Nadja s’approcha alors de moi, m’embrassa tendrement sur
la joue et m’entraîna dans le grand escalier, puis dans
une grande salle de bain à l’étage.
J’entendais Marc en bas qui mettait de la musique et qui
se resservait à boire.
« Déshabilles-toi. » C’était un ordre, mais prononcé très
doucement, presque une invitation.
Toujours mal à l’aise, je me déshabillais en évitant de
la regarder. Mon sexe mou collait à mon caleçon, reste de
ma violente masturbation. Je me retournais en frissonnant,
cachant mon sexe entre mes mains. Elle rit gentiment, me
prit le bras et tout doucement, me plongea dans la grande
baignoire blanche. L’eau était chaude et débordait de mousse
parfumée, au jasmin certainement. Je me sentais mieux. Elle
se pencha vers moi, se retourna et me demanda de lui déboutonner
sa robe. Je vis apparaître sa nuque délicate, son joli dos
brun, les agrafes de son soutien-gorge ivoire, le bas de
son dos, le haut de ses fesses et sa petite culotte assortie.
Elle laissa tomber sa robe à terre et d’un geste extrêmement
féminin, enfila un peignoir de soie blanche. Elle s’assit
sur le rebord de la baignoire et me sourit.
Elle me regardait franchement, me jaugeait, sans quitter
son petit sourire. D’un geste, elle ouvrit un petit coffret
en bois africain et en sortit un joint d’herbe, qu’elle
alluma en craquant une allumette sur le coffret. Elle tira
quelques bouffées et me mit à la bouche la cigarette odorante.
Très vite, elle plongea la main dans la mousse et me caressa
la joue. En fait, elle me mouilla tout le visage du bout
de ses doigts. Très méthodiquement, elle prit un blaireau,
de la mousse à raser et me badigeonna la barbe. Puis, elle
saisit un rasoir et entreprit de me raser. Je la regardais
pendant qu’elle s’affairait consciencieusement. Elle prit
alors une sorte d’huile sombre et épaisse qu’elle frotta
longuement entre ses mains avant de me masser tout le visage.
J’étais bien.
« Relèves-toi un peu. »
Elle posa alors son blaireau sur mon torse et m’ôta méthodiquement
les quelques poils qui poussaient sur mon torse.
« Lève ton bras gauche. »
…
Je levais de moi-même l’autre bras quand elle eut terminé
de me raser la première aisselle.
« Lève-toi, s’il te plait. Mets ta jambe gauche sur le
bord de la baignoire. »
Et là encore, j’obéis à la voix de Nadja. Elle m’épila
entièrement la jambe, puis l’autre, posa ses accessoires
et entrepris avec l’eau du bain de faire disparaître les
poils mêlés à la mousse de mes jambes. J’imaginais la suite
et commençais à bander à nouveau. L’excellente herbe que
nous fumions ensemble y était aussi certainement pour quelque
chose ! Je lui obéissais en tout, fasciné par cette expérience.
Mes aisselles et mes jambes me brûlaient mais je n’osais
toucher les parties de mon corps désormais imberbe.
« Lève-toi s’il te plait. »
D’un geste, j’étais debout. Elle sortit des petits ciseaux
nacrés et tailla légèrement ma toison. Quand elle eut jugé
du résultat, elle appliqua son blaireau sur mon pubis et
le tailla en petit triangle, pointe en bas. Tout doucement,
elle coupa également les quelques poils qui parsemaient
mon sexe et fit de même avec mes testicules.
« Retourne-toi. »
…
« Penche-toi en avant. »
Elle m’épila alors entièrement les fesses et l’anus.
Quand elle eut terminé, elle m’enveloppa d’une serviette
épaisse et me prit à nouveau la main. J’étais dans sa chambre,
éclairée par les deux veilleuses des chevets. Elle m’allongea
sur le dos et me regarda longuement le corps. Patiemment,
elle enlevait les poils qui avaient échappé à son oeil.
Elle reprit son flacon d’huile parfumée qu’elle fit circuler
entre ses mains et commença un long massage sur tout le
corps. Je bandais maintenant franchement. Elle frôlait mon
sexe de ses mains, mais continuait son massage érotique.
