Depuis quelques temps mon mari voulait me voir
baiser devant lui avec un black. J'y étais fortement opposée,
par principe, autant avec un blanc qu'avec un black. Mais
mon mari ramena un homme à la maison. Ma surprise fut grande,
car mon mari ne m'avait pas menti et c'est bien un noir
qui arriva !!! Jusqu'au dernier moment, j'ai cru à une blague
de mon mari !! Hé non ! On dit qu'un noir est super bien
membré. Celui-là, bof, je dirais même très ordinaire, pas
de quoi envoyer un télégramme à sa grand-mère !! Il devait
être un pote de BOB MARLEY car il était musicien avec de
jolies tresses. Ce fut une première expérience très, très
ordinaire. Pas de quoi fouetter une chatte !
Aujourd'hui je vis ma seconde expérience. Elle sera beaucoup
plus intéressante, je dirais même très intéressante !! Une
fois dans la chambre, j'ai droit à un jeu extraordinaire
de mains. Ça, j'adore particulièrement ! Avoir six mains
qui courent sur mon corps est une sensation sublime, cela
me fait frémir et quel préliminaires agréables... J'aurais
voulu que ce moment dure longtemps, très longtemps. Mais...
Entre deux caresses, ils me déshabillent, doucement, presque
avec tendresse, les vêtements glissent avec légèreté sur
mon corps. Il est vrai que nous sommes tombés sur deux individus
très corrects, cela rassure et met en confiance.
Robe, slip, soutien-gorge, tout cela traînent par terre,
nous sommes tous nus, les mains se mêlent sur mes seins,
mon intimité ruisselante, déjà offerte, les baisers vont
bon train. Le noir, Saliou, semble beaucoup plus hardi que
son pote. Saliou prend donc un peu les directives avec l'accord
de mon mari. Saliou, est le premier à se glisser sur moi
en m'écartant les cuisses, à genoux, son énorme sexe érigé
et agressif devant ma chatte palpitante, qu'il pénètre doucement.
Comme il se sait gros, il va avec prudence, puis, me sentant
réceptive, il prend confiance, se glisse complètement en
moi d'un long coup de reins et accélère le mouvement, me
possédant à fond, me travaillant, me bourrant de longues
minutes. Je sens sa queue me remonter jusqu'à la gorge si
l'on peut dire !! C'est vrai que c'est bien agréable, dire
le contraire serait un peu hypocrite !! Je suis son jouet,
il inonde enfin de jets généreux mon utérus, dans lequel
je sens la chaleur de sa semence.
De mains en mains, je passe dessus, dessous, je les suce,
j'ai tellement chaud ! Mon mari prend quelques photos, avec
l'accord des protagonistes bien sûr. Tous les trois me possèdent,
je suis leur poupée vivante, je n'ai jamais eu autant de
queues de ma vie, aussi belles, aussi grosses, aussi vigoureuses.
Elles me fouillent longuement. La jouissance arrive, c'est
un pied formidable... Et quel pied !!! Je hurle mon plaisir
d'être ainsi livrée, esclave consentante, aux assauts lubriques
des deux blacks.
À un moment, Saliou et son ami me prennent ensemble, Saliou
dans le con, son pote dans le cul, là c'est l'explosion
! Je me sens clouée sur place, je suis incapable de réagir
tellement tous mes sens sont bouleversés, chavirés. C'est
difficile à expliquer, mais les sensations intenses me vident
aussi bien qu'elles me remplissent d'un tel bonheur....
Je sors de cette étreinte totalement abasourdie, suante,
dégoulinante de foutre. Nous recommençons, dès que les deux
blacks sont prêts et en expriment le désir car, une queue
pour moi, cela ne se refuse jamais... Donc, hop ! Une nouvelle
séance... À la longue, je ne sais plus qui me prend, ni
par où il me prend, je suis une poupée de chiffon qui gémit
au moindre coup de queue. Tard dans la nuit, avec mon mari,
nous décidons de quitter nos joyeux athlètes, recordman
de la baise !! Je suis éreintée mais très satisfaite de
cette rencontre. Pendant le voyage retour, je m'assoupis.