Elle s’attarda sur mes bourses, puis entrepris un léger
va-et-vient avec deux doigts sur ma verge gonflée de désir.
Elle s’arrêta rapidement, puis elle me retourna sur le ventre,
repris de l’huile et continua son massage des pieds à la
tête. Le contact de ces mains douces et humides me faisait
frissonner de bonheur. Mon sexe me faisait mal, coincé sur
le couvre-lit de coton. Je l’entendis enlever son peignoir,
dégrafer son soutien-gorge et faire glisser son slip à terre.
Elle s’assit sur mes cuisses, entièrement nue, puis me massa
les épaules et le dos avec vigueur. Elle s’arrêta, se recula
sur mes cuisses et déplaça ses caresses vers mes fesses.
Doucement enivré de cannabis, une femme splendide me massant
les fesses, je me sentais au paradis. J’étais prêt à tout
accepter à ce moment précis. Elle se rendit compte de ma
plénitude et inséra un doigt dans mon anus. Ce contact anal
me réveilla en douceur. Elle tournait maintenant son doigt
dans mon rectum sans insister. Elle s’arrêta enfin, se leva
d’un bond, renfila son peignoir et me dit :
« Allez debout maintenant, on va s’habiller, Marc va nous
attendre ! Tu sais comment sont les hommes ! »
Elle rit et se mit alors à me parler sans discontinuer,
comme si j’étais une vieille copine de lycée ou de cours
de gym, en me parlant de ses problèmes intimes. Elle insistait
pour comparer la cambrure de nos fesses, nos lèvres, me
complimentait sur mon grain de peau, mes jambes très féminines,
comptait mes grains de beauté… Elle me montrait franchement
ses seins dont elle était fière, elle le pouvait, et comparait
nos épilations intimes… J’étais désorienté par la nouvelle
tournure de cette situation mais assez… comment dire ? …
assez ému et flatté de participer pleinement à ce que j’avais
toujours voulu entendre, un dîner de filles évoquant les
mille et une facettes de leur féminité. Et toujours en papotant
de tout et de rien, en riant sur des bêtises, elle ouvrit
une commode et me tendit une magnifique guêpière noire.
« Tiens, essayes-la, tu fais ma taille, elle t’ira très
bien. »
Je pris le splendide accessoire érotique, le regardais
de tous côtés et l’enfilais avec envie. Nadja me l’agrafa
et me l’ajusta au plus près du corps.
« Superbe ! Enfiles ces bas. »
La douce caresse de la soie noire sur mes jambes nues m’excita
à nouveau. Elle attacha les jarretelles, positionna dans
les bonnets de la guêpière des espèces de prothèses externes
en silicone, très agréables au toucher. Je me touchais les
seins à travers la guêpière et le contact me troubla profondément.
« Penche-toi en avant ! »
Elle m’inséra dans l’anus une épaisse couche d’un liquide
gras très épais et froid que je pris pour de la vaseline,
puis appliqua ce que je sentis être un tampon hygiénique
au fond de mon anus « pour qu’il n’y ait pas de fuite »
précisa t’elle en pouffant… Je me relevais, assez gêné de
cette présence en moi et je réclamais de moi-même une petite
culotte à Nadja pour l’empêcher de glisser. Elle me lança
un joli tanga, noir également, que j’ajustais prestement.
Nadja sortit de ses armoires un petit haut très léger, une
mini jupe, pour montrer tes jolies jambes me disait-elle,
et des escarpins qui complétèrent complètement ma tenue
de parfaite petite… pute.
« Je crois que tu vas beaucoup plaire à mon mari. » m’asséna
t’elle, mi-amusée mi sérieuse. Je perçais même une petite
pointe de jalousie dans son affirmation.
Et en me regardant dans le miroir de la chambre, j’appréhendais
la redescente dans le salon car j’avais VRAIMENT envie de
plaire à son mari.
Nadja m’assit sur son lit et me coiffa, j’avais les cheveux
longs à l’époque, cheveux qu’elle noua soigneusement en
arrière avec un chouchou de velours noie. Nadja me maquilla
: rouge à ongle, fond de teint, mascara, rimmel et rouge
à lèvres. En fouillant dans ses nombreuses boîtes à bijoux,
Nadja me prêta un joli collier en or d’inspiration africaine,
des boucles d’oreilles assorties, deux bracelets et quelques
bagues.
Nadja s’était pomponnée en un éclair, pendant que je ne
me lassais pas de m’admirer dans la glace. Je me sentais
belle.
Nous descendîmes bras-dessus bras-dessous comme deux copines.
En ouvrant la porte du salon, je cherchais Marc du regard.
Il était dans un coin et fumait une cigarette. Nadja me
fit tourner sur moi-même puis me planta devant son mari.
Marc m’observait les yeux mi-clos. Il ne bougea pas et
attendit que je m’approche de lui. Je baissais les yeux,
intimidée,. Au bout d’un court instant et telle une courtisane,
en jouant de mes longs cils poudrés, je tendis mon regard
vers lui.
« Alors, Marc, que penses-tu de la transformation ? »
…
…
« Suce-moi Frédérique. »
Et comme hypnotisé, je m’agenouillais devant cet homme
que je ne connaissais pas il y a quelques heures. Il ne
m’aidait pas dans ma tâche et attendait visiblement que
je le déshabille. Je lui enlevais sa ceinture en la faisant
glisser dans les passants. Elle tomba lourdement à terre
en fouettant l’air de son cuir noir. Son pantalon avait
une braguette à boutons fort malcommode et j’essayais maladroitement
de lui enlever ses boutons un par un. Dans mes efforts,
je sentais une bosse chaude et humide qui se formait sous
mes doigts. Enfin, je vis apparaître sa touffe odorante
de poils noirs et frisés. J’attrapais son boxer blanc maintenant
bien rempli, le baissais des deux mains et son sexe sortit
aussitôt à demi-bandé, à moitié décalotté. Une odeur forte
et salée pénétra mes narines et immédiatement ma bouche
se remplit de salive. Les yeux écarquillés, j’observais
ce sexe brun, déjà gros et beau qui pointait vers ma bouche.
Je relevais les yeux vers Marc, attendant son assentiment.
« Suce-moi. » reprit-il en posant une main ferme sur ma
tête.
Alors, j’ouvris la bouche et embouchai son pénis. Pour
la première fois, j’avais le sexe d’un homme sur la langue.
Je ressortis aussitôt sa verge en haletant. C’était moi.
Je me vis dans le grand miroir du salon, à genoux devant
une belle queue, maquillée comme une putain, en bas, hauts
talons et mini-jupe. Je me mis à bander et le contact de
la dentelle de la petite culotte sur ma queue me procura
des sensations extraordinaires en me rappelant avec perversité
ma condition masculine. Je vis Nadja assise dans un fauteuil
qui me regardait avec gourmandise.
Je me retournais vers cette queue et des deux mains fis
tomber le pantalon et le boxer de Marc sur ses chevilles.
Sa tige était maintenant bien droite, épaisse et longue.
Je vis alors ses couilles, bien rondes, bien pleines qui
pendaient sous son pénis. Ma main remonta sa jambe et vient
se poser sous ses deux testicules. Son sexe tressaillit.
Et comme une invitation, j’approchai à nouveau mes lèvres
fardées et l’engloutis entièrement une seconde fois. Je
ne pus me retenir de pousser un gémissement rauque quand
il buta au fond de ma gorge. Je ressortis et m’attardai
sur son gland, en posant des petits coups de langue appliqués
sur toute sa surface. Une goutte de son liquide séminal
perlait, ma langue l’attrapa avec délice. Son sexe sentait
la sueur et la virilité brute. J’aimais ça. Ma main se posa
à la base de sa verge et j’entrepris de le masturber. Mon
autre main lui caressait les bourses et les jambes. Je repris
ma succion, en alternant mouvements brusques et plus doux.
Je lui léchais son sexe de bas en haut, mais revenais sans
cesse vers ce gland rouge qui était devenu mon seul repère.