Une fois au lit tous les deux, mon mari et moi, nous faisons
l'amour avec délectation. J'ai le fond du con comme endolori,
comme un bleu, tellement les coups de boutoirs de mes joyeux
drilles, furent bons, fréquents et délicieux, Yann se régale
à son tour dans ce con élargit, béant, il a une queue raide
et dure d'excitation. Il me tringle, me couvrant de compliments
pour mes exploits de tout à l'heure, me dit qu'il m'aime
quand je suis comme ça, que je suis une vraie salope, il
m'encule, se régale à fond !
Vu notre bonne entente, Yann a gardé le contact avec Saliou,
comme il habite sur la région Parisienne, nous nous téléphonons,
et un jour, nous nous retrouvons à Toulouse, où Yann a des
clients à voir. Saliou descend donc à Toulouse, et moi,
je rejoins les deux hommes. Comme d'habitude, hôtel. La
prise de contact est plus rapide, nous avons chacun une
chambre qui correspond à celle de l'autre !! Nous nous retrouvons
pour la soirée, nous allons au resto, puis nous faisons
un tour des sex-shops, et bien sûr, nous terminons dans
la chambre. C'est en Juillet, il fait très chaud, nous commençons
par nous embrasser, nous caresser, nous peloter... J'aime
beaucoup tous ces moments, ils sont très jouissifs malgré
leur innocence. Saliou va sous ma jupe, me remonte les cuisses,
glisse ses doigts dans mon slip en voile, léger, accessible
à volonté. Il remarque que je mouille, il m'embrasse goulûment,
me déshabille, me suce les nichons hérissés. Je me retrouve
debout, à poil. Je suis sa chose, je me sens très petite
entre ses mains et celles de Yann, je me sens haletante,
très excitée. Saliou me couche, me caresse le sexe, me met
les doigts dans le vagin, je gémis, je le suce avec gourmandise,
m'enfilant sa queue dans la bouche, lui soupesant ses couilles
bien lourdes, je le lèche sur toute la hampe, je lui titille
sa grosse veine, son méat où je fourre ma langue, sa queue
est bien dure, bien longue.
Là, il décide de m'enfiler, banalement dans le con, mais
une onde me traverse tellement c'est bon. Saliou se régale,
je suis sa blanche, il est bien en moi, il savoure chacun
de mes mouvements, mes coups de reins lui font sortir un
rugissement de volupté. Il continue à me labourer, me prend
en levrette, peut toucher mon clitoris gonflé à mort. Il
me reprend classiquement, bref c'est interminable, c'est
exaltant mais c'est si bon !!! Il arrive par m'enculer,
là pour moi, c'est la cerise sur le gâteau. Une queue dans
le cul, les doigts qui s'agitent sur mon clitoris, c'est
un feu d'artifice qui éclate...
J'ai du mal à reprendre mon souffle, j'ai très chaud, nos
sueurs se mêlent, j'ai comme l'impression que nous avons
passé le cap de la simple rencontre de cul. Nous nous apprécions,
nous aimons nos talents réciproques, lui sa queue, moi ceux
de bonne baiseuse !!! Il n'y a pas de sentiments, seulement
du sexe, rien que du sexe, tout pour le sexe... Elle est
pas belle la vie !!!!!!
Notre soirée à Toulouse se termine chacun dans son lit,
Yann m'a fait l'honneur de me faire l'amour, comme à chaque
fois, avec une queue très correcte, si l'on peut la comparer
à celle de Saliou. Yann pour un blanc, a vraiment une belle
queue. Donc Yann me prend, me reprend, m'encule, me fait
de nouveau jouir... J'aime être dans ses bras, j'aime son
art de me baiser, de m'anéantir !
Le lendemain, Nous partons sur Béziers où nous déposons
Saliou à la gare. Là aussi, il y a quelques regrets, car
sur la route, il est vrai que j'aurais bien aimé faire une
escale champêtre, un bon coup de queue avec le soleil pour
témoin... Ça, c'est jouissif, j'aime beaucoup ce côté bucolique.
Mais quelque part, je suis timide et je n'ose pas toujours
faire les premiers pas, je n'aime même pas du tout ! Je
suis docile, très docile même, si l'on me dit : "viens",
je vais, je fais, je m'exécute. Mais j'ai du mal à réaliser,
par moi-même, mes propres fantasmes, car déjà au fond de
moi, cela ne se fait pas, il faut toujours un peu me violer
moralement , une fois le cap passé, il n'y a plus de problèmes.
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