Ma bouche était pleine de salive mélangée à ses sécrétions,
mais j’en voulais toujours plus. Je ne voulais plus m’arrêter
de sucer Marc. Je redescendis vers ses boules et les gobais
une à une, les mordillais, tout en le branlant entre deux
doigts. Je léchais aussi ma main et la frottais doucement
sur son gland., je frottais son membre sur mes joues, il
était chaud, dur et tendre à la fois. Je me caressais le
visage avec ses couilles, reniflais à pleins poumons la
sueur qui coulait de son pubis, léchais patiemment le frein
de sa bite, aspirais son gland avec dévotion.
M. enleva sa chemise, il commençait à soupirer de plaisir,
j’étais content.
« A quatre pattes maintenant. »
Je me laissai tomber épuisé sur le tapis, mon sexe en profita
pour retrouver une position moins douloureuse. En reprenant
mes esprits, je me vis à nouveau dans le miroir, à quatre
pattes, dans cette position de chienne et avec mon cul tendu
vers Marc qui se débarrassait de ses derniers vêtements.
Le tanga me rentrait à présent tout à fait dans les fesses
et ce contact avec mon anus m’excita à nouveau terriblement.
Je sentis mon anus se dilater et la vaseline introduite
par Nadja tout à l’heure, qui essayait de couler entre mes
fesses. J’avais envie d’être prise très vite ! En rut, je
voulais un mâle, mon mâle, celui qui me prendrait cette
nuit et qui me ferait jouir.
Contre toute attente, il se positionna à genoux devant
moi et appuyant fermement sur ma nuque, me poussa à nouveau
vers sa queue, toujours bien bandée et luisante de ma salive.
Comme si j’avais fait ça toute ma vie, je le repris en bouche
aussitôt en m’appliquant patiemment. Je me donnais beaucoup
de plaisir à le rendre dur dans ma bouche, il gémissait
de temps en temps et me guidait pas de petits coups de bassin
dans ma direction. Sa deuxième main vint se poser sur mes
épaules et il jouait avec la bretelle de ma guêpière, passant
et repassant sous l’étoffe. Moi, je me tenais d’une main
sur le tapis et de l’autre lui pétrissais avec douceur ses
deux belles couilles, qui allaient et venaient vers moi.
Je lui griffais aussi ses deux belles fesses avec mes ongles
peints. D’une main, il me repris la nuque et accéléra le
mouvement. Je suffoquais presque mais continuais à avaler
ce gros bâton de chair. Je levais les yeux, il avait les
yeux fermés. Mes bracelets tintaient sur mes poignets en
cadence, mon collier africain allait et venait entre mes
seins et mon menton, les bruits de succions s’amplifiaient.
J’avais mal à l’entrejambe, mon gland comprimé frottait
la dentelle de ma petite culotte, mes couilles étaient à
l’étroit dans la doublure coton du tanga et la mince bande
de tissu faisait s’ouvrir mon cul davantage. Mes fesses
étaient trempées.
Je sentis une autre main se poser sur mes reins, puis une
deuxième. Nadja, je l’avais oublié ! Elle retira d’un coup
sec ma culotte. Je resserrais les jambes pour l’aider, ma
queue se sentit mieux. Elle me levait les jambes une par
une pour enlever complètement le slip mouillé, puis me flatta
les couilles de la paume de la main, me décalota la bite
d’un geste sûr et adorable et me branlait doucement avec
son pouce et son index. Je bandais fort et mon gland était
totalement humide.
Elle posa une main conquérante sur ma raie des fesses,
le pouce dans le sillon, se colla à moi et je sentis sa
toison pubienne contre mon cul. Je la devinais totalement
nue elle aussi. Elle m’embrassait dans le cou et se frottait
à moi au rythme de la fellation de son mari. Je sentais
qu’elle mouillait abondamment.
Sa main plongea maintenant vers mon anus et elle retira
d’un coup sec le tampon qui m’obstruait le rectum. Je reculais
vers elle de surprise et de plaisir. Mon cul ouvert, je
ressentis un grand vide glacé, le lubrifiant coulait désormais
longuement entre mes jambes.
« Cambres-toi, tends moi bien ton cul, allez ma chérie.
»
Sa voix était plus chaude et peut-être moins sereine, plus
féminine. J’obéissais à ses paroles et lui tendis mon cul
comme elle le désirait, comme les actrices le font dans
les films pornographiques.
Elle descendit son pouce, qu’elle pivota et introduisit
très facilement dans mon petit trou. Je sentais son ongle
long qui s’aventurait de plus en plus loin. En fait, c’est
moi qui reculais m’écartais pour accueillir ce petit membre.
Je me branlais sur son pouce, Nadja ne bougeait pas, c’est
moi qui allais et venais, qui réclamais cette pénétration.
Elle enleva son pouce et le remplaça par son index et son
majeur collés l’un à l’autre. J’ignorais à présent si j’avais
mal ou du plaisir avec ces deux doigts qui coulissaient
dans ma rondelle. Elle ne me laissa pas le temps de répondre
à cette question, puisque l’annulaire rejoignit rapidement
les deux autres. Je m’arrêtais, inquiet, ne sachant quoi
penser, le corps en sueur et la tête enfiévrée. Nadja me
posa l’autre main sur les épaules et m’attira franchement
vers elle. Je m’empalais sur elle en poussant un cri de
surprise. Nadja me fit reculer, puis entrepris un lent mouvement
de va et vient sur ses trois doigts serrés. J’avais une
sensation diffuse au fond de moi, plaisir et souffrance
mêlés, comme une vague irréelle qui m’inondait tout le bas
du corps. Je sentais depuis quelque temps un objet froid,
rond et dur qui entrait dans mon anus autour de son annulaire,
je compris que c’était son alliance et devant cette image
tellement réelle et évidente, je m’abandonnais enfin complètement
à cette pénétration forcée. Je tendais maintenant mon cul
vers elle, j’en voulais plus. Je gémissais à chaque mouvement,
mon corps se tendait vers Nadja, mon cul s’ouvrait vers
ses doigts, les aspirait librement. Nadja me branlait le
cul avec force et je poussais de petits jappements de plaisir,
toute heureuse de ce plaisir nouveau. Oui, heureuse. Je
me sentais femme, maîtresse, putain. Mon anus était une
chatte.
« Elle aime ça, notre Frédérique, se faire doigter ! »
J’acquiessais par un grognement, tout en reprenant mes
jeux de langue sur la belle bite de Marc. Il se branlait
maintenant dans ma bouche tout en me tenant fortement la
tête. Il se soulevait aussi pour que je puisse prendre en
bouche ses deux belles couilles, j’y plongeai la langue
et lui malaxais ses deux belles fesses à pleines mains.
« C’est bon Nadja, elle est prête. »
Marc vint en un instant se positionner derrière moi et
je lui tendis mon arrière-train, je lui écartais mes fesses
pour accueillir sa grosse bite. Il me prit les hanches,
fit jouer son gland mouillé et dégoulinant, autour de mon
œillet plusieurs fois, le fit rentrer et sortir en douceur.
J’avais désormais la tête dans le tapis, les bras en avant
et le cul qui se dressait vers Marc, comme une chienne en
chaleur.
Il me donna une petite claque sur les fesses, ce qui m’arracha
un cri de surprise, puis me pénétra d’un seul coup. Je pleurais
de douleur ou de plaisir, je ne savais plus quoi penser
de mes sensations. Nadja se pencha vers moi, elle me prit
la tête et m’embrassa sur la bouche, en faisant circuler
sa langue sur mes lèvres, puis dans ma bouche. Elle me caressait
les épaules et m’embrassait langoureusement.
Marc bougea un peu et je sentis toute la dureté de sa queue
au fond de mes entrailles. Nadja m’embrassait toujours,
elle me pelotait les seins à travers les bonnets de la guêpière.
Marc ressortit tout doucement, puis rentra aussitôt en ahanant.
Mon corps tout entier tressautait au rythme que Marc lui
donnait et je griffais le tapis pour rester en place. Ses
couilles que j’avais si longtemps sucées tapaient contre
les miennes, son pubis me chatouillait délicieusement le
haut de mes fesses et ses mains lourdes me tenaient fortement
les hanches. Il se colla à mon dos et je sentis ses muscles
pectoraux m’écraser de toute leur force. Il me prenait les
cheveux de temps en temps, me forçait à relever la tête,
puis reposait sa main sur mes hanches en donnant des coups
plus forts. Il me caressait les bas, jouait avec les jarretelles
de la guêpière, me pinçait les seins durement. Il me limait
avec force et application, toujours en levrette, et je criais
à chaque fois.
« C’est bon Nadja, elle est prête. »
Je ne compris cette phrase que quand je revis Nadja équipée
d’un double gode ceinture noir de dimensions plus qu’appréciables.
Elle se tenait le sexe et s’accroupit devant moi.
« Suces-moi Frédérique. »
Et comme pour son mari, je suçais avec émotion ce membre
de plastique.
Marc m’enculait de plus en plus fort. Il ressortit son
pénis, puis se plaça devant ma bouche en se branlant vigoureusement.
Il me poussa la tête en avant vers sa queue, Nadja vint
prendre sa place. Elle m’embrocha aussitôt, sans me laisser
le temps de réagir, mais mon cul était maintenant prêt à
accueillir tous les membres de la Terre !
Marc haletait : « Tiens-toi prête, je vais jouir ! »
Et docilement, j’ouvris la bouche, tendis la langue et
j’attendais la jouissance de Marc que j’espérais violente
et abondante. Il se cambra, je luis pris les couilles d’une
main, il cria fort, puis un gros jet de sperme me fouetta
le palais que je m’empressais d’avaler, il criait toujours,
un deuxième arriva, je ne pouvais plus déglutir tant sa
semence était abondante. Il me maintenait la tête contre
sa queue, je lui pressais les couilles, ma bouche, mes lèvres
et mes joues étaient couvertes de son sperme. C’était bon,
chaud, salé et légèrement épais, j’en avais partout, ma
bouche était pleine, j’avalais mon homme et c’était bon.
Ses cris de jouissance diminuaient mais je gardais sa queue
dans ma bouche, la suçant en gémissant du plaisir que Marc
m’avait donné en choisissant ma bouche pour jouir. Je léchais
les dernières gouttes avec gourmandise et nettoyais mon
nouveau jouet avec application. Avec un doigt, je récupérais
vers ma bouche tout ce qui avait échappé à mon palais. Et
enfin rassasiée, je léchouillais et embrassais doucement
sa bite, la bite de mon homme. Enfin, je levais les yeux
vers lui, il avait les yeux mi-clos, il était content et
me caressait avec douceur les épaules.
Nadja me rappela violemment à elle, elle semblait beaucoup
apprécier la sodomie. Telle une amazone, elle me chevauchait
avec vigueur, me donnait même quelques claques bien senties
sur les fesses tout en m’insultant avec fièvre :
« Tu es vraiment une belle petite pute, hein Frédérique
? Ca te plait de sucer une belle queue d’homme ? Et te faire
enculer par une femme, tu aimes ça, hein ma jolie ? »
Et moi je gémissais sous ses coups de boutoir en répétant
tout ce qu’elle me disait.
« Tu es vraiment une petite salope ! On va te faire sucer
plein de queues, tu verras ! Et tu vas en avoir plein, des
grosses bites dans ton beau petit cul de femelle en chaleur
! »
Marc se rapprocha de nous, embrassa Nadja amoureusement
sur la bouche. Sa bite qui était toujours contre mon visage
reprenait de la vigueur, ce qui m’enflamma. Nadja accéléra
la cadence et se colla à moi, ses seins lourds m’écrasaient
le dos, sa main gauche passa rapidement tout contre mes
seins. Elle me releva tout contre elle, le godemiché toujours
enfoncé dans mon cul, puis elle me bascula en arrière tout
contre elle. Marc m’embrassait à présent nerveusement dans
le cou, en me tenant par les hanches. Ma belle Nadja poussa
un terrible coup de rein qui m’arracha un hurlement de dément,
et elle m’enserra brutalement de sa main libre les couilles
et la base de ma queue, et je jouis aussitôt en cinq ou
six longues éjaculations, le corps tendu, le visage écrasé
sur l’épaule de Marc, le cœur prêt à exploser, criant, pleurant,
griffant, enserrant de mon anus la queue artificielle de
Nadja pour ne plus jamais vouloir la quitter…
Je suis resté deux ans.
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![](banniererabbit04.gif)
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